Pensées 11 octobre 2018

Bonjour à toutes et à tous

« Si aider les autres vous paraît trop difficile, essayez au moins de ne pas leur nuire. » ( Dalai-Lama ) Être prêts à aider et à nous faire aider, ce sont les clés de notre rétablissement. Bien sûr qu'il n'y a personne au monde exactement comme nous ( voir 'Nous, en tant qu'individus, Réflexions de Bill, page 281 ) mais avec un Dieu tel que chacun de nous Le concevons comme Ps et en nous impliquant tel que notre Ps nous y invite comme membres et dans les services dans un ou plusieurs groupes d'entraide, nous ne sommes plus seuls. Nous ne comprenons pas comment ça marche vraiment. Ce que nous savons c'est que dans notre cas et pour la plupart des dépendants et codépendants, un, ce n'est pas assez. Nous avons appris que nous avons besoin d'un peu de détachement émotionnel pour continuer à aider d'autres personnes en rétablissement. Nous n'abandonnons ces personnes proches de nous. C’est simplement une solution de survie que de se détacher du problème. Nous pouvons continuer à aimer ces personnes tout en trouvant pénibles leurs comportements et leurs attitudes.

En apparence, cela peut sembler dur et nous ne comprenons pas tout le temps que tout le monde ne puisse approuver ce détachement. Nous faisons seulement notre part en partageant et en essayant d’être des témoins éclairés. La vérité c'est que les gens ne veulent pas être éclairés que jusqu'au moment où ils souhaitent être éclairés. Nous devenons souvent irritables quand quelque chose commence à fouetter notre conscience avant que nous ne soyons prêts à recevoir cette réalité et à la reconnaître comme telle. Nous ne souhaitons pas non plus nous sentir moins prêts lorsque nous faisons face aux aléas de notre petite vie quotidienne. Tous, nous pouvons maintenir seulement un certain nombre de boules dans les airs en même temps. Et quelques personnes sont plus douées que d'autres à cet égard pour ces jongleries... dont les artistes et clowns du Cirque du Soleil.

La plupart d'entre nous ont commencé à composer avec leur dépendance envers les autres. Ou, du moins, plusieurs entrevoient les vulnérabilités inhérentes à leurs propres dépendances. Nous avons probablement commencé tous et chacun à reconnaître et à soigner nos dépendances avec un mode de vie spirituel. Pour certains d’entre nous, ça va jusqu’à réaliser une rupture avec les rapports malsains que nous entretenons avec les autres, avec les vautours qui cherchent à se poser sur nos épaules et souvent qui nous invitent à tout laisser tomber. « En vieillissant, vous découvrirez que vous avez deux mains, l’une pour vous aider vous-même, et l’autre pour aider les autres. » ( Audrey Hepburn )

La plupart d'entre nous ont une stabilité émotionnelle solide comme une épine dorsale à laquelle nous pouvons avoir recours même dans une situation qui autrement incite qui que ce soit à la panique. C'est comme si un peu de métal parcourait notre épine dorsale, aidant à des personnes en crise à passer au travers des situations pénibles, désagréables ou carrément effrayantes.

Ainsi l’automne, nous pouvons planter un bulbe (comme les tulipes rouges pour aider les chercheurs sur la maladie de Parkinson, 245 Soumande St #218, Québec, QC G1M 3H6, (418) 527-0075) et même l’inviter à pousser par exemple… nous tenir au-dessus de ce bulbe et lui demander de pousser ne fait pas surgir pour autant une rangée de fleurs. Et ces bulbes plantés trop creux, pas assez profondément, dans un sol non cultivé ou dans un sol exempt de n'importe quel type de matière organique ne sont pas des bulbes gaspillées... et nous n'avons pas perdu notre temps puisque, pendant ce temps, nous, nous sommes restés abstinents.

Merci la Vie !!!
Gilles

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À mes débuts dans Al-Anon, on m'a suggéré de me renseigner sur la maladie de l'alcoolisme et je me suis mise à lire avidement sur le sujet. À partir de mes lectures, j'ai commencé à tout analyser : Est-ce qu'Al-Anon était une philosophie ou un système philosophique ? Quel résultat logique la foi en une Puissance supérieure à moi-même pouvait-elle apporter ? Et quand au juste l'alcoolique aurait-il un réveil spirituel ?
Ces questions et d'autres de même nature gardaient mon esprit occupé et ne contribuaient pas à mon rétablissement. Heureusement, j'ai continué d'assister aux réunions Al-Anon et j'ai lu, relu et répété les Douze Étapes et les Douze Traditions. Graduellement, j'ai commencé à comprendre. Quand j'ai cessé d'essayer d'analyser et de tout expliquer, et que j'ai commencé à vivre selon les principes, les appliquant vraiment dans des situations de tous les jours, le programme Al-Anon a soudainement fait du sens — et j'ai commencé à changer.

Pensée du jour
L’analyse de ma situation m'apporte-t-elle d'utiles prises de conscience ou est-elle une tentative pour contrôler l'incontrôlable ? Est-ce que je procède à mon inventaire ou est-ce que j'évite de faire ce qui doit être fait en gardant mon esprit occupé ? J'ai entendu dire que savoir, c'est pouvoir. Mais parfois, ma soif de connaissance peut se révéler une tentative pour exercer un pouvoir là où je suis impuissant. Au lieu de cela, je peux faire ma Première Étape.

« On ne peut comprendre la vie qu'en regardant en arrière, mais on doit la vivre en regardant en avant. » Soren Kierkegaard

Al-Anon, Le Courage de Changer, 11 octobre, page 285

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Ma façon de faire face à l'insanité et au chaos en grandissant dans un milieu alcoolique, c'était de ne pas y faire face. Je m'évadais dans un monde fantastique par les livres et l'art, et je me détachais au plan physique et émotif de ce qui se passait autour de moi. Ma famille pouvait se quereller toute la journée, cela ne me touchait pas, car j'étais bien loin.
Quand j'ai fini par trouver mon chemin vers Al-Anon, des années passées à m'isoler m'avaient laissé avec des cicatrices qui n'allaient pas guérir du jour au lendemain. J'avais notamment une piètre estime de moi, j'étais mal à l'aise en société, et je me connaissais bien mal. Étant un jeune homme homosexuel, je me sentais encore plus différent des autres dans les groupes où j'allais. J'étais certain que personne ne pourrait m'aider sans être semblable à moi.
J'ai fini par trouver ce que je croyais rechercher — un groupe Al-Anon pour hommes homosexuels et enfants adultes d'alcoolique. Assis à ce groupe semaine après semaine, découvrant de nouvelles raisons de me sentir seul et isolé, j'ai commencé à réaliser deux choses. Peu importe comment nous semblons être différents, nous sommes tous très semblables. Peu importe comment nous avons l'air de nous ressembler, nous sommes tous très différents. C'est alors que j'ai constaté que mon problème n'avait rien à voir avec les groupes où j'allais, mais qu'il avait tout à voir avec mon ouverture d'esprit.

Pensée du jour
Être prêt à aider et à me faire aider par toutes sortes de gens est une des clés de mon rétablissement.

« Je comprends maintenant que je suis unique. Il se peut qu'il n'y ait personne au monde exactement comme moi, mais avec Dieu comme coéquipier et en tant que membre d'une telle fraternité, je ne suis pas seule. » ... dans tous les domaines de notre vie, page 123

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 11 octobre, page 285

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Maîtrise de soi

Notre premier objectif sera d'acquérir de la maîtrise de soi. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 103

En me rendant au travail le matin, j'en profite pour faire mon examen de conscience. Un jour, durant le trajet, j'ai commencé à passer en revue mes progrès, depuis que je suis sobre, et je n'ai pas aimé ce que j'ai constaté. J'espérais que ces pensées troublantes s'évanouiraient au travail, mais les contrariétés se sont accumulées ce jour-là, et mon malaise n'a fait que croître et ma tension intérieure, monter.
Je me suis assis à une table en retrait à la cafétéria, et je me suis demandé comment tirer profit du reste de la journée. Autrefois, quand ça n'allait pas, je cherchais instinctivement à réagir. Mais pendant le peu de temps que j'avais passé chez les AA, j'avais appris à prendre du recul et à m'examiner moi-même. Je me suis aperçu que, même si je n'étais pas comme je voulais être, j'avais appris à ne pas réagir comme autrefois. Mes anciens comportements n'avaient réussi qu'à causer souffrances et chagrin, chez moi et chez les autres. Je suis retourné à mon poste, décidé à faire une bonne journée de travail et remerciant Dieu de m'avoir donné une occasion de progresser ce jour-là.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 11 octobre, page 293

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De la foi — un plan — du travail



« L’idée de « vivre vingt-quatre heures à la fois » s'applique principalement à la vie émotionnelle de chacun. Au niveau de l'émotion, nous ne devons vivre ni hier ni demain.
« Par contre, il ne m'est jamais venu à l'esprit que cette règle signifie que le membre, le groupe ou le mouvement des AA dans son ensemble ne doit pas envisager ce qu'il sera demain ou plus tard. La foi seule n'a jamais pu construire la maison dans laquelle vous vivez. Il a fallu un plan et beaucoup de travail pour la concrétiser.
« Rien n'est plus vrai pour les membres des AA que cette phrase de la bible : « La foi sans les œuvres est une foi morte ». Les services AA, tous destinés à favoriser la pratique de la Douzième Étape, nous offrent des activités qui nous permettent de vivre et de progresser à l'abri de l'anarchie ou de la stagnation. » Lettre, 1954

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 284

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11 octobre - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Suis-je vraiment un bon parrain ? Quand j'ai accompagné un nouveau venu dans une assemblée, est-ce que je crois que ma responsabilité finit à ce moment-là ? Ou bien, au contraire, est­ ce que je reste avec lui dans ses difficultés jusqu'à ce qu'il soit devenu un bon membre A.A. ou qu'il ait trouvé un autre parrain ? S'il ne vient pas à une assemblée, est-ce que je me dis : « Eh bien ! Il connaît le mouvement, s'il n'en veut pas, je ne peux rien faire de plus ? » Ou bien, est-ce que je vais le voir : est-ce que je me renseigne afin de savoir s'il a une raison valable pour excuser son absence ou si vraiment il refuse de se joindre au mouvement A.A. ? Est-ce que je fais tout en mon possible pour découvrir si je ne peux pas faire quelque chose pour l'aider ? Suis-je un bon parrain ?

Méditation du jour
« Réconcilie-toi d'abord avec ton frère et viens ensuite présenter ton offrande à Dieu. » Je dois d'abord faire la paix avec les humains et je peux ensuite être en paix avec Dieu. Si j'ai du ressentiment envers mon prochain, ressentiment que je trouve très difficile à surmonter, je devrais essayer d'occuper mon esprit à des choses constructives. Je devrais prier pour celte personne contre laquelle j'ai du ressentiment. Je devrais la confier au soin de Dieu et laisser Dieu lui enseigner comment elle doit vivre. « Si un homme dit : « J'aime Dieu » et déteste son frère, il est un menteur, car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il n'a jamais vu ? »

Prière du jour
Je demande de voir quelque chose de Dieu dans chaque personne, même dans une personne qui me déplaît. Je demande de laisser Dieu développer le bien dans cette personne.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 287

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PENSÉE DU JOUR
Mon apparence extérieure est une bonne indication de mon image intérieure. Quand ma stabilité émotive intérieure part à la dérive, il est temps de mettre avant tout de l'ordre dans mon apparence extérieure. Mes vêtements sont-ils propres ? Ont-ils besoin d'être réparés ? Mes cheveux sont-ils peignés, propres, bien coiffés ou bien coupés ? Pourquoi pas un long bain chaud ou une douche ? À quand remonte ma dernière visite chez le dentiste, ou mon plus récent examen médical ? Je dois m'assurer que mes difficultés émotives ne sont pas aggravées par un mal physique comme une allergie, des fluctuations du taux de sucre dans mon sang ou un déséquilibre chimique. Maintenant que je suis rafraîchi et que j'ai fière allure, je peux appeler quelques amis pour prendre un café ou un goûter, ou je peux inviter des gens à la maison. Faire ces choses peut m'aider à changer mes attitudes.

MÉDITATION DU JOUR
Mon corps abrite l'âme que Tu m'as donnée. Aide-moi à garder ce corps en bon état.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Prendre soin de moi, c'est m'occuper de tous les aspects de ma vie sur tous les plans, physique, mental, émotif et spirituel.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 11 octobre

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Visions et attitudes

« Nos meilleures idées ont été la cause de nos pires problèmes... Le rétablissement est l'action de changer nos idées et nos attitudes. » Texte de base, page 68

Pendant notre dépendance active, le monde nous paraissait probablement un endroit horrible. La consommation nous aidait à tolérer ce que nous voyions. Aujourd'hui, par contre, nous comprenons que le vrai problème ne se trouvait pas dans le monde. C'étaient nos idées et nos attitudes envers le monde qui nous mettaient dans l'impossibilité d'y trouver une place confortable.
Nos attitudes et nos idées sont les lentilles à travers lesquelles nous voyons notre vie. Si nos « lunettes » sont sales, notre vie nous paraît terne. Si nos attitudes ne sont pas ajustées, le monde entier nous semble déformé. Pour voir le monde clairement, nous avons besoin de garder des attitudes et des idées claires, dépourvues de ressentiment, de déni, d'apitoiement et de fermeture d'esprit. Pour nous assurer que notre vision de la vie est bien ajustée, nous devons accorder nos idées avec la réalité.
Dans la dépendance, nos meilleures idées nous empêchaient de voir clairement le monde et le rôle que nous y tenions. Le rétablissement sert à corriger la perception de notre vision. En éliminant notre déni et en le remplaçant par la foi, l'honnêteté, l'humilité et le sens des responsabilités, les étapes nous aident à voir notre vie d'une façon entièrement nouvelle. Ensuite, les étapes nous aident à garder notre vision spirituelle claire, en nous encourageant à examiner régulièrement nos idées, nos attitudes et nos actions.
Aujourd'hui, vu à travers les lentilles propres de la foi et du rétablissement, le monde nous paraît un endroit agréable où il fait bon vivre.

Juste pour aujourd'hui, je verrai le monde et ma vie à travers les « lunettes » spirituelles de mon programme.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 11 octobre, page 299

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Se mentir à soi-même est un comportement plus profondément enraciné que de mentir aux autres. Fédor Dostoïevski

Je vis avec moi chaque minute de chaque jour. En aucun temps, je ne puis échapper à mes faiblesses ni prendre congé de moi. Or, il est difficile de devoir supporter cette inlassable petite voix qui me ramène sans cesse à mes fautes et mes erreurs, c'est pourquoi je me rabats sur l'aliénation que je connais si bien. Dans ce pays de Cocagne, les choses ne correspondent pas à la réalité ; elles sont ce que je veux bien qu'elles soient.
Par la mise en pratique du programme de rétablissement, je trouve de meilleures façons de soulager mes angoisses. Je m'arrête pour exprimer ce que je ressens, verbalement ou par écrit. C'est curieux : la vérité est tellement plus facile à supporter lorsque je la regarde bien en face et honnêtement, sans adopter une attitude défensive.

Pensée du jour : C'est dans la mesure où je prends le temps d'exprimer ce que je ressens que je puis être à l'aise avec moi-même tout en apprenant des choses importantes.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 285

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« ( Nous pouvons... ) Accepter que nous allons peut-être éprouver le besoin pressant de manger compulsivement à plusieurs reprises. Or, l’expérience nous montre que de tels sentiments finissent par passer, (Nous pouvons... ) Nous rappeler qu'à chaque fois que nous faisons face à une situation sans manger compulsivement, il sera plus facile de nous abstenir la prochaine fois. Nous pouvons vivre notre vie sans manger compulsivement. » Pensez d'abord...

La plupart du temps, je suis libéré de ma compulsion et je ne pense pas à la nourriture, mais il arrive encore quelques fois que cela me traverse l'esprit. Alors, je dois me rappeler que je ne suis pas seul et que mes fringales ne font pas de moi un raté.
Je me suis prouvé que plus je m'abstiens d'outremanger, plus c’est facile de rester abstinent. Lorsque je mange compulsivement, je renforce ma compulsion. Je ne vais peut-être pas passer à l’acte en me gavant, mais mon obsession augmente et le problème s’aggrave. Grâce à ma Puissance supérieure, j'ai la possibilité de dire « Je ne veux pas manger cela, je ne veux pas prendre cette direction-là. Je sais ce qui m'attend si je le fais ». J'ai appris que je pouvais me détourner de cette voie, choisir celle de l'abstinence et continuer ma route. L'obsession se dissipe et, souvent, j'en oublie ma fringale. Quel cadeau !

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 11 octobre, page 285

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Pensée du jour
Suis-je vraiment un bon parrain? Quand j'ai accom­pa­gné un nouveau dans une assemblée, est-ce que j'ai cru que ma responsabilité se termi­nait là? Ou bien est-ce que je suis resté avec lui tentant de comprendre ses difficul­tés jusqu'à ce qu'il soit devenu un bon membre J.A. ? S'il est absent à une assem­blée, est-ce que je le juge et crois automati­quement qu'il a déjà démis­sionné? Ou bien, au contraire, est-ce que je conti­nue à l'ai­der en communiquant avec lui et en m'informant sur ses inten­tions? Est-ce que je fais tout mon possible pour faire quelque chose pour l'aider? Suis-je un bon parrain?

Méditation du jour
« Réconcilie-toi d'abord avec ton frère et viens ensuite présenter ton offrande à Dieu. » Je ferai d'abord la paix avec les humains pour finalement être en paix avec l’Être Divin. Si j'ai de la difficulté à surmonter mon ressentiment, je dois essayer d'occuper mon esprit à des choses constructives. Il me faut prier pour cette personne contre laquelle j'ai du ressentiment. Je dois la con­fier au soin de l’Amour Divin et Le laisser lui enseigner comment elle doit vivre. « Si un homme dit : ‘ J'aime Dieu ‘ et déteste son frère, il est un menteur ; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il n'a jamais vu ? »

Prière du jour
Je demande de voir quelque chose de Divin dans chaque personne, même dans une personne qui me déplaît. Je demande de laisser Dieu développer le bien dans cette personne.

Joueurs Anonymes, 11 octobre

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11 octobre

Le fruit de l'Esprit est la joie. Qu'il y ait donc plus de joie dans ta vie, plus d'amusement et plus de rire ! Il est tellement important qu'il y ait équilibre et modération en toute chose afin d'apprécier pleinement la vie. Tu peux aimer le travail que tu fais et avoir l'impression que tu n'as pas besoin de changement. Mais, de temps en temps, tu as besoin de rompre avec cela et de faire quelque chose d'entièrement différent pour changer ton rythme de vie. Tu verras que si tu le fais, tu pourras retourner au travail qu'il faut faire en étant totalement rafraichi, et tu le pourras avec un élan et un plaisir nouveaux. La vie ne devrait jamais être un fardeau ! Tu n'es pas là pour être courbé sous le poids du monde. Tu es là pour tirer le maximum de la vie et en aimer chaque instant, parce que tu as une vie équilibrée, et que tu donnes et reçois constamment.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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