Pensées 15 juillet 2015

Bonjour à toutes et à tous

« Ébahis du rétablissement spectaculaire d'un frère alcoolique, il nous arrivait de discuter de son cas entre nous en dévoilant des détails intimes et bouleversants que son parrain seul aurait dû connaître… Il était évident qu'il ne fallait pas révéler le nom d'un membre, s'il le désirait, non plus que son histoire. ( 12x12, 12e Tradition page 208 ) « L'oreille est le chemin du cœur. » (Francois-Marie Arouet, nom de plume : Voltaire) Il s'agit en effet d'écouter la personne qui désire être écoutée et lui dire que nous pouvons l'aider ainsi. C'est souvent la première démarche que fait cette personne pour résoudre un problème ou pour comprendre ces émotions venant du cœur. Elle en parle devant nous qui l'écoutons. Parfois, c'est nous qui avons besoin de nous sentir écoutés. Une écoute attentive de l'autre suscite en nous des échos et réactions émotionnelles, bien naturelles. Il peut être nécessaire de différer l'expression pour laisser l'autre aller au terme de son propos.

Voici comment nos parrains et nos marraines nous écoutent :
- Laissons parler le / la filleule : comment pouvons-nous écouter si nous sommes en train de parler ou de réfléchir à ce que nous allons dire ?
- Mettons à l’aise le / la filleule : au départ, simplement parler de soi pour lui montrer que c'est possible.
- Montrons que nous voulons écouter, que nous sommes intéressés ( ne pas faire autre chose en même temps ).
- Evitons toute distraction, pas de téléphone.
- Nous mettre à la place de l’autre pour comprendre son point de vue est impossible. Nous ne pouvons pas vraiment user d’empathie.
- Soyons patient : ne pas interrompre, à moins que notre filleul soit en ivresse mentale ou en rechute, et pour faire cesser le délire qui accompagne ces états.
- Restons calme : nous énerver n’est le reflet des émotions que son propos éveille en nous.
- Ne faisons pas de critique, surtout pas agressive : cela entraîne de sa part des comportements de défense.
- N'hésitons pas à poser des questions : cela montre que nous écoutons et encourage l'autre à continuer.
- Nous ne pouvons pas être toujours attentif à l’autre, tout le temps. Est-ce nécessaire pour l'autre ?
- La plupart des parrains et marraines ont appris à écouter avec leurs propres écoutants.
- Ils ont un grand cœur et des grandes oreilles. Le meilleur parrain que la vie a mis sur notre chemin était sourd. Il n'a jamais répété une confidence.

À ce sujet, nous avons trouvé ce poème (signé Mitch).
« Si l'oreille est le chemin du cœur et de l'âme...
alors, écoute, écoute...
Les rires des enfants qui éclatent au jardin
Écoute, écoute...
Le vent qui porte la bonne nouvelle
Écoute, écoute...
La mer qui bat la falaise, c'est le cœur du monde qui bat
et envoie son message
Écoute, écoute...
Le muet qui passe son message d'espoir
Écoute, écoute...
Ton amie qui te dit ô combien, elle a besoin de toi
Écoute... et ouvre grand ton chemin du cœur. »

Quand nous sommes submergés dans nos propres difficultés, nous sommes reconnaissants qu'aucun membre de nos groupes d'entraide ne nous surveille, pour nous dire que nous prenons trop de temps pour changer ou pour nous rétablir. Une bonne oreille qui nous écoute sans nous juger et un grand cœur peuvent s'avérer un grand bienfait et curieusement nous apprendre à faire de même. Souvent dans l'écoute, l'écoutant ( le parrain ou la marraine) est celui ou celle qui a besoin d'entendre un cadeau de la vie. Dans les groupes d'entraide, nous entendons souvent que nous avons deux oreilles et une seule bouche, que nous pouvons écouter deux fois plus que nous pouvons parler. Une autre belle façon d'écouter nous a été suggérée dans le livre Les Gnomes que nos enfants ont adoré : Dans chaque couple de gnomes quand ils avaient des difficultés de communication ou autre, l'un d'eux parlaient pendant dix minutes et l'autre écoutait sans donner de réponse. Puis le lendemain c'était le tour de l'autre, l'écoutant qui devenait l'écouté pendant dix minutes. Et si les dix minutes ne sont pas utilisées, nous demeurons en écoute l'un de l'autre, juste là et juste ça... que de l'amour.

Merci la Vie !!!
Denise et Gilles

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Chacun de nous fait son possible pour mettre le programme Al-Anon en pratique dans sa vie, avançant selon son propre rythme. C'est pourquoi j'évite de prononcer des paroles dures, d'employer des phrases comme : « Cesse de t'apitoyer sur ton sort » ou « Cesse de te plaindre. » Il se peut qu'une autre personne ait besoin de plus de temps que moi pour traverser une situation pénible. Son histoire peut me paraître répétitive, mais qui suis-je pour juger ?
Quand je suis aux prises avec mes propres difficultés, je suis tellement reconnaissant qu'aucun membre Al-Anon ne me surveille, chronomètre en main, pour me dire que je prends trop de temps lorsque je suis lent à apprendre les leçons que je reçois. Une oreille qui m'écoute sans me juger peut s'avérer un grand bienfait et j'apprends à faire de même plus généreusement.

Pensée du jour
Aujourd'hui, j'essaierai de témoigner aux membres de la fraternité le respect, la patience et la courtoisie dont je veux qu'on fasse preuve à mon égard.

« Ô Grand Esprit, aide-moi à ne jamais juger une autre personne avant d'avoir marché dans ses mocassins. » Prière des Indiens Sioux

Al-Anon, Le Courage de Changer, 15 juillet, page 197

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Ma marraine m'a un jour fait part d'une idée que j'ai trouvée très utile au sujet de la Huitième Étape. Elle m'a suggéré de rédiger ma liste sous forme de colonnes, tel que décrit dans Les voies du rétablissement. Je plaçais le nom de la personne que j'avais lésée dans la première colonne, le genre de relation que nous entretenions dans la deuxième colonne, le geste que j'avais posé dans la troisième colonne, les raisons pour lesquelles je devrais faire amende honorable dans la quatrième colonne, et j'indiquais mon consentement à le faire dans la dernière colonne.
La troisième colonne m'a donné du fil à retordre ! J'ai découvert que les mêmes défauts de caractère revenaient sans cesse. Si je n'avais pas pris conscience de ces défauts et de leur influence destructrice en faisant de la Quatrième à la Septième Étape, j'avais maintenant effectivement l'occasion de les voir dans ce portrait en couleurs, vivant et vibrant, en trois dimensions, de moi-même, de ma famille, de mes amis, et de mes connaissances.

Pensée du jour
Aujourd'hui, je serai ouvert à de nouvelles façons de mettre mon programme en pratique de manière créative.

« En passant en revue les injustices que j'ai commises envers les autres, est-ce que je relève un tracé significatif indiquant un défaut de caractère que je devrais essayer de corriger ? » Un dilemme : le mariage avec un alcoolique, page 101

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 15 juillet, page 197

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L'orgueil

Depuis des milliers d'années nous n'avons cessé de réclamer plus que notre part de sécurité, de prestige et d'affection. Quand il semblait que nous arrivions à nos fins, nous retournions vers l'alcool pour y rêver d'autres rêves encore plus grands. Lorsque nous étions frustrés, ne fût-ce que légèrement, nous buvions encore afin d'oublier. Nos désirs n'étaient jamais assouvis.
Dans toutes nos recherches du bonheur, la plupart du temps bien intentionnées, le handicap qui nous paralysait le plus était notre manque d’humilité. Il nous manquait le recul nécessaire pour accorder la priorité à la formation de notre caractère et aux valeurs spirituelles, et pour reconnaître que les satisfactions matérielles ne sont pas le but de la vie. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, pages 79-80

Bien des fois je me suis attaqué à la Septième Étape, mais chaque fois, je devais reculer et me reprendre ! Il me manquait quelque chose et l'importance de cette Étape m'échappait.
Qu'est-ce que j'avais omis ? Un seul mot, que je lisais sans y prêter attention, le fondement de toutes nos Étapes et même du programme A.A. tout entier, le mot « humblement ».
Je connaissais bien mes défauts. Je remettais constamment les tâches à plus tard, je me mettais facilement en colère et je m'apitoyais trop sur mon sort en me demandant pourquoi tout cela m'arrivait, à moi. Puis, je me suis rappelé le proverbe « Péché d'orgueil ne va pas sans danger » et j'ai éliminé l'orgueil de ma vie.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 205

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L'antidote de la peur

Quand nos faiblesses engendrent la peur, nous souffrons de la maladie de l'âme. À son tour, la peur engendre d'autres défauts de caractère.
La crainte déraisonnable de ne pouvoir satisfaire nos instincts nous porte à convoiter les biens des autres, à rêver de pouvoir ou de sexe, à nous mettre en colère quand nos besoins instinctifs sont menacés, à envier les autres quand leurs rêves semblent se réaliser, et non les nôtres. Nous mangeons, nous buvons, nous nous jetons à peu près sur tout, au-delà de nos besoins, comme si nous avions toujours peur d'en manquer. Et littéralement affolés à l'idée de travailler, nous restons dans l'oisiveté. Nous tuons le temps, nous remettons tout au lendemain, et au mieux, nous travaillons à contrecœur et à demi régime.
Ces craintes sont comme des termites qui ne cessent de miner les fondations de tous les projets de vie que nous essayons de réaliser.

La sécurité intérieure grandit au même rythme que notre foi. La peur profonde du vide commence à se dissiper. Nous prenons conscience que le plus important antidote contre la peur est le réveil spirituel.

1. Les 12 Étapes et les 12 Traditions, page 57
2. Grapevine, janvier 1962

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 196

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15 juillet - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Après avoir obtenu notre sobriété par l'entremise du programme A.A., nous avons graduellement connu une paix d'esprit et une sérénité que nous n'aurions jamais cru pouvoir obtenir. Cette tranquillité d'esprit est fondée sur l'idée que, fondamentalement, tout est bien. Ceci ne veut pas dire que tout va bien à la surface des choses. De petites choses peuvent continuer à faire défaut et les plus importantes peuvent continuer à nous alarmer. Mais au fond de notre cœur nous savons qu'un jour tout cela tournera pour le mieux. maintenant que nous vivons sobrement. Ai-je acquis un calme intérieur vraiment profond ?

Méditation du jour
Vous montez dans l’échelle de la vice qui conduit à l’éternité. Est-ce que Dieu vous ferait monter dans une échelle dangereuse ? Son appui peut être invisible, caché dans des endroits secrets, mais si Dieu vous a demandé de mettre le pied sur le barreau et de monter sans crainte, Il a certainement assuré la solidité de votre échelle. La foi vous donne la force de monter fermement dans cette échelle de la vie. Vous devriez confier à Dieu votre sécurité et croire qu’Il ne vous laissera pas tomber. Il est là pour vous donner toute l’énergie nécessaire pour vous permettre de continuer à monter.

Prière du jour
Je demande de gravir l'échelle de la vie sans crainte. Je demande d'aller de progrès en progrès, fermement, durant toute ma vie, avec foi et confiance.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 199

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PENSÉE DU JOUR
Je me rappelle comment l'aurore pointe le matin. Le changement de l'obscurité à la lumière vient si graduellement qu'il est difficile de le remarquer. Mais à un certain moment, je peux discerner des formes là où tout était noir avant. Autour de moi, tout devient plus clair presque imperceptiblement jusqu'au moment où le soleil se lève dans toute sa splendeur, inondant la glorieuse beauté de la terre de ses chauds rayons dorés. Je me dois de me rappeler cela quand je deviens impatient.

MÉDITATION DU JOUR
Je demande de mettre toute ma confiance en Lui, sachant que Lui, qui fait lever le soleil sur nous chaque jour, prend soin de tous ses enfants.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Le jour se lève graduellement ; ainsi en va-t-il de mon rétablissement en développant la vertu de patience.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 15 juillet

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Les relations avec les autres

« Nous avons dressé une liste de toutes les personnes que nous avions lésées et avons résolu de leur faire amende honorable. » Huitième Étape

Tous les humains sont aux prises avec l'égocentrisme. L'égocentrisme chronique qui se trouve au cœur de la dépendance rend ce combat doublement difficile pour des gens comme nous. Plusieurs d'entre nous ont vécu comme s'ils croyaient qu'ils étaient les derniers habitants de la terre, et ils ne tenaient aucun compte de l'effet de leur comportement sur ceux et celles qui les entouraient.
La Huitième Étape est le processus que notre programme nous a donné pour examiner honnêtement nos relations passées. Nous consultons ce qui est écrit dans notre Quatrième Étape, pour identifier les effets que nos actions ont eus sur les gens dans notre vie. Lorsque nous reconnaissons le tort que nous avons fait à certaines de ces personnes, nous consentons à accepter la responsabilité de nos actions en leur faisant amende honorable.
La diversité des personnes que nous rencontrons dans une journée et la qualité de nos relations avec elles déterminent en grande partie la qualité de notre vie même. L'amour, l'humour, l'enthousiasme et l'affection, ces choses qui font que la vie vaut la peine d'être vécue, tirent une grande partie de leur signification du fait d'être partagées avec d'autres. Une fois cela compris, nous cherchons à découvrir la vraie nature de nos relations avec les autres et à réparer les failles que nous pourrons trouver dans ces relations. Nous voulons travailler la Huitième Étape.

Juste pour aujourd'hui, j'apprécierai pleinement la compagnie de mes amis. J'examinerai mes relations avec les personnes dans ma vie. Quand je m'apercevrai que je leur ai fait du tort, je trouverai la bonne volonté de leur faire amende honorable.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 15 juillet, page 207

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La vérité est libératrice. Évangile selon Saint Jean

Est-ce que je dis, à propos de mes dépendances : « J'ai un petit problème de ... » ? Est-ce que je les considère comme un léger incident de parcours comme, par exemple la rougeole ? Pourtant, mes dépendances peuvent me tuer. Ce peut être lent ou rapide, mais une chose est sûre : ce sera infernal. Je peux m'accrocher à mes vieilles idées et me dire : « Cette fois, je vais réussir », « Ça va changer », ou « J’arrête pour de bon ». Avec ces vieilles idées, je fuis comme la peste des mots comme : gros, obèse, ivre, outremanger compulsivement, alcoolique, narcomane et je les remplace par des mots plus doux, plus faciles à accepter. Or, ce n'est pas en changeant les mots que je change la réalité. Je peux bien donner d'autres noms au soleil ou à la lune, mais cela n'en fait pas autre chose que ce qu'ils sont. Mes dépendances sont un fait tout comme ma taille ou la couleur de ma peau. Si j'accepte cette réalité, je peux alors admettre mon impuissance devant la nourriture, renoncer à exercer ma volonté et me libérer.

Pensée du jour : Ce n'est ni une honte ni une faiblesse de reconnaître mon impuissance devant la nourriture. Penser le contraire n'aurait rien à voir avec la réalité.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 197

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« Beaucoup ont pensé au suicide. Certains s'y sont essayés. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 12

Autrefois, je changeais (constamment !) d'idée en songeant à ce que j'allais manger et en quelle quantité. Mais de toute évidence, si je m'essayais au suicide et que je réussissais, je ne pourrais plus changer d'idée !
Je me gardais de prendre des engagements parce que je savais que je ne pouvais pas les respecter. Ou encore, je m'empressais de faire des promesses, je m'obligeais à les tenir, mais j'étais furieuse qu'on « m'utilise ».
J'ai besoin de faire des projets et de m'engager, mais je dois m'y prendre soigneusement. Ensuite, je dois accomplir ce à quoi je me suis engagée. Un jour, j'ai commencé à appeler ma marraine quotidiennement pour lui dire ce que j'allais manger et j'ai respecté cet engagement. Le premier bienfait que j'en ai retiré fut une plus grande confiance en ma capacité d'honorer d'autres engagements, comme compléter une tâche dans le cadre de mon travail.

Aujourd'hui, je planifie mes repas avec soin, en fonction à la fois de mes besoins physiologiques et de ce que j'ai le goût de manger à l'heure des repas. (Je ne me « maltraite » plus en prévoyant manger des aliments désagréables afin de me punir.) Mon estime de moi dépend de ma capacité à prendre et à respecter mes engagements.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 15 juillet, page 197

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Pensée du jour
Après avoir obtenu notre sobriété par l'entremise du programme J.A., nous avons graduellement connu une paix d'esprit et une sérénité que nous n'aurions jamais cru pouvoir obtenir. Cette tranquillité d'esprit est fondée sur l'idée que, fondamentalement, tout est bien. Ceci ne veut pas dire que tout va bien à la surface des choses. De petites choses peuvent continuer à faire défaut et les plus importantes peuvent continuer à nous alarmer. Mais au fond de notre cœur, nous savons qu'avec le temps, tout cela tourne pour le mieux, maintenant que nous vivons sobrement. Ai-je acquis un calme intérieur vraiment profond ?

Méditation du jour
Vous montez sur l'échelle de la vie qui conduit à l'éternité. Est-ce que Dieu vous ferait monter sur une échelle dangereuse ? Son Appui peut être invisible, caché dans des endroits secrets, mais si le Guide Divin vous a demandé de mettre le pied sur le barreau et de monter sans crainte, Il s'est certainement assuré de la solidité de votre échelle. La foi vous donne la force de monter fermement sur cette échelle de la vie. Vous devez confier au Père Céleste votre sécurité et croire qu'Il ne vous laisse jamais tomber. Il est là pour vous donner toute l'énergie nécessaire pour vous permettre de continuer à monter.

Prière du jour
Je demande de gravir l'échelle de la vie sans crainte. Je demande d'aller de progrès en progrès, fermement, durant toute ma vie, avec foi et confiance.

Joueurs Anonymes, 15 juillet

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15 juillet

Tu peux aider à faire descendre Mon ciel sur la terre si tu te rends compte que JE te conduis et te montre le chemin. Tu trouveras toutes les directions au fond de toi, il est donc absolument impossible que tu sois dévié ou que tu prennes la mauvaise route. Recherche à l'intérieur et suis ces directions, et vois se produire merveille sur merveille.
Il ne peut jamais y avoir un moment ennuyeux lorsque JE te guide et te dirige. Recherche-Moi et trouve-Moi à tout moment. Tu n'as pas à regarder très loin ; JE SUIS au centre même de toi, mais tu dois Me connaître consciemment. Si tu vis et vibres et as ton essence en Moi, tu crées le nouveau ciel et la nouvelle terre. Il n'y a pas d'effort dans la création. J'ai dit : « Que la Lumière soit ! », et la Lumière fut. Je dis : « Contemple Mon nouveau ciel et Ma nouvelle terre ! ». Donc contemple-les, rends grâce éternellement pour eux, et demeures-y maintenant dans l'amour parfait, la paix et l'harmonie parfaites !

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui veulent en savoir plus sur les services que nous offrons, visitez notre site : http://www.centredelavie.qc.ca
Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
Au Centre de la Vie n'est pas affilié à aucun groupe d'entraide. Par contre, l'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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