Pensées 26 juin 2017

Bonjour à toutes et à tous

Quelques bonnes raisons pour pardonner :

  • Pardonner n'est pas excuser

Pardonner ne signifie pas que nous acceptons sans broncher, que nous « tendons l'autre joue » ou que nous cautionnons ce que l'autre nous a fait. La démarche est avant tout un cheminement intérieur que nous faisons pour chacun de nous et non pour soulager la conscience de celui ou celle qui nous a blessé. Simplement nous ne donnons plus à cette illusion de prise le droit de nous faire mal.

  • Pardonner apaise la colère

La rancœur, la haine, l'aigreur... sont autant de sentiments désagréables que nous traînons lorsqu'une histoire n'est pas digérée. Or le proverbe nous dit bien que « la colère est mauvaise conseillère ». Plutôt que de nous laisser ronger ainsi, il est parfois utile de regarder cette colère en face. Reconnaître qu'elle existe permet de passer à l'étape suivante.

  • Pardonner nous rend plus fort, tout en reconnaissant notre impuissance

Imaginons une personne qui nous a fait du mal et à qui nous décidons de pardonner. Nous en ressortons grandi par la force d'une Ps qui nous accompagne là-dedans et la bonne volonté qu'Il ou Elle nous donne pour en arriver là. Nous abandonnons notre vieille peau de victime — nous muons.

  • Pardonner pour ne pas oublier, pour se remémorer autrement

Accorder graduellement son pardon, c'est le contraire de l'oubli. Nous n'enfouissons pas notre blessure et nous ne jouons pas les amnésiques : une fois pardonné cet acte restera ce qu'il a été. En reconnaissant que « cela a bien eu lieu », cet événement désagréable prendra sa place dans notre histoire personnelle. Une pierre d'achoppement qui devient tout doucement une pierre de gué...

  • Pardonner pour sauter d’une pierre de gué à l’autre, pour avancer et traverser cette rivière

Nous avons tous ressassé une situation désagréable. Cela peut aller plus loin en prenant la forme de blocages dans notre vie d'adulte (impossibilité de trouver sa place, de s'épanouir...) ou de maux physiques à répétition. S'ouvrir au pardon permet de passer à autre chose.

  • Pardonner est impossible pour un être humain — c'est un acte divin. Notre Ps ne nous fait pas oublier mais plutôt nous permet de vivre avec ce souvenir qui ne fait plus mal comme avant.

Plusieurs membres des groupes d'entraide dans leurs témoignages racontent qu'il est facile de savoir quand le pardon se produit et demeure : c'est lorsque nous sommes capables de nous remémorer des moments qui ont été pénibles et désagréables sans que le rappel de ces souvenirs ne fasse mal. Pardonner, ce n'est pas oublier, c'est lorsque la souffrance n'est plus là par la grâce de notre Ps et par don de Dieu, cette lumière qui nous sort des ténèbres et nous invite à vivre une libération. Ce processus de guérison nous comble de paix et de sérénité. « Un peu plus loin dans notre progression, nous avons découvert que Dieu lui-même était la plus grande source de stabilité émotive. Nous avons compris qu’il était salutaire de nous en remettre à Sa justice, à Son pardon et à Son amour sans limite ; ce recours serait toujours efficace quand tous les autres auraient échoué. » ( 12x12, 12e Étape, pages 130-131 )

« Le premier à demander pardon est le plus brave. Le premier à pardonner est le plus fort. Le premier à oublier est le plus heureux. » ( Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord ) Notre vie est chaque jour davantage empreinte d’amour pour nous-même et aussi de cet amour qui rayonne tout autour de nous, au cœur de chaque être humain.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Le pardon peut simplement prendre la forme d'un changement d'attitude. À mon arrivée à Al-Anon, j'etais rempli d'amertume envers l'alcoolique dans ma vie. Quand j'ai constaté que mon amertume me blessait davantage qu'elle ne blessait n'importe qui d'autre, j'ai commencé à chercher une façon différente de voir ma situation.
Avec le temps, j'en suis venu à croire que l'alcoolique que j'aimais pouvait être la messagère que ma Puissance Supérieure utilisait pour me démontrer que j'avais besoin d'aide. Ce n'est pas juste d'imputer à la messagère le crédit ou le blâme pour tout le temps qu'il m'a fallu pour porter attention à ce message. J'ai choisi de tolérer beaucoup de comportements inacceptables parce que je refusais d'admettre que moi, j'avais besoin d'aide. J'ai fait mon possible avec les outils et la connaissance dont je disposais et je crois qu'elle a fait de même. Finalement, j'ai saisi le message. J'ai assisté à des réunions Al-Anon et ma vie a changé de façon miraculeuse. Je ne nie pas que des choses blessantes ont été dites et faites en cours de route, mais je refuse de porter plus longtemps ce fardeau d'amertume. Je suis plutôt reconnaissant de ce que j'ai appris.

Pensée du jour
Je ne permettrai plus à d'anciens ressentiments de saper mon moral. Aujourd'hui, je me bâtis une vie meilleure et davantage empreinte d'amour.

« Pardonner, ce n'est pas oublier, c'est mettre un terme à la souffrance. » Mary McLeod Bethune

Al-Anon, Le Courage de Changer, 26 juin, page 178

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« Êtes-vous anxieux quand tout va bien dans votre vie, anticipant continuellement des difficultés ? » Je m'identifie à cette question contenue dans le dépliant Al-Anon intitulé « Avez-vous grandi auprès d'un buveur problème ?»
Aujourd'hui, les choses vont bien dans ma vie, grâce aux efforts de rétablissement que j'ai faits dans Al-Anon. J'ai un emploi formidable, un conjoint merveilleux, et je suis finalement en voie d'obtenir ce diplôme dont j'ai toujours rêvé. Pourtant, même si tout cela me semble formidable, je suis anxieuse. Je m'attends à ce que quelque chose aille de travers. C'est comme si je ne savais pas comment m'y prendre avec le bonheur, alors je cherche les problèmes. Je n'arrive pas à m'endormir le soir parce que je me demande si ma voiture tombera en panne le lendemain. J'essaie de deviner ce à quoi mes employés peuvent bien penser, et je suis angoissée si je ne suis pas au moins une semaine en avance dans mes travaux scolaires. Ces obsessions sont énervantes, même pour moi.
Évidemment, ces inquiétudes ne riment à rien. Même si je pouvais prévoir tous les problèmes et chacune de leurs solutions, ce n'est pas en m'inquiétant que je me protégerai de quelque chose qui ne se produira peut-être jamais. Dans le passé, quand je me suis tournée vers ma Puissance Supérieure pour qu'Elle m'enlève mes inquiétudes au sujet de problèmes bien réels, Elle ne m'a pas fait défaut. Je dois me rappeler qu'Elle peut aussi faire disparaître mes difficultés imaginaires. Si j'accepte mon impuissance devant l'énergie négative de mon esprit, si je désire que la raison me soit rendue, et si je demande à ma Puissance Supérieure de m’aider, Elle le fera. je peux Lui faire confiance. Je n'ai qu'à faire mon propre travail devant les problèmes qui se présentent effectivement. Je peux ainsi lâcher prise et apprécier ma vie.

Pensée du jour
Quand j'ai fait tout ce que je peux faire, je peux « Lâcher prise et m'en remettre à Dieu ».

« ... l'inquiétude ne me protégera pas de l'avenir. Elle ne fera que m'empêcher de vivre le moment présent. » Le Courage de changer, page 15

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 26 juin, page 178

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Un don qui croît avec le temps

Pour la plupart des gens normaux, boire est synonyme de convivialité, de camaraderie et de rêves heureux et colorés. Prendre un verre libère de l'ennui et des tracas. C'est l'intimité joyeuse avec des amis et la sensation que la vie est belle. Les Alcooliques Anonymes, page 170

Plus je pourchassais de telles sensations dans l'alcool, plus elles devenaient inaccessibles. Pourtant, en appliquant ce passage à ma vie sans alcool, je m'aperçois qu'il décrit cette merveilleuse vie nouvelle que met à ma portée le mouvement des AA. Les choses s'améliorent vraiment, un jour à la fois. La chaleur, l'amour et la joie qu'exprime si simplement ce passage prennent de l'ampleur et de la profondeur à chaque nouvelle lecture. La sobriété est un don qui croît avec le temps.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 186

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L'argent — avant et après

Lorsque nous allions boire, nous agissions comme si nos réserves d'argent étaient inépuisables, mais entre deux cuites, il nous arrivait de passer à l'autre extrême et de nous montrer presque avares. Sans nous en rendre compte, nous accumulions tout simplement des réserves pour la prochaine cuite. L'argent était synonyme de plaisir et de prestige. À un stade beaucoup plus avancé de notre alcoolisme, l'argent n'était plus que le moyen qu'il nous fallait de toute urgence pour nous procurer notre prochain verre et le bien-être passager de l'oubli qu'il nous apportait.

Nombre d'entre nous sont en voie de se sortir pour de bon de leurs dettes, mais nous nous rendons compte que nous ne pouvons pas faire passer l'argent en premier. Pour nous, le bien-être matériel vient toujours après le progrès spirituel, jamais avant.

1. Les 12 Étapes et les 12 Traditions, page 138
2. Les Alcooliques Anonymes, page 144

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 177

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26 juin - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Nous devons connaître la nature de notre faiblesse avant de pouvoir décider des moyens à prendre à son sujet. Lorsque nous serons honnêtes, nous découvrirons peut-être que cette faiblesse est imaginaire et qu'elle peut être surmontée en changeant notre manière de penser. Nous admettons que nous sommes alcooliques et il serait ridicule de notre part de refuser d'accepter notre maladie, et de faire quelque chose pour y remédier. Ainsi, en envisageant sincèrement notre faiblesse, en nous rappelant toujours que l'alcoolisme, pour nous, est une maladie dont nous sommes affligés, nous pouvons prendre les moyens nécessaires pour en arrêter les effets. Ai-je accepté pleinement ma maladie ?

Méditation du jour
Chaque chose en son temps. Je dois apprendre à ne pas agir au mauvais moment, c'est-à-dire avant d'être prêt ou avant que les conditions ne soient propices. C'est toujours une tentation d'agir vite au lieu d'attendre le temps approprié. Le choix du temps est important. Je dois apprendre, dans les situations ordinaires de chaque jour, à remettre mes actes à plus tard, jusqu'à ce que je sois certain que j’agis bien et au bon moment. Tant de vies manquent d'équilibre et d'ajustement au moment propice. Quand il s'agit de décisions importantes et de crises vitales, les gens demandent peut-être d'être guidés par Dieu, mais dans les circonstances ordinaires de la vie, ils se hâtent, seuls.

Prière du jour
Je demande de remettre mes décisions à plus tard, jusqu'à ce que je sois certain d'agir pour le mieux. Je demande de ne pas agir à la hâte, seul.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 180

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PENSÉE DU JOUR
Chaque fois que je prie pour connaître la volonté de Dieu à mon égard, je dois comprendre qu'à mesure que j'avance dans cette journée, je fais probablement ce que je dois faire. J'avais peur que la volonté de Dieu à mon égard soit quelque chose de bizarre que je ne voudrais pas faire. J'en suis venu à croire que la volonté de Dieu consiste à m'acquitter de mon mieux de mes responsabilités à chaque jour.

MÉDITATION DU JOUR
Si je prie en demandant quelque chose de précis, aujourd'hui, je demande de comprendre que Tu vas m'entendre et me répondre.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Dieu répond toujours aux prières ; parfois c'est oui ; parfois c'est non ; parfois c'est : « Sois patient ».

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 26 juin

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Renoncer à la volonté personnelle

« Nos craintes diminuent et notre foi commence à grandir au fur et à mesure que nous découvrons la véritable signification de la soumission. Nous n'avons plus à nous battre contre la peur, la colère, la culpabilité, l'apitoiement sur nous-mêmes ou la dépression. » Texte de base, pages 34-35

La capitulation est le début d'un nouveau mode de vie. Lorsque nous étions menés avant tout par notre volonté personnelle, nous nous demandions constamment si nous avions pensé à tout, si nous avions manipulé telle personne exactement comme il le fallait pour arriver à nos fins et si nous n'avions pas oublié un détail important dans nos efforts pour diriger le monde. Nous ressentions soit de la peur, craignant de voir nos plans échouer ; soit de la colère ou de l'apitoiement sur nous-mêmes, lorsqu'ils échouaient ; soit de la culpabilité, lorsque nous réussissions à les mettre à exécution. Il était difficile de vivre selon notre volonté personnelle, mais nous ne connaissions aucune autre façon de le faire.
Capituler n'est pas toujours facile ; au contraire, la capitulation peut être difficile, surtout au début. Néanmoins, il est plus facile de faire confiance à Dieu, à une Puissance capable de diriger notre vie, que de nous fier seulement à nous-mêmes qui avons perdu la maîtrise de notre vie. Et plus nous capitulons, plus il devient facile de le faire.
Lorsque nous confions notre volonté et notre vie à notre Puissance supérieure, nous n'avons plus qu'à faire notre part de façon aussi responsable et consciencieuse que possible. Ensuite, nous pouvons abandonner les résultats à notre Puissance supérieure. En capitulant, en faisant un acte de foi et en vivant selon les principes spirituels élémentaires de ce programme, nous pouvons cesser de nous inquiéter et commencer à vivre.

Juste pour aujourd'hui, je renoncerai à ma volonté personnelle. Je m'efforcerai de connaître la volonté de Dieu à mon égard et d'obtenir la force de l'exécuter. Je laisserai les résultats dans les mains de ma Puissance supérieure.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 26 juin, page 186

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Mieux vaut allumer une bougie que de maudire l'obscurité. Proverbe chinois

En venant chez les OA, j'ai fait une petite brèche dans le mur de protection que je m'étais construit. Ce que j'ai vu par cette ouverture était si intéressant que j'ai accepté de laisser passer encore un peu plus de lumière. C'était tout de même assez effrayant. Regarder en face mes mécanismes de défense, c'était voir qui je suis, peut-être pour la première fois. Par ailleurs, même si l'introspection m'a été très profitable, j'ai encore tendance à ne pas vouloir me regarder en face. Pourtant, c'est seulement lorsque j'en ai assez de trébucher dans le noir que j'arrête de me plaindre de l'état des choses et que je laisse entrer la lumière qui me conduit vers une nouvelle liberté.

Pensée du jour : Je n'ai pas de raison de craindre de regarder en mon cœur et de noter, par écrit, ce que j'y trouve.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 178

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« Nous avons alors découvert le faire comme si. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 16

Lorsque j'étais nouveau, je trouvais parfois difficile de croire à toutes les richesses du programme. C'est alors qu'on m'a dit de faire comme si je croyais en toutes ces choses qui me semblaient impossibles. Lorsque je n'arrivais même pas à faire cela, je priais pour avoir la volonté qui me permettrait de faire comme si. En apprenant cette méthode, j'ai réussi à m'ouvrir l'esprit à de nouvelles idées. Finalement, j'ai pu cesser de faire comme si et commencer à croire véritablement. Si nous ouvrons notre cœur et notre esprit, nous pouvons commencer le processus de guérison qui nous donnera la paix et la sérénité que nous méritons tous.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 26 juin, page 178

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Pensée du jour
Nous devons connaître la nature de notre faiblesse avant de pouvoir décider des moyens à prendre à son sujet. Lorsque nous sommes honnêtes, nous découvrons qu'elle est imaginaire et peut être surmontée en changeant notre manière de penser. Nous admettons que nous sommes joueurs et il serait ridicule de notre part de refuser de l'accepter et de ne rien faire. Ainsi, en envisageant sincèrement notre faiblesse, nous rappelant toujours que le jeu est une maladie dont nous sommes affligés, nous pouvons prendre les moyens nécessaires pour en arrêter les effets. Ai-je accepté pleinement ma maladie ?

Méditation du jour
Chaque chose en son temps. Je dois apprendre à ne pas agir au mauvais moment, c'est-à-dire avant d'être prêt ou avant que les conditions ne soient propices. Il est tentant d'agir vite au lieu d'at­tendre le temps opportun. Je dois apprendre, dans les situations ordinaires de chaque jour, à remettre mes actes à plus tard, jusqu'à ce que je sois cer­tain que j'agis bien et au bon moment. Tant de vies manquent d'équilibre. Quand il s'agit de décisions importantes et de crises vitales, les gens demandent peut-être d'être guidés par Dieu, mais dans les circonstances ordinaires de la vie, ils se hâtent.

Prière du jour
Je demande de remettre mes décisions à plus tard, jusqu'à ce que je sois certain d'agir pour le mieux. Je demande de ne pas agir à la hâte, seul.

Joueurs Anonymes, 26 juin

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26 juin

Une fois qu'un poussin a émergé de sa coquille, ou un papillon de sa chrysalide, il n'y a pas de retour possible, mais il y a un déploiement continu dans le nouveau. Laisse le déploiement être pour toi un processus qui se fait jour après jour, heure après heure, minute après minute. Ressens la jubilation et l'attente dans tout se qui se produit. Il n'y a jamais de moment ennuyeux dans cette vie si tu reste alerte ; il y a toujours quelque chose qui se passe. Laisse le se faire, et n'essaie jamais d'arrêter le progrès, mais accompagne le mouvement ! Je te le dis, tout ce qui se déploie sera pour le meilleur et pour la croissance et le bénéfice du tout. Trouve ce rythme de vie parfait et donne lui ce que tu as de meilleur. Coule avec lui, non contre lui, car ainsi seulement tu trouveras la paix du cœur et de l'esprit ; et quand tu es en paix au dedans, tu es ouvert et prêt pour que le nouveau se déploie.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui veulent en savoir plus sur les services que nous offrons, visitez notre site : http://www.centredelavie.qc.ca
Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
Au Centre de la Vie n'est pas affilié à aucun groupe d'entraide. Par contre, l'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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