Pensées 16 avril 2019
Par Gilles - le mardi 16 avril 2019, 06:48 - Pensées et réflexions - Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous
Avec la mise en pratique des Étapes, notre participation à des groupes d'entraide nous a appris que nous sommes dignes d'amour, (aussi de sobriété, de beauté, de bonté, de joie et de pardon, entre autres) indépendamment de ce que pense, a pensé, dit ou a dit qui que ce soit. Nous n'avons pas à nous engager dans un débat, un scandale ou un esclandre. « Comme par instinct, les AA ont appris dès le début qu'ils ne devaient jamais, malgré toutes les provocations, prendre position dans un débat public, même s'il en vaut la peine. » ( 12x12, 10e Tradition, page 199 ) Notre rétablissement dépend de l'unité de notre groupe, de notre district, de notre région.
En effet, la première Tradition renferme ce sentiment d'unité qui se manifeste habituellement par de l'amour inconditionnel. Si nous entretenons l'idée que le même esprit, le même Dieu d'amour réside en tous et chacun, nous serons capables d'aimer tout le monde ou presque. Nous allons nous apercevoir que nous sommes tous dignes d'amour. L'amour embellit nos cœurs et nous permet de le saupoudrer aux autres en nous reconnaissant tous comme des étincelles du Divin. Nous sommes remplis de gratitude d'avoir la chance que nous avons là d'apprendre à nous aimer et à nous apprécier. Notre rétablissement passe avant les gestes ou paroles désagréables de qui que ce soit et quoi que ce soit comme événement ou traumatisme.
Dieu est amour et Son amour est probablement assez différent de l'amour humain. L'amour de Dieu est inconditionnel et n’est pas fondé sur des sentiments ou des émotions. Il ne nous aime pas parce que nous sommes dignes d’être aimés ou parce que nous lui apportons quoi que ce soit. Il nous aime parce qu'Il est Amour. Il nous a créés pour que nous puissions avoir une relation d'amour avec Lui. Nos défauts sont ce que la petite Thérèse appelait « sa petitesse... » Et pour elle « C’est la confiance et rien que la confiance qui doit nous conduire à l’amour. » L'humilité que nous donne notre Ps permet de nous faire « tout petit », de mettre à l'ombre nos qualités et de regarder à travers Sa lumière nos défauts, de nous affranchir de l'emprise de notre personnalité, de nous protéger contre tout assaut de notre maladie. L'humilité peut être comparée à une fleur. Telle la fleur, elle a la beauté de la couleur, la suavité du parfum et l'espérance de produire un fruit. « Quand je vois une fleur, j'espère en le fruit ; ainsi, quand je vois un humble, j'espère en sa béatitude céleste ». ( Saint Antoine )
Merci la Vie !!!
Gilles
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Je souffrais tellement quand j'ai adhéré à Al-Anon que j'ai rapidement ouvert mon cœur et mes bras pour accueillir tout ce que le programme et ses membres étaient prêts à m'offrir. J'ai découvert que ce que je traverse dans la vie n'est pas aussi important que la manière dont j'interprète l'expérience. En d'autres mots, j'ai le choix de mon attitude.
Par exemple, je me suis toujours attendu à ce que mon bonheur me vienne des autres, particulièrement de mes parents alcooliques. J'ai passé la majeure partie de ma vie à attendre qu'ils me démontrent leur amour et leur approbation d'une façon que je pouvais comprendre. Ils ne l'ont pas fait et par conséquent, je me sentais dépossédé et indigne d'amour.
Al-Anon m'a aidé à interpréter ma situation différemment. Par la mise en pratique des Étapes, j'ai appris que je suis digne d'amour, indépendamment de ce que pense un parent ou quiconque d'autre. Je peux ou bien m'apitoyer sur mon sort à cause de ce que je n'ai pas eu, ou bien être reconnaissant de la chance que j'ai d'apprendre à m'aimer et à m'apprécier. Je fais un peu les deux, mais aujourd'hui je sais que j'ai le choix.
Pensée du jour
Il est temps que je cesse d'attendre que les autres s'occupent de moi. La seule personne qui peut m'aimer comme j'aimerais être aimé, c'est moi.
« Graduellement, j'ai accepté le fait que mes désirs exprimés par des « si seulement » ne se réaliseraient pas de sitôt. Mais j'ai aussi appris que je pouvais être heureuse même s'ils ne se réalisaient pas. » Al-Anon face à l'alcoolisme
Al-Anon, Le Courage de Changer, 16 avril, page 107
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Ayant grandi avec la consommation d'alcool, mes sentiments sont devenus passablement confus. Mon père buvait, il criait, et il rageait. Ma mère ne semblait pas ressentir grand-chose. Elle pleurait rarement, et je ne me souviens pas qu'elle fût très affectueuse. En grandissant dans un tel milieu, comment une personne — et particulièrement un homme — peut-elle apprendre à gérer ses sentiments ? Je le faisais en les cachant, en les niant, et en les refoulant. Mais ils ressortaient de manière inopportune à des moments inopportuns.
Heureusement, j'ai découvert Al-Anon. J'ai commencé à mettre le programme en pratique et j'ai découvert, par la documentation et les témoignages des autres membres, que vivre sans sentiments m'empêchait de vivre une vie pleine et entière. J'ai appris que le bonheur fait tout autant partie de la vie que le chagrin, et que nier la souffrance ne fait que diminuer ma joie. J'ai commencé à exprimer mes sentiments — et c'était très douloureux au début ! C'était comme si j'avais placé tous les sentiments de ma vie entière sur une étagère, dans des contenants sans étiquettes, et je ne savais jamais ce que j'allais trouver en les ouvrant. Avec l'aide des outils Al-Anon, de mon parrain, et d'un professionnel, je suis finalement parvenu à trouver des façons plus saines d'exprimer mes sentiments. Je considère maintenant que le plus grand cadeau de mon rétablissement, c'est le processus de guérison que j'ai entrepris quand j'ai pris conscience des dommages causés par la négation de mes sentiments.
Pensée du jour
Les êtres humains sont un forfait « tout inclus ». Si je repousse la souffrance et le chagrin, je risque d'écarter la joie et le bonheur.
« ... Je me rétablis à partir de l'intérieur. Je n'ai plus à me cacher derrière un masque parce que tout le monde peut voir à travers de toutes façons... Après avoir 'joué la comédie' durant si longtemps, il fait bon de laisser mon véritable moi au grand jour. » Alateen - un jour à la fois, page 305
Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 16 avril, page 107
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La colère, un « luxe douteux »
Si nous voulions vivre, nous devions nous libérer de la colère. Les crises et l'irritabilité ne sont pas pour nous. Les gens normaux peuvent peut-être s'offrir ce luxe douteux, mais pour les alcooliques c'est un poison. Les Alcooliques Anonymes, pages 74-75
Un « luxe douteux ». Combien de fois me suis-je répété ces mots. Ce n'est pas seulement la colère qu'il vaut mieux laisser aux non-alcooliques ; ma liste comprend également le ressentiment justifié, l'apitoiement sur soi, la propension à porter des jugements catégoriques, l'autosatisfaction, la vanité et la fausse modestie. Je suis toujours surpris quand je relis cette citation ; on m'a tellement bien enfoncé dans le crâne les principes du programme que je continue à croire que tous ces défauts font partie du passage cité.
Dieu merci, je ne peux pas me les permettre, sinon j'en abuserais sûrement.
Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 115
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L'humilité « parfaite »
Personnellement, j'essaie toujours de découvrir la meilleure définition qui soit de l'humilité. Celle que je vous offre aujourd'hui n'est pas parfaite, parce que je serai toujours imparfait.
Je vous présente donc celle-ci. « L'humilité parfaite consiste en un affranchissement complet de mon ego et de tout ce que mes défauts m'imposent à l'heure actuelle. L'humilité parfaite se traduit par une entière bonne volonté, partout et toujours, afin de découvrir et d'accomplir la volonté de Dieu ».
Lorsque je médite sur cette définition, je ne dois pas me décourager à l'idée que je ne pourrai jamais atteindre un tel idéal. Je ne dois pas non plus avoir la témérité de croire qu'un jour j'aurai acquis toutes ces vertus.
L'important, c'est de réfléchir à cette définition et de la laisser s'infiltrer et grandir dans mon cœur. Je peux ensuite la comparer avec mon dernier inventaire personnel. J'ai ainsi une bonne idée du point où je me trouve sur la route qui mène à l'humilité. Je réalise que mon voyage vers Dieu ne fait que commencer.
Lorsque je prends conscience de ma véritable dimension et de ma vraie stature, mon égocentrisme et mon sentiment d'importance deviennent ridicules. Grapevine, juin 1961
Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 106
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16 avril - Pensée A.A. pour aujourd'hui Dans le mouvement A.A. nous avons une assurance. Notre foi en Dieu est une sorte d'assurance contre les terribles malheurs qui pourraient nous arriver si jamais nous recommencions à boire. En déposant notre problème entre les mains de Dieu, nous avons obtenu une sorte de police d'assurance qui nous protège contre les dommages de la boisson, comme nos maisons sont assurées contre leur destruction par le feu. Est-ce que Je paie mes « primes d'assurance A.A. » régulièrement ?
Méditation du jour Je dois essayer d'aimer mes semblables. L'amour a sa source dans la considération de chaque personne, homme ou femme, comme votre frère ou votre sœur parce qu'ils sont les enfants de Dieu. Cette manière de penser fait que je m'inquiète assez de leur sort pour désirer réellement les aider. Je dois agir en fonction de cet amour en rendant service à mon prochain. L'amour signifie qu'on s'abstient des jugements sévères, du ressentiment, du commérage mal intentionné et de la critique destructive. Le mot amour veut dire patience, compréhension, compassion et dévouement.
Prière du jour
Je demande de me rendre compte que Dieu m'aime puis qu'il est notre Père à tous. Je demande d'avoir, à mon tour, de l'amour pour tous Ses enfants.
Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 109
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PENSÉE DU JOUR
Je me suis laissé aller à mes fantasmes. Pendant des jours, j'ai été intoxiqué par ces fantasmes. Je me suis privé du moment présent, de moi-même et des autres. Quelques-unes de mes fuites habituelles étaient : le sommeil, la drogue, l'alcool, la lecture et la télévision. Tout cela m'éloignait du monde et j'ai appris que j'avais besoin du monde. Pourquoi ai-je essayé de fuir le monde ? À cause de la peur du rejet et de l’inconnu.
MÉDITATION DU JOUR
Donne-moi la force de vivre dans le moment présent et de continuer à établir des relations avec les autres.
AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Ce que je suis est réel. Je ne peux fuir la réalité de mon être.
Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 16 avril
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« Faire comme si »
« Aujourd'hui, nous cherchons des solutions et non des problèmes. Nous testons ce que nous avons appris. » Texte de base, page 71
La première fois qu'ils se sont fait dire qu'ils devraient « faire comme si », plusieurs d'entre nous se sont exclamés : « Mais ce n'est pas honnête, ça ! Je croyais que, dans Narcotiques Anonymes, nous étions toujours censés être honnêtes à propos de ce que nous ressentions. »
Nous pouvons peut-être repenser à la situation qui était la nôtre lorsque nous sommes arrivés dans le programme. Nous ne croyions peut-être pas en Dieu, mais nous avons prié quand même. Ou peut-être n'étions-nous pas certains que le programme marcherait pour nous, mais nous avons continué à aller aux réunions sans faire de cas de ce que nous pensions. La même chose continue de s'appliquer à mesure que nous avançons dans notre rétablissement. Nous sommes peut-être terrifiés par les foules, mais si nous agissons avec confiance et si nous tendons la main, non seulement nous en trouverons-nous mieux, mais nous nous apercevrons que nous n'avons plus peur des grands rassemblements.
Chaque geste que nous posons dans ce sens nous rapproche un peu plus de la personne que chacun de nous était censé être. Chaque changement positif que nous opérons en nous développe notre estime de soi. À force d'agir différemment, nous réaliserons que nous commençons à penser différemment. En « faisant comme si », nous en venons à vivre et à penser correctement.
Juste pour aujourd'hui, je vais saisir l'occasion de faire comme si je pouvais accepter une situation que j'avais l'habitude de fuir.
Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 16 avril, page 112
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Rien au monde n'est plus dangereux que l'ignorance sincère et la bêtise consciencieuse. Martin Luther King
Il m'arrive de rencontrer des gens qui, dans leur grand désir de m'aider, me font des suggestions qui ne me conviennent pas. Cela se produit parfois même chez les OA. Toutefois, aujourd'hui, je n'ai plus besoin de suivre des conseils douteux simplement pour éviter de blesser quelqu'un. Si je pratique le mode de vie, il n'est pas question de revenir à mon ancien rôle : plaire aux autres. Ma conviction primordiale, c'est que mon rétablissement passe avant qui que ce soit et quoi que ce soit. Et vivre selon cette conviction est à la fois un droit et un devoir.
J'écoute de bonne grâce tous ceux qui m'offrent leur aide, mais je m'en tiens aux directives simples des Douze Étapes. J'ouvre mes yeux et mes oreilles pour trouver le parrain ou la marraine dont la préoccupation principale sera de m'aider à découvrir ce qui me convient.
Pensée du jour : Les qualités des membres OA, qui ont ce que je veux, correspondent-elles à mes besoins spécifiques ?
Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 107
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« Comment traverser ces moments difficiles ? D'abord, ne pas laisser prise à la panique. Ensuite, revenir à nos principes alimentaires de base et demander à notre Puissance supérieure de nous aider à les respecter. Nous avons ensuite intérêt à essayer de ne plus penser à la nourriture pour nous concentrer sur le Mouvement et sur les Étapes. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 27
Je dois accepter que, de temps à autre, il m'arrivera encore d'avoir envie d'outremanger ou de consommer des aliments « risqués ». Cependant, il m'est possible de traverser ces périodes éprouvantes sans ruiner mon abstinence si je me rappelle ces trois simples mots : penser, prier, agir. D'abord, je pense à mon abstinence en me souvenant de la vie infernale dont elle m'a libéré. Je me rappelle avec gratitude tous les cadeaux que j'ai reçus en devenant abstinent. Je reviens ensuite à mon plan alimentaire. Puis, je parle à ma Puissance supérieure, Lui demandant de me donner la bonne volonté et la capacité de protéger mon bien le plus précieux : mon abstinence. Ensuite, je passe à l'action en me servant d'un des outils que le programme m'a offerts. Si l'obsession persiste, je recommence le processus à zéro en me servant d'un autre outil. Ce processus en trois parties fonctionne immanquablement si je le mets en pratique.
Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 16 avril, page 107
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Pensée du jour
Dans le mouvement J.A., nous avons une assurance. Notre foi en Dieu est une sorte d'assurance contre les terribles malheurs qui peuvent nous arriver quand nous recommençons à jouer. En déposant notre problème entre les mains de Dieu, nous souscrivons à une police d'assurance qui nous protège contre les dommages causés par le jeu, de la même façon que nous assurons nos maisons et nos automobiles contre les dommages ou la destruction. Est-ce que je paie mes « primes d'assurance J.A. », tout simplement en assistant aux réunions du mouvement ?
Méditation du jour
Je dois aimer mes semblables. L'amour a sa source dans la considération de chaque personne, homme ou femme, comme votre frère ou votre sœur, parce qu'ils sont les enfants de Dieu. Cette manière de penser fait que je m'inquiète assez de leur sort pour désirer réellement les aider. Je dois agir en fonction de cet amour en rendant service à mon prochain. L'amour signifie qu'on s'abstient des jugements sévères, du ressentiment, du commérage mal intentionné et de la critique destructive. Le mot amour veut dire patience, compréhension, compassion et dévouement.
Prière du jour
Je demande de me rendre compte que Dieu m'aime puisqu'il est notre Père à tous. Je demande d'avoir, à mon tour, de l'amour pour tous mes semblables.
Joueurs Anonymes, 16 avril
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16 avril
Pourquoi ne pas faire dans la vie ce que tu trouves plaisir à faire, tant que cela ne nuit pas à une autre âme et n'apporte que du bien, à toi et à toutes ces âmes dont tu te soucies? Apprends à faire ce que tu fais au bon moment, de la bonne manière et sans hésitation ni effort.
Les petits enfants savent comment jouir de la vie. Deviens comme un tout petit enfant sans inhibition et apprends à jouir de la vie sans aucune restriction, sans t'inquiéter pour toi-même ni te regarder faire. Ne fais pas toujours les choses parce que tu ressens qu'il faut les faire. Quand une chose est faite par obligation, toute la joie et le plaisir s'en vont. Apprends à faire toutes choses parce que tu adores les faire. Donne tout ce que tu as à donner par simple amour de donner et de vivre, et regarde comme la vie devient différente pour toi.
La Petite Voix, Eileen Caddy
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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.
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