Pensées 21 février 2017

Bonjour à toutes et à tous

« La patience est une fleur qui ne pousse pas dans tous les jardins. » ( John Heywood ) Face aux petites et grandes difficultés de la vie, il nous arrive de perdre patience. Pourtant, l’exaspération n’améliore pas vraiment les choses. Dans bien des situations, la patience est une force qui nous permet de mieux vivre. Mais elle a ses limites, au-delà desquelles elle devient de la faiblesse, de l’apathie, une sorte de renoncement stérile. La patience est une force capable de « déplacer des montagnes », et en même temps, avec un peu d’excès, elle peut devenir un véritable facteur d’inertie. Elle peut conduire, par exemple, un individu ou un peuple opprimé à ne plus oser espérer que leur destin puisse évoluer. Nous pouvons aussi la confondre quelquefois à la résignation. Est-ce une force que de tout accepter sans broncher ? Même cette patience-là peut mener à une quelconque amélioration. Impatience et rébellion peuvent aussi devenir indispensables pour réveiller, secouer le cours figé des choses, mettre en lumière et bousculer ce qui, depuis longtemps, était inacceptable. « Patience et longueur de temps. Font plus que force ni que rage. » ( Jean de Lafontaine, Le Lion et le Rat ) La patience, nous sommes mieux de nous en servir … avant de la perdre.

Dans son livre Stumbling on happiness, le Dr Daniel Gilbert décrit l’incapacité de l’homme à réfléchir sur des choses banales de notre quotidien plutôt que sur des événements tragiques et fortuits dont peu créent de graves traumatismes. Nous pensons plus à la fois où un pigeon nous a chié dessus qu’à toutes les fois où nous sommes passés par là sans que rien ne nous tombe sur la tête. Il nous suggère d’être résilient et patient : « This too shall pass ! » (Ça aussi, ça va passer !) La patience est l'aptitude de quelqu'un à vivre sans attente, à rester calme dans une situation, en face d'un délai ou de difficultés. La patience est, à travers le monde et les croyances, une qualité essentielle requise pour celui ou celle qui aspire à la sagesse. « J'appelle sage celui qui, tout innocent qu'il est, supporte les injures et les coups avec une patience égale à sa force. » ( Bouddha, Dhammapada ) Comme la méditation, la patience s'acquiert et s'exerce ; comme la méditation, elle demande un peu de centration, de confiance en soi et en ce Dieu d'amour, Tel que nous Le concevons.

« Chaque matin au cours de notre méditation, nous demandons à notre Créateur de nous enseigner la patience, la tolérance, la bienveillance et l'amour. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. chap.6 À l'oeuvre, page 93 ) La patience que nous développons en mettant en pratique le mode de vie nous aide à découvrir que le plan divin de la vie présente très souvent des leçons pour demain, d'autres pour aujourd'hui. Notre Puissance supérieure nous prépare parfois pendant des années, parfois aussi le jour même, à recevoir ce qui nous manque. Souvent, il ne reste qu’à remercier notre dieu d’amour pour tous ces cadeaux qu’Il nous donne sans que nous les ayons sollicité. Et de là, ces citations de Saint François de Sales nous en dressent la liste : « Dans le régime des âmes, il faut une tasse de science, un baril de prudence et un océan de patience. » — « On a besoin de patience avec tout le monde, mais particulièrement avec soi-même. »

Merci la Vie !!!
Gilles

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Grâce aux Traditions d'Al-Anon, je peux avoir un parrain dont les opinions politiques sont opposées aux miennes. Même si nous sommes en complet désaccord sur d'autres sujets, cette personne m'aide à apprendre de précieuses leçons de sérénité, de courage et de sagesse. Si j'avais insisté pour avoir un parrain dont les opinions politiques concordaient exactement aux miennes, je me serais privé d'une relation extrêmement riche et bénéfique.
Je crois que c'est l'esprit de la Dixième Tradition qui rend cela possible. Elle stipule : « Les Groupes familiaux Al-Anon n'ont aucune opinion sur les questions étrangères à la fraternité ; par conséquent, notre nom ne devrait jamais être mêlé à des controverses publiques. » Au niveau du groupe, cela signifie que je peux assister à une réunion et savoir que je ne serai pas sollicité pour aucune cause en particulier. En tant que groupe, nous n'avons qu'un seul but — nous entraider tout en nous rétablissant des conséquences de l'alcoolisme. Mais sur le plan personnel, cette Tradition me permet d'établir une précieuse relation avec une personne que dans un contexte autre que l'entraide, j'aurais peut-être eu beaucoup de difficulté à traiter avec courtoisie.

Pensée du jour
Aujourd'hui, je peux faire preuve de plus de tolérance devant d'autres points de vue à mesure que j'apprends à prendre ce qui me plaît et à laisser le reste. Je ne dois pas permettre que des questions étrangères à la fraternité me détournent de mon but spirituel premier. Je garderai l'esprit ouvert, car je ne sais jamais où je pourrais trouver de l'aide.

« ... à l'intérieur de la fraternité, la seule chose qui nous réunit doit demeurer notre unique sujet d'intérêt. » Les Douze Étapes & les Douze Traditions d'Al-Anon

Al-Anon, Le Courage de Changer, 21 février, page 52

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Il m'a fallu beaucoup de temps pour admettre que j'avais vécu des choses horribles en tant qu'enfant ayant grandi dans une famille affectée par l'alcoolisme. J'ai trouvé dans Al-Anon un endroit sûr où je pouvais me remémorer la souffrance et y faire face. Lorsque j'ai commencé à accepter la vérité concernant mon passé, en écrivant dans mon journal et en discutant de mes souvenirs, certains membres de ma famille m'ont suggéré de mettre fin à ce qu'ils considéraient comme étant des réflexions intempestives, et d'oublier le passé. Il s'est même trouvé quelques membres Al-Anon bien intentionnés pour me demander si je ne pouvais pas simplement vivre un jour à la fois. Cependant, tant et aussi longtemps que je fuyais les réalités émotionnelles de mon passé, ses poisons non soignés s'infiltraient dans chaque nouvelle journée. Pour vivre pleinement aujourd'hui, je devais en venir à accepter les circonstances de mon passé ainsi que mes réactions face à celles-ci.
Faire face aux sentiments pénibles que j'avais accumulés depuis l'enfance n'a pas changé la réalité de ce qui s'était produit, mais cela a changé mon climat émotionnel. Puisque les souvenirs agréables n'avaient plus à entrer en compétition avec les mauvais, ils ont commencé à se révéler à ma conscience. Maintenant, je suis libre d'aller de l'avant et de prendre mes responsabilités pour les attitudes et les réactions émotionnelles que je choisis d'adopter aujourd'hui. Tandis que je fais de nouveaux et de meilleurs choix, et que je permets à ma Puissance Supérieure de m'aider à les faire, les affreux événements de mon passé deviennent une part moins importante de ce que je suis.

Pensée du jour
Faire face aux pires aspects de mon passé ouvre aussi la porte aux meilleurs, et fait de la place pour que la sérénité, l'émerveillement et la joie entrent dans ma vie.

« Le cycle de la négation est brisé quand nous cessons d'espérer un meilleur passé, quand nous acceptons la réalité de ce passé et que nous commençons à nous créer un présent différent. » De la survie au rétablissement, page 68

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 21 février, page 52

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Je fais partie d'un tout

Instantanément, je suis devenu une partie, sans doute minuscule, d'un univers... Réflexions de Bill, page 225

À mon arrivée dans le mouvement, j'ai trouvé tous les membres très gentils, peut-être un peu naïfs, un peu trop amicaux, mais, tout compte fait, des gens convenables et sérieux — avec qui je n'avais rien en commun. Je les rencontrais dans les réunions, là où « ils » existaient pour moi. Je leur serrais la main et, en sortant de la salle, je les oubliais.
Puis un jour, ma Puissance supérieure, en qui je ne croyais pas encore, s'est arrangée pour créer en dehors du mouvement un projet communautaire auquel participaient plusieurs membres des AA. Nous avons travaillé ensemble et j'ai appris à les connaître individuellement. J'en suis venu à les admirer, à les aimer même et, malgré moi, à les apprécier. J'étais attiré par le fait qu'« ils » mettaient le mode de vie en pratique dans leur vie quotidienne, et non pas seulement dans leur témoignage pendant les réunions ; je voulais posséder ce qu'« ils » avaient. Tout à coup le « ils » est devenu « nous ». Depuis, je n'ai pas pris un seul verre.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 21 février, page 60

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Pour s'éviter une rechute

Supposons que nous manquions à notre idéal. Allons-nous aller boire pour autant ? Certains sont de cet avis. Mais ce n'est vrai qu'à moitié.
Tout dépend de nous et de nos motifs. Si nous regrettons notre erreur et que nous avons le désir sincère de laisser Dieu nous guider vers du mieux, nous croyons que nous serons pardonnés et que nous aurons appris notre leçon. Si nous n'éprouvons aucun regret et que notre conduite continue de léser les autres, il est à peu près sûr que nous recommençons à boire. Nous ne faisons pas de la théorie. Nous nous fondons sur des faits tirés de notre expérience.
Les Alcooliques Anonymes, page 64

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 52

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21 février - Pensée A.A. pour aujourd'hui
J'assiste aux réunions parce qu'elles m'aident à rester sobre. J'essaie d'aider d'autres alcooliques quand je le peux parce que cela fait partie de mon programme pour rester sobre. J'ai aussi un associé dans cette affaire et cet associé c'est Dieu. Je Le prie tous les jours afin qu'Il m'aide à rester sobre. Tant que je resterai convaincu que l'alcool ne peut plus être mon ami mais qu'il est maintenant mon ennemi mortel, et aussi longtemps que je me rappellerai que la première chose pour moi est de rester sobre et que c'est la chose la plus importante de ma vie, je crois que je serai prêt à affronter ce moment critique quand l'idée de prendre de l'alcool me viendra à l'esprit. Quand cette idée viendra dans mon esprit serai-je capable de résister à la tentation de ne pas prendre ce premier verre ?

Méditation du jour
Je craindrai l'agitation de l'esprit, l'énervement et le trouble de l'âme plus que les tremblements de terre ou le feu. Quand je m'apercevrai que le calme de mon esprit a été menacé par un bouleversement émotif, je m'isolerai seul avec Dieu jusqu'à ce que mon cœur ait retrouvé sa joie et que je me sente de nouveau fort et calme. Les périodes agitées sont les seules où le mal peut pénétrer en nous. Je serai en garde contre l'instabilité de mon cœur. J'essaierai de garder ma sérénité malgré le tumulte qui m'entoure.

Prière du jour
Je demande qu'aucun bouleversement émotif ne vienne nuire à la puissance de Dieu dans ma vie. Je demande de garder mon esprit calme et mon cœur ferme.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 55

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PENSÉE DU JOUR
Les obstacles qui sont mis sur mon chemin peuvent ne pas offrir des leçons à apprendre le jour même. La patience que je développe m'aidera à comprendre que le plan divin de la vie présente très souvent des leçons pour demain, pas pour aujourd'hui. Ma puissance supérieure me prépare parfois pendant des années à recevoir ce qui me manque.

MÉDITATION DU JOUR
Je demande à Dieu de comprendre que lorsqu'une mauvaise journée est passée, les choses ne paraissent jamais aussi noir par la suite, spécialement si je m'en occupe en partageant sainement avec des personnes en qui j'ai confiance.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
« Le temps arrange bien des choses », signifie que les choses vont s'améliorer ou que je vais devenir meilleur. Cela ne signifie pas toujours que la situation va changer.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 21 février

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Apitoiement sur toi-même ou rétablissement : à toi de choisir

« L'apitoiement sur soi-même est un des défauts les plus destructeurs ; il finira par nous vider de toute énergie positive. » Texte de base, page 99

À l'époque de la dépendance active, l'apitoiement sur soi-même était, pour plusieurs d'entre nous, un mécanisme de survie. Nous ne croyions pas qu'il y avait une autre alternative que celle de vivre notre maladie, ou peut-être refusions-nous d'y croire. Tant que nous pouvions nous prendre nous-mêmes en pitié et blâmer quelqu'un d'autre pour nos problèmes, nous n'étions pas obligés d'accepter les conséquences de nos actes ; comme nous croyions qu'il nous était impossible de changer, nous n'avions pas à admettre la nécessité de changer. Ce « mécanisme » de survie nous empêchait d'entreprendre notre rétablissement et, de jour en jour, nous rapprochait de l'autodestruction. L'apitoiement sur soi est un outil de notre maladie ; il nous faut cesser de nous en servir et apprendre plutôt à utiliser les nouveaux outils que nous découvrons dans le programme N.A.
Nous en sommes venus à croire que nous pouvions effectivement avoir de l'aide ; lorsque nous faisons appel à cette aide trouvée dans le programme N.A., l'apitoiement sur nous-mêmes est remplacé par de la gratitude. Nous disposons de plusieurs outils : les Douze Étapes, le soutien de notre parrain (marraine), la camaraderie d'autres dépendants en rétablissement et l'assistance de notre Puissance supérieure. Le fait que tous ces outils soient à notre disposition suffit amplement à justifier notre gratitude. Nous ne vivons plus dans l'isolement, sans espoir ; nous sommes assurés d'avoir de l'aide pour faire face à n'importe quoi. Une façon infaillible pour nous de devenir reconnaissants est de profiter de l'aide disponible dans le programme N.A. et de constater l'amélioration que ce programme apportera à notre vie.

Juste pour aujourd'hui, je serai reconnaissant de l'espoir que N.A. m'a donné. Je vais cultiver mon rétablissement et cesser de cultiver l'apitoiement sur moi-même.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 21 février, page 55

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Le critiqueur trouverait à redire même au paradis. Henry David Thoreau

Est-ce que je me reconnais dans ce triste portrait ? Critiquer est une mauvaise attitude, tout comme chercher à avoir raison ou dire aux autres ce qu'ils ont à faire. Je pourrais même trouver à redire même si la source de mon désagrément devenait exactement l'inverse de ce qu'elle est. En critiquant continuellement, je suis en position offensive, de façon à ne laisser personne me prendre en défaut. Or, il n'y a rien de plus facile que de critiquer ; un enfant pourrait le faire. Surtout lorsque cet enfant est fatigué, maussade ou frustré.
La critique incessante est une faiblesse de mon caractère et n'a rien à voir avec les gens et les choses qui m'entourent. C'est une habitude qui doit être minutieusement examinée par la voie de l'inventaire personnel et qui bénéficierait grandement d'une Cinquième Étape.

Pensée du jour : En progressant avec le mode de vie OA, je vois avec des yeux neufs. Parce que j'ai une bonne opinion de moi-même, je suis moins critique à mon égard et à l'égard des autres.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 52

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« Les OA nous font aussi voir que notre rétablissement tient à la mise en pratique des principes du Mouvement plus qu’aux types de personnes que nous rencontrons. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 242

Lorsque nous mettons les Étapes en pratique et que nous demeurons abstinents, nous obtenons beaucoup plus qu'un poids normal. C'est ce que nous apprenons chez les OA, grâce à des gestes bienveillants de tact et de gentillesse que les membres nous témoignent dans des circonstances difficiles.
Comme le rétablissement chez les OA est un cheminement qui nous transforme, les conflits avec les autres sont inéluctables, souvent inévitables. La honte et la perte d'estime de soi qui s’ensuivent représentent l'appel de la maladie qui tente de nous ramener à elle. Aujourd'hui, je considère mes différends avec les autres, qu'ils soient personnels ou philosophiques, comme des occasions d'identifier et de dépasser mes réflexes face au monde dans lequel je vis. Je peux tolérer les sentiments inconfortables et éviter la tentation d’abréger mon malaise en parlant ou en me conduisant de manière inappropriée, car je suis consciente qu'un « soulagement » à court terme ne sera d'aucun secours pour une personne comme moi.
Je prie afin de toujours demander à Dieu de m'aider à tendre vers les relations les plus harmonieuses possible avec les autres. En effet, mon abstinence dépend peut-être de ma réaction face à ce que je vis dans cet instant. Les principes des OA me conduiront toujours dans cette voie.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 21 février, page 52

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Pensée du jour
J'assiste aux réunions parce qu'elles m'aident à rester sobre. Je tente d'aider d'autres joueurs quand je le peux parce que cela fait partie de mon programme de sobriété. Ma Puissance Supérieure est à mes côtés en tout temps et je La prie tous les jours pour qu'Elle m'aide à mettre en pratique mon nouveau mode de vie. Tant que je reste convaincu que le jeu est maintenant mon ennemi mortel, je me rappelle que la chose la plus importante est ma sobriété. Je crois aussi que je suis prêt à affronter le moment où l'idée de jouer me viendra à l'esprit. Quand cette idée viendra dans mon esprit serai-je capable de résister à la tentation de jouer ?

Méditation du jour
Je crains l'agitation de l'esprit, l'énervement et le trouble de l'âme plus que les tremblements de terre ou le feu. Quand je m'aperçois que le calme de mon esprit a été menacé par un bouleversement émotif, je m'isole seul avec Dieu jusqu'à ce que mon cœur ait retrouvé sa joie et que je me sente de nouveau fort et calme. Les périodes agitées sont les seules où le mal peut pénétrer en nous. Je suis en garde contre l'instabilité de mon cœur. Je conserve ma sérénité malgré le tumulte qui m'entoure.

Prière du jour
Je demande qu'aucun bouleversement émotif ne vienne me nuire dans ma vie. Je demande de garder mon esprit calme et mon cœur ouvert.

Joueurs Anonymes, 21 février

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21 février

Personne n'aime être blessé ou traité comme s'il n'avait pas d'importance. Personne n'aime être ignoré ou qu'on lui fasse sentir qu'il n'est ni aimé ni désiré. Alors pourquoi ne pas traiter tes compagnons humains avec amour et respect ? Essaie de les comprendre et sois prêt à les accompagner un bout de chemin de plus si c'est nécessaire. Sois très tolérant, très patient et très aimant. C'est comme cela que tu aimerais être traité toi-même, alors vis comme tu souhaiterais que les autres vivent. Sois un bon exemple, mais ne le fais jamais parce que tu sens que c'est ce qu'on attend de toi. Fais-le parce que tu veux le faire et que tu désires fortement de tout ton cœur donner le meilleur de toi dans tout ce que tu fais, dis et penses. Plus ton désir est grand, plus il sera facile de le satisfaire. Ne sois jamais satisfait de la médiocrité ni du manque d'enthousiasme. Veille à ce que tout ce que tu fais soit du niveau le plus élevé, à ce que tes motivations soient pures et qu'il n'y ait rien d'égoïste ni d'égocentrique dans tous tes actes.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui veulent en savoir plus sur les services que nous offrons, visitez notre site : http://www.centredelavie.qc.ca
Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
Au Centre de la Vie n'est pas affilié à aucun groupe d'entraide. Par contre, l'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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