Pensées 27 février 2017
Par Gilles - le lundi 27 février 2017, 05:21 - Pensées et réflexions - Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous
Qui a de la vertu ? La vertu vient du latin virtus qui signifie « énergie morale, force » qui vient lui de vir qui a son tour veut dire « individu de sexe masculin ». Est-ce que nous sommes vertueux si nous pratiquons la morale ( La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, au respect de devoirs et de valeurs ) ou si nous sommes vaillants ?
Les vertus cardinales ( comme la prudence, la tempérance, la force et la justice ) jouent un rôle charnière ( d'où leur nom de « cardinales », du latin cardo : charnière, pivot ) dans les actions de chaque être humain. Les vertus sont des attitudes fermes, des dispositions internes stables, des expressions de l'intelligence et de la volonté qui semblent régler nos actes, ordonner nos passions et guider notre conduite. Elles sont à l'origine d'une vie moralement bonne. Ainsi l'homme vertueux est celui qui librement pratique le bien sous la gouverne d'un Être suprême. Il y a aussi trois vertus dites théologales ( qui ont Dieu pour objet et qui sont la foi, l'espérance et la charité ) qui servent à bonifier les premières et aussi notre rétablissement.
Chaque vertu comme l'amour, la beauté, la bonté et la paix est un regard dans la direction de Dieu. Ce n'est pas nous qui réalisons la vertu, c'est Dieu qui la possède et qui nous l'apprend ; ce que nous croyons être la réalisation d'une vertu, n'est en réalité qu'un regard du cœur sur Dieu, ou est-ce que c'est un regard de Dieu sur notre cœur. L’orgueil, c’est croire que nous faisons cadeau de nos vertus à Dieu. Et l’humilité, c’est bien la seule vertu dont nous ne pouvons nous vanter puisque l’humilité rejette la grandeur.
L'attachement est dans la nature même de l'homme. Le critère de la légitimité d'un attachement est que son objet soit digne d'amour, c'est-à-dire qu'il nous communique quelque chose de Dieu ou au mieux qu'il ne nous éloigne pas de lui. Être détaché, c'est ne rien aimer en dehors de Dieu. Le détachement est la grandeur d’âme, qui inspirée par la conscience des valeurs absolues, permet à l'âme de garder son contact conscient avec son Être suprême.
Nous sommes dignes d'être humains ; ni plus, ni moins. Nous sommes aussi et ainsi dignes d'amour, de beauté, de bonté et de paix et toutes les autres vertus. Nous sommes convaincus que les mouvements d’entraide qui suggèrent de mettre en pratique les Douze Étapes possèdent presque tout ce qu’il faut pour aider chaque personne qui souffre encore à tous les carrefours de sa vie. « Montrer à ceux qui souffrent la somme d’aide que nous avons reçue constitue la chose qui semble nous rendre la vie si précieuse aujourd’hui. Accrochez-vous à l’idée que, dans les mains de Dieu, votre noir passé est ce que vous possédez de plus précieux : la clé de la vie et du bonheur des autres. Avec cette clé, vous pourrez les sauver de la misère et de la mort. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. chap.9 La famille et le rétablissement, page 140 ) Comme Bill W., il y a plusieurs personnes qui peuvent et doivent aller chercher de l’aide extérieure souvent pour des problèmes de santé mentale et de stabilité émotive. Et comme dans la sobriété, dans la santé mentale, il y a aussi des rechutes. ' Ne me jugez pas sur mes succès, jugez-moi sur le nombre de fois où je suis tombé et où je me suis relevé à nouveau.' ( Nelson Mandela )
Merci la Vie !!!
Gilles
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Il n'est pas nécessaire que je trace un plan détaillé de mon rétablissement — ma Puissance Supérieure l'a déjà fait. Il est seulement nécessaire que je demande humblement à Dieu de me guider et de me donner la bonne volonté de suivre Ses directives aujourd'hui. Je sais que je ne suis pas seul : Je recevrai toute l'aide dont j'ai besoin en cours de route. Après avoir prié pour mon rétablissement, je peux lâcher prise, sachant que je marcherai sereinement dans la bonne direction.
Mais je peux faire certains choix qui m'aideront à accélérer mon évolution. Je peux prendre soin de moi avec plus de constance. Je peux assister aux réunions Al-Anon, téléphoner à mon parrain, essayer une nouvelle forme de service. Je peux me détendre, méditer, faire de l'exercice, lire de la documentation Al-Anon, me distraire, manger sainement. Je constate que lorsque je fournis l'effort de faire chaque jour ce que je peux, j'acquiers graduellement plus de force.
Pensée du jour
Je ne peux pas contrôler mon rétablissement. Je ne peux pas me forcer à lâcher prise plus rapidement, ni exiger la sérénité. Mais je peux poser de petits gestes pour me rappeler que je participe de mon plein gré à ce processus. J'ai toutes les raisons d'espérer, car chaque étape que je franchis est une étape qui m'amène à vivre ma vie plus pleinement. Aujourd'hui je ferai quelque chose d'agréable pour moi-même, quelque chose que je n'ai pas trouvé le temps de faire jusqu'à maintenant.
« Si quelqu'un avance avec confiance dans la direction de ses rêves et qu'il s'efforce de vivre la vie qu'il a imaginée, il réussira au-delà de ce à quoi il pouvait s'attendre. » Henry David Thoreau
Al-Anon, Le Courage de Changer, 27 février, page 58
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Avant d'arriver à Al-Anon, la peur était mon principal obstacle. Je réagissais à la peur en m'éloignant, en me cachant, en remettant les choses à plus tard, en m'enfuyant, ou en me réprimandant. Aucun de ces comportements ne m'aidait à faire face à mes peurs. En fait, ils aggravaient la situation. Il arrive encore parfois que la peur me prenne par surprise, mais j'ai découvert dans ce programme des outils qui m'aident à la surmonter. Je réalise maintenant que la peur n'est en soit ni bonne ni mauvaise. Ce n'est pas un signe de faiblesse ou de lâcheté, comme je le croyais auparavant. C'est tout simplement un signe que je dois agir ou prendre une décision.
Maintenant, je m'efforce d'abord de reconnaître si je suis en train de réagir à la peur. Réagir plutôt qu'agir en ayant pris une décision consciente, c'est un signe évident. Souvent, je réagis en écartant quelque chose qui serait bénéfique à ma croissance spirituelle. Peut-être ai-je peur de discuter avec mon ex-conjointe de mes besoins concernant les visites de nos enfants, d'animer une réunion, ou de parler à un nouveau venu.
Ensuite, j'utilise la Prière de Sérénité et je demande à ma Puissance Supérieure de me donner le courage de faire la chose qui me fait peur. Même si je prie pour demander du courage, cela ne veut pas dire que je l'obtiens immédiatement. Par contre, en pratiquant les Étapes et en continuant de prier, je suis capable d'agir plus courageusement lorsque je me heurte à une situation qui me remplit habituellement de peur.
Finalement, lorsque je prends une décision et que je passe à l'action, je me rappelle que les résultats sont entre les mains de ma Puissance Supérieure. Je prie en disant « Que Ta volonté soit faite, non la mienne » et en ayant foi que ma Puissance Supérieure me donnera ce qui est le mieux pour mon progrès.
Pensée du jour
Avec l'aide du programme et de ma Puissance Supérieure, je peux faire face à pratiquement tout ce que la vie amène – et lance parfois — dans ma direction. Aujourd'hui, ma peur ne me fait plus peur.
« Je peux maintenant m'occuper de mes problèmes sans être affolée par la peur. » Courage to Be Me, page 292
Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 27 février, page 58
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Une stabilité unique
Chez les AA, d'où viennent les directives ?... Ces gens pragmatiques lisent alors la Deuxième Tradition et découvrent que la seule autorité chez les AA est celle d'un Dieu d'amour tel qu'il peut se manifester dans la conscience de groupe... Les premiers (les « vieux sages ») reconnaissent la sagesse de la décision du groupe, ne gardent aucun ressentiment d'avoir été limogés, ont un jugement sûr, fortifié par une expérience considérable, et consentent à rester calmement dans les coulisses en attendant patiemment la suite des événements. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, pages 149 et 152
Le rétablissement de l'alcoolique est un manteau tissé avec les Douze Étapes et les Douze Traditions des AA. Au cours de mon rétablissement, je me suis rendu compte que mon nouveau manteau était taillé sur mesure pour moi. Quand le changement semblait impossible, les aînés du groupe me conseillaient doucement. Les expériences partagées par chacun ont fait naître de précieuses amitiés. Je suis convaincu que le mouvement possède tout ce qu'il faut pour aider chaque alcoolique qui souffre encore à tous les carrefours de sa vie. Dans un monde de problèmes, sa présence est gage d'une stabilité unique. Je chéris le cadeau de la sobriété et je remercie Dieu pour la force que j'ai reçue dans un mouvement dont la raison d'être est vraiment le bien-être de tous les membres.
Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 27 février, page 66
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Une juste colère
« La valeur positive d'une juste colère est problématique, surtout pour les alcooliques. Nous risquons de croire que nous pouvons nous fâcher aussi souvent que nous le voulons, pourvu que nous puissions prétendre que notre colère est justifiée. »
Nous devions nous rendre compte qu'en nourrissant des rancunes et en préparant des vengeances par suite de nos échecs, nous faisions pleuvoir sur nous-mêmes les coups que notre colère destinait aux autres. Nous avons appris que, dans nos crises d'exaspération, notre premier souci devait être d'apaiser notre agitation, peu importe à qui ou à quoi on l'attribuait.
1. Lettre 1954
2. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 52
Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 58
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27 février - Pensée A.A. pour aujourd'hui
À notre arrivée dans le mouvement A.A., nous avons d'abord dû admettre que, par nous-mêmes, nous ne pouvions rien contre l'alcool. Nous avons admis que l'alcool nous avait vaincus et que nous étions impuissants à son sujet. Nous ne pouvions jamais décider si oui ou non nous boirions. Nous buvions toujours. Et comme nous ne pouvions rien y faire par nous-mêmes, nous avons placé notre problème de boisson entre les mains de Dieu. Nous avons tout confié à une Puissance supérieure à nous-mê mes. Et il ne nous reste plus rien à faire à ce su jet, si ce n'est de faire confiance à Dieu, croyant qu'Il résoudra ce problème pour nous. Ai-je procédé de celte façon sincèrement et sans restriction ?
Méditation du jour
Il est temps pour mon esprit de s'unir à l'esprit de Dieu. Je sais que le bonheur que nous éprouvons par notre union à Dieu est plus important que toutes les sensations causées par les choses matérielles. Je dois rechercher le silence qui me permettra de me tenir en contact avec Dieu. Un seul moment avec Lui et toute la fièvre de la vie se dissipe. Alors je me sens bien, en santé, calme et capable de rendre service aux autres. Un geste de Dieu peut terrasser la maladie. Je dois ressentir cette action de Dieu et prendre conscience de Sa présence.
Prière du jour
Je demande que la fièvre du ressentiment, des soucis et de la crainte disparaisse dans le néant. Je demande que la santé, la joie, la paix et la sérénité les remplacent.
Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 61
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PENSÉE DU JOUR
Quand je suis perdu dans mon égo, centré uniquement sur moi-même, je suis en train alors d'exiger les pouvoirs et les privilèges de ma Puissance supérieure. Je m'attends à ce que tous mes plans se concrétisent exactement comme je le veux. J'exige que tous mes désirs soient satisfaits, d'être parfait dans tout ce que je fais, que les autres fassent ce que je veux qu'ils fassent. Bref, je demande que ma volonté soit faite. Jamais n'aurai-je été plus irrationnel, plus pompeux et plus loin de ma condition humaine.
MÉDITATION DU JOUR
Je demande à Dieu de comprendre ma condition humaine plutôt que d'essayer futilement de la dépasser. Je demande de devenir une personne qui accepte, plutôt qu'une personne frustrée, qui voudrait être Dieu. Je demande que sa volonté soit faite, et non la mienne.
AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je suis digne d'être humain ; ni plus, ni moins.
Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 27 février
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Des motifs purs
« Nous examinons nos actions, nos réactions et nos motifs. Nous nous apercevons souvent que ce que nous avons fait a été mieux que ce que nous avons ressenti. » Texte de base, page 54
Imaginez-vous un peu un livre de méditation quotidienne qui dirait quelque chose comme ceci : « Quand vous vous réveillez le matin, avant de sortir du lit, prenez un moment pour réfléchir. Étendez-vous, réfléchissez bien et considérez vos projets pour la journée. Examinez les motifs derrière ces projets. S'ils ne sont pas parfaitement purs, retournez-vous et rendormez-vous. » Insensé, n'est-ce pas ?
Quel que soit notre temps d'abstinence, nous avons quasiment tous des motifs divers pour presque tout ce que nous faisons. Ce n'est toutefois pas une raison pour mettre notre vie en attente. Nous n'avons pas besoin d'attendre que nos motifs deviennent parfaitement purs pour commencer à vivre notre rétablissement.
À mesure que le programme pénètre notre vie, il nous arrive de moins en moins fréquemment d'agir en fonction de nos motifs les plus discutables. Nous faisons régulièrement notre inventaire et nous discutons avec notre parrain (marraine) de ce que nous trouvons. Nous prions notre Puissance supérieure de nous faire connaître Sa volonté à notre égard et nous Lui demandons de nous donner la force d'agir en fonction de cette connaissance. Et le résultat ? Nous ne devenons pas parfaits, mais nous nous améliorons.
Nous avons commencé à travailler un programme spirituel. Nous ne deviendrons jamais des géants spirituels. Mais, si nous nous regardons d'un œil réaliste, nous nous rendrons probablement compte que ce que nous avons fait est mieux que ce que nous avons ressenti.
Juste pour aujourd'hui, je vais m'examiner avec réalisme. Je vais chercher la force d'agir en fonction de mes motifs les meilleurs et non les pires.
Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 27 février, page 61
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Persévérer, croire en l'objet de tes espoirs, c'est être courageux. Le lâche désespère. Euripide
Il y a un temps pour la tristesse et les regrets, mais s'affliger ne veut pas dire arrêter de vivre. Avant de connaître le programme OA, je n'avais pas de voie à suivre. Je croyais que ma souffrance ne finirait jamais. Aujourd'hui, j'ai un mode de vie, des gens qui m'accompagnent, un parrain ou une marraine qui me guide. Même lorsque je n'ai pas envie de faire quoi que ce soit, je sais que la réponse est dans l'action, comme ce fut le cas lorsque j'ai franchi le seuil de ma première réunion OA. Dieu me donne le courage de faire confiance, de faire le premier pas, de me tourner vers un ami.
Pensée du jour : Grâce à l'abstinence et au soutien que je trouve chez les OA, j'ai le courage de vivre.
Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 58
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« Unité n'est pas synonyme d'unanimité. D'ailleurs, chez les OA, on apprend qu'une différence d'opinion ne constitue pas un obstacle à l'amitié. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 136
J'ai appris beaucoup de choses en m'impliquant chez les Outremangeurs Anonymes. Mais la plus importante, c'est peut-être que je puis aimer et respecter une personne qui n'a pas les mêmes opinions que moi. Nous faisons partie de la même Fraternité et nous souffrons de la même compulsion. Nous avons tous les deux les meilleures intentions du monde face aux OA et nous pouvons « consentir à être en désaccord ». Grâce aux OA, j'ai appris que nous pouvions envisager une question d'un point de vue différent sans compromettre notre amitié. Lorsqu'une personne n'est pas d'accord avec moi, cela ne veut pas dire qu'elle ne m'aime pas ou qu'elle rejette mon amitié. Je n'ai pas à le prendre comme une attaque personnelle. C'est la conscience de groupe qui prend les décisions. Si je ne suis pas d’accord avec la décision qui a été prise, je peux tout de même apprendre à « faire avec ». Je suis certain que les autres membres veulent également le bien de OA dans son ensemble et j'en profite pour en tirer une leçon. Je peux apprendre que non seulement les autres ont leur propre opinion, mais il se peut même qu'ils aient raison.
Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 27 février, page 58
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Pensée du jour
À notre arrivée dans le mouvement, nous avons dû admettre que, par nous-mêmes, nous ne pouvions rien contre le jeu. Nous avons admis que le jeu nous avait vaincus et étions impuissants devant lui. Nous étions incapables de décider d'arrêter. Nous avons continué à jouer et, comme nous étions impuissants à prendre cette décision, nous avons tout confié à une Puissance Supérieure à nous-mêmes. Il ne nous reste plus rien à faire à ce sujet si ce n'est de faire confiance à l'Esprit Divin, assuré qu'Il résoudra ce problème pour nous. Ai-je procédé de cette façon sincèrement et sans restrictions ?
Méditation du jour
Il est temps pour mon esprit de s'unir à l'Esprit Divin. Je sais que le bonheur que nous éprouvons par notre union à l'Esprit Saint est plus important que toutes les sensations qu'ont pu nous donner les choses matérielles. Je dois rechercher le silence qui me permettra de me tenir en contact conscient avec Dieu et toutes les inquiétudes de la vie se dissiperont. Alors je me sentirai bien, en santé, calme et capable de rendre service aux autres. Un geste de Dieu peut guérir la maladie et éliminer toutes les difficultés de la vie. Je dois ressentir ce Pouvoir Divin et prendre conscience de la présence de Dieu dans ma vie.
Prière du jour
Je demande que les effets du ressentiment, des soucis et de la crainte disparaissent. Je demande que la santé, la joie, la paix et la sérénité me soient redonnées.
Joueurs Anonymes, 27 février
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27 février
Tu dois reconnaître ta liberté afin de pouvoir voler spirituellement à de grandes hauteurs. Sinon, tu es comme un oiseau en cage qui, même lorsque la porte est grande ouverte et qu'il est libre de voler où il veut, ne remarque pas sa liberté et continue à voleter dans sa cage, n'allant nulle part. Tu peux traverser ta vie entière comme cet oiseau, captif et complètement aveugle, sauf si tu reconnais ta liberté, que tu l'acceptes et l'utilises comme elle devrait être utilisée, dans les domaines de l'Esprit, où il n'y a aucune limitation, frontière ou barrière pour te retenir. Tous les êtres humains sont libres, si seulement ils voulaient bien le reconnaître et l'accepter. Cette liberté t'est offerte, mais tu dois l'accepter avant de pouvoir l'utiliser. Pourquoi ne pas accepter ta liberté dès maintenant, et prendre conscience que tu n'es lié à personne ni à rien, et que tu peux faire tout ce que tu désires ?
La Petite Voix, Eileen Caddy
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Pour ceux et celles qui veulent en savoir plus sur les services que nous offrons, visitez notre site : http://www.centredelavie.qc.ca
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Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
Au Centre de la Vie n'est pas affilié à aucun groupe d'entraide. Par contre, l'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.
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