Pensées 22 mars 2017

Bonjour à toutes et à tous

Dans le hall de l’hôtel Mayflower à Akron, une petite ville du Middle-West, Bill W. a été hanté par ses vieux démons : ses obsessions de boire. Ce qui le sauva de ce bar d’hôtel qui clignotait et qui l’appelait au fond du corridor et lui permit de fuir ce nouveau terrible « premier verre », ce fut cette idée toute simple : il lui fallait d’urgence parler avec un autre alcoolique comme Ebby l’avait aidé en lui transmettant le message d’un être souffrant à un autre.

Bill obtint un rendez-vous avec un médecin, alcoolique lui-même, qui lui dit n’avoir que quelques minutes à lui consacrer, tant sa « gueule de bois » ne pouvait s’accommoder d’un « raseur » de New-York. En fait, l'histoire nous dit que la rencontre dura une dizaine d’heures. Ce que les deux hommes s’y dirent est resté confidentiel. Ce qu’il en est resté est capital : c’est l’identification d’un alcoolique à un autre, et la valeur thérapeutique sans égal d’une telle identification. Bill W. venait de rencontrer le Dr Bob, l’homme qui allait l’aider à écrire les Douze Étapes et à fonder les AA.

Dans la sagesse que Dieu leur a inspirée, Bill W. et le Dr Bob, les pionniers et fondateurs des Alcooliques Anonymes, ont lutté pour que le mouvement AA reste aux alcooliques. Comme le faisait remarquer Bill W., tout ce que nous avons à partager c'est notre vécu. Ce que nous n'avons pas vécu, nous ne pouvons pas le partager. En 2008, plus de 552 différents groupes d'entraide s’étaient inspirés du mode de vie des AA (Les Douze Étapes) et se rétablissaient ensemble de leur dépendance ou de leur codépendance. La fondatrice des OA Rozanne S. est décédée le 16 janvier 2013. Elle s’était inspirée à 100% du mode de vie des AA.

Il nous semble très précieux de pouvoir nous rassembler dans un esprit de fraternité et de souder ce dernier dans un partage de la souffrance et des émotions. Ceci ne nécessite pas l'expression des traumatismes vécus pour toute la fraternité réunie. Le partage à un parrain ou une marraine, un genre de témoin éclairé est préférable et plus aisé. Il est en effet reconnu que tout membre d’une famille dysfonctionnelle qui a vécu quelques traumatismes comme la violence, l’inceste, l’alcoolisme, ... et la loi du silence, est aussi envahie par la honte, la culpabilité et par la loyauté vis-à-vis de même groupe familial même s'il est complètement capoté. Les groupes d’entraide nous aident à rétablir les fractures subies dans nos relations familiales lorsque nous étions enfants et aussi à soigner les blessures vécues dans notre vie adulte.

« Si nous voulions vivre, nous devions nous libérer de la colère. Les crises et l’irritabilité ne sont pas pour nous. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. chap 5 Notre Méthode, page 74 ) Ce milieu thérapeutique et sécuritaire de l’entraide permet de briser le silence et l’isolement. Il nous invite aussi à reconnaître les difficultés, les peurs et les déceptions face à l'adulte qui sous les effets de l'alcool ou d'autres substances toxiques n'a pas assumé ses responsabilités parentales. Le partage de notre vécu et de notre situation nous libère d'une impuissance honteuse et culpabilisante, nous permet de survivre. Un enfant adulte aujourd’hui qui s’est senti le devoir de « sauver » un parent « alcoolique » répète souvent ces comportements avec des amis ou avec un conjoint qui ressemble souvent au plus haut point au parent. Allez voir ce clip de photos narré en anglais par Bill W. qui raconte sa première rencontre avec le Dr Bob S. : http://www.youtube.com/watch?v=HwIrecwfTy4

Aujourd’hui, c’est la Journée mondiale de l’eau. Après 25 ans de sa promulgation par l’ONU, l’alimentation en eau potable n’est pas encore assurée partout, loin s’en faut, et de nombreuses zones agricoles souffrent encore d’une alimentation médiocre. Visitez www.unwater.org (Il y a de la traduction instantanée)

Merci la Vie !!!
Gilles

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Afin de survivre dans le monde contradictoire et explosif de l'alcoolisme, plusieurs parmi nous ont appris à ignorer nos sentiments. Sans même nous en rendre compte, nous avons perdu contact avec nous-mêmes.
Par exemple, bien que je pointais un doigt accusateur vers les personnes alcooliques dans ma vie parce qu'elles m'abandonnaient dans les moments difficiles, je n'étais pas un très bon ami pour moi-même. Dans ma peur et ma confusion, je me suis éloigné du petit enfant en moi qui vivait tout simplement, qui a pleuré à la mort de son chat et a ensuite lâché prise, qui pouvait apprécier un coucher de soleil sans vouloir se l'approprier et qui vivait un jour à la fois.
Le rétablissement ne signifie pas que je dois devenir une personne différente. Il signifie que j'ai besoin de recommencer à être moi-même. Les leçons que j'apprends dans Al-Anon sont des leçons que je sais déjà. J'ai seulement besoin de m'en souvenir.

Pensée du jour
Il y a en moi une innocence qui sait déjà comment faire confiance à ma Puissance Supérieure, chérir la vie sans s'y agripper, vivre pleinement et simplement le moment présent. Je permettrai à cette partie de moi-même de passer au premier plan et je la laisserai me nourrir alors que je poursuivrai ce voyage.

« Il faut beaucoup de temps pour devenir jeune. » Pablo Picasso

Al-Anon, Le Courage de Changer, 22 mars, page 82

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Quand je suis arrivée à Al-Anon, je ne savais pas comment méditer. Je pensais que la méditation et la prière étaient des béquilles pour les gens qui ne peuvent pas se tenir debout sur leurs deux pieds. Ma marraine, bénie soit-elle, m'a depuis demandé ce qu'il y a de mal avec les béquilles. Nous avons parfois besoin d'un appui.
Et bien, j'ai décidé d'ouvrir mon esprit. Maintenant, quand je pense à la méditation, je pense à ma chienne. Mon mari et moi l'emmenons avec nous presque tous les soirs pour notre promenade à bicyclette. Elle court devant nous dans le parc et, de temps à autre — particulièrement lorsqu'elle arrive à une croisée dans le sentier — elle s'arrête et elle nous regarde. Elle semble vouloir vérifier si nous sommes toujours avec elle et nous demander quelle direction nous voulons qu'elle prenne. Pour moi, aujourd'hui, c'est cela la méditation : des instants pendant la journée où je peux vérifier que ma Puissance Supérieure est toujours avec moi et Lui demander quelle direction je dois prendre tandis que je m'élance sur le chemin de ma vie.

Pensée du jour
Même si, au début, cela peut me sembler bête ou banal, je mettrai aujourd'hui en pratique un outil du programme que j'ai négligé auparavant et je garderai l'esprit ouvert quant aux résultats.

« Prier, c'est demander à notre Puissance Supérieure de guider et de diriger notre vie. Méditer, c'est écouter la réponse. » Alateen - un jour à la fois, page 102

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 22 mars, page 82

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Plus de bataille...

Et nous avons cessé de combattre qui que ce soit ou quoi que ce soit, même l'alcool. Les Alcooliques Anonymes, page 95

Quand les AA m'ont trouvé, je croyais que je devais me mettre à me battre et qu'ils pourraient me donner la force nécessaire pour vaincre l'alcool. Si j'étais vainqueur, qui sait quels autres combats je pourrais gagner ? Mais il me faudrait être fort. Toutes mes expériences antérieures me l'avaient démontré. Aujourd'hui, je n'ai plus besoin de me battre ou d'exercer ma volonté. Si je mets les Douze Étapes en pratique et si je laisse ma Puissance supérieure faire le vrai travail, mon problème d'alcool s'envole de lui-même. Les problèmes de la vie cessent, eux aussi, d'être des batailles. Je n'ai qu'à lui demander s'il faut changer les choses ou les accepter. Ce n'est pas ma volonté, mais la sienne, qui doit être accomplie.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 22 mars, page 90

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Égoïste ?

« Je comprends pourquoi tu es troublé d'entendre certains membres des AA dire : « Le programme des AA est égoïste ». Le mot « égoïste » désigne ordinairement une personne possessive, exigeante et insouciante du bien-être d'autrui. Évidemment, le mode de vie des AA ne comporte pas du tout ces défauts indésirables.
Que veulent donc dire ces membres. Tout théologien te confirmera que la vocation la plus noble de l'être humain est le salut de son âme. Privé du salut, quelque soit le sens que tu donnes à ce mot, l'homme n'a rien ou si peu. Pour nous, membres des AA, la situation est encore plus urgente.
Si nous ne pouvons pas ou ne voulons pas devenir sobres, nous sommes vraiment perdus, à l'instant même. Nous ne sommes d'aucune utilité à personne, même pas à nous, tant que nous ne sommes pas libérés de l'alcool. Par conséquent, notre rétablissement et notre progrès spirituel doivent passer en premier. Ce sont là des préoccupations justifiées et nécessaires. » Lettre, 1966

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 81

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22 mars - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Nous recherchons tous la force de dominer la boisson. Un homme vient aux A.A. et pose d'abord la question suivante : « Comment vais-je avoir la force de laisser la boisson de côté ?» Au début, il lui semble qu'il n'aura jamais la force nécessaire. Il voit des membres plus expérimentés qui ont trouvé la puissance qu'il cherche, mais il ne connaît pas la méthode qui leur a permis de l'obtenir. Cette force nécessaire nous parvient de bien des façons. Ai-je trouvé toute la force dont j’ai besoin ?

Méditation du jour
Vous ne pouvez ressentir un besoin spirituel que Dieu ne peut combler. Votre besoin fondamental est un besoin spirituel qui est la force de vivre une bonne vie. Vous recevez votre meilleur secours quand vous désirez le transmettre à d'autres personnes. Vous le recevez abondamment en le donnant. Dieu vous donne la force en même temps que vous la transmettez à un autre être humain. Cette force veut dire une meilleure santé ; une meilleure santé veut dire plus de dévouement, et plus de dévouement veut dire qu'un plus grand nombre de gens sont aidés. Et la roue continue ainsi à tourner et un secours constant répond à tous les besoins spirituels.

Prière du jour
Je demande que chacun de mes besoins spirituels soit comblé par Dieu. Je demande de me servir de la force que je reçois pour aider les autres.

Vingt-quatre heures à la fois, Hazelden, page 84

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PENSÉE DU JOUR
Quand j'ai commencé à mettre en pratique le Programme des Douze Étapes, je croyais qu'une fois la Douzième Étape atteinte, ma vie serait plus facile à mener et que je ne serais plus impuissant. J'ai atteint la Douzième Étape et plusieurs parties de ma vie sont devenues plus faciles à mener, mais je suis aussi impuissant qu'à mes débuts. C'est ma Puissance supérieure et non moi qui fait que la vie est plus facile. Suis-je prêt à admettre mon incapacité à me prendre en main et à réussir ma vie seul ? Admettre que je suis impuissant devant mes émotions est une chose, mais admettre que je ne peux maîtriser ma propre vie me semble sans espoir et sans ressource. Avec ma Puissance supérieure comme « meneur » , j'ai de l'aide et de l'espoir.

MÉDITATION DU JOUR
Aide-moi à voir quelles parties de ma vie j'essaie encore de contrôler et aide-moi à Te les remettre.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Ma Puissance supérieure est meilleur meneur de jeu que moi.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 22 mars

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Le principe de l’autosuffisance

« À l’époque où nous consommions, nous étions dépendants de personnes, de lieux et de choses. Nous comptions sur eux pour obtenir le soutien et les choses que nous ne pouvions trouver en nous-mêmes. » Texte de base, page 87

Dans le règne animal, il y a une créature qui vit aux dépens des autres. On l'appelle la sangsue. Elle s'attache aux gens et leur prend ce dont elle a besoin. Si une victime déloge la sangsue, elle se colle tout simplement à quelqu'un d'autre. À l'époque de notre dépendance active, nous nous conduisions ainsi. Nous saignions notre famille, nos amis et notre communauté. Consciemment ou inconsciemment, nous cherchions obtenir quelque chose pour rien, de presque tous les gens que nous rencontrions.
En voyant le panier circuler, lors de notre première réunion, nous nous sommes peut-être dit : « Subvenir entièrement à ses propres besoins ! Quelle étrange notion ! » À force de regarder, nous avons remarqué quelque chose. Ces dépendants qui subvenaient entièrement à leurs propres besoins étaient libres. En payant pour eux-mêmes, ils avaient gagné le privilège de prendre leurs propres décisions.
En appliquant le principe de l'autosuffisance dans notre vie personnelle, nous gagnons le même type de liberté pour nous-mêmes. Personne n'a plus le droit de nous dire où habiter, puisque nous payons notre propre loyer. Nous pouvons manger, nous habiller, ou conduire le véhicule que nous voulons parce que nous nous le procurons nous-mêmes.
Contrairement à la sangsue, nous ne sommes pas obligés de dépendre des autres pour notre subsistance. Plus nous assumerons de responsabilités, plus nous gagnerons de liberté.

Juste pour aujourd'hui, il n'y a pas de limite à la liberté que je peux gagner en subvenant à mes propres besoins. J'accepterai mes propres responsabilités et me suffirai à moi-même.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 22 mars, page 86

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Les grands dangers ont ceci de beau : ils nous font découvrir la fraternité des étrangers. Victor Hugo

Avant de trouver les OA, je n'aurais jamais pu m'imaginer entrant dans une pièce pleine d'étrangers pour leur raconter ce que c'est que d'être un outremangeur. Dans une thérapie de groupe, par exemple, je peux exprimer librement mes émotions, mais si je suis le seul outremangeur, je suis un étranger pour les autres. En effet, ils ne connaissent pas la grande difficulté à laquelle je fais face et ne pourraient jamais la comprendre.
C'est pourquoi, dans la sagesse que Dieu leur a inspirée, les fondateurs des Alcooliques Anonymes ont lutté pour que le Mouvement AA n'appartienne qu'aux alcooliques. Comme le faisait remarquer Bill W., tout ce que nous avons à partager c'est notre vécu. Ce que nous n’avons pas vécu, nous ne pouvons pas le partager.

Pensée du jour : Cette grande difficulté qu'est la compulsion alimentaire fait que nous sommes tous soeurs et frères chez les Outremangeurs Anonymes.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 82

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« En renonçant à faire les choses à ma façon, j'acquiers la liberté qui me permet d'atteindre les plus hauts sommets possible. » Aujourd'hui, page 280

Je vois tous les détails et ils me tracassent ; ma Puissance supérieure, au contraire, a une vision globale des choses. Voici ce qu'Elle me demande de faire :
- me libérer de la peur ;
- aller à la poursuite de chacun de mes rêves ;
- identifier mes passions ;
- leur donner libre cours ;
- avoir un corps, une âme et un esprit forts ;
- saisir toutes les belles choses qui me sont destinées ;
- aimer sans réserve ;
- me souvenir de mes vraies priorités ;
- connaître une joie illimitée ;
- lorsque j'arrive à accepter qu'il s'agit là de la volonté de ma Puissance supérieure à mon égard, je sens le besoin de m'y soumettre.
Je n'aurais jamais rien pu imaginer d'aussi intéressant que ce que ma Puissance supérieure me réserve.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 22 mars, page 82

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Pensée du jour
Nous recherchons tous la force de cesser de jouer. Une personne vient à J.A. et pose d'abord la question suivante : « Comment vais-je avoir la force de laisser le jeu de côté ? » Au début, il lui semble qu'elle n'aura jamais la force nécessaire. Elle voit des membres plus expérimentés qui ont trouvé la puissance nécessaire, mais elle ne connaît pas la méthode qui leur a permis de l'obtenir. Cette force nécessaire nous parvient de bien des façons. Ai-je trouvé toute la force dont j'ai besoin ?

Méditation du jour
Vous ne pouvez ressentir un besoin spirituel que la Puissance Supérieure ne puisse combler. Votre besoin spirituel fondamental est d'obtenir la force de vivre une bonne vie. Vous recevez votre meilleur secours lorsque vous désirez transmettre ce besoin à d'autres personnes. Vous le recevez abondamment en le donnant. Dieu vous donne la force en même temps que vous la transmettez à un autre être humain. Cette force signifie une meilleure santé ; une meilleure santé signifie plus de dévouement et plus de dévouement signifie qu'un plus grand nombre de gens ont obtenu votre aide. Et la roue continue ainsi à tourner assurant le renouvellement constant de vos forces spirituelles.

Prière du jour
Je demande que chacun de mes besoins spirituels soit comblé. Je demande de me servir de la force que je reçois de l’Énergie Créatrice pour aider les autres.

Joueurs Anonymes, 22 mars

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22 mars

Si tu aspires à faire la chose juste et à prendre le bon chemin, tu le feras. Il faut être fort pour résister aux tentations qui peuvent encombrer ton chemin et le reconnaître pour ce qu'elles sont. Chaque tentation surmontée te donne une stabilité intérieure plus profonde, et te rendent capable de faire face à n'importe quoi sans vaciller. Mes desseins sont très étranges, mais rappelle-toi que Je vois la totalité de l'image, alors que tu n'en vois qu'une petite portion. Je vois tous les acteurs dans le théâtre de la vie ; tu ne vois que les plus proches. Un par un Je leur montre le chemin, et ils le suivent et prennent leur rôle dans le vaste plan général ; et ainsi le plan est réalisé à la perfection. Regarde-le se déployer, et exulte face à une telle merveille. Accepte-le tout entier d'un cœur plein et reconnaissant, et vois Ma main en tout ce qui se met en place.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui veulent en savoir plus sur les services que nous offrons, visitez notre site : http://www.centredelavie.qc.ca
Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
Au Centre de la Vie n'est pas affilié à aucun groupe d'entraide. Par contre, l'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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