Pensées 14 août 2019

Bonjour à toutes et à tous

« La méditation est un cadeau divin. La méditation simplifie notre vie intérieure et dynamise notre vie extérieure. La méditation nous donne une vie naturelle et spontanée, une vie qui devient si naturelle et si spontanée que nous ne pouvons plus respirer sans être conscient de notre divinité.

« La différence entre la prière et la méditation est la suivante : lorsque nous prions, nous ressentons notre existence comme une flamme qui s'élève directement vers le ciel. La nature même de la prière est d'atteindre Dieu en s'élevant. Lorsque nous méditons, soit nous nous jetons dans un espace immense, dans un océan infini de paix et de béatitude, soit nous accueillons l'Immensité infinie en nous. La prière et la méditation sont comme les deux faces d'une même pièce. Toutes les deux sont aussi importantes. Lorsque je prie, je parle et Dieu écoute. Lorsque je médite, Dieu parle et j'écoute. Lorsque nous prions, nous nous élevons vers Dieu ; lorsque nous méditons, Dieu descend vers nous. En dernier lieu, la méditation et la prière sont la même chose. Cependant, il faut savoir que lorsque nous prions, nous avons le sentiment d'être séparé de Dieu, en tant qu'individus. Nous avons l'impression qu'Il est quelque part et que nous aspirons à Lui, mais nous ne savons ni quand ni à quel point Dieu comblera nos prières. La méditation dit : « Dieu n'est ni aveugle ni sourd ! Il sait ce qu'il a à faire pour Se réaliser en moi et à travers moi. Je dois rester silencieux et fervent. » La prière la plus élevée fut prononcée par le Christ : « Que Ta Volonté soit faite ». Cette prière est également le début de la méditation. Là où la prière s'arrête, la méditation commence.

« Méditer, c'est aller au fond de l'océan, où tout n'est que calme et tranquillité. Une multitude de vagues a beau agité la surface de l'océan, ses profondeurs n'en sont pas affectées pour autant. Elles demeurent dans le silence. Lorsqu'on médite, on commence par essayer d'atteindre sa propre existence intérieure, sa véritable identité, ou si vous préférez, le fond de l'océan. Ainsi, lorsque les vagues du monde extérieur déferlent, elles ne nous touchent plus. La peur, le doute, l'inquiétude et tous les tourments quotidiens s'évanouissent d'eux-mêmes : une paix indestructible s'est désormais installée en nous. Notre esprit est pénétré par la paix, le silence et le sentiment d'union avec la Divinité. Tels des poissons dans l'eau, nos pensées nagent et bondissent sans laisser de traces.

« Lorsque nous sommes dans notre méditation la plus élevée, nous sommes semblables à l'océan, dont les créatures qui l'habitent n'inquiètent pas la majesté. Nous sommes semblables au ciel, dont les oiseaux ne troublent pas la sérénité. Notre esprit est le ciel et notre cœur est l'océan infini. Voilà ce qu'est la méditation. » ( extraits du livre Les ailes de la Joie, chapitre La méditation, la clé de la vie intérieure de Sri Chinmoy, Éditions de la Flûte d'Or ) La prière et la méditation nous aident à nous calmer dans des moments difficiles et à prendre le recul nécessaire. « De la méditation naît la sagesse. » ( Bouddha ) Est-ce que la situation est si importante ? Les comportements que nous voulons adopter sont-ils proportionnels à nos problèmes ? Souvent, ce n'est pas le cas. Notre ego malade est plus porté vers la démesure. Et si notre Ps s'en servait pour nous développions notre confiance en elle… ? Chacun des outils de notre programme de rétablissement nous aide à accorder le temps et l'espace nécessaires à notre Ps pour démêler les fils de notre intellect et de nos émotions. Nous pouvons ensuite agir au lieu de réagir, par la grâce de Dieu. « L’esprit s’enrichit de ce qu’il reçoit, le coeur de ce qu’il donne. » ( Victor Hugo )

« La prière est l'élévation de notre cœur et de notre esprit vers Dieu — et en ce sens, elle comporte une méditation. Comment pouvons-nous y prendre ? Et comment se conjugue-t-elle avec la méditation ? Au sens où on l'entend généralement, la prière est une demande faite à Dieu. Après avoir ouvert le mieux possible la communication avec Dieu, nous veillons à demander, pour nous et pour les autres, ce qui correspond vraiment aux besoins essentiels. Et nous croyons que tous nos besoins sont inclus dans cette partie de la Onzième Étape qui dit : ' … de connaître Sa volonté à notre égard et de nous donner la force de l'exécuter'. Une telle demande convient à tous les moments de la journée. » ( 12x12, 11e Étape, pages 113-114 ) Aujourd'hui, grâce au mode de vie des groupes d'entraide et à nos dialogues plus ou moins fréquents (puisque c'est notre Ps qui décide de la fréquence) avec notre Ps, nous sommes libres de vivre des émotions agréables et désagréables, de rire, de pleurer et, par-dessus tout, de profiter de notre rétablissement.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Depuis mon adhésion à Al-Anon, j'ai pris conscience de certains choix dont j'ignorais jusqu'à l'existence. Si je me sens mal à l'aise de faire une certaine chose, j'ai appris que je ne suis pas nécessairement obligé de la faire. Je peux regarder au fond de mon cœur et essayer de découvrir mes vrais sentiments avant de prendre cette décision. Quelle liberté !
Est-ce que cela signifie que je ne devrais jamais faire une chose à moins que je me sente à l'aise dans cela ? Bien sûr que non. Si j'attendais d'en avoir l'inspiration, mes impôts ne seraient peut-être jamais payés, mon travail ne serait peut-être pas terminé et mes dents ne seraient peut-être pas brossées. Je dois parfois ressentir ce sentiment de malaise et ensuite passer à l'action quand même.
Je crois que c'est la raison pour laquelle notre signet « Aujourd'hui seulement » suggère que je fasse chaque jour deux choses que je n'aime pas faire, simplement pour me discipliner. Afin de me créer une vie équilibrée, je dois pratiquer une certaine autodiscipline. De cette façon, je peux prêter attention à mes sentiments sans en être esclave.

Pensée du jour
Aujourd'hui, je ferai quelque chose qui est bon pour moi même si cela m'est désagréable.

« L'autodiscipline, c'est de l'auto-affection. » Morgan Scott Peck

Al-Anon, Le Courage de Changer, 14 août, page 227

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Avant Al-Anon, je prenais parfois des décisions en réaction à des états émotionnels qui me mettaient mal à l'aise, tels que la confusion, la colère et la peur, qui ne sont pas de bonnes fondations sur lesquelles appuyer une décision. J'étais en réaction, et ma vie me semblait complètement incontrôlable.
Al-Anon m'a montré comment répondre adéquatement à mes émotions. Sur le plan des réactions, j'ai appris à m'occuper d'abord de mes sentiments afin de pouvoir considérer lucidement tous les faits relatifs à une situation. Aujourd'hui, quand je fais face à des émotions intenses, j'appelle mon parrain afin de discuter du problème et pour désamorcer mes sentiments. J'écris parfois dans mon journal, ou je fais de l'exercice, comme la natation. La prière et la méditation m'aident aussi à me calmer et à prendre du recul. Quand je veux agir de manière radicale, je me demande : « Est-ce si important ? » Le comportement que je pense adopter est-il proportionnel au problème ? Souvent, ce n'est pas le cas. Chacun de ces outils m'aide à m'accorder le temps et l'espace nécessaires pour démêler les fils de l'intellect et des émotions. Je peux ensuite agir au lieu de réagir.
Cela m'aide de me rappeler qu'aller mieux ne signifie pas nécessairement se sentir mieux. Quand je dois traverser la douleur afin de la laisser aller, je me rappelle que « Cela aussi passera ». Je me dis que tout comme mes pensées n'influencent pas la réalité, mes sentiments non plus. Ma vie va s'arranger selon la volonté de Dieu, peu importe ce que je ressens, alors à quoi bon essayer de manipuler une situation afin d'éviter l'inévitable — les émotions humaines ? Un tel comportement ne sert qu'à susciter encore plus de souffrance, et je n'en veux certainement pas plus.

Pensée du jour
Est-ce que j'utilise mes sentiments ou est-ce que je leur permets de m'utiliser ?

« La véritable nature de mon problème était mon refus obstiné de reconnaître mes sentiments, de les accepter et de lâcher prise. » Le Courage de changer, page 249

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 14 août, page 227

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Réparer les dégâts

Nous tentons de réparer les dégâts que nous avons causés en voulant imposer nos volontés et diriger nous-mêmes le spectacle. Si nous n'avons pas la force de le faire, nous prions jusqu'à ce qu'elle nous soit donnée. Souvenez-vous qu'il était entendu au début que nous ne reculions devant rien pour vaincre l'alcool. Les Alcooliques Anonymes, page 86

Cela ne m'a pas été trop difficile de dresser la liste des personnes que j'avais lésées, car je les avais retrouvées dans mon inventaire de la Quatrième Étape ; c'étaient les mêmes personnes envers qui j'entretenais de la rancune, fondée ou non, et que j'avais blessées pour me venger. Pour que mon rétablissement soit total, il n'était pas important que les personnes qui, à bon droit, m'avaient blessé, s'excusent auprès de moi. Ce qui compte dans ma relation avec Dieu, c'est que je puisse apparaître devant Lui conscient d'avoir fait tout ce que je pouvais pour réparer mes torts.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 14 août, page 235

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Un Mouvement humble, lui aussi

Nous, les AA, nous vantons parfois des vertus de notre association. Rappelons-nous que peu d'entre elles sont des vertus acquises. Nous avons d'abord été contraints de les pratiquer sous les coups de fouet cruels de l'alcoolisme. Finalement, nous les avons adoptées, non pas parce que nous le voulions, mais parce que nous le devions.
Puis, comme le temps confirmait la justesse apparente de nos principes de base, nous avons commencé à nous y conformer parce que c'était la chose à faire. Certains d'entre nous, et j'en étais, ne s'y sont pliés qu'avec réticence.
Enfin, nous en sommes arrivés à un point où nous avons voulu nous conformer de bonne grâce aux principes que l'expérience nous avait enseignés, par la grâce de Dieu. Le mouvement des AA devient adulte, page 272

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 226

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14 août - Pensée A.A. pour aujourd'hui
« Personne n'aime croire qu'il est physiquement et mentalement différent de ses semblables. Nos vies de buveurs ont été caractérisées par de multiples et vains efforts afin de prouver que nous pouvions boire comme les autres. Cette illusion que nous sommes semblables aux autres doit disparaître. Il a été prouvé hors de tout doute que pas un seul véritable alcoolique n'a jamais pu retrouver la maîtrise de la boisson. Au cours d'une période de temps considérable, notre condition s'aggrave ; elle ne s'améliore jamais. Il est impossible de faire d'un alcoolique un buveur normal ». Suis-je convaincu que je ne pourrai plus jamais boire normalement ?

Méditation du jour
Nous avons droit à la vie et à une vie plus abondante — spirituellement, mentalement, physiquement — une vie abondante, joyeuse et puissante. Nous pouvons avoir ce bonheur si nous continuons dans la bonne voie. Tous ne veulent pas accepter de Dieu le don d'une vie abondante, un don qui est mis gratuitement à la portée de tous. Tous ne prennent pas la peine de tendre la main pour s'approprier ce don. Ce don de Dieu, le plus précieux qu'Il a à offrir, c'est le don précieux d'une vie abondante. Plusieurs s'en détournent et, tout en l'appréciant, la refusent. Ne soyez pas un de ceux­ là.

Prière du jour
Je demande de me hâter d'accepter le don d'une vie spirituelle abondante. Je demande de vivre la meilleure vie possible.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 229

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PENSÉE DU JOUR
Tout ce que je peux tenter pour résoudre un problème peut ne pas être suffisant. Il y a des problèmes dans la vie que je ne peux pas résoudre et que je n'ai pas à résoudre, peu importe comment je me sens devant eux. Mon rôle est de reconnaître les problèmes qui sont vraiment les miens et d'essayer ensuite de les résoudre avec l'aide de ma Puissance supérieure. Lâcher prise et laisser Dieu prendre la relève lorsque j'ai fait de mon mieux est la meilleure solution. Je ne suis pas responsable des résultats.

MÉDITATION DU JOUR
Puis-je comprendre que plus je m'accroche à mes problèmes et à mes blessures, plus je suis porté à me blâmer ou à blâmer les autres.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Quand je m'accroche à mes problèmes, je ne fais pas confiance à ma Puissance supérieure.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 14 août

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Se débarrasser de nos limites

« Nous pouvons nous libérer des entraves du passé. Nous pouvons examiner et réexaminer nos anciennes idées. » Texte de base, page 13

La plupart d'entre nous arrivent au programme avec une multitude de limites que nous nous sommes imposées, qui nous empêchent de réaliser notre plein potentiel, des limites qui nous entravent dans nos efforts pour trouver les valeurs qui reposent au cœur de notre être. Nous limitons notre capacité d'être fidèles à nous-mêmes, à notre aptitude à fonctionner au travail, aux chances que nous sommes prêts à prendre — la liste semble interminable. Si nos parents ou nos professeurs nous ont dit que nous ne réussirions jamais et si nous les avons crus, il y a de fortes chances que nous n'ayons pas accompli grand-chose. Si notre environnement social nous a appris à ne pas nous défendre, nous ne l'avons pas fait, même si, en notre for intérieur, tout hurlait pour que nous le fassions.
Narcotiques Anonymes nous fournit un processus qui nous permet de reconnaître ces fausses limites pour ce qu'elles sont. À travers notre Quatrième Étape, nous découvrirons que nous ne voulons pas conserver toutes les règles qu'on nous a enseignées. Il n'est pas nécessaire que, toute notre vie, nous soyons victimes des expériences passées. Nous avons la possibilité de rejeter les idées qui nuisent à notre croissance. Nous sommes capables d'élargir nos limites pour accueillir de nouvelles idées et de nouvelles expériences. Nous sommes libres de rire, de pleurer et, par-dessus tout, de profiter de notre rétablissement.

Juste pour aujourd'hui, je me débarrasserai des limites que je me suis imposées à moi-même et j'ouvrirai mon esprit à de nouvelles.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 14 août, page 238

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L'envie est une forme de vice, en partie moral, en partie intellectuel, qui consiste à ne jamais voir les choses en elles-mêmes, mais seulement de façon relative. Bertrand Russell

Comparer mon cheminement ou mes succès à ceux d'un autre pour ce qui est de la façon de vivre le mode de vie ou comparer mes succès à ceux d'un autre n'est qu'une manière de me dévaloriser. « Comment se fait-il que je ne réussisse pas mieux ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Si seulement je faisais comme ... » Le mode de vie OA n'est pas une compétition sportive dont ma Puissance supérieure serait l'arbitre. Si j'éprouve de l'envie, je n'aurai pas à chercher bien loin pour me rendre compte que j'ai envers moi-même des exigences déraisonnables.
Je sais que je peux me servir des outils spirituels qui me soulagent de la compulsion alimentaire pour me débarrasser de mes autres défauts. Je n'ai qu'à mettre les Étapes en pratique — toutes les Étapes — et à confier quotidiennement ma vie à ma Puissance supérieure. Je n'ai pas à réussir cela à la perfection ; je n'ai qu'à être moi-même.

Pensée du jour : Pour me libérer de l'envie, je peux commencer par considérer combien elle me fait souffrir.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 227

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« Nous avons fait une constatation fondamentale : dès que nous renonçons à l'idée de faire agir les autres à notre guise et que nous laissons simplement notre Puissance supérieure Se servir de nous pour aider les autres, nous recevons plus que notre part de joie et d'énergie. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 126

Laisser Dieu servir les autres à travers moi est devenu le but premier de ma vie. Cela n'a pas toujours été facile de mettre en pratique ces principes dans tous les domaines de ma vie. D'abord, je l'ai fait dans les réunions OA, ensuite, avec mes amis OA et enfin, au travail. Toutefois, c'est à la maison, avec ma famille, que j'ai eu le plus de difficulté à appliquer ces principes. Lorsque je me rappelle que mon objectif est de permettre à Dieu de servir les autres à travers moi, mes relations sont plus simples, mon travail me comble et ma vie de famille me réjouit. Je n'ai plus besoin de contrôler les autres ou les situations que je vis. Je fais confiance à Dieu et je me concentre sur le service.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 14 août, page 227

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Pensée du jour
« Personne n'aime croire qu'il est physiquement et mentalement différent de ses semblables. Nos vies de joueurs ont été caractérisées par de multiples et vains efforts afin de prouver que nous pouvions jouer sans être compulsifs. C'était une illusion et nous devons nous en convaincre. Il a été prouvé, hors de tout doute, que pas un seul joueur compulsif n'a réussi à maîtriser le jeu. Après un certain temps, notre condition s'aggrave ; elle ne s'améliore jamais. Il est impossible de faire d'un joueur compulsif un joueur normal. » Suis-je convaincu que je ne pourrai plus jamais jouer ?

Méditation du jour
Vous avez droit à la vie et à une vie remplie d'abondance - spirituellement, mentalement, physiquement ; une vie abondante, joyeuse et puissante. Vous pouvez avoir ce bonheur si vous continuez dans la bonne voie. Tous ne veulent pas accepter de Dieu le don d'une vie abondante, un don qui est mis gratuitement à la portée de tous. Tous ne prennent pas la peine de tendre la main pour s'approprier ce don. Ce don est le plus précieux cadeau que Dieu a à offrir. Plusieurs le refusent et le font en toute conscience. Ne soyez pas un de ceux-là.

Prière du jour
Je demande de me hâter d'accep­ter le cadeau d'une vie spirituelle abondante. Je demande de vivre la meilleure vie possible.

Joueurs Anonymes, 14 août

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14 août

Comme tu contribues au tout avec tes dons et tes talents spécifiques, ainsi fait chaque pièce du puzzle de la vie qui, assemblée, forme le tout parfait. Quels sont tes dons ou tes talents spécifiques ? Pourquoi ne pas les partager et cesser de les cacher, car tous sont nécessaires ? Tu peux sentir que tu as beaucoup de dons ou bien que tu as peu ou rien à donner. Cette dernière éventualité n'existe pas. Tu as quelque chose d'unique à donner, que personne d'autre ne peut donner, et ce quelque chose est nécessaire; cela ne tient qu'à toi de découvrir ce que c'est et de le donner. Il en faut de toutes sortes pour faire le tout. Chaque vis, chaque pièce et ressort minuscule est nécessaire pour fabriquer une horloge.
Chaque organe du corps, chaque minuscule cellule et chaque atome est nécessaire pour composer le corps entièrement parfait. Lorsque tu pourras te voir comme faisant partie du tout, tu ne voudras plus retenir ce que tu as à donner.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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