Pensées 15 février 2017
Par Gilles - le mercredi 15 février 2017, 05:33 - Pensées et réflexions - Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous
« Ce n'est pas la toute-puissance de Dieu qui nous menace... mais sa douceur. » ( André Frossard, Il y a un autre monde ) Un attribut traditionnellement reconnu de Dieu et choisi par presque tous ceux et celles qui se construisent leur propre Puissance supérieure, c’est Sa toute-puissance (omnipotentia pour ceux et celles qui ont perdu leur latin). Plusieurs en profitent aussi, surtout par la prière, pour tout demander à Dieu. Quelques-uns croient même qu'ils vont obtenir tout ce qu'ils demandent. Il y a deux objections qui tempèrent cet idéation de l'omnipotence. La première est que la toute-puissance de Dieu serait une injure faite à l’homme : elle le maintient dans une situation immature face à Son Père du ciel, contraire à sa dignité d'enfant de Dieu. La seconde est la difficulté que nous ressentons tous face à la question du mal. Comment un bon Dieu peut-il exister devant le mal sur terre et le tolérer ? Ex. : S’il y avait un Bon Dieu… il n’y aurait ni guerre, ni famine, ni tsunami, ni tremblement de terre comme celui a frappé Haïti… », disent plusieurs. Certains raisonneurs expliquent que le monde créé est forcément imparfait et que la liberté humaine comporte le risque du mal. D’autres présentent nos malheurs comme de justes punitions infligées par un Dieu en colère. Les premiers ne convainquent guère et les seconds scandalisent. En fait, la plupart d'entre nous ne pouvons rationaliser quelque chose d'aussi illogique que notre Ps.
Dieu semble être d’une autre nature que l’homme. Nous croyons que l’homme, en effet, est marqué par la finitude. Il est limité dans le temps : il ne connaît qu’une portion du temps, alors que Dieu semble hors du temps. Il naît homme ou femme, et en même temps, jamais il n’est uniquement homme et femme. La mort, terme de toute la puissance humaine atteste de sa faiblesse. Nous ne pouvons résoudre l'inéluctable problème du mal et encore bien moins celui de la mort. Dieu n’a jamais promis de mettre en œuvre Sa puissance pour ôter les obstacles qui encombrent le chemin de notre humanité et de notre développement personnel. À défaut d’une explication, nous pouvons nous appuyer sur cette seule Présence et plusieurs d'entre nous nous invitent à suivre un seul commandement : l’amour.
Animés par notre Ps, nous avons vivement ressenti cet engagement à nous rétablir et nous sommes portés à fidèlement transmettre le message à chaque membre de nos groupes d'entraide. Nous le faisons le plus souvent dans le respect de la dignité de tous et chacun, et des Traditions. Nous savons bien que nos témoignages sont le fruit de l'œuvre de cette Puissance divine dont la volonté n'est pas habituellement contraire aux aspirations les plus profondes de l'homme. La volonté de Dieu nous est révélée par Dieu pour combler, au-delà de toute attente de notre part, la faim et la soif de nos cœurs humains. C’est précisément pour cela que le mode de vie n’est pas imposé mais plutôt suggéré, et s’il est accepté librement et embrassé avec amour, il peut se révéler nécessaire et efficace. L’exemple des membres en rétablissement nous invite à être reconnaissant en vers cette force qui nous habite. « Par l’exemple, ils nous ont fait comprendre que l’intelligence et l’humilité ne sont pas incompatibles, à condition de donner à l’humilité la première place. En agissant ainsi, nous avons reçu le don de la foi, une foi qui produit des résultats. » ( 12x12, 2e Étape, pages 32-33 )
Si notre Ps le désire, nous mettons en pratique les Douze Étapes partout où nous sommes, nous menons alors une vie qui nous comble au-delà de toute attente. Ce n'est pas Dieu qui a besoin d'être remercié pour ce que nous vivons, c'est plutôt nous qui avons besoin d'être reconnaissants et seulement si telle est Sa volonté. Cette gratitude initie notre humilité (ou est-ce vice versa), réjouit notre cœur et éveille notre esprit.
Merci la Vie !!!
Gilles
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Nous parlons beaucoup de travailler le programme. À vrai dire, nous ne faisons que pratiquer ce que nous apprenons. C'est comme l'étude d'une langue seconde. L'élève lit des livres et assiste à des cours, mais cela ne lui donne qu'une connaissance technique. Pour être capable d'utiliser cette langue, il doit côtoyer des personnes qui la parlent et la comprennent. Il se pratique en écoutant et en parlant tout en continuant à lire. S'il est persévérant, avec le temps cela deviendra une connaissance qu'il possédera toute sa vie.
Il en est de même pour plusieurs d'entre nous. Nous commençons en ayant peu de connaissances et de nombreuses idées fausses. Nous assistons aux réunions, nous apprenons ce qu'est l'alcoolisme et nous étudions la documentation Al-Anon. Mais en fait, être capable d'utiliser cette connaissance prend du temps, de la patience et des efforts. Nous fréquentons des personnes qui parlent le langage Al-Anon, surtout celles qui s'engagent fermement dans la mise en pratique des principes Al-Anon dans leur propre vie. Nous continuons à écouter, à lire, à apprendre. De cette façon, le mode de vie Al-Anon s'infiltre en nous jusqu'à ce qu'il devienne une seconde nature. Puis, parce que nous changeons constamment, nous avons l'occasion d'apprendre et de pratiquer davantage.
Pensée du jour
Si je veux devenir habile dans l'application du programme Al-Anon dans ma vie, je dois faire plus qu'aller à une réunion de temps à autre. Je dois m'engager et pratiquer, pratiquer, pratiquer.
« Nous sommes ce que nous faisons à maintes reprises. L'excellence, alors, n'est pas un acte, mais une habitude. » Aristote
Al-Anon, Le Courage de Changer, 15 février, page 46
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Il y a certes des moments où j'éprouve un enthousiasme débordant envers le programme Al-Anon. Je me sens alors pleine de vie, passionnée, ouverte au progrès. Par contre, je traverse aussi des périodes de complaisance pendant lesquelles mon esprit se referme, je deviens suffisante, et mon progrès ralentit. Je me dis que, dans une certaine mesure, c'est probablement normal ; la vie est faite de montagnes, de vallées et de plateaux. Par contre, lorsque ma complaisance est hors de contrôle, cela nuit à la qualité de mon rétablissement.
Je ne peux pas atteindre le niveau de bien-être que je recherche en m'appuyant sur le programme d'hier. J'ai découvert que lorsque je n'avance pas, je ne fais pas seulement du surplace, je recule. J'oublie que les outils du programme ont été efficaces pour moi par le passé, et je me mets à penser que je peux contrôler ma vie moi-même. C'est alors que ma volonté et ma vie deviennent déraisonnables.
J'ai déjà entendu quelqu'un dire lors d'un témoignage que si nous ne progressons pas, nous nous sentons tellement mal à l'aise que nous cessons d'aller aux réunions. Pour moi, les verbes poursuivi, cherché, essayé et mettre en pratique, dans la Dixième à la Douzième Étape, ressemblent étrangement à du travail. Ces mots m'indiquent que je dois persister à me rendre aux réunions, même quand je n'en ai pas envie. Toutefois, ils m'offrent aussi une récompense pour mes efforts : un enthousiasme renouvelé envers la vie, et la régénération de mon âme.
Pensée du jour
Pour moi, la meilleure façon de demeurer en mouvement et de poursuivre ma croissance, c'est de continuer d'assister aux réunions Al-Anon.
« La suffisance... est rarement comprise dans la liste des défauts majeurs et pourtant, elle a le pouvoir d'entraver toute forme de croissance personnelle. » Al-Anon un jour à la fois, page 197
Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 15 février, page 46
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Agir
« Est-ce que ce sont là des promesses extravagantes ? Nous ne le croyons pas. Ces promesses se réalisent parmi nous parfois rapidement, parfois lentement. Mais elles se matérialisent toujours si nous travaillons dans ce sens. » Les Alcooliques Anonymes, page 95
L'une des choses les plus importantes que m'ont donnée les AA, à part la délivrance de l'alcool c'est la capacité d'agir correctement. Il est dit que les promesses « se matérialisent toujours si nous travaillons dans ce sens ». Il ne sert à rien de contenter de rêver, de discuter, de prêcher, de feindre. Je vais demeurer un pauvre alcoolique à jeun, plein de bonnes excuses. Par contre, si j'agis et si je mets en pratique les Douze Étapes partout où je suis, je mènerai une vie qui me comblera au-delà de toute attente.
Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 15 février, page 54
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La vraie et la fausse ambition
Nous avons acquis de nous-mêmes et de notre entourage une vision beaucoup plus réaliste. Nous avons reconnu que des craintes et des angoisses absurdes nous incitaient à traiter comme une question de vie ou de mort la conquête de la renommée, de la fortune et de ce que nous pensions être le pouvoir. Ainsi donc, l'envers de cette fâcheuse peur était une fierté mal placée. Pour masquer nos sentiments d’infériorité les plus profonds, il nous fallait à tout prix occuper partout le premier rang.
L'ambition véritable n'est pas ce que nous pensions. L'ambition véritable consiste dans le désir d'être utile dans la vie et de marcher avec humilité sous le regard bienveillant de Dieu.
1. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 139
2. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 141
Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 46
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15 février - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Si l'alcoolisme n'était qu'une allergie physique, comme l'asthme ou la fièvre des foins, il nous serait facile de subir un test d'allergie (réaction cutanée) pour l'alcool, afin de déterminer si, oui ou non, nous sommes alcooliques. Mais l'alcoolisme n'est pas seulement une allergie physique, c'est aussi une allergie mentale ou obsession. Après que nous sommes devenus alcooliques, nous pouvons encore tolérer physiquement l'alcool pendant un certain temps mais nos souffrances augmentent après chaque cuite et, chaque fois, il nous faut plus de temps pour nous remettre de notre gueule de bois. Est-ce que je me rends compte que depuis que je suis devenu alcoolique, mon cerveau ne peut plus du tout tolérer l'alcool ?
Méditation du jour
Le monde n'a pas besoin de surhommes, mais d'hommes surnaturels. Il a besoin d'hommes qui persisteront à chasser l'égoïsme de leur vie et qui laisseront la Puissance divine accomplir Son œuvre par eux. Laissez l'inspiration prendre la place de l'aspiration. Cherchez à croître spirituellement plutôt qu'à acquérir du prestige et des richesses. Notre première ambition devrait être d'être utilisés par Dieu. La Force divine suffit à accomplir toutes les œuvres spirituelles dans le monde. Dieu n'a besoin que d'instruments dont Il peut se servir. Ses instruments peuvent refaire le monde.
Prière du jour
Je demande d'être un instrument de la Puissance divine. Je demande de faire ma part dans la transformation du monde.
Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 49
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PENSÉE DU JOUR
Peu importe le problème que je vis aujourd'hui, peu importe mon humeur et peu importe le temps qu'il fait, je peux trouver quelque chose pour me rendre heureux si je m'y applique. Je peux chercher et trouver quelque chose dont je suis reconnaissant, ne serait-ce que le fait de m'être levé ce matin. Ce n'est pas Dieu qui a besoin d'être remercié, mais c'est moi qui ai besoin d'être reconnaissant. Cette gratitude remplit mon coeur et me donne un esprit nouveau. Je me donne une récompense fantastique en répondant au besoin profond que j'ai d'être reconnaissant.
MÉDITATION DU JOUR
Remplis-moi d'un esprit de reconnaissance.
AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je remercie et je suis reconnaissant.
Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 15 février
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Un réveil de l’esprit
« Nous nous attendions à tout sauf à un réveil de l'esprit. » Texte de base, page 61
Rares sont ceux parmi nous qui sont venus à leur première réunion de Narcotiques Anonymes brûlant de faire un inventaire personnel ou croyant qu'un vide spirituel habitait leur âme. Nous ne nous doutions pas que nous étions sur le point d'entreprendre un voyage qui réveillerait notre spiritualité endormie.
Comme la sonnerie d'un réveille-matin, la Première Étape nous fait reprendre conscience, bien qu'à ce point nous ne soyons pas certains si nous voulons sortir du lit ou dormir encore cinq minutes. La douce main qui nous secoue l'épaule, lorsque nous franchissons les Deuxième et Troisième Étapes, nous amène à nous lever, à nous étirer et à bailler. Nous devons avoir les yeux grand ouverts pour écrire notre Quatrième Étape et nous livrer, dans notre Cinquième. Cependant, en pratiquant les Sixième, Septième, Huitième et Neuvième Étapes, nous commençons à remarquer que notre démarche a plus d'allant et qu'un sourire point sur nos lèvres. Notre esprit chante sous la douche lorsque nous franchissons la Dixième et la Onzième Étape. Puis, nous pratiquons la Douzième Étape en quittant la maison en quête de quelqu'un d'autre à réveiller.
Nous n'avons pas besoin de passer le reste de notre vie dans un coma spirituel. Il se peut que nous ne trouvions pas agréable de nous lever le matin, mais, une fois sortis du lit, nous sommes presque toujours contents de l'avoir fait.
Juste pour aujourd'hui, pour réveiller mon esprit endormi, je vais pratiquer les Douze Étapes.
Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 15 février, page 49
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Seul Dieu peut vraiment savoir ce qu'est l'honnêteté absolue. Par conséquent, chacun de nous doit imaginer ce que ce grand idéal peut être, et ce, du mieux qu'il peut. Bill W.
La vérité est immuable ; c'est mon honnêteté qui change selon mon degré de conscience. Il y a plusieurs manières d'être honnête. Par exemple, il y a l'honnêteté de ceux qui ne prendraient jamais un sou qui ne leur appartient pas, et qui s'assurent en général que des spectateurs soient témoins de leur bonne foi. Il y a l'honnêteté du type « je-te-dis-cela-pour-ton-propre-bien» , qui est blessante ou même dominatrice. Il y a l'honnêteté unilatérale, qui consiste à réciter les torts de mon conjoint ou de mes amis, parfois en me débarrassant de mes rancunes devant un groupe OA malchanceux.
Il y a aussi l'honnêteté envers moi-même, qui m'aide à mettre de l'ordre dans ma vie, et l'honnêteté personnelle, qui consiste à partager mes émotions, mes expériences et mes succès sans égoïsme, apitoiement ou exagération.
Pensée du jour : Un principe fondamental de ce mode de vie consiste à être aussi honnête que possible envers moi-même et avec toutes les personnes que je côtoie.
Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 46
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« L'abandon, alors, est un phénomène inconscient. Il n’émane pas de la volonté de l'individu. Il ne peut se produire que lorsqu’une personne s'implique dans son processus inconscient, dans un ensemble de circonstances qui indiquent le besoin indéniable d’une Puissance supérieure externe. La définition de l'abandon peut être comprise que lorsque l'individu en entrevoit toutes ramifications inconscientes, ainsi que la véritable signification intérieure. Lorsque les autres l'observent, un tel individu manifeste un calme intérieur et une attitude de « vivre et laisser vivre » . » Outremangeurs Anonymes, Deuxième Édition, page 288
La lecture de ce passage m'a soulagée. Cela signifiait que ce n'était pas moi qui décidais du moment où j'allais m'abandonner. La seule chose que je pouvais faire, c'était de consentir à cet abandon et cheminer dans le programme. En assistant à des réunions, en appelant des membres, en écrivant, en lisant et en mettant les Étapes en pratique, j'ai acquis l'humilité nécessaire à l'apprentissage. De plus, je me suis retrouvée dans un ensemble de circonstances qui m'indiquaient que j'avais indéniablement besoin d'une Puissance supérieure externe. J'ai alors constaté que les nouveaux régimes que j'entreprenais chaque fois qu'arrivait le lundi, le Nouvel An ou mon anniversaire n'avaient jamais fonctionné et ne fonctionneraient jamais, mais peut-être que les OA, eux, fonctionneraient. Or, pour que le programme OA fonctionne, il fallait que je lâche prise, que je m'abandonne, et que je fasse les trois premières Étapes.
Un beau matin de juillet, environ treize mois après ma première réunion, je me suis abandonnée. J'ai tout simplement cessé de me battre. J'en ai eu assez d'en avoir assez. J'ai appelé une amie OA qui était abstinente, je lui ai demandé comment elle s'y prenait, j'ai adopté un plan alimentaire et, depuis, je suis abstinente même si ce n'est pas toujours parfait.
J'ai fait cet appel il y a plus de 20 ans, et ce qui a fonctionné jadis fonctionne encore aujourd'hui. J'ai de la gratitude envers les OA et je prie pour continuer de m'abandonner, de m'abstenir et d'avoir une vie extraordinaire, un jour à la fois.
Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 15 février, page 46
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Pensée du jour
Si le jeu n'était qu'une allergie physique comme l'asthme ou la fièvre des foins, il nous serait facile de subir un test d'allergie au jeu afin de déterminer si, oui ou non, nous sommes compulsifs. Mais le jeu n'est pas seulement une allergie physique, c'est aussi une allergie mentale. Après que nous soyons devenus joueurs, nous pouvions encore tolérer physiquement le jeu pendant un certain temps; cependant, nos souffrances augmentaient après chaque rechute et, chaque fois, il nous était de plus en plus difficile de nous en remettre. Est-ce que je me rends compte que depuis que je suis devenu joueur compulsif, mon cerveau a comme une intolérance envers le jeu ?
Méditation du jour
Le monde n'a pas besoin de surhommes, mais d'hommes dont la vie est basée sur la spiritualité. Il a besoin d'hommes qui travaillent à chasser l'égoïsme de leur vie et qui laissent la Puissance Divine accomplir Son œuvre. Laissez l'inspiration remplacer le refoulement et le ressentiment. Cherchez à croître spirituellement plutôt qu'à acquérir prestige et richesses. Notre première ambition devrait être de devenir l'outil de Dieu. La Force Divine suffit à accomplir toutes les œuvres spirituelles du monde. Dieu désire que nous devenions son intermédiaire pour faire le bien en ce monde.
Prière du jour
Je demande d'être un instrument divin. Je demande de faire ma part dans la transformation du monde.
Joueurs Anonymes, 15 février
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15 février
Le secret pour faire marcher quelque chose est de vouloir que cela marche, et d'être si positif à son sujet qu'il ne peut absolument pas en être autrement. Attaquer tout travail difficile d'une manière peu enthousiaste n'attire pas la réussite ; mais lorsque c'est de tout cœur et avec un réel désir de le voir accompli, il n'en sortira que le meilleur. Que tout ce que tu entreprends le soit « de tout cœur », du plus petit et plus ordinaire travail aux tâches les plus difficiles et les plus compliquées. Sois prêt à accepter de vrais défis dans la vie, et n'en aie jamais peur. Lorsqu'ils sont affrontés dans le bon état d'esprit et en sachant intérieurement que c'est Moi qui, travaillant avec toi, t'aidera à accomplir la tâche, tout peut arriver. Change ta façon de voir, et tu peux ouvrir la porte à un flot d'énergies très positives et très créatrices pour ton être tout entier. Prends conscience que tu peux changer et changer très vite, mais cela dépend de toi.
La Petite Voix, Eileen Caddy
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Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
Au Centre de la Vie n'est pas affilié à aucun groupe d'entraide. Par contre, l'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.
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