Pensées 13 février 2018

Bonjour à toutes et à tous

La recherche de l'amour a vraiment peu de sens si nous ne sommes pas capables de le partager. Bien souvent nous exigeons des autres ce que nous ne sommes pas capables d'offrir. Nous pouvons nous sentir incomplets et l'expérience amoureuse semble alors tout aussi incomplète. L'auteur bien connu Scott Peck affirme que l'amour inconditionnel de la mère pour son enfant ne persiste que jusqu'au jour où le bébé commence à lui répondre. La plupart de nos relations amoureuses et affectives comportent un élément d'échange et d'interdépendance. L'énergie sacrée de l'amour transcende cet échange. Le détachement suggéré dans notre mode de vie n'est rien d'autre que réapprendre ce qu'est l'amour inconditionnel. Le détachement est l'art de ne pas confondre les individus avec leurs comportements et de continuer à les aimer même si leurs gestes et actions ne sont pas conformes à nos désirs. Il est alors possible d'aimer les personnes et en même temps, de détester leurs agissements que nous jugeons comme comportements perturbateurs. Et si dans ces manœuvres pénibles pour nous ou dans ces manigances répréhensibles, ces personnes accomplissaient la volonté de Dieu, alors qui sommes-nous pour les juger ?

« La leçon la plus importante pour chacun de nous est celle de l'amour inconditionnel, tant envers les autres que pour nous-même. » ( Elisabeth Kubler-Ross ) Les membres des groupes d'entraide nous apprennent chacun à leur façon à aimer les gens comme ils sont, à nous tourner les uns vers les autres. Nous sommes alors libres de rire, de nous-mêmes en particulier, et de nous joindre aux autres pour raconter des histoires, faire des blagues, nous amuser. Nous acceptons et aimons les autres comme ils sont parce que nous nous acceptons et nous nous aimons.

« Il se trouvait en présence de la Puissance et de l'Amour infinis. Il a traversé le pont vers le rivage. Pour la première fois, il avait de la présence de son Créateur à ses côtés.
« Ainsi fut mise en place la pierre angulaire de la vie de notre ami. Aucune vicissitude ne l'a ébranlé. Son problème d'alcoolisme a été éliminé. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. Chap. 4 Nous, les agnostiques, page 64 )

Voici quelques citations d'Erich Fromm (psychanalyste américain d’origine allemande, 1900-1980) sur l'amour :

  • « L'amour consiste à prendre soin de l'autre, à s'inquiéter de lui, à le respecter et à essayer sans cesse de le connaître davantage. »
  • « L'amour est une sollicitude active pour la vie et la croissance de ce que nous aimons. »
  • « Si nous voulons apprendre comment aimer, nous devons procéder de la même manière que pour apprendre n'importe quel autre art, à savoir la musique, la peinture, la charpenterie, ou l'art de la médecine ou de la mécanique. »
  • « Aimer quelqu'un ne relève pas seulement de la puissance du sentiment mais d'une décision, d'un jugement, d'une promesse. »
  • « Le paradoxe de l'amour réside en ce que deux êtres deviennent un et cependant restent deux. »

L’amour, c’est aussi perdre un temps fou à partager ces ou ses perles. Et il y en a beaucoup qui malgré leur apparence ne sont pas toutes au départ des grains de sable avalés par hasard par des huîtres.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Chaque flocon de neige est différent. Chaque empreinte digitale est différente. Chaque membre Al-Anon est différent en dépit du problème commun qui nous unit.
Me comparer aux autres a été un défaut de caractère qui m'a tourmenté toute ma vie et même durant mes premières années dans Al-Anon. Je me concentrais sur le fait que les autres membres semblaient saisir le programme plus rapidement que moi, qu'ils savaient dire « le mot juste » quand ils donnaient leur témoignage. qu'ils semblaient plus populaires que moi. Je ne m'aimais pas parce que je n'étais pas à la hauteur de ce que je croyais que les autres étaient. Aujourd'hui, tout comme le flocon de neige et l'empreinte digitale, je constate que moi aussi j'ai des qualités uniques. Je sais que ma croissance dans Al-Anon ne peut se comparer à celle de qui que ce soit. J'ai appris que je ne peux juger ce qui est en moi en comparant avec ce que je vois des autres. Nous faisons tous notre possible. Comme chacun des membres de la fraternité, j'apporte une importante contribution aux groupes familiaux Al-Anon simplement par ma participation et en étant moi-même.

Pensée du jour
Un parrain ou un ami Al-Anon digne de confiance peut m'aider à voir que j'ai de la valeur, simplement tel que je suis.

« Le point suprême du bonheur, c'est qu'un homme veuille bien être ce qu'il est. » Érasme

Al-Anon, Le Courage de Changer, 13 février, page 44

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Quand je suis arrivée à Al-Anon, je croyais que Dieu était un être vengeur. Je pensais qu'Il était comme mon père alcoolique, qui semblait toujours chercher quelqu'un à punir ou à blâmer. Je pensais que Dieu utilisait les choses horribles qui se produisaient dans ma vie pour me faire souffrir parce que j'avais gâché quelque chose. À cette époque, mes prières étaient habituellement du genre : « S'il te plaît, ne me punis pas aujourd'hui, je ne pourrais pas le supporter ». Après avoir passé un peu plus de temps dans Al-Anon, mis en pratique les trois premières Étapes, pris une marraine et connu de nombreux membres qui ne voyaient pas la vie de la même façon que mon père, j'ai eu moins peur de Dieu. J'ai commencé à Lui faire un peu plus confiance et à entrevoir la possibilité qu'Il pourrait en fait m'aider. Pendant cette période, mes prières étaient dirigées vers les autres, du genre : « Fais que mon père cesse de boire », ou « Fais que ma mère cesse de crier après moi ». Je ne comprenais pas le processus suggéré par la Onzième Étape, Le prier de « seulement de nous faire connaître Sa volonté à notre égard et de nous donner la force de l'exécuter ».
Ayant assisté fidèlement aux réunions et ayant mis les Étapes en pratique, je peux maintenant honnêtement dire que je fais confiance à Dieu pour qu'Il prenne soin de moi. Je ne prie plus pour la sobriété de mon père. Mes prières ressemblent plutôt à ceci : « Mon Dieu, je ne comprends rien à ce qui lui arrive, mais je sais que Vous comprenez », ou « Je suis contente que ce soit Vous qui êtes aux commandes, parce qu'il n'y a rien que je puisse faire ». Parfois, je dis simplement : « Merci mon Dieu, je ne suis pas à Votre place ! » Je prie Dieu de faire Son travail et pour qu'Il me donne la volonté et la capacité de faire le mien.

Pensée du jour
Par mes prières, j'essayais de faire en sorte que Dieu m'écoute. Il l'a fait, lorsque j'ai cessé de Lui dire quoi faire.

« Comme mes prières ont changé depuis mon arrivée à Al-Anon ! » Tel que nous Le concevions..., page 231

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 13 février, page 44

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Impossible d'être sobre par la pensée

« À l'homme ou à la femme qui, intellectuellement, se suffit à lui-même ou à elle-même, les AA peuvent dire : « Oui, nous étions comme vous — trop futés pour que cela nous aide » ... Nous avions la secrète conviction de pouvoir flotter au-dessus du reste du monde par la seule puissance de notre intelligence. » Réflexions de Bill, page 60

Même l'esprit le plus brillant ne peut rien contre la maladie de l'alcoolisme. Je ne peux pas devenir sobre seulement par la pensée. J'essaie de me souvenir que l'intelligence est une joie, un don que Dieu met à ma disposition, au même titre qu'un talent pour la danse, le dessin ou la menuiserie. Elle ne me rend pas meilleur que quiconque et ne constitue pas un outil vraiment sûr pour mon rétablissement ; c'est une Puissance supérieure qui me permet de recouvrer la raison et non un quotient intellectuel élevé ou un diplôme universitaire.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 13 février, page 52

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Acceptation quotidienne

« Une trop grande partie de ma vie s'est passée à évoquer les fautes d'autrui. C'est là une forme très subtile et très perverse de satisfaction personnelle, qui nous permet d'oublier confortablement nos propres déficiences et qui nous pousse à dire : « Si ce n'était de lui (ou d'elle), comme je serais heureux ! »

Notre problème fondamental est de savoir accepter les circonstances du moment, de nous prendre nous-mêmes comme nous sommes et d'accepter ceux qui nous entourent comme ils sont. De cette façon, nous pratiquons une humilité réaliste, sans laquelle aucun progrès spirituel ne peut s'amorcer. Il nous faudra constamment retourner à ce point de départ peu flatteur. C'est un exercice d'acceptation que nous pouvons pratiquer avec profit chaque jour de notre vie. Pourvu que nous évitions avec soin de transformer cet inventaire réaliste de notre vie en une recherche fantaisiste d'alibis pour couvrir notre défaitisme ou notre inactivité, un tel inventaire peut devenir la source d'une saine émotivité et, par conséquent, de notre progrès spirituel.

1. Lettre, 1966
2. Grapevine, mars 1962

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 44

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13 février - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Parfois nous ne pouvons nous empêcher de penser : « Pourquoi ne pouvons-nous plus jamais boire ?» Nous savons que c'est parce que nous sommes alcooliques, mais pourquoi a-t-il fallu que nous en arrivions-là ? C'est qu'à un certain moment de notre vie de buveurs nous avons dépassé ce qui s'appelle le « point de tolérance ». Lorsque nous avons dépassé ce point, nous sommes passés d'une condition par laquelle nous pouvions tolérer l'alcool à une condition où nous ne pouvions plus du tout le tolérer. Après cela, si nous prenions même un seul verre, nous finissions, à plus ou moins brève échéance, par une cuite. Quand je pense maintenant à l'alcool, est-ce que j'y pense comme à une chose que je ne pourrai plus jamais absorber ?

Méditation du jour
Dans une course, lorsque le but à atteindre est en vue, le cœur, les nerfs, les muscles et le courage sont dans un état de tension extrême. Il en est ainsi pour nous. Le but de la vie spirituelle est en vue. Il faut tout simplement fournir l'effort final. Les résultats les plus tristes sont ceux de certains athlètes au cœur puissant. Ils couraient bien jusqu'au moment d'apercevoir le but et soudain la faiblesse ou la lâcheté les ont empêchés de réussir. Ils n'ont jamais su qu'ils étaient si près du but ou de la victoire.

Prière du jour
Je demande de persister jusqu'à ce que j'atteigne le but. Je demande de ne pas abandonner la course juste avant d'atteindre la ligne d'arrivée.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 47

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PENSÉE DU JOUR
Quand j'ai commencé à mettre le Programme en pratique, la Troisième Étape m'a dérouté. Maintenant, j'ai appris que même si je ne peux pas comprendre Dieu totalement ou le sens de Sa volonté pour moi, je peux quand même décider de m'abandonner. Je me suis déjà prouvé que je ne peux seul diriger ma vie. L'image que je me fais de ma Puissance supérieure n'est pas aussi importante que la décision de vouloir ou non mettre Dieu dans ma vie. Qu'ai-je à perdre ?

MÉDITATION DU JOUR
Si je ne suis pas capable de dire autre chose, alors laisse-moi simplement être capable de dire : « Aide-moi ».

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
J'arrête d'analyser, je commence à accepter !

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 13 février

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Les liens qui nous unissent

« Aussi longtemps que les liens qui nous unissent sont plus forts que ceux qui pourraient nous diviser, tout ira bien. » Texte de base, page 75

Plusieurs parmi nous croient que sans N.A. nous serions sûrement morts de notre maladie. Par conséquent, l'existence de cette fraternité est notre bouée de sauvetage. Toutefois, il arrive qu'il y ait occasionnellement mésentente dans Narcotiques Anonymes ; nous devons apprendre à réagir de façon constructive aux influences destructives qui font quelquefois surface dans notre fraternité. Si nous décidons de faire partie de la solution au lieu du problème, nous sommes sur la bonne voie.
Notre rétablissement personnel et la croissance de N.A. dépendent du maintien d'une atmosphère de rétablissement dans nos réunions. Sommes-nous prêts à aider notre groupe à régler les conflits de façon constructive ? En tant que membres du groupe, nous efforçons-nous de régler les difficultés ouvertement, honnêtement et équitablement ? Cherchons-nous à favoriser le bien-être commun de tous nos membres plutôt que nos propres objectifs personnels ? Et, à titre de serviteurs de confiance, prenons-nous, en considération les conséquences que nos actions peuvent avoir sur les nouveaux et les nouvelles ?
Le service peut révéler tant notre bon côté que notre mauvais. Mais, c'est souvent par le service que nous commençons à prendre conscience de nos défauts de caractère les plus flagrants. Nous dérobons-nous à certains engagements de service plutôt que de faire face à ce que nous pourrions découvrir à propos de nous-mêmes ? Si nous gardons à l'esprit la solidité des liens qui nous unissent dans notre rétablissement de la dépendance active, tout ira bien.

Juste pour aujourd'hui, je vais m'efforcer de servir notre fraternité. Je ne craindrai pas de découvrir qui je suis.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 13 février, page 47

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Partout nous recherchons l'âme sage, l'ami sincère, l'être achevé et, toujours, nous n'en trouvons que des fragments. Ralph Waldo Emerson

Où, mais où donc, se trouve l'être parfait ? Je finirai certainement par trouver quelqu'un qui a tout ce que je recherche. Peut-être celui-ci... Ou encore celle-là. Comme la quête de la perfection semble un noble objectif ! Mais pourquoi y a-t-il toujours chez les autres quelque chose qui cloche ? Je n'aurais jamais agi comme cela, moi. Allons donc !
Aujourd'hui, je ne suis plus haut perché sur mes principes de « droiture morale » et j'aime les gens comme ils sont. Je suis libre de rire, de moi-même en particulier, et de me joindre aux autres pour raconter des histoires, faire des blagues, m'amuser. J'accepte et j'aime les autres comme ils sont parce que je m'accepte et je m'aime.

Pensée du jour : En me libérant de mon égocentrisme, je n'ai plus besoin d'avoir raison et je me tourne chaleureusement vers les autres.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 44

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« Ceux qui sont enclins à se gaver de nourriture, rendant ainsi leur corps disgracieux, refusent la nourriture qui satisfait et apaise l'âme malheureuse à l'intérieur. » Outremangeurs Anonymes, Deuxième Édition, pages 293 et 294

J’ai dû encaisser quelques coups durs avant d'admettre que la faiblesse spirituelle faisait partie de ma maladie. Après tout, j’avais toujours cru en une Puissance supérieure que j'appelais Dieu et j'avais assisté à la messe presque tous les dimanches de ma vie, Ainsi, je me suis sentie quelque peu vexée par cette citation mais davantage encore par les paroles de ma marraine qui m’a déclaré que de toute évidence, la nourriture était mon dieu.
Lorsque j'ai reconnu à quel point la nourriture avait dominé ma vie, j'ai commencé à prier pour demander pardon. Non seulement m'étais-je servi de la nourriture pour me réconforter, me consoler ou me récompenser, mais j'avais aussi mangé pour me donner de l'énergie et pour m'endormir. Aujourd'hui, après onze ans d'appartenance à OA, je conçois ma Puissance supérieure comme un Dieu bien personnel. Très aimant, Il saura me guider si je fais preuve d'ouverture face à Lui et si je L'écoute. Il en a fait tellement plus pour moi que la nourriture n'en fera jamais. Vraiment, cette connexion spirituelle est essentielle pour que je m'abstienne quotidiennement d'outremanger compulsivement.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 13 février, page 44

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Pensée du jour
Parfois, nous ne pouvons accepter le fait que nous ne puissions plus jouer. Nous savons que c'est parce que nous sommes incapables de nous contrôler. Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? C'est qu'à un certain moment, nous avons dépassé le point de tolérance. Lorsque nous avons dépassé ce point, nous sommes passés d'une condition par laquelle nous pouvions tolérer le jeu à celle où nous ne le pouvions plus. Après, si nous nous approchions tant soit peu du jeu, nous finissions par y succomber et retombions dans l'enfer que nous avons si souvent connu. Quand je pense maintenant au jeu, est-ce que j'y pense comme à une chose à laquelle je ne peux plus jamais accéder ?

Méditation du jour
Dans une compétition, lorsque le but à atteindre est en vue, le cœur, les nerfs, les muscles et le courage sont dans un état de tension extrême. Il en est ainsi lorsque nous faisons tout ce qui est nécessaire pour réorganiser notre nouveau mode de vie. Il faut simplement fournir l'effort ultime et faire en sorte de mettre en pratique le mode de vie préconisé par J.A. Il arrive cependant que certains d'entre nous se tiraient bien d'affaires et au moment d'atteindre le but, la faiblesse ou la lâcheté les a empêchés de réussir. Dire qu'ils n'ont jamais su qu'ils étaient si près de la victoire.

Prière du jour
Je demande de persister jusqu'à ce que j'atteigne le but. Je demande de ne pas abandonner la course juste avant d'atteindre la ligne d'arrivée.

Joueurs Anonymes, 13 février

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13 février

Puise dans la source infinie de pouvoir et de force qui se trouve en toi, et tu te surprendras à faire des choses apparemment surnaturelles tout simplement parce que tu travailles avec Mes lois. Tout peut arriver, car elles sont les clés qui ouvrent toutes les portes et rendent toutes choses possibles. Reconnais-les comme Mes lois, ne manque jamais d'en rendre grâce éternellement et utilise-les pour Mon honneur et Ma gloire et pour le bénéfice du tout. Alors, de leur utilisation juste ne peuvent sortir que les plus merveilleux événements, et tous en bénéficieront. Le pouvoir, utilisé de la bonne manière, sous Ma conduite, peut changer le cours de l'histoire, créer le nouveau ciel et la nouvelle terre. Mal utilisé, il ne peut apporter que dévastation et destruction. Le pouvoir est une chose avec laquelle il ne faut pas jouer, mais que l'on doit traiter avec grand respect. JE SUIS pouvoir. Je tiens toute la création dans Ma main, et tu fais partie de ce tout. Fonds-toi avec lui, et trouves-y ta juste place.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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