Pensées 28 mai 2018

Bonjour à toutes et à tous

Les Douze Étapes rédigées au printemps de 1938 par William Griffith Wilson (Bill W.) constituent l’aboutissement d’une aventure humaine extraordinaire, vécue par ce brillant courtier de Wall Street qui cherchait désespérément à s’arracher de l’enfer de ce besoin impérieux d’alcool. Le trajet personnel de Bill W. est en lui-même un genre de rite d’initiation : de la souffrance destructrice à une prise de conscience majeure, à un éveil spirituel. Bill W. a raconté son expérience spirituelle dans de nombreux témoignages qui se retrouvent dans plusieurs publications des AA dont Transmets-le. Lois, sa femme, nous a fait aussi le récit de leurs aventures dans Lois se souvient. Le film Quand l’amour ne suffit plus raconte aussi les ravages de la maladie familiale qu’est l’alcoolisme. À l’automne 1933, Bill se retrouve au Towns Hospital de New York pour une nouvelle cure de désintoxication. Dans cet hôpital, travaille le Dr Silkworth qui envisage de traiter l’alcoolisme comme la manifestation d’une allergie. Pour les personnes atteintes par cette allergie, la consommation d’alcool, sous quelque forme que ce soit, est strictement exclue : « Une fois l’habitude créée, écrit le Dr Silkworth, on ne peut plus la briser. S’enchaîne alors la perte de confiance en soi et en l’humanité. Dès lors, les problèmes s’accumulent et deviennent étonnamment difficiles à résoudre ».

Pour la première fois, quelqu’un parlait de l’alcoolisme non pas comme d’un manque de volonté ou d’un défaut moral, mais comme d’une maladie, trouble reconnu par la recherche médicale un peu plus tard. Ce discours frappe Bill W. à tel point qu’il fera de l’aveu d’impuissance de l’alcoolique devant l’alcool le fondement de la première des Douze Étapes, avec son corollaire : l’abstinence totale — car, comme disent les AA : « Pour nous, un verre c’est trop, mille jamais assez !». Une force qu’il décrit lui-même comme une forme de déraison, « une démence insidieuse » lui fait régulièrement reprendre ce premier verre, bientôt suivi de beaucoup d’autres, qui enclenche un processus de terreur, de haine, de dépression et de pensées suicidaires. « Le seul remède que nous pouvons conseiller est l’abstinence totale. » (Dr W. D. Silkworth, Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. L’opinion d’un médecin, page xxxiii ) — « Il y a trois ans, lorsque le Dr Silkworth , notre directeur médical, souleva l’idée d’utiliser une méthode spirituelle pour aider les alcooliques, j’ai pensé que c’était une idée de fou, mais j’ai changé d’avis. » (12x12, 2e Tradition, page 154) — « Cependant, lorsque le courtier lui a donné la description de l’alcoolisme et de sa nature désespérée, telle que le Dr Silkworth la voyait, le médecin s’est mis à chercher une solution spirituelle avec une détermination jamais démontrée auparavant. ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd.avant-propos de la 2e Édition, page xvii )

« Le bonheur n’est pas une destination c’est un mode de vie. ( Anonyme ) Ils ont défini ensemble ce mode de vie suggéré maintenant par plus de 552 différents groupes d’entraide (décompte de 2008) qui nous offrent une méthode simple pour trouver qui nous sommes réellement. Nous découvrons nos qualités et nos défauts, ce que nous aimons à propos de nous-mêmes et, également, les choses dont nous ne sommes pas si fiers. Grâce à ce pouvoir guérisseur des Douze Étapes, ce mode de vie spirituelle, nous commençons à comprendre que nous sommes des individus, créés pour être ce que nous sommes par notre Puissance supérieure telle que nous La concevons.

Si vous en avez le temps, voyez ce long vidéo clip (45 min.) d'un partage que Bill W. a donné à Toronto en 1965 : http://www.youtube.com/watch?v=XQQ2g6ZjDEQ

Merci la Vie !!!
Gilles

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J'ai entendu dire que les seules comparaisons valables s'établissaient entre ce que je suis et ce que j'étais auparavant. Quand je réfléchis à la Deuxième Étape et au fait de recouvrer la raison, c'est cette comparaison qui me vient à l'esprit.
Je me souviens d'un incident survenu il y a environ vingt ans, alors que je me rendais en motocyclette à un cours de méditation. J'étais parti en retard et je me hâtais pour arriver à l'heure. Juste devant l'école, j'ai eu un accident. Ma tentative pour imposer une solution — rattraper mon retard en faisant de la vitesse pour me rendre à une rencontre avec la sérénité — avait échoué. Est ce que je le regrettais ? Non, pas vraiment. Même à l'époque, j'ai saisi l'ironie du fait de me précipiter pour aller à un cours de méditation, mais j'étais surtout en colère parce que la ville n'avait pas bien entretenu la chaussée où je roulais. Au lieu d'endosser la responsabilité de mon excès de vitesse et de ma propre négligence, j'ai blâmé les autres et je me suis considéré une victime. Je n'ai pas éprouvé de gratitude d'avoir eu la vie sauve ; j'étais en colère de m'être fait mal et d'être en retard sur l'horaire prévu.

Pensée du jour
Avec du recul, je vois de nombreux exemples où la grâce d'une Puissance supérieure à moi-même a été à l'œuvre dans ma vie. Je constate que je recouvre peu à peu la raison et j'ai de plus en plus confiance que je continuerai à progresser.

« Notre devoir dans la vie ne consiste pas à dépasser les autres, mais à nous dépasser nous-mêmes. » Maltbie D. Babcock

Al-Anon, Le Courage de Changer, 28 mai, page 149

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Souvent, la sérénité va et vient dans ma vie selon les efforts que je fais pour l'accueillir ou la repousser. Je ne peux pas créer la sérénité par un effort de ma volonté, mais je peux créer un environnement favorable à son épanouissement.
Parfois, je régresse vers mes défauts de caractère. Souvent, cela se produit parce que je me laisse devenir affamé, en colère, solitaire ou fatiguée. Je suis alors plus susceptible de repousser la sérénité. Je peux manquer quelques réunions ou oublier d'appeler ma marraine. Je peux aussi recommencer à fréquenter des gens qui renforcent mes attitudes autodestructrices.
Il m'arrive aussi de faire ce qu'il faut pour inviter la sérénité dans ma vie. Je prends une bonne nuit de sommeil, je lis ma documentation Al-Anon en me levant, je fais de l'exercice, je mange bien, je fais mon travail de manière responsable, je vais à une réunion, et j'appelle quelqu'un dans le programme. Je continue de mettre en pratique les Étapes, particulièrement de la Quatrième à la Neuvième. Je continue de me réconcilier avec mon passé, et je demeure en paix en faisant la Dixième Étape. Je me sens plus ouverte à la sérénité.
Alors, qu'est-ce qui me fait balancer entre ces deux attitudes ? C’est mon consentement à m'abandonner. Il y a des jours où je n'ai tout simplement pas envie d'abandonner. Je me comporte comme un enfant et j'éloigne ma Puissance Supérieure en refusant de ne soumettre à Sa volonté. Il y a aussi des jours où l'abandon me vient aisément. J'avais l'habitude de croire que j'étais impuissante devant le consentement. Puis j'ai réalisé que ce n'était pas le cas. Lorsque je n’ai pas envie d'abandonner, je peux aussi abandonner cet état d'esprit ! Maintenant, une de mes prières favorites est « Mon Dieu, aide-moi à devenir consentante à consentir. »

Pensée du jour
Mon rétablissement commence ou s’arrête avec mon contentement.

« ... Nous laissons une Puissance supérieure à nous-mêmes faire pour nous ce que nous sommes incapables de faire. » Comment Al-Anon œuvre pour les familles et les amis des alcooliques, page 106

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 28 mai, page 149

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Des droits égaux

La plupart des groupes AA, à un moment donné, s'enivrent de règlements... Après un certain temps, la peur et l'intolérance se calment... Nous ne souhaitons refuser à personne sa chance de se rétablir de l'alcoolisme. Nous souhaitons être aussi ouverts que nous le pouvons, jamais fermés. La tradition des AA : son développement, pages 14 et 16

Chez les AA, on m'a laissé entièrement libre et on m'a accepté tel que j'étais. Mon admission ne dépendait pas de ma personnalité, de ma richesse ou de mon éducation, et j'en suis reconnaissant. Je me demande souvent si je suis aussi égalitaire face aux autres ou si je leur refuse le droit d'être différents. Aujourd'hui, j'essaie de remplacer ma peur et mon intolérance par la foi, la patience, l'amour et l'accueil, que ce soit dans mon groupe des AA, à la maison ou au travail. J'essaie d'avoir une attitude positive partout où je suis. Je n'ai ni le droit ni la responsabilité de juger les autres. Selon l'attitude que j'aurai, les nouveaux membres des AA, les membres de ma famille, mes amis m'apparaîtront comme des menaces ou des occasions d'apprendre. Quand je repense à certains de mes jugements passés, je vois clairement comment ma fausse vertu a pu me nuire au niveau spirituel.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 157

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Plus que le réconfort

Lorsque je me sens déprimé, je me répète des phrases du genre : « La souffrance est la pierre de touche du progrès », ... « Tu n'as rien à craindre », ... « Cela aussi passera », ... « Cette expérience peut être bénéfique ».
Ces bouts de prières m'apportent bien plus qu'un simple réconfort. Ils me maintiennent sur la voie de la véritable acceptation ; ils me libèrent de ma propension obsessive à la culpabilité, à la dépression, à la révolte et à l'orgueil. Parfois, ils m'apportent même le courage de changer les choses que je peux changer et la sagesse d'en connaître la différence. Grapevine, mars 1962

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 148

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28 mai - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Dans le mouvement A.A. nous apprenons que; parce que nous sommes alcooliques, nous pouvons être des gens qui sont utiles d'une façon toute spéciale. En d'autres mots, nous pouvons aider un autre alcoolique alors que quelqu'un qui n'a pas eu notre expérience de la boisson ne pourrait peut-être pas l'aider. Nous sommes ainsi utiles d'une façon unique. Les A.A. forment une association seule en son genre parce qu'ils se sont servis de leur échec, de leur défaite et de leur maladie la plus grave comme moyen d'aider les autres. Nous qui avons passé par ces épreuves, nous sommes les êtres humains qui peuvent le mieux aider d'autres alcooliques. Est-ce que je crois que je peux être utile d'une façon unique ?

Méditation du jour
Je devrais m'exercer à la présence de Dieu. Je peux ressentir qu'Il est avec moi et près de moi, pour me protéger et me rendre toujours plus fort. Malgré toutes les difficultés, malgré toutes les épreuves, malgré toutes les faiblesses, la présence de Dieu nous suffit. Le simple fait de croire qu'Il est près de moi m'apporte force et paix. Je devrais essayer de vivre comme si Dieu était tout près de moi. Je ne peux pas Le voir parce que je n'ai pas été créé avec cette possibilité autrement, la foi n'aurait plus sa raison d’être. Mais je peux me rendre compte que Son esprit est avec moi.

Prière du jour
Je demande de m'exercer à la présence de Dieu. Je de­ mande qu'en agissant ainsi. Je ne me sente plus jamais seul ou impuissant.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 151

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PENSÉE DU JOUR
Il est difficile de croire que l'autodiscipline peut signifier liberté. Dans mon ancienne façon de penser, la discipline signifiait travail, corvée, routine ou quelque chose contre quoi se rebeller. Mais j'apprends que discipliner mes réactions, garder mon calme, suivre le courant et vivre un jour à la fois me permettent de mettre de l'ordre dans ma vie chaotique. L'autodiscipline me donne de la satisfaction, de la confiance en moi, du respect de moi-même et elle me libère de sorte que je peux me lancer dans de nouvelles tentatives.

MÉDITATION DU JOUR
Aide-moi à me discipliner afin que je puisse être libre d'être moi-même.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je suis capable.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 28 mai

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Tel que nous concevons

« Nous avons fait l'examen de notre vie et nous avons découvert qui nous étions réellement. Être véritablement humbles, c'est accepter et essayer honnêtement d'être nous-mêmes. » Texte de base, page 45

Lorsque nous consommions, les exigences de notre maladie déterminaient notre personnalité. Nous pouvions être n'importe qui ou faire n'importe quoi pour obtenir notre drogue. Nous étions des machines à survie qui s'adaptaient aisément à toutes les circonstances de la vie de consommation.
Lorsque nous avons commencé notre rétablissement, nous avons adopté une vie nouvelle et différente. Plusieurs d'entre nous n'avaient aucune idée du comportement qui convenait à toute situation donnée. Certains d'entre nous ne savaient ni comment parler aux gens, ni comment s'habiller, ni comment se conduire en public. Nous ne pouvions pas être nous-mêmes, parce que nous ne savions plus qui nous étions.
Les Douze Étapes nous offrent une méthode simple pour trouver qui nous sommes réellement. Nous découvrons nos qualités et nos défauts, ce que nous aimons à propos de nous-mêmes et, également, les choses dont nous ne sommes pas si fiers. Grâce au pouvoir guérisseur des Douze Étapes, nous commençons à comprendre que nous sommes des individus, créés pour être ce que nous sommes par la Puissance supérieure telle que nous La concevons. Le vrai rétablissement commence lorsque nous comprenons que, si notre Puissance supérieure nous a créés ainsi, c'est qu'il est bon que nous soyons tels que nous sommes vraiment.

Juste pour aujourd'hui, en travaillant les étapes, je peux expérimenter la liberté d'être moi-même, d'être la personne que ma Puissance supérieure voulait que je sois.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 28 mai, page 156

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Et pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. Antoine de Saint-Exupéry

Ma façon actuelle de planifier mon avenir est bien différente des agissements que m'imposait autrefois ma mentalité d'outremangeur. À cette époque, je fonctionnais à l'envers ; j'anticipais sans cesse les résultats de mes projets, mais lorsqu'il s'agissait de les mettre en oeuvre, quelque chose me paralysait. Aujourd'hui je passe volontiers à l'action. Je demande à Dieu le courage de rechercher et d'accepter mes défauts ainsi que le désir sincère de prier pour qu'Il les élimine.
Voilà ce que j'ai à faire pour planifier mon avenir. J'accepte de changer afin de vivre en paix avec tout ce que l'avenir me réserve, et non pas pour décider ce que devrait être l'avenir.

Pensée du jour : Mes rêveries et mes voeux pieux moins fréquents sont un signe que je suis sur la voie du rétablissement.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 149

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« En faisant régulièrement cet examen, nous tirons des leçons de nos erreurs, bien sûr, mais nous en tirons aussi de nos bons coups. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 102

Est-ce que je procède à un examen approfondi, un inventaire de ma conduite, lorsque je fais ma Dixième Étape ? Ou est-ce que je me concentre davantage sur mes sentiments et mes pensées ? Il y a une immense différence entre faire un examen de conscience et être véritablement conscient. L'un consiste à s'observer minutieusement, alors que l'autre correspond plutôt à une façon d'être. Afin de mener à bien le processus en trois étapes constitué de l'examen de conscience, de la méditation et de la prière que nous enseignent les Dixième et Onzième Étapes, je dois me pencher soigneusement sur mes comportements. Je me demande à quel moment de la journée j'aurais pu manifester plus d'honnêteté, de bonne volonté, de discipline et d'amour. Comment puis-je appliquer ces principes dans mon quotidien ? En général, il suffit de prier, de méditer et de pratiquer davantage. De grâce, mon Dieu, montre-moi comment faire. Que Ta volonté soit faite et non la mienne.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 28 mai, page 149

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Pensée du jour
Dans le mouvement J.A., nous apprenons que, parce que nous sommes joueurs, nous pouvons être utiles d'une façon toute spéciale. En d'autres mots, nous pouvons aider un autre joueur alors que quelqu'un qui n'a pas eu notre expérience du jeu, ne pourrait peut-être pas le faire. Les membres J.A. forment une association unique en son genre parce qu'ils se servent de l'expérience acquise par leurs échecs, leur maladie incurable, pour aider les autres. Nous, qui avons passé par ces épreuves, sommes ceux qui peuvent le mieux aider les autres. Est-ce que je crois que je peux être utile d'une façon unique ?

Méditation du jour
Je devrais m'exercer à la Présence de Dieu. Je peux ressentir qu'Il est avec moi et près de moi, pour me protéger et me rendre toujours plus fort. Malgré toutes les difficultés, malgré toutes les épreuves, malgré toutes les faiblesses, la Présence de Dieu nous suffit. Le simple fait de croire qu'Il est près de moi m'apporte force et paix. Je dois vivre comme si Dieu était tout près de moi. Je ne peux pas Le voir parce que je n'ai pas été créé avec cette possibilité : autrement, la foi n'aurait plus sa raison d'être. Mais je peux me rendre compte que Son Esprit est avec moi.

Prière du jour
Je demande de m'exercer à la Présence de Dieu. Je demande qu'en agissant ainsi, je ne me sente plus jamais seul ou impuissant.

Joueurs Anonymes, 28 mai

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28 mai

Avant d'escalader une haute montagne, tu testerais sûrement tout ton équipement pour voir s'il est en bon état et si la corde n'a aucun défaut, car ta vie même en dépend. Tu choisirais un bon guide et aurais besoin d'avoir une confiance absolue en cette personne. Il te faudrait avoir le désir de suivre les instructions de guide et d'obéir à ses ordres sans poser de questions. Il en est de même avec cette vie spirituelle.
Avant d'avoir appris la discipline et l'obéissance, et d'avoir choisi de faire Ma volonté et d'obéir à Ma voix, tu ne peux espérer faire le premier pas dans cette vie d'aventure. Ce serait dangereux. Si tu te sens coincé dans une ornière, fais le point et trouve ce qui, au fond de toi, te retient. Que fais-tu concernant la discipline personnelle ? Peux-tu déjà te dire NON à toi même ? Qu'en est-il de l'obéissance ? Es-tu prêt à suivre Ma volonté, quel qu'en soit le prix ?

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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