Pensées 19 avril 2018

Bonjour à toutes et à tous

Dans la vie, tout nous attire à l’extérieur : de belles photos dans un PPS, sur FB, nos sens, les autres, une relation affective. Ces belles expériences extérieures ne sont que de pâles reflets de ce qui nous habite. C'est en nous que nous pouvons trouver la paix, la relaxation profonde, le calme et le véritable amour. La méditation nous amène en nous et n'a rien à voir avec la vie de moine ou ascétique qui cherche à se couper du monde. Ce n'est pas non plus une croyance ou une religion. Nous n'avons pas besoin de changer notre vie pour nous ouvrir à la méditation. La méditation est une qualité en nous qui est curieusement et simplement un détachement et en même temps une vigilance intérieure et une pleine conscience du moment présent.

Nous ne pouvons voir chez les autres que ce que nous voyons en nous-mêmes. Nous n'avons donc rien à reprocher à qui que ce soit. Nous pouvons nous adonner à la louange et aux bénédictions et mieux encore, au silence. Non pas à un silence rageur, mais bien à un silence recueilli et harmonieux. Il arrive parfois que tout semble se précipiter et aller assez vite. Sachons quelquefois nous mettre sur une voie d'évitement le temps qu'il faut et laisser passer le train. Tel est le sens des Douze Étapes : penser, méditer, penser. « À notre réveil, nous pensons au vingt-quatre heure devant nous et nous regardons nos projets pour la journée. Nous demandons d'abord à Dieu de nous guider dans nos pensées et surtout de libérer notre esprit de l'apitoiement comme de tout mobile malhonnête ou égoïste. Ainsi disposés, nous pouvons sans inquiétude nous servir de nos facultés mentales car après tout, Dieu nous a donné un cerveau pour nous en servir. Nos pensées seront plus élevées si notre esprit est débarrassé de tout motif nuisible. ( Les Alcooliques Anonymes, chap.6 À l'oeuvre, pages 97-98 )

La méditation n'est pas une tâche ardue. « La contemplation de la nature fait les poètes ; la méditation de la destinée fait les penseurs. Le poète et le penseur regardent chacun un côté du mystère. Dieu est derrière le mur. » ( Victor Hugo ) La méditation est une rencontre simple et honnête avec notre Puissance supérieure. C'est un cadeau énergisant et merveilleux. Merci ! Tout ce que nous avons à faire, c'est d'aller à cette rencontre, de s'arrêter si la vie nous le permet quelques instants. La peur de ne pas mériter Son amour inconditionnel est souvent tout ce qui nous sépare de ce contact avec Dieu, tel que chacun de nous Le concevons. Comme la peur est une illusion, ce sentiment de coupure, de séparation l'est aussi. Nous ne pouvons nous rapprocher vraiment — nous n'avons jamais été désuni. Dieu nous invite à nous retrouver avec Lui en Un et à nous sentir combler de Sa présence.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Apprendre ce qu'était l'alcoolisme m'a aidé à trouver la sérénité après des années de lutte. Je constate maintenant que les alcooliques souffrent d'une maladie : Ils sont malades et non méchants. En assistant régulièrement aux réunions Al-Anon, en lisant de la documentation approuvée par la Conférence et en assistant à des réunions ouvertes AA, j'ai obtenu un aperçu de ce qui est et n'est pas raisonnable de s'attendre quand on a à transiger avec une personne alcoolique.
J'ai appris que j'ai la capacité de rectifier mes attentes afin de ne plus me mettre en position d'être constamment déçu. Par exemple, j'ai cessé de m'attendre à ce qu'une personne alcoolique en phase active tienne ses promesses. Cela rend ma vie plus contrôlable.
Les connaissances que j'ai acquises dans Al-Anon ont dissipé plusieurs de mes peurs et ont fait de la place pour une toute nouvelle compassion. Je vois que je ne suis pas seul à avoir de bonnes idées, des critiques bien fondées et de nobles intentions.

Pensée du jour
Me renseigner sur la maladie de l'alcoolisme peut m'aider à devenir plus réaliste quant à la maladie d'un être aimé — et ainsi faire de meilleurs choix pour moi-même.

« J'ai appris des techniques pour transiger avec l'alcoolique de sorte que, au-delà de la maladie, je peux établir une relation avec la personne. » Al-Anon face à l'alcoolisme

Al-Anon, Le Courage de Changer, 19 avril, page 110

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Quand j'ai cessé d'essayer de régler les problèmes des autres, je me suis efforcée de me « guérir » moi-même. J'avais hâte d'en finir avec ce processus de guérison. Je voulais me rétablir immédiatement des conséquences de mon enfance dans une famille accablée par l'alcoolisme et d'un mariage à un alcoolique. J'anticipais le jour où j'allais obtenir mon diplôme Al-Anon pour enfin poursuivre ma vie. Après la deuxième et la troisième année, j'étais toujours dans le programme. J'ai commencé à me décourager parce que les défauts de caractère que je m'étais tant efforcée de surmonter revenaient me hanter, particulièrement quand j'étais tendue, et pendant ces périodes où je n'allais pas aux réunions.
Je souffre d'arthrite sévère aux jointures. Pour m'adapter à cette condition, je dois chaque matin évaluer mon corps et m'ajuster patiemment à ses besoins. Certains jours, j'ai besoin d'un bain chaud avant de commencer la journée. D'autres jours, j'applique un onguent médicamenteux aux endroits douloureux. D'autres jours encore, des exercices légers et des étirements m'aident à m'assouplir. J'en suis venue à accepter le fait que mon arthrite ne disparaîtrait jamais. C'est une condition que je dois gérer quotidiennement par des soins constants et soutenus.
Un beau jour, j'ai fait le lien entre mon état de santé et mes difficultés avec mon rétablissement. J'ai commencé à me regarder comme étant une personne souffrant « d'arthrite de la personnalité », ce qui requiert des soins patients et réguliers pour m'empêcher de me « raidir » dans mes vieilles habitudes et mes anciennes attitudes. Ces soins incluent l'assistance aux réunions, la lecture de la documentation Al-Anon, appeler ma marraine, et m'engager dans le service. Maintenant, dans la mesure où je fais preuve de patience, le rétablissement devient un processus raisonnable et stimulant plutôt qu'un objectif vers lequel je peine laborieusement.

Pensée du jour
Al-Anon est comme une physiothérapie de l'âme qui aligne mes principes et mes comportements pour que je puisse avancer joyeusement dans la vie !

« ... ces leçons de patience deviendraient la base de mon rétablissement. » Le Forum, mars 1998, page 14

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 19 avril, page 110

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Nous sommes frères par nos défauts

Nous, alcooliques rétablis, sommes moins frères par nos vertus que par nos défauts et par nos efforts communs pour les surmonter. Réflexions de Bill, page 167

Pour un alcoolique, s'identifier à un autre alcoolique est une expérience mystérieuse, spirituelle, voire presque incompréhensible. Mais cela se produit. Je « sens cette similitude ». Aujourd'hui, je sens que je peux aider les autres et qu'ils peuvent m'aider.
C'est un sentiment nouveau et passionnant pour moi ; je me préoccupe de quelqu'un, de ce qu'il ressent, de ce qu'il espère, de ce qu'il demande à Dieu ; je me rends compte de sa tristesse, de sa joie, de sa peur, de son chagrin, de sa douleur, et je veux partager ces sentiments pour pouvoir le soulager. Je n'ai jamais su comment aider les autres, comment même essayer parce que je ne m'en souciais pas. Les AA et Dieu sont en train de m'apprendre à me préoccuper des autres.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 118

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La liberté par l'acceptation

Nous avons admis que nous ne pouvions vaincre l'alcool avec les seules ressources qui nous restaient ; puis, nous avons accepté que notre dépendance envers une Puissance supérieure (ne serait-ce que notre groupe des AA) puisse accomplir cette tâche impossible. Dès que nous avons pu accepter ces deux faits sans réserve, nous avons commencé à nous libérer de l'obsession de boire.
Pour la plupart d'entre nous, cette double acceptation a demandé beaucoup d'efforts. Il nous a fallu renoncer à notre précieuse philosophie d'autonomie. Ce changement d'attitude n'a pas été dû au seul pouvoir de notre volonté ; il a plutôt été le résultat de notre désir croissant d'accepter ces nouvelles réalités de la vie.
Nous n'avons ni fui ni résisté. Nous n'avons fait qu'accepter. Et alors, nous avons commencé à être libres.
Grapevine, mars 1962

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 109

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19 avril - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Depuis que j'ai recueilli la sobriété dans ma vie, j'en ai retiré beaucoup de bonnes choses. Je puis décrire ce résultat comme une satisfaction paisible. Je me sens bien. J'ai l'impression que je suis du bon côté dans le monde, du bon côté de la clôture. À condition que je mette de la sobriété dans ma vie, presque tout ce que je trouve dans cette dernière est bon. La satisfaction que vous trouvez à vivre sobrement est faite de beaucoup de petites choses. Vous avez l'ambition de faire des choses que vous ne désiriez pas faire lorsque vous buviez. Est-ce que je suis satisfait de vivre une vie sobre ?

Méditation du jour
C'est une route glorieuse la route qui mène au sommet. Il y a de merveilleuses découvertes à faire dans le royaume de l'esprit. Il y a de la tendre intimité dans les moments d'union silencieuse avec Dieu. Il y a cette entente étonnante et presque incompréhensible avec les autres humains. Dans ce voyage vers les sommets, vous pouvez obtenir cette Puissance supérieure dont vous avez besoin. Vous ne pouvez pas lui demander trop souvent cette énergie. Il vous donne toute la puissance qu'ils vous faut, à condition que vous soyez en route vers les sommets.

Prière du jour
Je demande de pouvoir apercevoir de magnifiques horizons pendant mon voyage vers les sommets. Je demande de pouvoir continuer à avancer vers une vie plus abondante.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 112

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PENSÉE DU JOUR
La méditation n'est pas une tâche si une tâche signifie un travail fait pour mériter une récompense. La méditation est une rencontre avec ma Puissance supérieure. C'est un cadeau que j'accepte sans me demander si je le mérite ou non. C'est comme une réunion ÉA à l'intérieur de nous-mêmes dans laquelle notre Puissance supérieure dit : « Je ne me soucie pas de savoir où tu étais ou ce que tu as fait. Je suis heureux que tu sois ici et Je t'aime maintenant tel que tu es. Tu m'es précieux qui que tu sois ».

MÉDITATION DU JOUR
Tu es toujours prêt à me donner le cadeau de Toi-même. Tout ce que j'ai à faire est de venir à cette rencontre avec Toi. La peur de ne pas mériter Ton amour inconditionnel est souvent tout ce qui me sépare de Toi.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je reçois ton amour inconditionnel.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 19 avril

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Faire des démarches

« Nous, les dépendants, avons si souvent cherché à bénéficier des fruits d'un travail difficile sans le moindre effort. » Texte de base, page 42

En arrivant dans N.A., certains d'entre nous voulaient tout et tout de suite. Nous voulions la sérénité, la voiture, les relations affectives équilibrées, les amis, les bons rapports avec notre parrain (marraine) ; tout ce que les autres avaient obtenu après des mois et des années à mettre en pratique les étapes et à accepter la vie telle qu'elle est. Nous avons appris de manière difficile que c'est seulement en travaillant les étapes qu'on obtient la sérénité. La nouvelle voiture vient à force de se présenter au travail tous les jours et d'essayer « d'appliquer ces principes à tous les domaines de notre vie », y compris à notre emploi. Les relations affectives équilibrées sont le résultat de beaucoup d'efforts et d'une volonté nouvelle de communiquer. L'amitié avec notre parrain (marraine) vient de notre ouverture tant dans les bons que les mauvais moments.
Dans Narcotiques Anonymes, nous avons trouvé la voie qui mène à un mode de vie meilleur. Pour atteindre notre destination, il nous faut cependant faire des démarches.

Juste pour aujourd'hui, je veux une vie meilleure. Je ferai l'inventaire de ce que je veux, je trouverai comment l'obtenir, j'en parlerai avec mon parrain (marraine) et je ferai les démarches nécessaires.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 19 avril, page 115

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L'orgueil est le masque de nos fautes. Proverbe hébreu

Autrefois, l'orgueil me servait de protection et m'empêchait de me voir comme je suis. Mais en refusant de regarder mes défauts, je n'arrivais pas à m'accepter.
L'orgueil est-il encore un écueil sur le chemin de mon rétablissement ? Y a-t-il en moi une voix suffisante qui dit : « Agis à ma façon » ? Aujourd'hui, je ne m'accorde pas le mérite de mon abstinence. Je ne critique pas mes amis, mes confrères et les membres de ma famille ou dles membres OA qui font les choses différemment de moi. À présent, je vois dans la rigueur de mes convictions une sorte de fausse respectabilité, un mur derrière lequel peuvent se cacher mes défauts les plus flagrants.

Pensée du jour : J'ai énormément de gratitude envers les membres OA car c'est grâce à leur attitude compréhensive et à leur soutien que j'arrive à découvrir mes défauts.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 110

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« Même s'il m'est bien difficile de rejeter mes vieilles habitudes, je me rappelle sans cesse le soulagement et la joyeuse liberté que j'ai éprouvés la première fois que j'ai essayé de rester sobre, une journée à la fois, et de ne pas m'en faire avec le lendemain. » Aujourd'hui, page 293

Je voulais vraiment me rétablir de la compulsion alimentaire. J'assistais régulièrement aux réunions, j'avais commencé à mettre les Étapes en pratique et je m'étais trouvé un parrain. Mais la grâce de l'abstinence m'échappait toujours.
J'ai entendu le slogan « Un jour à la fois » à plusieurs reprises, mais cela ne m'empêchait pas de souffrir. Puis, un soir, ma Puissance supérieure m'a invité à « ne pas m'en faire avec le lendemain ».
Ce fut ma première journée d'abstinence. Dieu a pris mon inquiétude et m'a donné Sa paix, ce qui m'a permis de comprendre véritablement ce que veut dire « vivre un jour à la fois ».
Merci, mon Dieu, pour le cadeau du moment présent. J'ai de la gratitude pour la liberté, le soulagement et la joie que je vis aujourd'hui.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 19 avril, page 110

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Pensée du jour
Depuis que j'ai mis la sobriété dans ma vie, j'en ai retiré beaucoup de bonnes choses. Je puis décrire ce résultat comme une satisfaction paisible. Je me sens bien et j'ai l'im­pression que je suis du bon côté de la clôture. Quand j'ai mis la sobriété dans ma vie, presque tout ce qui existait est devenu positif. La satisfaction que l'on trouve à vivre sobrement est maintenant faite de beaucoup de petites choses souvent merveilleuses. On a maintenant le goût et l'ambition de faire des choses qu'on n’avait pas le goût de faire lorsqu'on était joueur. Est-ce que je suis satisfait de vivre une vie sobre ?

Méditation du jour
C'est une route glorieuse, la route qui mène au sommet. Il y a de merveilleuses découvertes à faire dans le royaume de l'esprit. Il y a de la tendre intimité dans les moments d'union silencieuse avec Dieu. Il y a cette entente étonnante et presque incompréhensible avec les autres humains. Dans ce voyage vers les sommets, vous pouvez obtenir cette communication intime avec votre Puissance Supérieure dont vous avez besoin. Vous pouvez Lui demander souvent de vous donner la force et l'énergie que requiert votre état. Elle exauce votre prière à chaque fois que vous êtes en route vers les sommets.

Prière du jour
Je demande de pouvoir apercevoir de magnifiques horizons pendant mon voyage vers les sommets spirituels. Je demande de pouvoir continuer à avancer vers une vie plus abondante.

Joueurs Anonymes, 19 avril

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19 avril

Quand la vie te demande de changer, vois clairement ce qu'il faut faire et change sans aucune résistance, sachant que tout changement tend à une amélioration. Changer n'est pas toujours facile, surtout pour les personnes qui ont des idées arrêtées et des façons de voir figées. Il te faut être prêt à te débarrasser des idées confortables et bien établies l'une après l'autre jusqu'à être complètement libre et ouvert pour recevoir ce qui est entièrement nouveau et révolutionnaire. C'est là que, souvent apparaît la difficulté.
Beaucoup de gens, après avoir intégré une chose nouvelle, veulent s'y accrocher et refusent de la lâcher. Pourquoi ne pas la voir seulement comme un pas en avant vers des révélations plus grandes et plus merveilleuses qui attendent d'être apportées quand tu leur auras fait de la place ? On ne peut pas remplir un sceau plein ; il faut le vider d'abord. Tu ne peux pas passer directement dans le nouveau lorsque tu es encore encombré de l'ancien et refuse de te laisser aller. Alors change et change vite, car J'ai besoin de toi.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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