Pensées 17 février 2018

Bonjour à toutes et à tous

Dans le film Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain ( Jean-Pierre Jeunet, 2001 ), Amélie Poulain ( Audrey Tautou ) joue à son père, qui est nanomane ( un passionné de nains de jardin ), la farce du petit gnome voyageur qui semble le poursuivre partout où il va. Elle a réussi à lui faire envoyé des photos de ces contrées qu’il a toujours désiré visiter. Certains peintres maîtrisent leur art au point de nous faire croire que peu importe où nous sommes devant leurs peintures, nous avons l’impression que le personnage principal nous observe et nous poursuit du regard. Ne portons pas toute notre attention sur tout ce qui semble nous regarder, comme les caméras de vidéosurveillance qui se multiplient sur les routes, dans les lieux publics et comme les mimes-statues, les gnomes et les nains de jardin, et même à tout ce qui ne nous regarde pas même si nous, nous les regardons et qu’ils essaient quelquefois de nous faire croire qu’ils ne nous ont pas vus. Nous pouvons leur répondre par un simple clin d'œil. C'est aussi une belle invitation pour ensuite nous mêler de nos affaires et pour centrer notre attention sur notre propre rétablissement.

Les membres des groupes d'entraide nous suggèrent d'en venir à croire qu'une Puissance supérieure peut nous rendre la raison et à espérer que ça marche pour nous aussi. Pour la plupart d'entre nous, cette Puissance supérieure est un Dieu d'amour. Nous avons découvert qu'il avait toujours été avec nous, même pendant toutes ces années difficiles. Aujourd'hui, nous croyons que c'est Lui qui nous a conduit chez les groupes d'entraide, qui nous a permis de découvrir ce merveilleux mode de vie, et que tout rétablissement est un miracle. « L'homme pratique d'aujourd'hui exige des faits et des résultats… Simplement parce qu'il est impossible d'expliquer ce que l'on voit, ressent, maîtrise ou utilise sans tenir au départ certains faits pour acquis. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. chap. 4 Nous les agnostiques, page 55 )

Cependant des limites existent à ce que nous pouvons faire pour aider d'autres membres qui ne sont pas véritablement en rétablissement. Nous ne pouvons pas les forcer à cesser de s'anesthésier dans la compulsion ou de ruminer leurs obsessions. Bill W. a écrit dans le Gros livre page 102 4e Éd. : « S’il n’a pas l'intention de cesser de boire, ne perdez pas votre temps à essayer de le convaincre... Il est parfois préférable d'attendre qu'il prenne une autre cuite. » Nous ne pouvons ni leur donner les résultats des étapes ni grandir à leur place. Nous ne pouvons pas faire disparaître leur solitude ou leur souffrance, leurs attentes et leurs exigences. Il n’y a rien que nous puissions dire à qui ce soit pour le convaincre de troquer la misère familière de l'ivresse mentale contre l'incertitude du retour à la raison grâce à une Ps. Nous ne pouvons pas nous mettre dans la peau des autres, ni modifier leurs objectifs ou décider pour eux ce qu'ils devraient faire même si c'est ce qu'ils souhaitent quelquefois. Nous ne pouvons que nous mêler de nos affaires et porter le message. « Il faut être prêt à mettre de côté la vie que nous avons planifiée, pour enfin vivre la vie qui nous attend. »( Joseph Campbell )

Merci la Vie !!!
Gilles

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Ma vision des choses peut être tellement limitée. Je pense souvent que la seule issue possible est celle que je peux imaginer. Heureusement, ma Puissance Supérieure n'est pas restreinte par une telle logique. En fait, quelques-uns des événements les plus merveilleux surviennent à partir de ce qui semble être des désastres.
Mais la foi demande de la pratique. Mes peurs peuvent être au premier plan dans mon esprit et ma façon de penser limitée peut me rendre perplexe. Quand je ne vois aucune issue et que je doute que même une Puissance Supérieure puisse m'aider, c'est alors que j'ai le plus besoin de prier. Quand je prie, mes actes démontrent ma bonne volonté d'être aidé. Et chaque fois, je reçois l'aide dont j'ai besoin.
Aujourd'hui, je sais que même lorsque ma situation semble sombre et que je ne vois aucune issue, des miracles peuvent se produire si je remets ma volonté et ma vie à Dieu.

Pensée du jour
J'ai un rôle important à jouer dans ma relation avec ma Puissance Supérieure — je dois être disposé à recevoir de l'aide et je dois la demander. Si je prends l'habitude de me tourner vers ma Puissance Supérieure pour obtenir de l'aide dans les petites choses de la vie quotidienne, je saurai quoi faire quand je me retrouverai devant des situations plus difficiles.

« Ne perdez pas espoir à l'heure de l'adversité, car des sombres nuages tombe la pluie cristalline. » Poème persan

Al-Anon, Le Courage de Changer, 17 février, page 48

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Ayant grandi dans une famille marquée par l'alcoolisme, j'ai développé des attitudes plutôt négatives face à la vie. Si neuf personnes me faisaient des compliments et qu'une seule personne m'insultait, je concentrais toute mon attention sur cette insulte. Toutefois, en me rétablissant dans Al-Anon, je commence à voir que le verre est à moitié plein, plutôt qu'à moitié vide. Nos slogans et nos dictons prennent un sens plus riche, plus profond. Pour moi, le slogan « Est-ce si important ? » signifiait qu'il y a des choses dans la vie qui ne méritent pas qu'on leur consacre trop d'énergie, comme le fait de me tourmenter au sujet de l'unique insulte que je reçois parmi une foule de compliments. Maintenant, je comprends que cela peut aussi vouloir dire qu'il y a des choses importantes dignes de mon temps, de mon énergie et de mon amour, comme l'estime de moi et le rétablissement. Si c'est vraiment important pour moi, alors c'est digne de mon temps et de mes efforts.
De même, j'avais l'habitude d'utiliser l'expression « Cela aussi passera » uniquement lorsque je faisais face à une situation pénible et difficile. je l'utilisais pour me rappeler que peu importe mon angoisse, ou aussi insupportable qu'une situation puisse paraître, rien ne dure éternellement. Puis ma marraine m'a dit que ce dicton s'applique en toute circonstance, pas seulement dans les moments difficiles. Utiliser « Cela aussi passera » devant des expériences agréables, c'est une chose qui ne m'avait jamais traversé l'esprit. Pourtant, c'est toujours la même vérité. Rien ne dure éternellement — la beauté pas plus que l'horreur. Alors, je peux aussi bien endurer avec patience les moments difficiles, sachant qu'ils auront une fin, et étreindre joyeusement les bons moments pendant qu'ils durent. Nos slogans si simples ont peut-être plus de facettes que je ne le réalise.

Pensée du jour
« Peut-être avez-vous déjà entendu quelques-uns de ces slogans des centaines de fois auparavant sans jamais les prendre au sérieux ni essayer de les mettre à l'œuvre. »

Comment Al-Anon œuvre pour les familles et les amis des alcooliques, page 67

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 17 février, page 48

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J'ai vu l'amour dans leurs yeux

« Or, il s'en trouve parmi nous qui refusent de croire en Dieu, d'autres qui ne le peuvent pas, et d'autres encore qui croient sans doute que Dieu existe mais doutent sincèrement qu'Il veuille accomplir ce miracle. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 27

En voyant des changements se produire chez les nouveaux et les nouvelles dans le mouvement, j'ai commencé à perdre mes peurs et à transformer mon attitude négative en une attitude positive. Je voyais l'amour dans leurs yeux et j'étais impressionné par l'importance qu'ils attachaient à leur sobriété vécue « un jour à la fois ». Ils avaient abordé honnêtement la Deuxième Étape et ils en étaient venus à croire qu'une Puissance supérieure pouvait leur rendre la raison. Je me suis mis à croire au mouvement des AA et à espérer que ça pourrait marcher pour moi aussi. J'ai découvert que Dieu était un Dieu d'amour, pas le Dieu vengeur que je craignais avant de venir chez les AA. J'ai aussi découvert qu'il avait toujours été ave moi, pendant toutes ces années difficiles. Aujourd'hui, je sais que c'est lui qui m'a conduit chez les AA, et que je suis un miracle.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 17 février, page 56

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Une vie sereine

Lorsqu'un alcoolique se réveille avec une horrible gueule de bois parce qu'il a trop bu la veille, il ne peut pas passer une bonne journée. Mais il existe une autre sorte de gueule de bois que tous, buveurs ou pas, connaissent par expérience. Elle se situe au plan émotif et résulte directement d'un excès de sentiments négatifs vécus la veille ou parfois le jour même : colère, peur, jalousie, etc.
Si nous voulons vivre dans la sérénité aujourd'hui et demain, nous devons certainement nous défaire de cette sorte de gueule de bois. Il ne s'agit pas pour autant de ressasser morbidement notre passé. Il faut passer tout de suite à l'aveu et à la correction de nos erreurs.
Les Douze Étapes et les Douze Traditions, pages 98-99

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 48

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17 février - Pensée A.A. pour aujourd'hui
L'alcool est un poison pour l'alcoolique. Le mot poison n'est pas trop fort, parce que l'alcoolisme conduit éventuellement à la mort de l'alcoolique. Ce peut être une mort rapide ou une mort en langueur. Lorsque nous passons devant un magasin de boissons alcooliques et que nous voyons différentes sortes de bouteilles dans des emballages de fantaisie afin qu'elles paraissent plus attrayantes, nous devrions toujours nous dire en nous-mêmes : « C’est du poison pour moi ». Et c'est un fait. L'alcool a empoisonné nos vies pendant trop longtemps. Est-ce que je sais que, parce que je suis un alcoolique, tout alcool est un poison pour moi ?

Méditation du jour
D'une manière ou d'une autre, je dois trouver le moyen de me rapprocher de Dieu. C’est vraiment ce qui importe. Je dois rechercher le véritable pain de vie qu'est la communion d'esprit avec Dieu. Je dois rechercher la vérité dans toutes mes prières. Celle vérité primordiale est vraiment ce qui importe. Tous les cultes ont comme objet et comme but cette communion d'esprit avec Dieu.

Prière du jour
Je demande de pouvoir trouver Dieu en toute quiétude par la méditation. Je demande d'obtenir ma part du pain de l'âme que Dieu a préparé pour moi.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 51

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PENSÉE DU JOUR
Nous ne sommes pas ici pour nous juger les uns les autres mais pour nous accepter. Dieu est notre seul juge et Il est beaucoup plus doux avec nous que nous le sommes avec nous-mêmes. Plusieurs fois dans le passé nous avons jugé les autres. Mais étions-nous outillés pour porter de tels jugements ? Savons-nous ce qui a amené une autre personne à accomplir un certain geste ? Nous jugeons les autres parce que nous sommes sévères avec nous-mêmes. Plus nous pouvons accepter nos propres échecs et faiblesses, plus facilement nous cesserons de juger les autres.

MÉDITATION DU JOUR
Je demande à Dieu de me faire prendre conscience que lorsque je juge quelqu'un d'autre, c'est parce que je me rejette moi-même.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
En apprenant à me parler avec douceur, je ressentirai une paix intérieure et le calme. Cela va se manifester dans ma manière de traiter les autres.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 17 février

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Porter le message, non le dépendant

« Ils peuvent être analysés, conseillés, menacés, battus, enfermés ; nous pouvons essayer de les raisonner ou de prier pour eux, ils n'arrêteront pas tant qu'ils ne voudront pas arrêter. » Texte de base, page 81

L'une des vérités les plus difficiles à admettre dans notre rétablissement est peut-être que nous sommes aussi impuissants face à la dépendance d'un autre que face à la nôtre. Ayant nous-mêmes connu un réveil spirituel dans notre vie, il se peut que nous pensions être capables de persuader un autre dépendant de se rétablir. Il y a cependant des limites à ce que nous pouvons faire pour aider d'autres dépendants.
Nous ne pouvons pas les forcer à cesser de consommer. Nous ne pouvons ni leur donner les résultats des étapes ni grandir à leur place. Nous ne pouvons pas faire disparaître leur solitude ou leur souffrance. Il n'y a rien que nous puissions dire à un dépendant effrayé pour le convaincre de troquer la misère familière de la dépendance contre l'incertitude du rétablissement. Nous ne pouvons pas nous mettre dans la peau des autres, ni modifier leurs objectifs ou décider pour eux ce qu'ils devraient faire.
Cependant, si nous refusons d'essayer d'exercer cette influence sur la dépendance des autres, nous pourrons peut-être les aider quand même. Ils grandiront peut-être si nous leur permettons de faire face à la réalité, aussi pénible soit-elle. Il se peut qu'ils deviennent plus productifs, à leur façon, du moment que nous n'essayons pas d'agir à leur place. Ils pourront devenir maîtres de leur propre destinée, en autant que nous serons les seuls maîtres de la nôtre. Si nous acceptons tout cela, nous arriverons à faire ce que nous étions censés faire : porter le message et non porter le dépendant.

Juste pour aujourd'hui, je vais accepter que je suis impuissant non seulement face à ma propre dépendance, mais aussi face à celle de tous les autres. Je vais porter le message et non le dépendant.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 17 février, page 51

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Devoir quêter son bonheur quotidien auprès des autres témoigne d'une indigence plus profonde encore que celle de quêter son pain quotidien. Charles Caleb Colton

D'où me vient ma valeur personnelle ? Est-ce que je dépends des autres pour me sentir quelqu'un de bien ? Mon estime de moi suit-elle les fluctuations de l'opinion des autres à mon sujet ? Pourquoi leur opinion compte-t-elle plus à mes yeux que la mienne ?
Si je me surprends à compter sur les autres pour me donner de la valeur, je dois me demander pourquoi. J'assume la responsabilité de mon bonheur et de mon estime de moi, car je sais qu'il me suffit de mettre les Étapes en pratique, tous les jours et du mieux que je le peux, pour être satisfait de moi-même.

Pensée du jour : Mettre les principes OA en pratique dans tous les domaines de ma vie, c'est me nourrir spirituellement.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 48

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« Pour le bénéfice de notre groupe, il n’existe qu’une seule autorité ultime, un Dieu d'amour comme Il peut se manifester dans la conscience de notre groupe. » Deuxième Tradition

Quand j'étais jeune, j'avais un peu d'éducation religieuse et je pensais que j'avais toutes les connaissances nécessaires concernant Dieu et la prière. Chez les OA, ma plus grande barrière fut mon refus de croire que Dieu puisse m'aider dans ma compulsion alimentaire et que l'on puisse prier pour des demandes personnelles. Puis, soudain, comme l'exigeaient les Étapes, j’ai dû confier ma volonté et ma vie aux soins de quelque chose qui me dépassait, mais il n'y avait rien dans mon univers religieux ou intellectuel qui convienne à cette démarche. L'idée de me servir d’un livre, d'un arbre ou de ma marraine pour jouer le rôle d'une Puissance supérieure me semblait déraisonnable. Puis, j'ai entendu quelqu'un parler d'un « Dieu d'amour comme on le représente dans la Deuxième Tradition ». Je me suis rendu compte que je pouvais définir ce Dieu comme il me plaisait, à condition qu’il s'agisse d'un Dieu d'amour. Rien d'autre ne comptait. J'ai imaginé un ami bienveillant, et mes arguments intellectuels et religieux se sont évanouis.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 17 février, page 48

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Pensée du jour
Le jeu est mortel et le terme n'est pas exagéré parce que le jeu conduit inévitablement à la destruction et souvent à la mort. Cette conséquence tragique peut se présenter sous plusieurs formes. Lorsque nous créons des scénarios et que nous pensons aux endroits de jeu, nous devrions toujours nous dire : « C'est du poison pour moi et ça me mènera à la catastrophe ». C'est un fait que le jeu a empoisonné nos vies pendant trop longtemps. Est-ce je sais que, parce que je suis un joueur, tout jeu est un poison pour moi et que ça me mènera inévitablement à la catastrophe ?

Méditation du jour
Ce qui est important pour moi est que, d'une manière ou d'une autre, je dois trouver le moyen de me rapprocher de Dieu, tel que je le conçois. Je dois rechercher le véritable pain de vie qu'est la communion d'esprit avec ma Puissance Supérieure et tenter de trouver la vérité à travers la prière et la méditation. C'est ce qui est devenu important pour réussir à atteindre les buts que je me suis fixés. Tous les cultes ont comme but commun la recherche de la communication divine avec l'Être Suprême.

Prière du jour
Je demande de pouvoir trouver Dieu en toute quiétude par la méditation. Je demande d'obtenir ma part de la nourriture de l'âme qu'Il a préparée pour moi.

Joueurs Anonymes, 17 février

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17 février

Quand tu seras prêt à tout M'abandonner et à ne rien retenir, alors chacun de tes besoins sera merveilleusement comblé et ta vie coulera avec abondance, car tu ouvres les vannes lorsque tu M'abandonnes tout. Intègre cette loi dans tout ton être jusqu'à ce qu'elle fasse partie de toi, que tu vibres au rythme de toute vie et que tu saches ce que cela veut dire de faire partie du tout, d'être accordé à la globalité de la création, et donc accordé à Moi. JE SUIS le créateur de toute la création ; JE SUIS la globalité de toute vie. Elève ta conscience et rends-toi compte que JE SUIS en toi, que cette globalité est là, en toi, et que rien ne peut te séparer de cette merveille, sauf ta propre conscience limitée. Pourquoi ne pas te détendre et la laisser s'épanouir ? Ne laisse rien empêcher cette expansion de conscience jusqu'à ce que tu puisses accepter que JE SUIS en toi, que tu es en Moi et que nous sommes Un.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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