Pensées 19 mars 2019

Bonjour à toutes et à tous

Fitzhugh Dodson a écrit que tout se joue chez chacun de nous avant l'âge de six ans. « L’amour d’une mère pour son enfant est plus important que toute la documentation scientifique. Et l’amour d’une mère est plus important que tout le bon sens qu’elle peut montrer en l'élevant. » ( Fitzhugh Dobson ) Nous sommes, tous ou presque, porteurs d’émotions et de blessures ramassées dans notre petite enfance. Ce sont encore quelquefois des blessures ouvertes, tatouées ou présentes dans notre mémoire affective. Issues de situations inachevées qui côtoient des souvenirs limpides ou confus, anesthésiés ou refoulées, ces blessures de notre enfance nous ont transformés parfois en écorchés vifs. Quelquefois, une telle blessure a son origine dans un événement, un geste parfois banal, une parole incongrue, un ressenti ou un sous-entendu et a été vécue ou perçue comme de la violence. Le présumé agresseur ne nous a pas fait nécessairement violence, mais nous pouvons en avoir ressenti l’impact, comme une meurtrissure. Dans certains cas d'inceste, l'agresseur est seulement plus cajoleur, enjôleur, séducteur et plus affectueux que les autres adultes dans notre vie. La blessure n'en est que plus profonde.

Dans notre vie relationnelle d’adulte, nous sommes capables d’entretenir les blessures de notre enfance comme des rites de notre histoire familiale, à travers des rencontres et des relations qui sont toxiques pour nous et même si elles sont dysfonctionnelles, ce sont celles auxquelles nous nous sommes attirés et nous nous accrochons. Notre Ps nous mène à notre difficulté dans le but de nous orienter vers des rencontres vivifiantes qui vont tout doucement apaiser nos blessures, éviter leur retour dans notre vie affective et amoureuse. « À première vue, il lui paraîtra comme une chirurgie parfaitement inutile de rouvrir ces plaies du coeur dont certaines ont vieilli, ou sont peut-être oubliées, ou sont encore infectées et douloureuses.» ( 12x12, 8e Étape, page 88 ) Les blessures se dissipent au partage avec un témoin lucide ou éclairé, capable de nous accueillir 'anyway' (inconditionnellement).

L'enfant intérieur, l'enfant éternel ou divin, le « Petit Prince » sont des termes à l'origine issus de la psychanalyse jungienne. Pour Carl Gustav Jung, l'enfant intérieur est, dans ce cadre théorique, la part enfantine de l'homme et de la femme. Il s’agit pour lui d'un archétype de l'inconscient collectif.

Il y a presque toujours un enfant blessé, divin, givré, humilié, survivant et surdoué en chacun de nous. C’est un enfant qui survit en nous, à l'intérieur et qui est susceptible de se réveiller, de se faire entendre, de se manifester dans presque toutes les situations d’une vie d’adulte et de réactiver des sensibilités douloureuses. Il y a aussi en chacun de nous un enfant avide d’émerveillements, de découvertes et d’enthousiasmes, un enfant curieux, désireux d’entrer dans un mouvement d’étonnements et de croissance, un enfant susceptible de se relier à la dignité, à la beauté ou à l’amour.

L’alcoolisme, la dépendance d’une foule de substances toxiques et la codépendance font que notre enfant intérieur demeure en arrêt de croissance. « Les choses se compliquent et le mari devient un enfant malade et irresponsable qui exige des soins ; il faut sans cesse le tirer de situations embarrassantes et de ses mauvais pas. ( 12x12, 12e Étape, page 132 ) Le conjoint prend en charge cet ‘enfant’ de plus dans la maisonnée. Et l’alcoolique — le dépendant résiste souvent énergiquement à ce maternage comme à toute forme de contrôle.

Dans notre rétablissement, cet enfant en nous s’éveille, stimulé par l’émotion qui est né d’un événement heureux, tragique ou même traumatisant, et qui s’apaise par la qualité d’un regard, d’une écoute, ou l’accueil d’un membre de notre première réunion ou de notre groupe d’appartenance. Remercions notre Ps, Dieu tel que nous Le concevons aujourd'hui, d'être capable d'écouter et d'apprécier davantage l'enfant qui vit en chacun de nous, et qui est cette partie en nous qui veut faire confiance. Nous avons besoin de faire confiance à notre Ps qui va mettre en nous ce désir de nous ouvrir à nous-mêmes et à la vie, et de nous rétablir. Et même cette confiance, il va nous la donner en Son temps et en Son lieu.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Je suis arrivé à Al-Anon avec la compulsion de me concentrer sur les autres. Je savais clairement la façon dont les autres devaient se comporter dans toutes les situations et j'éprouvais un très grand sentiment de suffisance quand ils ne suivaient pas mes règles de conduite. Lorsque j'ai constaté que ma propre vie avait été négligée parce que toute mon attention était dirigée ailleurs, j'ai dû effectuer quelques changements majeurs.
Aujourd'hui, je dois encore faire preuve de vigilance afin de me mêler de mes affaires. Je sais que lorsque mes pensées commencent par « il devrait » ou « elle ne devrait pas », j'ai probablement des problèmes. Je ne détiens pas les réponses en ce qui concerne les autres. Ce n'est pas moi qui fixe les règles d'un comportement approprié, de la bonne gestion des affaires, de la courtoisie au volant, ou du bon sens. Je ne sais pas ce qui est le mieux pour les autres parce que je ne sais pas quels sont les enseignements que leur Puissance Supérieure veut leur donner. Je sais seulement que si je suis aux prises avec l'idée de ce qu'ils devraient ou ne devraient pas faire, j'ai perdu mon humilité. J'ai aussi cessé de m'occuper de moi. Neuf fois sur dix, je me concentre sur quelqu'un d'autre pour éviter de regarder quelque chose dans ma propre vie.

Pensée du jour
J'améliore ma capacité d'établir des rapports avec les autres quand je leur permets d'être exactement ce qu'ils sont. Le plus grand cadeau que je peux m'offrir, c'est de m'occuper de moi.

« Nettoie ton doigt avant de pointer les taches sur moi. » Benjamin Franklin

Al-Anon, Le Courage de Changer, 19 mars, page 79

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Mon père est mort de l'alcoolisme quand j'étais dans la vingtaine. je connaissais d'autres personnes dont les parents étaient morts de maladies plus respectables, et leur chagrin était évident. Où était le mien ? Je ressentais plutôt du soulagement, de la pitié, un vague sentiment de tristesse, et énormément de colère. Je me sentais également coupable parce que mes sentiments me semblaient froids et inappropriés.
Je n'avais pas encore découvert Al-Anon, et je répétais mes comportements destructeurs. J'ai épousé une alcoolique. Avec le progrès de sa maladie, je me suis demandé pourquoi je revivais le même vieux cauchemar, inconscient de mes choix autodestructeurs. Une crise m'a finalement conduit chez Al-Anon, et j'ai commencé à apprendre les choses élémentaires : le détachement ; les « Trois C », qui m'ont dit que je ne pouvais ni causer, ni contrôler, ni connaître la cure pour l'alcoolisme ; et être responsable de ma propre sérénité. Je me suis appuyé sur ma Puissance Supérieure tout en remettant ma femme entre les mains de la sienne. Un jour à la fois, j'ai cessé de contrôler et, petit à petit, j'ai fait le deuil d'un autre être aimé perdu aux ravages de l'alcoolisme.
Ma femme a refusé le rétablissement, et nous avons divorcé. Huit ans plus tard, j'ai reçu un appel téléphonique me disant qu'elle avait été trouvée morte, une autre victime de la maladie. Cette fois-là, j'ai reconnu mes sentiments et je leur ai permis de se manifester. J'avais pleuré ma femme bien avant qu'elle meure physiquement — tout comme je l'avais fait pour mon père, pendant mon enfance et mon adolescence. Cette fois-là, je n'ai ressenti ni colère, ni pitié. Al-Anon m'a aidé à lâcher prise et à reconnaître le pouvoir purificateur des larmes que j'avais déjà versées. Ce qui semblait être une absence d'émotion était en fait la dernière étape d'un processus de deuil qui durait depuis bien des années.

Pensée du jour
Plusieurs d'entre nous éprouvent de la peine pour de petits et fréquents chagrins. Tout comme le rétablissement, la mort et le deuil sont des processus.

« Dans Al-Anon, j'ai trouvé un endroit sûr pour vivre le chagrin occasionné par toutes les pertes subies dans mon enfance. » De la survie au rétablissement, page 26

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 19 mars, page 79

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La prière, ça marche

On a dit avec raison que « personne ne se moque de la prière sauf ceux qui ne s'y sont pas suffisamment appliqués ». Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 111

Ayant été élevé dans un foyer athée, je me suis senti quelque peu idiot la première fois que j'ai essayé de prier. Je savais qu'une Puissance supérieure agissait dans ma vie — autrement, comment aurais-je pu demeurer abstinent ? — mais je n'étais absolument pas convaincu qu'elle avait envie d'entendre mes prières. Comme les gens qui possédaient ce que je voulais disaient que la prière jouait un rôle important dans la pratique du programme, j'ai persévéré. M'étant engagé à prier tous les jours, j'ai été étonné de découvrir que je devenais plus serein et plus satisfait de mon sort. En d'autres mots, la vie était plus facile et je n'avais pas à me battre autant. Je ne sais toujours pas de façon certaine qui (ou quoi) écoute mes prières, mais je n'ai jamais cessé de les dire, pour la bonne raison que ça marche.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 19 mars, page 87

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Débloquer un conduit

Au cours de la journée, lorsque nous devons faire face à certaines situations ou prendre des décisions, nous pouvons nous arrêter un instant afin de réitérer notre simple demande : « Que ta volonté soit faite, et non la mienne ».
S'il s'agit de situations qui nous jettent dans une vive agitation, nous serons plus sûrs de conserver notre équilibre en répétant (si nous nous en rappelons) une prière ou une phrase particulière qui nous a impressionnés dans nos lectures ou nos méditations. Le seul fait de redire cette pensée à plusieurs reprises nous permettra souvent de dégager un conduit bloqué par la colère, la peur, la frustration ou quelque malentendu, et de revenir à l'aide la plus efficace entre toutes dans ces moments de tension : chercher la volonté de Dieu plutôt que notre volonté propre. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 115

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 78

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19 mars - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Quand nous buvions, nous avions honte du passé. Le remords est une punition mentale terrible. Nous avions honte de nous-mêmes à cause de ce que nous avions dit et fait ; nous avions peur de faire face aux gens à cause de ce qu'ils pouvaient penser de nous ; nous craignions les conséquences de ce que nous faisions quand nous étions ivres. Dans le mouvement des A.A. nous oublions le passé. Est-ce que je crois que Dieu m'a pardonné tout ce que j'ai fait dans le passé, même mes fautes les plus graves, pourvu que j'essaie sincèrement de faire le bien aujourd'hui ?

Méditation du jour
L'esprit de Dieu vous entoure durant toute la journée. Vous n'avez aucune pensée, aucun plan, aucune impulsion. aucune émotion qu'Il ne connaisse. Vous ne pouvez rien Lui cacher. Que votre conduite ne corresponde pas seulement à ce que le monde peut voir, et ne vous fiez pas à l'approbation ou à la désapprobation des hommes. Dieu voit dans le secret, mais Il récompense ouvertement. Si vous êtes en harmonie avec l'Esprit divin, si vous faites votre possible pour vivre comme vous croyez que Dieu veut que vous viviez, vous serez en paix.

Prière du jour
Je demande de toujours avoir le sentiment de la présence de Dieu. Je demande de me rendre compte de cette Présence constamment durant toute cette journée.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 81

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PENSÉE DU JOUR
Comme adulte, je ne fais que commencer à apprécier l'enfant en moi. La capacité d'être enfant est d'être prêt, dans l'abandon, à être vulnérable, à risquer d'être critiqué ou de faire rire de soi. Bien qu'être vulnérable puisse faire peur, être vulnérable est aussi libérateur. En se permettant d'être comme un enfant, nous réveillons en nous le goût de jouer et de répondre à la vie dans le rire et l'humour. Une des plus grandes libertés que le Programme me donne, c'est d'arrêter de me préoccuper de ce que les autres pensent de moi.

MÉDITATION DU JOUR
Je demande à Dieu d'apprécier davantage l'enfant qui vit en moi car je sais maintenant qu'il est cette partie de moi qui veut faire confiance. J'ai besoin de faire confiance si je désire m'ouvrir à moi-même et à la vie.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je continuerai à risquer en laissant l'enfant en moi s'extérioriser.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 19 mars

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Quelque chose de précieux à partager

« Un message de rétablissement de la dépendance simple et honnête, sonne vrai . » Texte de base, page 63

Vous assistez à une réunion. Le partage dure depuis un certain temps. Un ou deux membres ont décrit leurs expériences spirituelles de façon particulièrement éloquente. Un autre vous a fait mourir de rire avec ses anecdotes amusantes. Soudain l'animateur vous pointe du doigt... aargh ! Vous vous présentez timidement, bredouillez quelques phrases en vous excusant, remerciez les gens de vous écouter et gardez un silence embarrassé le reste de la réunion. Ça vous rappelle quelque chose ? Eh bien, vous n'êtes pas le seul.
Il nous est tous arrivé d'avoir des moments où nous avions l'impression que ce que nous avions à partager n'était pas assez fort sur le plan spirituel, n'était pas assez amusant, n'était pas assez quelque chose. Mais le partage n'est pas un sport de compétition. La substance de nos réunions est faite d'identification et d'expérience, ce dont nous avons tous en abondance. Quand nous partageons avec notre cœur la vérité de notre expérience, les autres dépendants sentent qu'ils peuvent nous faire confiance parce qu'ils savent que nous sommes exactement comme eux. Quand nous partageons simplement ce qui a été utile dans nos vies, nous pouvons être certains que notre message sera profitable aux autres.
Notre partage n'a pas besoin d'être subtil ou drôle pour « sonner vrai ». Tout dépendant qui pratique un programme honnête, lui procurant un rétablissement significatif, a quelque chose d'une immense valeur à partager, quelque chose que personne d'autre ne peut donner à sa place : son expérience.

Juste pour aujourd'hui, j'ai quelque chose de valable à partager. J'assisterai à une réunion aujourd'hui et partagerai mon expérience de rétablissement de la dépendance.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 19 mars, page 83

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Ne pas vivre est effroyable. Victor Hugo

Lorsque les responsabilités se font lourdes, j'ai tendance à me surcharger l'esprit, à m'accrocher à la peur et à agir comme si l'inquiétude allait améliorer ma vie. Mais aujourd'hui est le seul moment que j'ai pour vivre. Que les circonstances soient bonnes ou mauvaises, ce n'est pas ce qui détermine si je vis ma vie aujourd'hui. C'est mon attitude qui importe.
J'ai en moi le pouvoir d'abandonner mes peurs, de me débarrasser de mon image comme d'une vieille coquille et de laisser sortir la nature spontanée et joyeuse qui m'habite. Sous ma mine renfrognée se cachent des pensées merveilleuses simples et libres ainsi qu'une personne aimante et chaleureuse.

Pensée du jour : Suis-je vraiment ce que je pense être ? Le temps est venu pour moi de le découvrir.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 79

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« La pratique aidant, nous voyons de plus en plus vite la nature exacte du problème en cause ( ... ) » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 99

Je joue de la musique classique et je connais les aspects pénibles, décourageants et ennuyeux de la pratique. Je fais beaucoup d'erreurs et je les répète souvent. Toutefois, lorsque je persévère, il se passe quelque chose de merveilleux : lorsque les erreurs s'estompent, la beauté pure de la musique émerge. J'entre en contact avec l'âme de la musique. C'est une véritable expérience spirituelle.
Mon cheminement OA ressemble beaucoup à cela. La persévérance en fut l'aspect fondamental. J'ai traversé des périodes pénibles, décourageantes et ennuyeuses au cours de mon rétablissement. Pendant les réunions, j'ai entendu des membres dire : « Le seul moyen de s'en sortir est de passer au travers » et « Continuez de continuer ».
Avec la pratique, j'en suis venu à m'abstenir d'outremanger avec plus de rigueur et de facilité. Avec la pratique, la mise en œuvre des Étapes est devenue plus facile et plus claire. Les choses sont devenues plus légères et plus lumineuses avec la pratique, la beauté pure de ma vie a émergé et je suis entré en contact avec mon âme.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 19 mars, page 79

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Pensée du jour
Quand nous jouions, nous avions honte du passé. Le remords est une punition mentale terrible. Nous avions honte de nous-mêmes à cause de toutes les conséquences graves qu'avait causées le jeu ; nous avions peur de faire face aux gens à cause de ce qu'ils pouvaient penser de nous. Quand nous jouions, nous craignions les conséquences de ce que nous faisions. Dans le mouvement J.A., nous oublions le passé. Est-ce que je crois que j'ai été pardonné de tout ce que j'ai fait dans le passé, même mes fautes les plus graves, pourvu que j'essaie sincèrement de faire le bien aujourd'hui ?

Méditation du jour
L'Esprit Divin vous entoure durant toute la journée. Vous n'avez aucune pensée, aucun plan, aucune impulsion, aucune émotion qu'Il ne connaisse. Vous ne pouvez rien Lui cacher. Que votre conduite ne corresponde pas seulement à ce que le monde peut voir, et ne vous fiez pas à l'approbation ou à la désapprobation des hommes. Dieu voit dans le secret, mais Il récompense ouvertement. Si vous êtes en harmonie avec Lui, si vous faites votre possible pour vivre comme vous croyez qu'Il veut que vous viviez, vous êtes en paix.

Prière du jour
Je demande de toujours avoir le sentiment de la présence de Dieu. Je demande de me rendre compte de cette Présence constamment pendant toute cette journée.

Joueurs Anonymes, 19 mars

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19 mars

Soit comme un livre ouvert, qui ne cache rien, chaque page offerte à la lecture de tous. Lorsque tu n’as rien à cacher, tu sais ce que sait d’être complètement libre et sans entrave. Partage ce qui est dans ton cœur et n’aie aucune crainte d’être ridiculisé. Demeure très conscient de Moi et de Ma présence divine, et soit aussi simple qu’un petit enfant. La simplicité est le sceau de cette vie spirituelle; elle n’a rien de compliqué. Si tu sens qu’elle l’est, c’est de ton fait ; donc change ton attitude et voit ce qui se passe. Ne perd plus de temps à courir après des chimères. Tout ce dont tu as besoin est tout au fond de toi, prêt à se déployer. Et à se révélé. Tout ce que tu as à faire, c'est d’être tranquille et de prendre du temps pour rechercher ce qui est en toi, et tu le trouveras sûrement. La réponse est là. Sois très patient, serre-Moi dans tes bras, et tout te sera révélé au bon moment.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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