Pensées 13 décembre 2017

Bonjour à toutes et à tous

« MERDE »
Lorsqu'étendue par ci et par là,
et au terreau mêlée, 
tourne en compost et
fait pousser le grain 
pour faire le pain
 que nous aimons sentir et bouffer.
Poème de Palmer Black, San Diego

Dans notre jardin, même si tout y est au ralenti présentement, rien ou presque ne se perd ! Même le compost était il n'y a pas longtemps des végétaux qui sont désormais en décomposition, tout cela étant encore bien lent et malgré tout vivant, même sous la neige. Dans l'économie divine, chacun retrouve tout ce qu'il perd, égare ou laisse de côté. 'Donnons et nous recevrons', 'aimons et nous serons aimés' sont des proverbes qui accompagnent la vie et certaines circonstances. Le moment présent exige que ce soit ici et maintenant. Tout ce qui peut et doit se régler immédiatement n'attend pas qu'il y ait prescription. Perdre ses biens peut faire partie de ces retournements destinés à rétablir un équilibre. Ça fait surtout partie intégrale du plan de Dieu tel que nous le concevons. Nous donnons et nous recevons, ce qui est juste et équilibré comme le Yin et le Yang. Et si nous recevons, nous pouvons croire que nous avons aussi à donner en partage ce qui est à notre portée et selon nos capacités.

La codépendance se développe quand il y a dans notre environnement immédiat un problème d'alcoolisme ou une autre forme de dépendance ou de maladie chronique chez un membre de sa famille même élargie, chez un copain ou un ami. Dans notre beau pays de neige, il n'y a pas beaucoup de personnes qui échappent à cette maladie puisqu'un alcoolique affecte au moins quarante personnes autour de lui et que dire des dépendants, des outremangeurs, des joueurs, etc. Que des personnes aussi enchaînées que nous l'étions — et que nous le sommes encore par moment — par notre dépendance et aussi notre codépendance puissent nous en rétablir un jour à la fois, voilà bien la preuve qu'une Puissance supérieure à nous-mêmes, Dieu tel que le concevons, nous couronne de grâce, d'amour et de tendresse. Merci, cher Dieu d'amour.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Quand je descends une côte à toute vitesse à bicyclette, je me sens merveilleusement en vie, en parfait équilibre. Al-Anon m'aide à mettre de l'équilibre ma vie, comme si celle-ci était une randonnée à bicyclette, et à transposer cette vitalité dans chaque journée — surtout quand j'applique le slogan « vivre et laisser vivre ».
J'essaie de saisir tout ce que la vie apporte, avec toutes ses joies et ses peines, parce que tout cela quelque chose à m'offrir. J'ai fait cette découverte soir, lors d'une réunion Al-Anon, quand quelqu'un demandé : « Qu'arriverait-il si je commençais à remercier Dieu quand des problèmes surgissent ? » Au début, j'ai dû me forcer pour dire, les dents serrées : « Merci, mon Dieu. » Bientôt, j'ai desserré les dents et j'ai remplacé l'apitoiement par la gratitude. J'ai vraiment commencé à vivre.
Quand je vis ma propre vie intensément, il m'est plus facile de laisser les autres vivre la leur. J'ai de la vitalité. Je prie pour que les autres en aient également.

Pensée du jour
Je veux ce qu'il y a de mieux pour ceux que j'aime. J'apprécie de plus en plus la joie de participer pleinement à la vie. Et je choisis de laisser les autres profiter de cette enrichissante mais parfois difficile façon d'apprendre quelque chose de toutes leurs expériences. Aujourd'hui, je vais « vivre et laisser vivre ».

« Il est bon d'avoir en vue la fin d'un voyage ; mais c'est le voyage qui compte à la fin. » Ursula LeGuin

Al-Anon, Le Courage de Changer, 13 décembre, page 348

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J'ai commencé à assister aux réunions Al-Anon parce que ma fille de 16 ans buvait. J'avais l'impression de perdre la raison et je savais que j'avais besoin d'aide. Ma fille est allée aux réunions des AA pendant plus de trois ans, puis elle a décidé que ses problèmes et sa consommation n'étaient pas dus à l'alcoolisme, mais à une adolescence difficile. Je me suis demandé si je pouvais demeurer dans Al-Anon étant donné les conclusions tirées par ma fille. À ma connaissance, il n'y avait pas d'autre alcoolique dans ma famille immédiate. Encore une fois, comme si souvent dans ma vie, j'ai pensé que je n'étais pas à ma place.
Je suis tellement reconnaissante pour la Troisième Tradition, qui me dit que « La seule condition requise pour faire partie d'Al-Anon, c'est qu'il y ait un problème d'alcoolisme chez un parent ou un ami. » La seule chose dont j'ai besoin pour me qualifier en tant que membre Al-Anon, c'est mon propre baromètre intérieur. Est-ce que je me sens à ma place ? Est-ce que je m'identifie à d'autres personnes affectées par l'alcoolisme ? Suis-je dérangée par la consommation d'alcool d'une autre personne, même si celle-ci ne croit pas être alcoolique ? En dépit de mes doutes, j'ai décidé de continuer d'assister aux réunions Al-Anon, et j'ai fini par obtenir des réponses à mes questions. Réunion après réunion, j'ai entendu les autres partager des pensées et des sentiments avec lesquels je pouvais m'identifier. Les événements et les circonstances pouvaient être différents, mais les sentiments étaient habituellement semblables. Je sais maintenant que même si ma fille soutient ne pas avoir de problème de consommation d'alcool, je suis à ma place dans Al-Anon — parce que je me sens affectée par sa consommation. Mieux que cela, je suis à ma place parce que je veux me rétablir.

Pensée du jour
Mon appartenance à Al-Anon relève de ce que je ressens et non de ce que peut croire une autre personne.

« C'est à chacun de nous de décider si nous voulons adhérer à Al-Anon. » Les voies du rétablissement, page 158

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 13 décembre, page 348

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Penser aux autres

Notre vie même, parce que nous sommes des ex-buveurs, dépend de notre souci constant des autres et de la façon dont nous pouvons leur venir en aide. Les Alcooliques Anonymes, page 23

Il ne m'a jamais été facile de penser aux autres. Même en mettant le programme en pratique, je me pose des questions telles que : « Comment est-ce que je me sens, aujourd'hui ? Suis-je heureux, joyeux et libre ?»
Le programme m'enseigne que mes pensées doivent tendre vers ceux et celles qui m'entourent : « Est-ce que ce nouveau aimerait avoir quelqu'un à qui parler ? Cette personne semble un peu triste, aujourd'hui, peut-être pourrais-je essayer de la réconforter. » Ce n'est qu'en oubliant mes problèmes et en me tournant vers les autres, que je peux espérer atteindre la sérénité et la connaissance de Dieu que je recherche.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 13 décembre, page 356

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13 décembre - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Nous en arrivons à la fraternité A.A. Elle est en partie une thérapie de groupe. Elle est en partie une association à but spirituel. C'est même plus que cela. Elle a pour base une maladie commune, un échec commun et un problème commun. Elle va jusque dans le plus profond de nos vies personnelles et de nos besoins particuliers. Elle demande que nos membres confient les uns aux autres leurs pensées les plus intimes et leurs problèmes les plus secrets. Aucune barrière n'existe entre nous. Il le faut. Nous cherchons ensuite à nous aider réciproquement à nous rétablir. La fraternité A.A. a pour fondement un désir sincère d'aider les autres. Dans A.A., nous sommes certains de trouver de la sympathie, de la compréhension et une aide véritable. Voilà ce qui fait de la fraternité A.A. la meilleure que nous connaissions. Est-ce que j'apprécie la profondeur de la fraternité A. A. ?

Méditation du jour
La Puissance supérieure nous indiquera sûrement les bonnes décisions à prendre si nous lui en faisons la demande. Nous pouvons croire que Dieu a Ses desseins pour bien des détails de nos vies, et qu'Il pardonnera avec beaucoup d'amour miséricordieux les fautes que nous avons commises. Nous Lui demandons chaque jour de nous montrer le vrai chemin à suivre. Si nous choisissons le chemin du bien, nous aurons l'impression que tout l'univers nous soutient. Nous pouvons parvenir à une véritable harmonie avec le but de Dieu concernant nos vies.

Prière du jour
Je demande de choisir le bon chemin aujourd'hui. Je de­mande de découvrir comment il convient que je vive aujourd'hui.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 350

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PENSÉE DU JOUR
La deuxième Étape nous dit que nous en sommes venus à croire qu'une Puissance supérieure à nous-mêmes pourrait nous rendre la raison. Le verbe « rendre » signifie aussi « donner à son possesseur ce qu'il a perdu ». Dans notre vie passée, au-delà même de nos plus lointains souvenirs, nous avons tous possédé, à certain moments, la parfaite harmonie de l'esprit, du corps et de la pensée. Chacun de nous est merveilleusement façonné et destiné à exprimer une vaste gamme d'émotions. Comme les notes aiguës et les notes graves du piano, comme les couleurs claires et obscures de l'arc-en-ciel, c'est l'éventail infinie des variations possibles qui les rend belles et toujours nouvelles. Nous devons donc nous aussi ressentir toutes nos émotions, aiguës et graves, claires et obscures. Nous devons alors rechercher en nous ce plan d'harmonie pour chacune d'elles dans notre gamme unique d'expression de soi. Chez ÉA, cette gamme s'élargit constamment, nous permettant « d'entendre plus de musique » et de « voir plus de couleurs » dans notre vie.

MÉDITATION DU JOUR
Aide-moi à accepter mes émotions avec reconnaissance, à les accueillir, à les bénir et à Te permettre de m'aider à les comprendre.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je suis façonné merveilleusement. Je suis unique.

Émotifs Anonymes, Aujourd'hui Seulement, 13 décembre

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L’adhésion

« La seule condition pour devenir membre est le désir d'arrêter de consommer. » Texte de base, page 11

Nous connaissons tous des gens qui pourraient bénéficier de Narcotiques Anonymes. Dans toutes les classes de la société, nous rencontrons des gens — des membres de notre famille, de vieux amis ou des collègues de travail — qui auraient vraiment besoin d'un programme de rétablissement dans leur vie. Hélas, ceux et celles qui auraient besoin de nous ne trouvent pas toujours le chemin qui mène à nos réunions.
N.A. est un programme d'attrait plutôt que de réclame. Nous sommes membres lorsque nous disons que nous le sommes. Nous pouvons amener nos amis et les gens que nous aimons à une réunion s'ils le désirent, mais nous ne pouvons pas les forcer à adopter le mode de vie qui nous a libérés de la dépendance active.
L'adhésion à Narcotiques Anonymes est une décision très personnelle. Le choix de devenir membre se fait dans le cœur de chaque dépendant. Peu de dépendants qui assistent à des réunions par obligation restent parmi nous. Seuls les dépendants qui souffrent encore peuvent décider, si on leur en donne l'occasion, qu'ils sont impuissants devant leur dépendance. On peut porter le message, mais on ne peut pas porter le dépendant.

Juste pour aujourd'hui, j'ai de la gratitude pour avoir pris la décision de devenir membre de Narcotiques Anonymes.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 13 décembre, page 365

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Toutes tes offenses, Il les pardonne.
De toute maladie, Il te guérit.
De la fosse, Il arrache ta vie
De grâce et de tendresse,
Il te couronne. Ps 102

Rien ne peut décrire mieux que l'expression « grâce de Dieu » ce que nombre d'entre nous vivons chez les OA. Or, pour nous, il s'agit d'une expérience non pas religieuse, mais spirituelle. Quels que soient nos doutes ou nos croyances en matière de religion, nous ressentons le rétablissement spirituel comme un profond changement intérieur. Grâce à lui, nous constatons la disparition des attitudes et opinions qui nous ligotaient à la compulsion.
Le réveil spirituel nous guérit de l'aveuglement opiniâtre qui nous empêchait jadis de reconnaître la vérité sur nous-mêmes et sur notre maladie. Désormais, nous ne sommes plus seuls dans la fosse. On nous a rendu la vie.

Pensée du jour : Que des personnes aussi profondément atteintes que nous puissent se rétablir, voilà bien la preuve que Dieu nous couronne de grâce et de tendresse.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 348

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« Ceux qui sont enclins à se gaver avec de la nourriture, rendant ainsi leur corps disgracieux, refusent la nourriture qui satisfait et apaise l'âme malheureuse à l'intérieur. » Outremangeurs Anonymes, Deuxième édition, pages 293-294

Ma peur de la nourriture s'est atténuée depuis que je fais partie des OA. Je peux maintenant passer devant mes aliments déclencheurs au supermarché. Je n'ai plus peur d'assister à une fête en raison de la nourriture qu'on y servira. Je sais que je peux m'en éloigner et me blottir dans les bras de Dieu. Je ne me sens plus obligée de manger de la nourriture que j'ai reçue en cadeau. Qu'est-ce qui a provoqué ce changement ? J'ai confié ma vie et ma volonté à Dieu tel que je Le conçois. Désormais, le service est ma vie. Je ne suis plus au régime et je ne me gave pas non plus. J'ai simplement choisi de m'abstenir de mes aliments déclencheurs et de mettre les Douze Étapes en pratique. Les promesses se réalisent dans ma vie. Dieu me préserve du danger.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 13 décembre, page 348

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Pensée du jour
Voyons un peu ce qu'est la fraternité: elle est en partie une thérapie de groupe et une association à but spirituel, et c'est même plus que cela. Elle a pour base une maladie commune, des problèmes identiques et un échec que tous les membres ont expérimenté. La fraternité est en mesure de scruter en profondeur notre vie personnelle et nos besoins particuliers. Elle demande que les membres confient les uns aux autres leurs pensées les plus intimes et leurs problèmes les plus secrets. Aucune barrière n'existe entre nous. Nous cherchons à nous aider mutuellement à nous rétablir. La fraternité a comme but premier d'aider ceux qui souffrent. Dans le mouvement, nous sommes sûrs de trouver la sympathie, la compréhension et une aide véritable. Voilà ce qui fait de la fraternité la meilleure que nous connaissions. Est-ce que j'apprécie la profondeur de la fraternité J.A.?

Méditation du jour
Votre Puissance Supérieure vous indique sûrement les bonnes décisions à prendre si vous Lui en faites la demande. Vous pouvez croire que Dieu a des Plans pour bien des particularités de votre vie et qu'Il vous pardonne, avec amour et miséricorde, les fautes que vous avez commises. Vous Lui demandez chaque jour de vous montrer le chemin à suivre. Quand vous choisissez le chemin du bien, vous avez l'impression que tout l'univers vous soutient.

Prière du jour
Je demande de choisir le bon chemin. Je demande de découvrir comment il convient que je vive aujourd'hui.

Joueurs Anonymes, 13 décembre

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Vivre sans alcool

13 — « L’important d'abord »
Voici un vieil adage qui, pour nous, prend une signification toute spéciale et particulière. Il veut simplement dire que par-dessus tout, nous devons nous rappeler que nous ne pouvons pas boire. Pour nous, ne pas boire est la première priorité, en tout lieu, à toute heure et en toute circonstance. Il y va expressément de notre survie. Nous avons appris que l'alcoolisme est une maladie mortelle, causant la mort de différentes façons. Nous préférons ne pas risquer d'aggraver la maladie par un verre d'alcool.
Son traitement, tel que reconnu par l’American Medical Association, « consiste essentiellement à ne pas boire d'alcool ». Notre expérience personnelle confirme cette thérapie.
En fait nous comprenons qu'il nous faut, jour après jour et à n'importe quel prix, prendre tous les moyens nécessaires pour ne pas boire. Certains nous demandent : « Entendez-vous par là que l'abstinence a priorité sur votre famille, votre emploi et l'opinion de vos amis ? » La réponse est simple si nous considérons l'alcoolisme comme une question de vie ou de mort. Si nous ne protégeons pas notre santé — notre vie — il est certain que nous n'aurons pas de famille, pas d'emploi et pas d'amis. Si nous apprécions notre famille, notre emploi et nos amis, nous devons d'abord sauver notre vie pour mieux en profiter.
« L’important d'abord » a également plusieurs autres significations valables pour combattre notre problème d'alcool. Ainsi, plusieurs ont remarqué qu'après avoir cessé de boire, ils semblaient être plus lents à prendre des décisions. Elles paraissaient de plus en plus difficiles à prendre, oscillant entre le oui et le non.
Remarquons que l'indécision n'est pas le lot exclusif des alcooliques en rétablissement, mais nous en étions peut-être plus affectés que d'autres. La femme au foyer abstinente depuis peu se demande à quelles tâches de nettoyage elle doit donner priorité. L’homme d'affaires hésite entre retourner ses appels téléphoniques ou dicter certaines lettres. Dans plusieurs domaines de notre vie, nous voulions rattraper le temps perdu au détriment de certaines tâches et obligations. Évidemment, nous ne pouvions tout entreprendre à la fois. Alors, « l'important d'abord » a été utile. Si l'un des choix à faire nécessitait de prendre ou non de l'alcool, cette décision méritait priorité. Sans l'abstinence, nous savions qu'il n'était pas question de nettoyage, d'appels téléphoniques ni de correspondance. Une fois abstinents, nous avons fait appel à ce même slogan pour ordonner nos nouveaux temps libres. Nous avons essayé d'établir notre programme d'activités quotidiennes sans jamais cependant le surcharger, en tenant compte de l'importance de nos tâches. Comme autre objectif « primordial », nous avons mis en tête de liste notre état général de santé, sachant que le surmenage ou la malnutrition pouvaient être dangereux.
Durant notre alcoolisme actif, nous avons vécu de façon plutôt déréglée et souvent dans une confusion telle que nous nous sentions instables, ou même désespérés. Nous avons découvert qu'il est plus facile de ne pas boire en mettant de l'ordre dans notre vie quotidienne, sans pour cela cesser d'être réalistes et tout en conservant une certaine souplesse. Le rythme du mode de vie que nous avons adopté nous procure de l'apaisement et une certaine discipline fondée sur le sage principe résumé dans notre slogan : « L’important d'abord ».

Alcooliques Anonymes, Vivre sans alcool (moyens éprouvés par les membres des AA pour ne pas boire), pages 35-36

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13 décembre

C’est lorsque Je peux travailler dans et à travers des canaux ouverts et de bonne volonté que des événements étonnants peuvent se produire. Toutes les âmes qui les voient se produire peuvent y voir Ma main et réaliser que, d’elles-mêmes, elles en seraient incapables. Elles savent qu’en vérité Je travaille en elles et à travers elles, et de cette façon elles en viennent à Me connaître et à M’aimer. Donc n’oublie jamais de rendre grâce pour tout évènement de ta vie. Garde ton cœur ouvert et ton esprit désencombré de pensées négatives afin que tu n’aies pas besoin de perdre du temps à te débarrasser des vieilles formes de pensées qui peuvent arrêter l’avancée du nouveau. Souviens-toi toujours que la simplicité est Mon sceau. Par conséquent lorsque la vie devient trop compliquée pour toi tu peux être sûr que tu n’es pas sur la bonne voie et que tu as besoin d’y retourner aussi vite que possible. Sois comme un petit enfant, simple et non compliqué et jouis pleinement de la vie !

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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