Pensées 15 octobre 2018
Par Gilles - le lundi 15 octobre 2018, 07:05 - Pensées et réflexions - Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous
« La prière et la méditation sont nos principaux moyens de communication consciente avec Dieu. » ( 12x12, 11e Étape, page 107 ) Plusieurs d'entre nous associent la prière et la méditation à des moyens d'obtenir un pardon, une réponse, la réalisation d'un vœu, un signe qui émanerait de l'énergie divine. Peu importe la sincérité de notre geste ou de notre cœur, ce sont des expériences spirituelles. Plusieurs d'entre nous croient en différentes prières (prières ou demandes d'action de grâce ou une simple communication avec notre Être suprême). Pour certains la prière et la méditation ne constituent finalement qu'une pensée ou qu'un acte magique. Pour d'autres, ce sont une série d'exercices pour progresser, pour entreprendre un parcours ésotérique, alchimique même, dont le but ultime est de subir une transformation intérieure. Nous pouvons nous abandonner à cette énergie divine qui nous habite, qui dépasse tout entendement. Tous, nous y avons accès, sans autre distinction ou restriction que la bonne volonté de poursuivre notre cheminement pas-à-pas, avec notre Puissance supérieure pour guide.
Nous avons entendu souvent que la différence entre la prière et la méditation c’est que pendant la prière, nous demandons à Dieu quelque chose, et pendant la méditation, Dieu nous parle pour nous donner des réponses. Quand nous prions, il est quasi impossible de prier de manière désintéressée. La confiance que nous avons en notre Ps fait que tout ce qui se passe ou nous arrive nous sommes guidés par Dieu tel que nous Le concevons dans notre rétablissement. Il semble quelques fois totalement inutile de prier pour quelque chose pour soi-même ou pour les autres. Par exemple, une personne peut prier Dieu d'être relevée de sa propre souffrance, alors qu'une autre peut voir sa propre souffrance comme un don de Dieu pour réaliser quelque dessein divin. Et qui suis-je pour prier Dieu de soulager les autres de leurs souffrances ? Nous ne connaissons pas les intentions de Dieu. Et si ce qui se passe était Sa volonté ? Qui suis-je pour dire que Sa gouverne n'a pas de sens ? « La méditation, c’est une conscience claire de tout évènement, un souffle apaisé, un accord avec le monde. » ( Blaise Pascal )
« La méditation n’est pas une évasion mais une rencontre sereine avec la réalité. » ( Thich Chat Hanh ) La méditation est plus souvent mais pas tout le temps vide de désirs égoïstes, d'attentes limitées. Nous sommes comblés sans limite avec la gouverne de Dieu, d'inspiration, de lumière et d'amour. Nous pouvons nous asseoir tranquillement dans un lieu plus ou moins sacré, nous détendre et nous centrer. Nous pouvons demeurer silencieux, détachés, sans commentaires, ni jugements. Comme c'est souvent le cas, il y a des moments où ça ne marche pas et au lieu de nous chicaner nous-même, nous pouvons nous reprendre à un autre moment.
La méditation et la prière sont des habitudes pour nous, des moyens non de nous libérer de nos défauts paralysants mais plutôt de reconnaître Son intention dans TOUT et de remercier notre Être suprême pour TOUT. Au cours de la journée, nous pouvons souvent penser ou agir avec une certaine spontanéité, en acceptant la vie pour ainsi dire sans réserve, malgré les pépins que parfois nous rencontrons. Les pépins font aussi partie du fruit. Nous arrivons presque à dire merci pour TOUT, tout le temps.
« L’une des plus précieuses récompenses que peuvent nous apporter la prière et la méditation, c’est sans doute le sentiment d’appartenance que nous en tirons. … Dès que nous pouvons, ne serait-ce qu’un instant entrevoir la volonté de Dieu, dès que nous commençons à considérer la vérité, la justice et l’amour comme les vraies valeurs, les valeurs éternelles de la vie, plus rien ne vient nous bouleverser de tout ce qui semble être la preuve du contraire dans l’ordre purement humain qui nous entoure. Nous savons que Dieu veille avec amour sur nous. Nous savons qu’en nous tournant vers Lui, tout ira bien pour nous, ici-bas et dans l’au-delà. ( Les Douze Étapes et les Douze Traditions, 11e Étape, page 118 )
Merci la Vie !!!
Gilles
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Le pardon a été ce que j'ai trouvé comme étant la forme de détachement dénotant le plus d'amour. Au lieu de considérer le pardon comme une brosse pour nettoyer l'ardoise de l'autre personne, ou comme un maillet pour déclarer cette personne « non coupable », je vois le pardon comme une paire de ciseaux. Je m'en sers pour couper les cordons du ressentiment qui me lient à un problème ou à une vieille blessure. En laissant aller mon ressentiment, je me libère.
Quand je suis rongé par un sentiment négatif provoqué par le comportement d'une autre personne, je perds mon objectif. Je n'ai pas à tolérer ce que je considère inacceptable, mais me complaire dans le négativisme ne changera rien à la situation. S'il y a des mesures à prendre, je suis libre d'agir. Là où je suis impuissant à changer la situation, je la remettrai à ma Puissance Supérieure. En lâchant vraiment prise, je me détache et je pardonne.
Quand mes pensées ne sont qu'amertume, peur, apitoiement et rêves de vengeance, il y a peu de place pour l'amour ou pour la petite voix intérieure qui me guide. Je suis disposé à m'aimer suffisamment pour admettre que le ressentiment me nuit et alors, je peux lâcher prise.
Pensée du jour
Chaque fois que j'essaie de resserrer le nœud du ressentiment autour du cou de quelqu'un, en réalité c'est seulement moi que j'étouffe. Aujourd'hui, je pratiquerai plutôt le pardon.
« Une partie de moi veut s'accrocher à mes ressentiments d'autrefois, mais je sais que plus je pardonne, meilleure est ma vie. » ... dans tous les domaines de notre vie
Al-Anon, Le Courage de Changer, 15 octobre, page 289
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J'avais l'habitude de passer beaucoup de temps à ne rien faire. Je regardais le monde passer tout en m'accusant de ne rien faire. Quand j'agissais, c'était souvent en réaction. Je réagissais de manière impulsive et compulsive aux paroles et aux comportements de tous ceux qui m'entouraient. C'était comme si je ricochais constamment entre deux murs marqués « inactif » et « réactif ».
J'ai utilisé certains outils Al-Anon pour travailler sur ces défauts de caractère. Afin de cesser de réagir, j'ai utilisé le slogan « Est- ce si important ? » et la Douzième Tradition qui me suggère de « placer les principes au-dessus des personnalités ». La Prière de Sérénité, le slogan « Ça commence par moi » et la Onzième Étape m'aident à transformer mes rêves en réalité en décidant avec sagesse des gestes que je pose.
Je dois me souvenir de cultiver l'équilibre entre l'action et l'inaction. L’impulsivité peut s'avérer un piège tout autant que l'immobilisme. J'évite ce piège en priant pour obtenir les conseils de ma Puissance Supérieure avant d'agir. Il est important que j'attende — que je sois inactif — en attendant d'être guidé.
Cela m'aide si je n'oublie pas qu'une période d'attente et de préparation intérieure, ce que j'appelais auparavant ne rien faire, est nécessaire pour que je découvre comment agir. Quand ma Puissance Supérieure et moi sommes prêts, les choses prennent leur place d'une manière qui n'aurait pas été possible si j'avais agi seul.
Pensée du jour
Les conseils de ma Puissance Supérieure me suggèrent qu'il est préférable de confier à Dieu mes décisions concernant mes temps de repos, de préparation et d'action, car Il sait choisir le bon moment avec perfection.
« Je serai conscient que, même en ne faisant rien pour solutionner mes problèmes, je vis activement selon la philosophie Al-Anon. » Al-Anon un jour à la fois, page 143
Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 15 octobre, page 289
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Mon inventaire, pas celui des autres
Nous prenons... un certain plaisir à répandre des commérages envenimés de colère, ce qui revient à commettre le meurtre sous la forme élégante de l'assassinat des réputations. Ici, nous ne cherchons pas à aider ceux que nous critiquons mais plutôt à faire valoir nos propres mérites. Les Douze Étapes et les Douze Traditions. pages 77-78
Il m'arrive parfois de ne pas me rendre compte avant la fin de la journée, au moment de l'inventaire quotidien, que j'ai bavardé dans le dos de quelqu'un et que ces commérages ternissent ma journée. Comment ai-je pu dire de telles choses ? Ces ragots s'insinuent dans la conversation pendant les pauses café ou le repas du midi avec mes associés, ou encore le soir, quand, fatigué de ma journée, je me crois justifié de me faire valoir aux dépens de quelqu'un d'autre.
Les défauts tels que le commérage s'infiltrent dans ma vie quand j'oublie la pratique constante des Douze Étapes de rétablissement. Je dois me rappeler que si j'ai la chance d'être unique, il en va de même de chaque être humain qui croise ma route durant le voyage de la vie. Aujourd'hui, le seul inventaire que j'ai à faire est le mien. Je vais laisser au Juge suprême — la Divine Providence — le soin de juger les autres.
Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 15 octobre, page 297
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La sobriété émotive
Si nous examinons les choses qui nous dérangent, les grandes comme les petites, nous trouverons à la racine une dépendance malsaine et les exigences tout aussi malsaines qui en découlent. Puissions-nous, avec l'aide de Dieu, renoncer chaque fois à ces exigences qui nous entravent.
Nous serons alors libres de vivre et d'aimer. Nous serons peut-être capables alors de transmettre, là nous-mêmes et à d'autres, le message de la sobriété émotive. Grapevine, janvier 1958
Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 288
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15 octobre - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Suis-je profondément reconnaissant envers les A.A. pour ce qu'ils ont fait pour que je retrouve ma sobriété et que je connaisse une vie entièrement nouvelle ? Le mouvement A.A. m'a rendu la possibilité de poursuivre d'autres intérêts, en affaires et dans différentes associations. Il m'a rendu possible une vie utile. Il serait peut-être malheureux que toute mon activité soit limitée au travail A.A. Le mouvement m'a rendu une vie équilibrée en ce qui a trait à mon travail, mes distractions et mes divers passe-temps. Mais, vais-je abandonner les A.A. à cause de ce résultat ? Vais-je recevoir un parchemin et devenir un diplômé A.A. ? Est-ce que je me rends compte que je ne posséderais rien de cela sans les A.A. ?
Méditation du jour
Il n'y a qu'un seul moyen d'obtenir du bonheur dans la vie, c'est de vivre selon ce que vous croyez être la volonté de Dieu. Vivez avec Dieu dans cette partie intime de votre esprit et vous vous sentirez sur la bonne voie. Vous serez profondément satisfait. Le monde signifiera quelque chose pour vous et vous aurez une place dans ce monde, un travail important à faire dans l'ordre éternel des choses. Plusieurs circonstances vous aideront aussi longtemps que vous vous sentirez du côté de Dieu.
Prière du jour
Je demande de comprendre la valeur éternelle de ce que je fais. Je demande de ne pas travailler uniquement pour le présent, mais aussi pour l'éternité.
Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 291
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PENSÉE DU JOUR
Lors d'une réunion, quelqu'un a dit que l'agressivité vient de ce que les autres ne répondent pas à nos attentes. Si cela est vrai et que je sais que c'est vrai pour moi, j'ai alors deux choix. Je peux rester agressif ou je peux diminuer mes attentes. Si je choisis de rester agressif, la seule personne que je blesse est moi-même. Ma pression monte, j'ai des indigestions, des maux de têtes et je deviens dépressif. Ou je peux choisir de diminuer mes attentes. C'est une autre façon d'abandonner ce que je ne peux contrôler, de ne pas jouer à Dieu en pensant que ma manière est la seule bonne manière.
MÉDITATION DU JOUR
Je demande à Dieu de m'aider à faire face à mon agressivité en toute honnêteté.
AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Des attentes irréalistes envers moi ou les autres créent de l'agressivité en moi.
Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 15 octobre
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Choisir
« Nous n'avons pas choisi d'être dépendants. » Texte de base, page 4
Dans notre enfance, nous avions tous des rêves. Tous les enfants se sont un jour fait demander par un parent ou un voisin : « Qu'est-ce que tu veux devenir, toi, quand tu seras grand ? » Même si certains d'entre nous n'avaient pas des rêves de succès compliqués, la plupart d'entre nous souhaitaient avoir du travail et une famille, et vivre dans la dignité et le respect. Personne ne nous demandait : « Veux-tu devenir dépendant des drogues quand tu seras grand ? »
Nous n'avons pas choisi de devenir des dépendants et nous ne pouvons pas choisir de cesser d'être des dépendants. Nous sommes atteints de la maladie de la dépendance. Nous ne sommes pas responsables de notre maladie, mais nous sommes responsables de notre rétablissement. Depuis que nous avons appris que nous sommes des personnes malades et qu'il y a un moyen de se rétablir, nous pouvons cesser de blâmer les circonstances — ou de nous blâmer nous-mêmes — et commencer à vivre la solution. Nous n'avons pas choisi la dépendance, mais nous pouvons choisir le rétablissement.
Juste pour aujourd'hui, je choisis le rétablissement.
Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 15 octobre, page 303
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Certaines pensées sont des prières. Il y a des moments où, quelle que soit l'attitude du corps, l'âme est à genoux. Victor Hugo
La prière est désormais devenue une habitude, un moyen de me libérer de mes défauts paralysants. Au cours d'une journée, je peux souvent penser ou agir avec une certaine spontanéité, en acceptant la vie pour ainsi dire sans réserve. Cela, pour moi, est une forme de prière. Comme prier me réconforte, je ne gaspille pas de temps à désirer que les choses soient autrement. La prière me permet de composer avec les événements et me donne l'énergie nécessaire pour faire face aux situations que je peux changer comme la maladie, les crevaisons, les fuites dans le toit de la maison. La prière me permet d'aimer la vie et d'en profiter, de vivre sans crouler sous le poids de la culpabilité attachée à mes fautes passées.
Pensée du jour : Mon esprit est ouvert à l'idée de prier tout au long de la journée, où que je sois ou quoi que je fasse.
Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 289
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« Tout ce que nous avons à faire, c'est être prêts à renoncer à ce qui fait obstacle à l'humilité vraie : le manque d'estime de soi, la fatuité et le désir exagéré d'être reconnus. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 75
Lorsque j'ai adhéré aux OA, on m'a dit que l'humilité était essentielle. Je ne savais pas trop ce que les membres entendaient par « humilité » et je n'étais certes pas convaincu d'avoir envie de le savoir. Puis, un jour, j'ai entendu dire que l'humilité signifiait « être disposé à apprendre ». Intérieurement, je me suis dit : « Je crois que je peux y arriver ».
J’avais beaucoup de nouvelles choses à apprendre chez les OA : comment être honnête face à moi-même, comment utiliser les outils pour mettre les Douze Étapes en pratique, comment composer à la fois avec les nouveaux et les vieux ressentiments, comment appliquer les principes des Douze Étapes dans tous les domaines de ma vie. Chaque jour, d'une manière ou d'une autre, je dois être disposé à apprendre. Aujourd'hui, je suis prêt à échanger mon ancienne façon de faire, qui n'a pas fonctionné, contre un nouveau mode de vie qui me permet de me rétablir de la compulsion alimentaire.
Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 15 octobre, page 289
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Pensée du jour
Suis-je profondément reconnaissant envers les J.A. pour ce qu'ils ont fait pour que je retrouve ma sobriété et que je connaisse une vie entièrement nouvelle ? Le mouvement J.A. m'a rendu la possibilité de poursuivre d'autres intérêts en affaires et dans différentes associations. Il m'a amené dans une vie utile. Il serait peut-être malheureux que toute mon activité soit limitée au travail J.A. Le mouvement m'a donné une vie équilibrée en ce qui a trait à mon travail, mes distractions et mes divers passe-temps. Vais-je maintenant abandonner les J.A. à cause de ce résultat ? Vais-je recevoir un parchemin et devenir un diplômé J.A. ? Est-ce que je me rends compte que je ne posséderais rien de cela sans les J.A. ?
Méditation du jour
Il n'y a qu'un seul moyen d'obtenir du bonheur dans la vie, c'est de vivre selon ce que vous croyez être la Volonté de Dieu. Quand vous vivez avec Lui dans cette partie intime de votre esprit, vous vous sentez sur la bonne voie. Vous êtes profondément satisfait. Le monde signifie quelque chose pour vous et vous avez une place dans ce monde et comme conséquence un travail important à accomplir. Plusieurs circonstances vous aident aussi longtemps que vous vous sentez du côté du Créateur.
Prière du jour
Je demande de comprendre la valeur éternelle de ce que je fais. Je demande de ne pas travailler uniquement pour le présent, mais aussi pour l'éternité.
Joueurs Anonymes, 15 octobre
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15 octobre
Vis et travaille, mais n'oublie pas de jouer, de t'amuser et de jouir de la vie. Il faut de l'équilibre en tout. Trop de travail et pas de jeu rend la vie bancale, et te rend terne et inintéressant. Recherche l'équilibre parfait en tout ce que tu fais, et tu verras que la vie est une vraie joie. Il te faut de la variété dans la vie, alors pourquoi ne pas « décrocher », et essayer quelque chose de complètement différent, non pas que ce que tu fais t'ennuie ni parce que tu veux fuir, mais parce que tu te rends compte que tu as besoin de changement ?
Quand tu pourras le faire sans aucune culpabilité, tu verras que tu pourras assumer toutes tes tâches dans une nouvelle perspective ; et, qui plus est, tu pourras le faire avec un vrai plaisir. Quelle est l'utilité de la vie si tu ne peux pas en jouir et avoir du bon temps dans tout ce que tu entreprends, que tu l'appelles travail ou jeu ?
La Petite Voix, Eileen Caddy
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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.
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