Pensées 02 septembre 2019

Bonjour à toutes et à tous

« On donne des conseils, mais on n'inspire point de conduite. » ( François de La Rochefoucauld ) Quand un membre d’un groupe d'entraide que nous aimons bien ressasse ses soucis dans un mini-partage, nous sommes quelquefois tenter de lui donner un conseil alors que notre intention était d'aller le remercier. ‘Fais ceci, fais cela...’ Cela part d’un bon sentiment : apporter de l'aide à quelqu'un qui en a besoin, à un 'dentiste' qui en arrache. Mais nous sommes souvent très déçus. Les conseils sont mal reçus, mal perçus, pas écoutés, pas adoptés ! Alors comment faire pour bien donner des conseils ? Tout d'abord, un conseil ne doit jamais être donné pour être suivi ! Cela peut paraître paradoxal, et bien, c'est ainsi. Celui qui le reçoit doit toujours rester libre de l'écouter puis de penser et de décider lui-même. Sinon, le conseil ne sera pas perçu comme tel, mais comme un ordre. Et un ordre, ça donne plutôt envie de se rebiffer surtout si nous sommes encore un tantinet égocentriques ou rebelles !

« Nous sommes alors effleurés par la tentation de devenir quelque peu possessifs envers ces nouveaux membres. Nous cherchons peut-être à leur donner des conseils qui débordent notre compétence ou que nous ne devrions pas offrir du tout. Et alors nous sommes offusqués ou chagrinés qu'on rejette nos conseils, ou qu'on les accepte et que la situation se détériore. » ( 12x12, 12e Étape, page 125 ) « On donne facilement des conseils ; ça amuse beaucoup celui qui les donne et ça n'engage à rien celui qui les reçoit. » ( Alphonse Karr ) Un conseil ne peut pas être donné comme un avis personnel. « À mon avis, la solution, c'est ça... » Ou « Si j'étais à ta place, je crois que je réagirais ainsi... » Dans de telles situations, ça nous donne bonne intention de chercher à relativiser notre conseil, c'est toujours le point de vue d'une personne, un autre éclairage — le nôtre. Ce n'est pas forcément l'unique ou même une voie à suivre. C'est toujours celle que nous devrions nous-mêmes prendre.

Un conseil même qui nous apparaît bénéfique peut ne pas l'être pour l'autre à qui il est destiné. Un conseil peut aller jusqu'à ouvrir la prison de l'autre. Si cette personne se débat dans une situation difficile, c'est bien qu'elle est enfermée dans des idées reçues et/ou des limites invisibles. Notre conseil peut lui ouvrir une porte, une fenêtre, une issue. Notre conseil peut aussi le ou la peinturer dans un coin, surtout si nous lui imposons une direction inévitable. La personne que nous voulons aider peut commencer ou continuer à se sentir prisonnière.

De la part de celui qui prodigue un conseil, l'humilité est indispensable : nous ne sommes pas à la place de l'autre. Nous n'avons pas sa personnalité, nous ne connaissons pas toute son histoire de vie, ni les tenants ou les aboutissants de ses gestes et actions. Nous ne vivons pas avec sa famille immédiate, avec son entourage. Alors, même si cette personne fait le contraire de ce que nos conseils lui suggèrent, ils lui auront peut-être été utiles à faire un choix ! Nous pouvons toujours aussi ajouter : « Tu es le seul ou la seule à savoir ce qui est bon pour toi. » Notre expérience a démontré que la plupart du temps, la plupart d'entre nous donnons des conseils à la pelle, et nous les acceptons à la cuillère.

Enfin, le conseil idéal est une ouverture comme « Je te fais cette suggestion, et il existe certainement mille autres solutions auxquelles nous n'avons pas pensé… » Cette ouverture d'esprit stimule les capacités de l'imagination, de l'intuition, de l'intelligence à trouver des voies qui n'apparaissent pas à première vue. Et l'une de ces voies est sûrement la bonne…

« Celui qui donne un bon conseil, construit d'une main, celui qui conseille et donne l'exemple, à deux mains ; mais celui qui donne de bonnes leçons et un mauvais exemple construit d'une main et détruit de l'autre. » ( Francis Bacon — Boris Vian d’après QQCitations ) Juste pour aujourd'hui, les conseils dont nous avons besoin sont à notre portée. Ce sont ceux que nous cherchons à prodiguer si généreusement aux autres pour leur propre bien. Nous sommes les premiers qui avons besoin de les entendre. Noblesse oblige. « En France, on vous dit de ne pas mettre tous vos œufs dans le même panier. Aux États-Unis, on vous conseille de les y mettre, mais de surveiller le panier. » ( Paul Laffitte — Warren Buffett )

Merci la Vie !!!
Gilles

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Durant mes années dans Al-Anon, j'ai beaucoup réfléchi à la Première Étape ; dernièrement, j'ai aussi ressenti beaucoup de choses au sujet de cette Étape. Ces sentiments peuvent se résumer principalement en un mot : chagrin. Quand je me rappelle la rapide progression de l'alcoolisme d'un ami, qui est passé d'une santé assez bonne et d'un bonheur apparent à une cirrhose et à la mort, je ressens du chagrin.
Aujourd'hui, je ne déteste pas nécessairement cette maladie, mais je perçois fortement dans ma vie sa présence puissante, débilitante. Je me rappelle les préjudices causés à ma famille, à mes amis et à moi-même. J'ai du chagrin pour la perte de l'amour et de la vie causée par l'alcoolisme. J'ai du chagrin pour les années perdues que j'ai passées à suivre les hauts et les bas de cette maladie. J'admets que je suis impuissant devant l'alcool et que ma vie a été totalement incontrôlable chaque fois que j'ai été aux prises avec cette maladie.

Pensée du jour
J'ai subi de nombreuses pertes à cause de l'alcoolisme. Lorsque j'admets les conséquences de cette maladie dans ma vie, j'admets par le fait même mon chagrin. En faisant face à l'impact de l'alcoolisme dans ma vie, je commence à me libérer de son emprise et à entrer dans une vie pleine de promesses et d'espoir.

« Il n'est pas facile d'admettre la défaite et de capituler devant cet adversaire puissant, l'alcoolisme. Pourtant, cette capitulation est absolument nécessaire si nous voulons connaître de nouveau une vie saine et heureuse... » Al-Anon, c'est aussi pour les hommes

Al-Anon, Le Courage de Changer, 2 septembre, page 246

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Quand j'ai fait ma Quatrième Étape, j'ai réalisé avec étonnement qu'avoir volé un peigne à 10 cents quand j'avais 7 ans était un geste sans grande importance. Pendant des années, j'avais éprouvé de la culpabilité pour cette infraction mineure. Je m'identifiais au concept d'un sens des responsabilités surdéveloppé, mais je ne savais pas que c'était un défaut. je considérais que mon sens des responsabilités omnipotent était un atout en or. Les résultats de mon inventaire m'ont amené à réviser mon point de vue.
En m'efforçant d'identifier la véritable nature de ce défaut, j'ai découvert une tendance sous-jacente au perfectionnisme. Je me suis demandé pourquoi j'avais toujours besoin d'être parfaite au point où personne ne pourrait me punir pour avoir fait une erreur quelconque. Je me punissais avant que quelqu'un d'autre ne puisse le faire. J'ai été surprise de découvrir que mon perfectionnisme cachait une peur profonde d'être abandonnée. Quand j'étais enfant et que je faisais quelque chose de mal, mon père alcoolique pouvait passer plusieurs jours sans m'adresser la parole. Je me souviens encore comment je me sentais tendue, triste et seule jusqu'à ce qu'il communique de nouveau avec moi ; à ce moment-là, tout recommençait à bien aller. Je me sentais comme si j'étais abandonnée encore et encore. Je ne savais pas que la façon de penser et le comportement de mon père alcoolique n'avaient rien à voir avec moi.
La peur de l'abandon est probablement universelle, mais avoir peur d'être abandonnée ne veut pas dire qu'on l'est effectivement.
Ce n'est que lorsque je m'accroche à ma perception infantile du passé que je pense que je peux contrôler la possibilité d'être abandonnée. Mettre mon programme en pratique et faire confiance à ma Puissance Supérieure me donne une nouvelle façon de me voir et de voir mon passé, ce qui me libère de son emprise.

Pensée du jour
Il est naturel pour un enfant de vouloir contrôler. En tant qu'adulte en rétablissement, par contre, je peux faire des choix plus sains.

« Grâce à une relation avec Dieu tel que je Le conçois... je ne crains plus d'être abandonnée. » De la survie au rétablissement, page 83

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 2 septembre, page 246

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« Une raison de croire »

La volonté de progresser est l'essence de tout progrès spirituel. Réflexions de Bill, page 171

Il y a quelque part une chanson qui dit à peu près ceci : « ... et je cherche une raison de croire...». Elle me rappelle qu'à une certaine époque, j'étais incapable de trouver une seule raison de croire que ma vie allait bien. Même si les AA m'avaient sauvé la vie, trois mois plus tard je retournais boire. Quelqu'un m'a dit : « Tu n'as pas besoin de croire. Il te suffit de vouloir croire que tu as une raison de vivre, même si tu ne la connais pas encore toi-même, même si tu ne sais pas toujours comment vivre. » Après m'être rendu compte à quel point je voulais croire que j'avais bel et bien une raison de vivre, j'ai pu commencer à mettre les Étapes en pratique. Maintenant, quand je dis : « Je suis disposé… », j'utilise la clé qui m'ouvre la porte de l'action, de l'honnêteté et de l'intervention d'une Puissance supérieure dans ma vie.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 2 septembre, page 254

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Combat solitaire



Bien rares, en effet, étaient ceux qui avaient soutenu seuls ce combat et en étaient sortis vainqueurs. Les statistiques pouvaient le démontrer : les alcooliques n'arrivent presque jamais à se rétablir par eux-mêmes.

Près de la Pointe Barrow, en Alaska, deux prospecteurs se trouvaient dans une cabane avec une caisse de scotch. La température baissa jusqu'à cinquante degrés sous zéro. Ils se sont tant enivrés qu'ils ont laissé le feu s'éteindre. Par chance, l'un d'eux s'est éveillé à temps pour rallumer le feu, échappant de près à la mort par le gel. En cherchant autour à la recherche de combustible, il a regardé dans un baril plein de glace. Tout au fond, il a vu un objet rouge jaunâtre. Une fois la glace fondue, il a vu que c'était un livre AA. L'un d'eux l'a lu et est devenu abstinent. La légende veut qu'il soit devenu le fondateur d'un des groupes les plus reculés du Grand Nord.

1. Les 12 Étapes et les 12 Traditions, pages 24-25
2. Le mouvement des AA devient adulte, pages 101-102

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 245

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2 septembre - Pensée A.A. pour aujourd'hui
« Expliquez notre programme d'action à un nouveau venu, lui indiquant comment vous vous êtes examiné vous-même, comment vous avez remis de l'ordre dans votre vie, et pourquoi vous cherchez maintenant à l'aider. Il est important qu'il se rende compte que votre tentative de lui transmettre ce message joue un rôle capital dans votre propre relèvement. Plus il se sent abattu, mieux c'est. Il sera plus enclin à suivre vos suggestions. Parlez-lui de la fraternité des A.A. et, s'il montre de l'intérêt, prêtez­ lui un exemplaire du gros livre. » Puis-je transmettre le message A.A. à un autre alcoolique ?

Méditation du jour
Vous devriez essayer de vous tenir à l'écart et laisser Dieu agir par votre intermédiaire. Vous devriez essayer de ne pas nuire à Son œuvre par vos propres efforts, ou de ne pas empêcher Son esprit d'agir par votre intermédiaire. Dieu veut que vous vous consacriez en toute obéissance et loyauté aux idéaux de la nouvelle vie que vous recherchez. Si vous êtes loyal envers Dieu, vous éviterez bien des erreurs. Son esprit préparera le plan de votre vie et vous fournira toute l'aide spirituelle dont vous aurez besoin. Vous obtiendrez de vraies victoires et des succès réels, si vous demeurez à l'écart et laissez Dieu agir par votre intermédiaire.

Prière du jour
Je demande de ne pas nuire à l'œuvre qu'accomplit l'esprit de Dieu en moi et par moi. Je demande de Lui abandonner complètement la direction de ma vie.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 248

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PENSÉE DU JOUR
En reconnaissant et en admettant mon impuissance, je suis en mesure de reconnaître mon besoin d'une Puissance supérieure. En reconnaissant ce besoin, je suis capable de rechercher et d'accepter l'aide d'une Puissance supérieure. Je n'aime pas voir mes propres faiblesses. Cela me rend conscient que je ne suis pas maître de ma propre vie, et que je ne le serai jamais. C'est troublant, mais, en même temps, c'est consolant. Je ne suis plus chargé de trouver toutes les réponses. Je n'ai pas toutes les réponses et je n'ai pas besoin de les avoir. J'ai besoin de vivre un jour à la fois, en faisant confiance à une Puissance supérieure pour m'aider.

MÉDITATION DU JOUR
Je demande de lâcher prise et de m'en remettre à Dieu.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Aujourd'hui, je trouve la force de l'acceptation de ma faiblesse.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 2 septembre

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Animé par une puissance supérieure

« La pratique quotidienne de notre programme de Douze Étapes nous permet d'être transformés en êtres humains guidés par une Puissance supérieure. » Texte de base, page 106

Qui étions-nous et que sommes-nous devenus ? Il y a deux façons de répondre à ces questions. L'une est très simple : nous sommes arrivés à Narcotiques Anonymes dépendants, et notre dépendance nous tuait. Dans N.A., nous avons été libérés de notre obsession des drogues et de notre consommation compulsive. Et nos vies en ont été changées.
Pourtant ce n'est là que la pointe de l'iceberg. Qu'étions-nous vraiment ? Autrefois, nous étions des gens sans pouvoir et sans direction. Nous avions l'impression de n'avoir aucun but, aucune raison de vivre. Notre vie n'avait pas plus de sens pour nous que pour notre famille, nos amis ou nos voisins. Que devenons-nous vraiment ? Aujourd'hui, nous ne sommes pas seulement des dépendants abstinents, mais des gens qui ont un sens de la direction, un but et une Puissance supérieure à eux-mêmes. Grâce à la pratique quotidienne des Douze Étapes, nous avons commencé à comprendre comment notre dépendance dénaturait nos émotions, nos motivations et notre comportement. Graduellement, la force destructrice de notre maladie a été remplacée par la force de vie de notre Puissance supérieure.
Le rétablissement signifie plus qu'un grand ménage, il signifie une nouvelle énergie. Nous avons fait plus que nous débarrasser de nos mauvaises habitudes ; nous devenons de nouvelles personnes, guidées par une Puissance supérieure.

Juste pour aujourd'hui, les conseils dont j'ai besoin pour devenir une nouvelle personne sont à ma portée. Aujourd'hui, je m'éloignerai encore plus de mon manque de direction et me rapprocherai de ma Puissance supérieure.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 2 septembre, page 258

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Noble soit l'homme,
Bon et généreux !
Car c'est par cela seulement
Qu'il se distingue
De toute autre créature
Sur terre. Johann Wolfgang von Goethe

L'entraide est une pratique aussi vieille que l'humanité elle-même. Aider ne signifie pas dire à l'autre ce qu'il doit faire, ni même le lui laisser entendre. Aider, c'est être présent à l'autre. C'est partager mon expérience, prêter appui, poser les gestes nécessaires pour soulager un ami d'un fardeau écrasant. Je dois épargner aux autres le poids de mon ego, de mes conseils et de mes bonnes intentions, même si j'ai l'impression de m'en servir pour les aider. Si je veux vraiment aider les autres à développer leur potentiel et à l’exploiter pleinement, je ne peux leur dire quoi faire.

Pensée du jour : Je suis l'instrument de ma Puissance supérieure. Je transmets le message mais je ne l'interprète pas.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 246

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« Avant d'entreprendre concrètement la Neuvième Étape, nous devons renoncer à tout ce qui pourrait ressembler à des attentes (…) » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 90

Je suis en train de devenir de plus en plus conscient d'une leçon que j'ai tirée de ma Neuvième Étape. Auparavant, j'étais déçu lorsque je n'avais pas de grande révélation, de soulagement profond ou de changement majeur dans ma vie après avoir réparé un de mes torts à la Neuvième Étape. À présent, je me rends compte que le miracle issu de mes démarches est souvent d'une toute autre nature. Parfois, il est juste sous mon nez et se manifeste dans ma vie quotidienne. Simplement, je ne le reconnais pas car je suis trop occupé à fouiller le ciel à la recherche de révélations éblouissantes, ou à tout le moins, de feux d'artifice.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 2 septembre, page 246

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Pensée du jour
« Expliquez notre programme d'action à un nouveau venu, lui indiquant comment vous vous êtes évalué vous-même, comment vous avez remis de l'ordre dans votre vie et pourquoi vous cherchez maintenant à l'aider. Il est important qu'il se rende compte que votre tentative de lui transmettre ce message joue un rôle capital dans votre propre relèvement. S'il se sent abattu, il sera plus attentif et plus enclin à suivre vos suggestions. Parlez-lui de la fraternité des J.A., et s'il démontre de l'intérêt, prêtez-lui de la littérature du mouvement J.A.. Puis-je transmettre le message J.A. à un autre joueur ?

Méditation du jour
Vous devez vous tenir à l'écart et laisser Dieu agir par votre intermédiaire. Vous devez ne pas nuire à Son Œuvre par vos propres efforts et de ne pas empêcher Son Esprit d'agir par votre intermédiaire. Il veut que vous vous consacriez en toute obéissance et loyauté aux idéaux de la nouvelle vie que vous recherchez. Quand vous êtes loyal envers Lui, vous évitez bien des erreurs. Son esprit prépare le plan de votre vie et vous fournit toute l'aide spirituelle dont vous avez besoin. Vous obtenez de vraies victoires et des succès tangibles si vous laissez la Puissance Supérieure agir par votre intermédiaire.

Prière du jour
Je demande de ne pas nuire à l'œuvre qu'accomplit l'Esprit de Dieu en moi et par moi. Je demande de Lui abandonner complètement la direction de ma vie.

Joueurs Anonymes, 02 septembre

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2 septembre

Si tu as le désir d'apporter la paix et l'harmonie dans le monde, alors commence par trouver la paix et l'harmonie dans ton propre cœur. Parler de la paix est une perte de temps. Tu dois chercher et trouver cette conscience de paix que rien ni personne ne puisse troubler, et demeurer en elle. Dans cet état de conscience, tu pourras être efficace et aider à apporter la paix et l'harmonie dans la vie du plus grand nombre.
Aie consciemment connaissance de la paix et de l'harmonie dans ta propre vie d'abord et, comme une pierre jetée au milieu d'un étang, les cercles s'élargiront, toucheront et changeront la vie de nombreuses personnes.
« Tu récolteras ce que tu sèmes !» Lorsque tu sèmes la discorde et la disharmonie, tu récoltes la discorde et la disharmonie ; tandis que lorsque tu sèmes paix et harmonie, la moisson de paix et d’harmonie sera grande, pas seulement pour toi, mais pour toutes les âmes avec lesquelles tu entres en contact.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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