Pensées 30 juin 2019
Par Gilles - le dimanche 30 juin 2019, 06:04 - Pensées et réflexions - Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous
Plusieurs parlent dans leur témoignage de vouloir à tout prix séparer leur tête et leur cœur pour ensuite laisser s’exprimer ce dernier. Nous ne connaissons qu'un moyen de faire ça vraiment efficacement. Les Français l’ont inventé il y a longtemps et ont nommé ça, la guillotine. Pour nous, ce sont deux aspects de notre entité qui malgré le désir de certains de ce faire sont indissociables. Et qui est-ce qui peut bien s'exprimer mystérieusement dans notre esprit et magiquement par notre cœur, si ce n'est que notre Ps ?
« Nous appellerons émotion une chute brusque de la conscience dans le magique. » ( Jean-Paul Sartre, l'Esquisse d'une théorie des émotions ) Les émotions nous assaillent, nous submergent ou nous titillent en douce, s'approchent parfois déguisées et quelquefois peuvent même être déroutantes. Elles font partie de notre pain quotidien, parfois nous nous croirions dans une boulangerie et quelquefois, nous voudrions simplement ôter la croûte pour ne garder que la mie. Le doux, l'agréable sans le rugueux, le désagréable. Que faire de cette colère qui nous ravage ou de cette peur qui nous terrasse ? Peut-être les accepter comme des vibrations nécessaires et apprendre à apprivoiser ces couleurs de notre vie.
L'alcool, les substances psychotropes, la bouffe, la cigarette, les comportements codépendants ou toxiques, tout cela sert à la même chose : nous geler et chercher à empêcher à tout prix nos émotions de remonter à la surface. Pour survivre, nous avons répété ces gestes et nous nous attendions à des résultats différents. Nous avons tenté de satisfaire nos besoins de différentes manières. Graduellement, nos habitudes sont devenues une maladie, une folie. Pour nous défaire de ce que sont nos compulsions, parfois nous devons et pouvons renouer avec certains souvenirs quelquefois pénibles de nos expériences douloureuses. Quelquefois, en faisant l'expérience des émotions qui y sont rattachées, nous subissons une transformation profonde que beaucoup surnomment une « re-naissance », un grand ménage auquel les Douze Étapes nous invitent, une forme de réveil spirituel. « Le plus beau sentiment du monde, c'est le sens du mystère. Celui qui n'a jamais connu cette émotion, ses yeux sont fermés. » ( Albert Einstein ) Et Albert Einstein a bien défini notre folie : « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. » Dans NA, il y a la même ou presque : « La folie, c’est répéter les mêmes erreurs et s’attendre à des résultats différents. » ( Texte de base, pages 30-31 ) Dans la brochure des OA Le parrainage à l’aide des Étapes il est écrit à la Deuxième Étape, page 7 : ' Comme la Première Étape, la Deuxième Étape a deux composantes : en venir à croire et à reconnaître la nécessité de restaurer notre santé mentale. Voici une définition communément acceptée de la folie : « faire la même chose et espérer un résultat différent ».'
Plus nous mettons en pratique le mode de vie des groupes d'entraide, plus nous avons envie de vivre un jour à la fois, plus nous nous rétablissons ici et maintenant. Nous vivons aujourd'hui grâce à notre Puissance supérieure cette liberté qu'elle nous donne dans l'abandon du contrôle, dans la vie sous Sa gouverne. « En apprenant à s'en remettre à une puissance supérieure et à consacrer ses énergies à travailler avec d'autres alcooliques, il demeure abstinent un jour à la fois. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. Annexe 3 Le point de vue de la médecine sur les AA, page 636 ) Nous sommes sous Sa gouverne puisque… » Nous ne sommes pas des êtres humains ayant une expérience spirituelle. Nous sommes des êtres spirituels ayant une expérience humaine. » ( Teilhard de Chardin )
Merci la Vie !!!
Gilles
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« Un jour, alors que je me promenais en forêt, j'ai eu la surprise d'entendre une voix d'enfant. J'ai suivi le son, essayant en vain de comprendre les mots de l'enfant. Quand j'ai aperçu un garçon perché sur un rocher, je me suis rendu compte pourquoi ses mots n'avaient pas de sens : il récitait l'alphabet. ' Pourquoi répètes-tu sans cesse tes lettres ? lui ai-je demandé. L'enfant a répliqué : 'Je récite mes prières.' Je n'ai pas pu m'empêcher de rire. 'Tes prières ? Tout ce que j'entends, c'est l'alphabet.' Patiemment, l'enfant m'a expliqué : 'Eh bien, je ne connais pas tous les mots alors je donne les lettres à Dieu. Dieu sait ce que j'essaie de Lui dire.' »
Il y a des années, quand ma grand-mère m'a raconté cette histoire, elle ne me disait pas grand-chose ; mais la vie spirituelle que j'ai trouvée dans Al-Anon lui a donné une nouvelle signification. Aujourd'hui, l'histoire me rappelle que la prière est pour moi, non pour Dieu, Qui sait, sans explication de ma part, ce que je vis. Par la prière, je dis que je suis disposée à être aidée. Le sens profond de mes prières vient du cœur non des mots.
Pensée du jour
La prière est pour moi la forme la plus personnelle de communication. Je peux prier lorsque, d'une façon consciente, je pense, écris, crée, éprouve des sentiments, espère. Que je puise au plus profond de moi-même ou que je me tourne vers la majesté de la nature, c'est l'esprit de la prière plutôt que sa forme qui compte. Aujourd'hui, je laisserai parler mon cœur.
« ...Dieu me rejoint là où je suis... Si seulement je le veux, Il viendra à moi. » Tel que nous Le concevions...
Al-Anon, Le Courage de Changer, 30 juin, page 182
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Enfant, j'avais rarement l'impression d'avoir suffisamment de quoi que ce soit, surtout s'il s'agissait d'amour, d'attention, et d'approbation. Peu importe ce que mes parents pouvaient dire ou faire, c était comme si j'en voulais toujours plus. Devenue adulte, j'ai tenté de satisfaire mes besoins de différentes manières. Je mangeais trop, pensant que je pourrais combler le vide avec de la nourriture. Je courais trop les magasins, cherchant cet article insaisissable qui allait enfin me faire sentir complète. Je cherchais des « parents suppléants » dont l'attention et l'approbation pourraient améliorer mon appréciation de ma vie et de moi-même.
Dans Al-Anon, j'ai appris que je me tends un piège lorsque j'attends des autres plus qu'ils ne sont en mesure de me donner. Il est futile d'attendre de quelqu'un ou d'une chose extérieure à moi qu'ils me comblent intérieurement. Comme ma marraine le dit, le bonheur est un travail intérieur ; j'en suis responsable. Il n'y a rien de surprenant à ce que mes parents n'avaient jamais pu en faire, en dire ou en donner assez. Même s'ils n'avaient pas été des alcooliques, ils n'auraient pas été plus responsables de ma paix intérieure et de mon contentement.
Aujourd'hui, dans Al-Anon, je trouve le bonheur dans une relation étroite avec ma Puissance Supérieure. Grâce à la prière et à la méditation quotidienne, je réalise que je suis exactement là où Dieu veut que je sois. Que les choses aillent bien ou qu'elles aillent mal, je peux toujours compter sur ma Puissance Supérieure pour me donner généreusement tout ce dont j'ai besoin. J'en suis venue à accepter que mes parents soient exactement là où Dieu veut qu'ils soient, eux aussi. Ils ne peuvent pas me combler et m'épanouir. Cela relève de Dieu, et de moi. Cette réalisation est très importante. C'est un pas vers un nouveau mode de vie où je récolte avec abondance l'amour, l'attention et l'approbation de ma Puissance Supérieure. Aujourd'hui, je sais que j'en aurai toujours suffisamment.
Pensée du jour
Quels sont les comportements que j'adopte pour satisfaire mes besoins ? Est-ce que cela fonctionne ?
« Les membres Al-Anon m'offrent leur amour inconditionnel et une saine attention. » De la survie au rétablissement, page 25
Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 30 juin, page 182
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SACRIFICE = UNITÉ = SURVIE
L'unité, l'efficacité et même la survie des AA dépendront toujours de notre volonté constante de renoncer à nos ambitions et à nos désirs personnels pour assurer la sauvegarde et le bien-être communs. Si le sacrifice assure la survie individuelle de l'alcoolique, il garantit tout autant l'unité et la survie du groupe et de toute l'association des AA. Réflexions de Bill, page 220
J'ai appris que je devais sacrifier certains traits de ma personnalité pour le bien des AA, et ce renoncement m'a valu bien des récompenses. La vanité peut être amplifiée par le prestige, mais grâce à la Sixième Tradition je reçois à la place le don de l'humilité. Collaborer sans s'affilier se révèle souvent décevant. Si je ne me lie pas à des intérêts extérieurs, je demeure libre de maintenir le mouvement AA autonome. Il pourra ainsi survivre, fort et sain, pour les générations futures.
Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 190
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Perfection imaginaire
Lorsque nous, les premiers membres des AA avons découvert à quel point nous pouvions être orgueilleux au plan spirituel, nous avons inventé l'expression : « N'essayez pas d'être un saint d'ici jeudi ! ».
Cet avertissement des premiers jours peut ressembler à une autre bonne excuse pour ne pas faire le maximum d'efforts. Pourtant, en y regardant de plus près, nous découvrons le contraire. C'est la façon des AA de mettre les membres des AA en garde contre l'aveuglement de l' orgueil et l'illusion d'une perfection inexistante dans notre cas.
Seule la Première Étape, où nous avons admis à cent pour cent notre impuissance devant l'alcool, peut être pratiquée à la perfection. Les onze autres Étapes font état d'un idéal parfait. Ce sont des buts vers lesquels nous tendons ainsi que des repères pour évaluer nos progrès.
1. Grapevine, juin 1961
2. Les 12 Étapes et les 12 Traditions, page 79
Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 181
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30 juin - Pensée A.A. pour aujourd'hui
L'alcoolique est incapable ou ne veut pas, pendant qu'il est soumis à l'alcool, vivre dans le présent. Il résulte de cette altitude qu'il vit continuellement dans un état de remords et de craintes à cause de son mauvais passé et de sa fascination morbide de l'avenir incertain et des malheurs qu'il imagine. Aussi la seule espérance pour l'alcoolique, c'est le présent. C'est maintenant. Maintenant est à nous. Le passé ne peut revenir. L'avenir est incertain comme la vie elle-même. Seulement l'instant présent est à nous. Est-ce que je vis dans le moment présent ?
Méditation du jour
Je dois oublier le passé autant que possible. Le passé est terminé. Rien ne peul être fait pour le passé, sauf restituer ce qu'on peut restituer. Je ne dois pas porter le fardeau de mes défaillances passées. Je dois aller de l'avant avec confiance. Les nuages disparaîtront et la route s'éclairera. La route deviendra moins rocailleuse avec chaque pas que je ferai. Dieu ne blâme pas celui à qui Il a pardonné. Je puis renaître à la vie entièrement et librement, même si j'ai gâché ma vie passée. Souvenez-vous de celle phrase : « Je ne te condamne pas ; va, et ne pèche plus. »
Prière du jour
Je demande de ne pas transporter le poids de mon passé. Je demande de le rejeter et d’aller de l'avant avec confiance.
Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 184
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PENSÉE DU JOUR
Quand j'ai adhéré au Programme, je ne croyais pas en Dieu. J'avais décidé que Dieu n'existait pas. À mon avis, il y avait trop de souffrances dans le monde et dans ma vie pour que Dieu existe. La vie ne marchait pas à mon goût et je n'obtenais pas ce que je voulais. J'en ai donc conclu qu'il ne pouvait y avoir de Dieu. La Deuxième Étape dit qu'une puissance plus grande que moi-même peut me rendre la raison. Il m'a fallu envisager de croire à une Puissance supérieure à moi-même.
MÉDITATION DU JOUR
Aide-moi à avoir la volonté d'abandonner mes vieilles idées à Ton sujet et à en acquérir de nouvelles.
AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
La fausse croyance, l'incrédulité et l'absence de croyance sont la source de mes misères.
Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 30 juin
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Maintenir la base
« Nous pouvons nous appuyer sur notre nouvelle foi pour envisager l'avenir avec courage. » Texte de base, page 118
La base de notre vie est ce sur quoi le reste de notre existence est construit. Quand nous consommions, cette base affectait tout ce que nous faisions. Lorsque nous avons décidé que le rétablissement était important, c'est là que nous avons commencé à mettre notre énergie. Comme résultat, notre vie entière a changé. Pour conserver cette nouvelle vie, nous devons en maintenir la base : notre programme de rétablissement.
Comme nous demeurons abstinents et que notre mode de vie change, nos priorités changeront également. Le travail et les études peuvent devenir importants, parce qu'ils améliorent notre qualité de vie. Et il se peut que de nouvelles relations nous apportent stimulation et soutien mutuel. Mais nous devons nous souvenir que notre programme de rétablissement est la base sur laquelle notre nouvelle vie est édifiée. Chaque jour, nous devons donc renouveler notre engagement envers le rétablissement, et en faire notre priorité absolue.
Juste pour aujourd'hui, je veux continuer de profiter de la vie que j'ai trouvée dans le rétablissement. Aujourd'hui, je prendrai des mesures pour maintenir cette base de vie.
Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 30 juin, page 190
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Il ne vaut pas la peine de gaspiller d'avance une journée. Sarah Orne Jewett
Pour planifier, il faut de l'équilibre et de la modération, car on doit savoir où s'arrêter. Or, à cause de ma personnalité compulsive, j'avais tendance autrefois à prévoir plus qu'il ne fallait. Planifier voulait dire m'inquiéter au moins une journée à l'avance.
Plus je mets en pratique le mode de vie OA, plus il m'est avisé de vivre un jour à la fois. Ce n'est pas toujours facile de discerner jusqu'où je puis aller dans ma planification, mais j'ai établi une règle générale. Ainsi, lorsque je commence à m'arracher les cheveux pour que tout arrive exactement comme je le veux, je m'arrête. Je lâche prise et je confie à Dieu le sort de ma journée du lendemain, et inévitablement, je suis soulagé.
Pensée du jour : Plus que toute autre chose, je veux la liberté que j'éprouve lorsque je renonce au contrôle. Bien sûr, je planifie, mais je m'arrête avant de décider des résultats.
Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 182
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« Notre plus grande difficulté n'a-t-elle pas été de nous engager véritablement à nous abstenir de manger compulsivement et ce, de façon continue ? À court terme, nous sommes admirables ; mais lorsque le « quotidien » s'installe, nous perdons tout intérêt, ( ... ) un régime a toujours eu un caractère temporaire ( ... ) La solution des Outremangeurs Anonymes consiste à s'abstenir de manger compulsivement chaque jour, un jour à la fois. » L'abstinence, un engagement, page 1
Lorsque j'ai commencé mon cheminement chez les OA, je ne savais pas ce que je devais manger dans ma journée. J'ai donc demandé à des membres OA qui avaient un plan alimentaire ce qui fonctionnait pour eux. Un membre m'a répondu : « J'ai besoin d'aimer ce que je mange, parce que ce que je mange aujourd'hui, je vais le manger le reste de ma vie. Ça ne changera pas. » Moi aussi, en mangeant de façon modérée, un jour à la fois, pendant plusieurs années, j'ai constaté que je perdais du poids sans même penser à entreprendre un régime. Chez les OA, j'ai commencé à me concentrer sur les expériences que je vivais et cela s'est avéré bien plus intéressant que de regarder mon poids monter et descendre. En fait, comme la question de mon poids ne m'appartient plus, elle s'est réglée d'elle-même.
Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 30 juin, page 182
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Pensée du jour
Le joueur est incapable ou ne veut pas, pendant qu'il est soumis au jeu, vivre dans le présent. Il en résulte de cette attitude qu'il vit continuellement dans un état de remords et de craintes à cause de son passé et de sa fascination morbide, de l'avenir incertain et des malheurs qu'il imagine. Aussi, le seul espoir est le présent, c'est maintenant. Aujourd'hui nous appartient. Le passé ne peut pas revenir. L'avenir est incertain comme la vie elle-même. Seulement l'instant présent est important. Est-ce que je vis dans le moment présent ?
Méditation du jour
Je dois oublier le passé autant que possible, car il est terminé. Rien ne peut être fait pour le passé, sauf restaurer ce que nous pouvons. Je ne dois pas porter le fardeau de mes défaillances passées. Je dois aller de l'avant avec confiance. Les nuages disparaissent et la route s'éclaire. La route devient moins rocailleuse à chaque pas que je fais. Dieu ne blâme pas celui à qui Il a pardonné. Je puis renaître entièrement et librement même si j'ai gâché ma vie passée. Souvenez-vous de cette phrase : « Je ne te condamne pas ; va, et ne pèche plus.
Prière du jour
Je demande de ne plus transporter le poids de mon passé. Ainsi soulagé, je demande d'aller de l'avant avec confiance.
Joueurs Anonymes, 30 juin
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30 juin
Pense globalement, sois et manifeste le tout dans ta vie ! Pour être une personne complète, tu as besoin de te connaître, de savoir où tu vas et de savoir ce que tu fais, puis va de l'avant en confiance et vis une vie globale, splendide et pleine. Ne doute jamais de toi et de ta capacité à être complet. Ce sont les doutes, les peurs et les inquiétudes qui t'empêchent d'établir le tout ; alors cesse de t'inquiéter, et bannis toutes craintes et doutes, dans la certitude que JE SUIS avec toi, toujours et qu'avec Moi toute chose est possible. Mais souviens-toi, fais toujours reposer ta foi et ta confiance en Moi, le Seigneur ton Dieu, la divinité en toi. Marche main dans la main avec Moi ; consulte-Moi à tout moment ; et laisse-Moi te guider et te diriger. JE SUIS au-dedans de toi, donc rien d'extérieur ne peut interférer avec notre contact direct. Que cela te sécurise. Si ta sécurité est en Moi, tout est vraiment très, très bien.
La Petite Voix, Eileen Caddy
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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.
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