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Entre les murs de la codépendance
Récemment, j’ai acheté le livre intitulé «Vaincre la codépendance« de l’auteure Melody Beattie. Ce livre a vu le jour en 1993. Donc, 12 années ont passées depuis sa naissance. Et si je retourne dans les pages de mon livre d’histoires, je vous dirais que ma fille aînée Emmanuelle avait commencé à démontrer des signes d’ivresse et de pertes de contrôle dans cette période de sa vie (1993). Elle était alors âgée de 19 ans. Elle buvait tellement que quand nous montions l’escalier qui menait à notre logement, une forte odeur nous envahissait et nous polluait les sens. Sur la page frontispice il est écrit «Ce livre vous rend la liberté». J’aime à croire que nous les parents nous aimerions pouvoir retrouver la liberté d’être et d’exister. Ils aimeraient se retrouver et surtout, bercer l’espoir d’une vie meilleure et plus sereine. Pas facile d’être bien dans ses chaussures quand nous sommes tourmentés par le comportement de nos enfants, de nos proches, de ceux que nous aimons tendrement. Je pense que pendant les prochaines semaines, je vais coucher mon mal-être en me nourrissant de la sagesse qui habille ce trésor littéraire. Et par ce fait, j’ai confiance que je continuerai à aider certaines personnes à mieux cibler leur pourquoi et leur comment. Et à cet égard, j’ai confiance qu’ils débuteront une démarche pour trouver votre voie de guérison. Je toucherai à travers ma plume différents aspects de cette maladie que nous connaissons trop bien et qui se nomme orageusement «la codépendance». Trop souvent on trouve des ressources pour aider les dépendants mais il faut écrire que l’aide aux codépendants est présente mais difficile à découvrir. Étant donné que souvent nous n’avons pas de problèmes de consommation, comment chercher de l’aide et ainsi, admettre que même sans consommer nous sommes affectés par ce fléau. Celui qui nous détruit au quotidien et qui nous tue par l’obsession de l’autre, ce proche, cet enfant, ce parent, ou cet(te) ami(e) qui surconsomme … Lee, auteure |
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La beauté a toujours été une des grandes préoccupations féminines. Si les produits de beauté et les centres d'esthétique sont relativement récents, les femmes ont de tous temps usé d'artifices pour paraître plus belles. On sait que les cosmétiques existaient du temps de l'ancienne Egypte ou de la civilisation de Minos. Autrefois, toute grande dame avait ses recettes et ses secrets. La plupart des produits de beauté étaient préparés à la maison. Les plantes étaient les produits de base de nombreuses préparations artisanales, y compris les plantes alimentaires. Les recettes à base de jus de fruits et légumes reposent donc sur une très ancienne tradition et ont été éprouvées par le temps. L'usage de la centrifugeuse simplifie cependant leur fabrication. La mode étant aux produits d'origine naturelle, on voit apparaître sur le marché de nombreux produits réalisés à partir de fruits et légumes. Cependant, lisez bien les étiquettes avant d'acheter! En effet, dans le domaine cosmétique la loi autorise à porter la mention d'un produit dès que la préparation en contient 1 %. Vous verrez donc des laits de concombre, d'un vert suspect si l'on considère que 1 % de concombre ne suffit pas à leur donner cette belle couleur. Ces préparations, sous prétexte d'être naturelles, sont souvent à base de différents produits chimiques. Il en existe quand même de sérieux; cependant il est préférable de les préparer soi-même pour être sûr de bénéficier d'un traitement de peau 100 % naturel. Il faut toujours préparer
une petite quantité pour un usage unique. En
Ces préparations sont souvent à base de différents produits chimiques Pour les conserver, remplissez-en un bac à glaçons. À chaque usage il vous suffira de laisser fondre un cube à appliquer à température ambiante. Cette méthode à un seul défaut : elle tue une partie des vitamines et le résultat sera moins bon qu'avec des jus fraîchement pressés. Les jus peuvent être employés tels quels ou servir de base à différentes préparations: lotions, crèmes, masques en association avec divers produits naturels. Quelques traitements seront décrits pour les maladies de peau les plus fréquentes. Ils ne s'appliquent pas aux cas graves mais aux formes bénignes. Toute persistance des lésions doit amener à une consultation médicale, de préférence spécialisée. Lors de petites blessures ou brûlures, si elles sont sans gravité, apprenez à utiliser les produits de votre jardin (ou du bac à légumes de votre réfrigérateur). Il existe de nombreuses possibilités
adaptables à chaque type de peau. Testez d'abord la préparation,
telle qu'elle est décrite, et qui vous semble la plus adaptée
à votre cas particulier. Ensuite, modifiez éventuellement
la proportion des ingrédients en fonction du résultat observé.
Par exemple, si une lotion vous paraît trop desséchante, rajoutez
de la crème fraîche ; si elle est déjà présente
augmentez-en la quantité.
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Tel que mentionné dans ma dernière chronique, je vais continuer à développer sur ce sujet qui nous aide à découvrir les pourquoi de ce mal-être qui nous habite «notre codépendance de merde». Celle qui nous continue de nous enlever sauvagement notre équilibre, notre goût d’avancer et parfois, notre désir de grandir. En page 16 du livre, l’auteure cite «Les codépendants ne sont ni plus fous, ni plus malades que les alcooliques. Mais ils souffrent autant, sinon plus. Ils n’ont pas l’apanage de la souffrance, mais ils l’ont supportée sans l’anesthésie que procurent l’alcool, les drogues ou les autres ivresses que recherchent les victimes de troubles compulsifs. Et quand on aime une personne en détresse, on souffre parfois beaucoup.» Puis, Janet Geringer Woititz dit «Le partenaire chimio-dépendant anesthésie ses sentiments, tandis que le non-toxicomane, lui, est plié en deux de douleur, une douleur que seuls la colère et les fantasmes occasionnels peuvent soulager». Si les codépendants ont cette sobriété, c’est parce que leur calvaire, ils l’ont enduré sobres. Pas étonnant que les codépendants soient déséquilibrés, avec des fréquentations pareilles. Sachez qu'elle m’allume par «Les codépendants ont eu du mal à bénéficier de l’information et de l’aide matérielle qu’ils nécessitaient et méritaient. Maintenant prenons le temps de lire le contenu de cet énoncé «Il est déjà difficile de convaincre les alcooliques ou autres personnes en détresse de se faire aider. Mais faire comprendre aux codépendants (qui, par comparaison, semblent mais ne se sentent pas normaux) qu’ils ont un problème, voilà qui est bien ardu.» Enfin, un livre qui m’aide car il me permet d’admettre ma maladie et de commencer à guérir mes plaies parentales dans mes chaussures de mère codépendante. Il est évident que je ne peux pas briller dans mon rôle de mère mais j'aimerais seulement éteindre mes feux intérieurs, mes inquiétudes, mes doutes et ma culpabilité, trop réelle, par cette démarche constructive qui mènera (je l'espère) vers le bien-être de mon moi malade. Je vous souhaite de trouver les mots qui sauront vous soulager dans la détresse de votre être. Merci mon Dieu pour l'espoir! Lee, auteure |
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Choisissez de les faire
le soir, car il faut y consacrer suffisamment de temps.
Commencez par vous démaquiller; pour cela, vous pouvez utiliser un jus de fraise, de pêche, de melon ou d'orange. Choisissez selon votre type de peau: l'orange est réservée aux peaux grasses. Choisissez selon votre type de peau Rincez à l'eau, si celle qui est à votre disposition n'est pas trop calcaire. Sinon utilisez de l'eau minérale ou de l'eau de rose. Les lotions À garder 1/4 d'heure pour une bonne efficacité. Utilisez les jus tels quels, appliqués avec un coton ; n'en préparez qu'une petite quantité... à moins que vous n'ayez envie de boire le reste ! Pour les peaux grasses: jus de concombre ou jus d'abricot. Pour les peaux normales: carotte, tomate, betterave. Pour les peaux sèches: choisissez plutôt les crèmes ou les laits de beauté ; ou à la rigueur: pêche et poire. Pour tonifier (suivant les saisons): fraise, framboise, cerfeuil. Lotion adoucissante: jus de carotte, de mûre, de cerise ou de raisin. Régénérant: betterave, carotte, cerise, cerfeuil, fraise. Pour une peau fatiguée et très grasse: jus d'agrumes: orange, pamplemousse, citron; il faut en mettre très peu et laisser agir seulement quelques minutes pour éviter un effet trop desséchant. Les crèmes et laits de beauté Ils sont très simples à réaliser. Il suffit d'ajouter en quantité égale à celle de votre jus, du lait ou de la crème fraîche (pour les peaux sèches la crème fraîche est préférable). Pour les peaux normales: crème une à deux fois par semaine, ou quotidiennement avec du lait. Pour les peaux grasses (seulement pour compenser l'effet desséchant) de l'abricot qui donne bonne mine, ou du concombre. à utiliser pour nettoyer ou tonifier. Lait de fraise : ajoutez un peu d'eau de cologne, une cuillerée à café pour 200 g de lait de fraise. Lait et abricot: tonifie,
donne bonne mine.
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Et toujours je laisse glisser ma plume tout en m’appuyant sur le contenu d’un livre merveilleux qui s’intitule «Vaincre la codépendance» de l’auteure Melody Beattie. Sur la page 16, l’auteure écrit «J’ai travaillé avec des gens qui avaient l’impression de devenir fous : ils avaient cru tant de mensonges qu’ils ne savaient plus les distinguer de la réalité. J’ai vu des gens absorbés dans les problèmes des autres au point de ne plus avoir le temps d’identifier ni de résoudre les leurs. Ces êtres s’étaient investis si profondément dans les autres, et parfois avec un tel potentiel destructeur, qu’ils ne savaient plus s’occuper d’eux-mêmes.» Et le paragraphe se termine sur cette note «Les codépendants se sentaient responsables de tout parce que leurs proches, eux, ne se sentaient plus responsables de rien; alors ils prenaient le relais.» À quelque part, je me retrouve dans l’essentiel de ces mots. Il est si difficile de trouver du matériel, des ressources ou même l’écoute nécessaire pour panser nos peurs, nos inquiétudes et notre culpabilité. Doucement, je vous dirais que ça commence à goûter bon, très bon d’être informée adéquatement. Je me sens partiellement libérée. Je me sens comprise. Un poids glisse lentement de mon être. Et j’ai confiance qu’à force de travail, je réussirai à trouver l'équilibre dans mes chaussures de mère codépendante. Vous qui me lisez fidèlement, si vous désirez prendre contact avec moi, si vous désirez simplement me faire parvenir quelques mots, si vous désirez partager votre impuissance avec quelqu’un qui connaît votre langage, vous pouvez le faire par le biais du bouton nouvellement installé et intitulé «Pour rejoindre Lee, mère codépendante». Vous qui souffrez et qui avez porté sans l’anesthésie que procure l’alcool, les drogues ou les autres ivresses le fardeau de vos proches, nourrissez en vous l’espoir d’un lendemain plus heureux. Si vous êtes codépendant(e), comme je le suis, il faut apprendre à nous libérer, à nous assumer et surtout, à nous épanouir. Au cours des prochaines chroniques, je vais tenter de faire face à mon moi malade. Et j’espère que par ma démarche constructive, je vous aiderai par les notions que je vous présenterai. Amicalement, Lee, auteure |
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À faire une fois par semaine. L'abricot donne bonne mine, le concombre nettoie et tonifie Prenez comme base de l'argile. Vous pouvez utiliser l'argile verte ou mieux l'argile blanche ventilée. En effet l'argile verte a fait l'objet de peu d'études, particulièrement en ce qui concerne les risques de toxicité ou d'allergie. L'argile blanche, ventilée, est de texture plus fine, plus facile à utiliser. Pour préparer un masque, il faut la délayer dans un peu d'eau en mélangeant de façon à obtenir une pâte homogène, semi-liquide. Ne laissez pas de grumeaux. Après avoir appliqué
uniformément l'argile, en évitant le contour des
L'argile nettoie la peau en profondeur; ce traitement est particulièrement conseillé aux peaux grasses à tendance acnéique. Vous pouvez remplacer l'eau, ou une partie, par des jus de fruits et légumes. Argile : deux cuillerées
à soupe ; une cuillerée à soupe d'eau ; une de jus
de concombre. Ajoutez quelques gouttes d'huile d'amande douce pour
éviter que ce masque ne dessèche trop la peau.
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Aujourd’hui, tout en conduisant, j’ai versé quelques larmes dans mes chaussures de mère. Pour un instant, je voulais serrer mes filles. Je voulais du haut de ma codépendance rêver pour un tout petit instant que ma réalité était autre. Et je sais que ce rêve ne prendra pas son envol car ce n’est pas le moment pour espérer de les aimer, de les prendre dans mes bras, sans me briser. C’est cruel de vieillir sans nos enfants. C’est cruel d’avoir à faire des choix de vie qui sont si difficiles à assumer. Mais en tant que codépendante, je me dois d’écouter ce mal-être qui m’habite et de conserver cette distance qui me sépare de mes filles qui surconsomment «probablement!». Sang qui couvre leur vie. Misère noire qui contamine nos pensées. Je suis tannée de m’inquiéter dans mon rôle. Si seulement, je pouvais les réveiller et leur faire comprendre qu’il est l’heure d’arrêter de vivre tout croche et de survivre dans leur monde de petits riens. Il ne faut pas que je les juge du haut de ma codépendance. L’impuissance parentale, ça prend toutes sortes de chemins. Et je sais que la route est longue et sinueuse. En paroles, je ne veux pas leur voler leur liberté d’être. Je ne peux pas les forcer à avancer dans ma direction. C’est bien malaisé de comprendre comment ça se fait que mes filles adultes continuent d’avancer vers rien. Pourquoi se mettent-elles continuellement dans la misère? Elles sont devenues des femmes en quête d'un bien-être intérieur. Au fond, elles méritent d’apprendre leurs leçons de vie pour en tirer l’essentiel de leurs valeurs. Tout comme moi, elles cherchent leurs réponses. Les trouveront-elles avant que leur maladie ne les détruisent. Récemment, j’ai eu une discussion avec une mère qui vivait des situations difficiles avec son fils de 15 ans. Elle m’a marqué par ce commentaire «Je prends seulement ce qui m’appartiens». Et elle m’a mentionné que depuis deux ans elle avait changé son comportement pour marier le lâcher prise. Trop souvent, j’échange avec des mères qui ne modifient pas leur tir. Elles avancent en se rivant le nez continuellement contre ce mur de rechutes, de déni et de mensonges. Facilitatrices, elles essaient de changer leur mode de vie pour ne réaliser qu’à quelque part, elles ont perdu tant d’années à pousser dans la mauvaise direction. Je sais que la vie est habillé d’efforts et de moments de souffrance. Il faut cerner nos besoins et respecter nos limites si nous voulons esquiver à la froideur de la toxicomanie et de l’alcoolisme. Je termine cette chronique sur une note joyeuse. Essayons d’apprendre à nous nourrir de petites joies. D’apprendre à avancer sa vie sans s’inquiéter inutilement. C’est certain que nous ne pouvons pas vivre continuellement en état de choc et d’alerte. Marier le lâcher prise, une recette qui goûte si bon. Se respecter, un travail de prévention pour voir notre lumière au bout du tunnel… Lee, auteure |
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Argile et jus de carotte ou de fraise, ou encore jus d'abricot. Avec quelques gouttes d'huile d'amande douce ou d'huile d'olive, plus ou moins selon le type de peau, sèche ou grasse. Vous pouvez aussi utiliser la glycérine avec certains jus. Par exemple 100 g de jus de carotte, mélangés à 100 g de glycérine (que l'on trouve en pharmacie). Masques revitalisants Une cuillerée à soupe de miel ; même quantité de crème fraîche autant de jus de pêche ; abricot ou fraise, selon les saisons. Pour les peaux sèches Masque au citron : miel, crème fraîche ; mettez d'abord le miel dans un petit récipient, ajoutez lentement la crème en remuant de façon à obtenir une pâte épaisse mais fluide. Ajoutez quelques gouttes de citron. Lotion avec du jus de melon, de l'eau et du lait, en proportions égales. Masque tonifiant et anti-rides
L'argile nettoie la peau
en profondeur
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Pour cette semaine, je vais laisser le thème de ma chronique puisque nous fëtons notre 7e anniversaire de présence sur le web. Notre site a réussi à prendre son envol malgré les difficultés rencontrée. Et il continue à respirer. Et que dire des sujets qui l’habillent! Un fléau des temps modernes réside dans la pollution de l’être. Depuis sa naissance virtuelle, il faut dire que dans mon rôle de mère j’ai embrassé plusieurs déceptions. J’ai appris à développer l’humilité dans mes chaussures de mère. Malgré cette réussite du moi malade, j’avoue bien sincèrement que je n’ai pas encore réussi à accepter la descente de mes deux filles. Quand nous avons créé ce site, ma fille aînée Emmanuelle était alors souffrante et perdue dans sa consommation de cocaïne. Aujourd’hui, elle est enterrée dans l’alcoolisme et la toxicomanie. Tristesse de dire que les années ont laissé leurs blessures et que ma précieuse a perdu la valeur de ses convictions. Quant à moi, dans cette noirceur j’ai appris à écouter l’autre, à échanger tout en restant dans mes chaussures. Et cette leçon d’être, cette façon de faire, demande temps mêlé à un désir profond de survivre à nos défauts. Sept ans à partager mon vécu, à essayer d’outiller ceux et celles qui vivent cette fièvre d’impuissance. Les progrès se sont multipliés au fil du temps et je suis fière d’avoir persévérée malgré le fait que maintenant, je vieillis seule sans mes filles à mes côtés pour justifier ma présence dans mon rôle de mère. Le temps de fêter est arrivé mais je n’ai pas le coeur à coucher mon sourire sur cette réussite. Si nous savons extérioriser notre trop à travers notre plume, c’est certainement une ouverture vers notre intérieur, vers nos égratignures profondes. Â travers cette ouverture de notre moi malade, nous ne pouvons que nous abandonner et laisser mourir notre trop qui pollue. Des situations qui minent trop souvent notre équilibre moral. Apprendre à vivre dans ce champs de mines, devant ce mur de trop, c’est obéir aux lois de la vie. Savoir lâcher prise, savoir se désintoxiquer intérieurement, une expérience qui apporte quiétude et bien-être. Sept ans plus tard et je suis seule à avancer ma vie. Certes, que la distorsion des événements passés a été lourde d’acceptance mais l’évidence demeure que j’approche le 50 et je continue à vivre cette rupture familiale. Heureusement, qu’il y a des histoires qui se terminent sur une meilleure note. Peut-être que l’année prochaine, je serai bouleverser positivement par l’abstinence de ma fille ou de mes filles. J’aime à croire que l’espoir existe... Lee,
auteure
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Les cernes Préparez une lotion avec quelques gouttes de citron dans de l'huile d'amande douce, pour les peaux sèches, ou de l'eau de rose pour les peaux grasses. Les rides Le jus d'orange en lotion tonifie la peau, éclaircit le teint, et, paraît-il, retarde l'apparition des rides. Le jus de cerfeuil (recette transmise par les gens du voyage), appliqué quotidiennement, évite l'apparition des rides, retend les tissus relâchés. Il est plus efficace utilisé préventivement. Hors saison on peut se servir de cerfeuil sec en infusion pour les peaux sèches, en décoction pour les peaux grasses. C'est une plante facile à cultiver, même sur un balcon ou dans un pot sur le rebord d'une fenêtre de cuisine. Pour le visage et le cou, lorsque les tissus sont relâchés le jus de cerise rend service, même s'il ne donne pas une nouvelle jeunesse. Il faut l'appliquer à l'aide d'un coton, le garder le plus longtemps possible (attention aux taches!) et bien rincer à l'eau de pluie, ou eau minérale, ou eau de rose. Chaque fois que vous en avez l'occasion, surtout si vous habitez la campagne, ou si vous avez la chance d'avoir un jardin, recueillez à l'aide d'un coton, ou d'une compresse de gaze, la rosée matinale et faîtes la toilette de votre visage avec. En cas de rougeurs Utilisez le jus de tomate en lotion; laissez agir cinq minutes et rincez. Le jus de poireau cru, mêlé à la même quantité de lait, s'applique comme une crème de beauté. Laissez agir 1/4 d'heure, puis rincez à l'eau de rose ou au jus de concombre additionné de quelques gouttes d'huile d'amande douce. Sur une couperose débutante: utilisez le jus de laitue alternativement avec celui de la myrtille. Attention: la couperose est en fait très difficile à soigner et, dans ce domaine précis, il ne faut pas attendre de miracle avec les produits naturels. Le jus d'orange en lotion retarde l'apparition des rides
Vous vous réveillez le matin avec un visage bouffi ? Pas de panique, préparez du jus de pomme de terre crue et appliquez le généreusement. Laissez agir un quart d'heure, votre visage reprendra un aspect plus normal. Ce petit moyen est efficace en cas de petites rétentions d'eau matinales, mais ne suffit pas en cas de bouffissure du visage entraîné par des abus de boissons alcoolisées.
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Et je poursuis dans mon désir de grandir et de marier l’équilibre dans ma petite vie de merde. Ce soir tout en conduisant, j’ai versé quelques larmes pour la pauvreté du monde qui m’entoure. J’avance ma vie dans un monde où il est difficile de combler nos vides car notre société est trop souvent centrée sur elle-même. Ceux et celles qui souffrent de ne pas être entourés, qui pleurent de ne pas être aimés, qui s’isolent par leur trop qui naît de leurs différences ne trouvent pas l’espoir. Je ne me fais plus d’illusions. Comme il est pénible de trouver sa voie et de marier l’équilibre. Bien des choix s’offrent à moi. Il faut que j’allume en moi cette magie qui ne demande qu’à prendre cœur. Je sais que l’avenir continue de battre des ailes et qu’à l’approche du gros 50, je gagnerai à vieillir. Une période de l’année qui est lourde à passer. Février, temps où les jours commencent graduellement à s’allonger. Temps où j’aurais besoin de me ressourcer à travers les rayons chauds du soleil. Temps pour trouver dans les petites choses de mon quotidien, la beauté d’exister. Mère seule, mère qui avance sa vie sans ses précieuses. Quel fardeau à porter intérieurement! Et sur une note plus positive, j’aimerais profiter de votre attention pour vous expliquer la codépendance. Dans le livre Vaincre la codépendance à la page 47 il est écrit «Bref historique» «C’est à la fin des années soixante-dix que le mot codépendance a fait son apparition dans le langage thérapeutique. J’ignore qui l’a inventé. Bien que plusieurs personnes en revendiquent la paternité, il est apparu simultanément dans divers centres de traitement du Minnesota, si l’on en croit l’équipe de Sondra Smalley, psychologue diplômée et chef file de la recherche sur la codépendance. Le phénomène a donc pu être découvert là, dans cet État champion du traitement de la dépendance chimique et des programmes en Douze Étapes traitant les troubles compulsifs.» Intéressant de lire que (Dans un article tiré de l’ouvrage suscité Co-Dependency An Emerging Issue, Robert Subby et John Friel écrivent : «À l’origine, le mot servait à caractériser un ou plusieurs individus vivant une vie perturbée par leur relation à une personne chimio-dépendante. On disait que le conjoint, l’enfant ou l’amant codépendants d’un individu chimio-dépendant avaient mis au point une structure d’adaptation considérée comme malsaine en réaction à la consommation excessive d’alcool ou de drogue de la part d’autrui.») On explique que l’appellation était peut-être nouvelle, mais pas le mal. Depuis longtemps, les thérapeutes soupçonnaient l’existence d’un phénomène très particulier survenant chez l’individu proche d’un chimio-dépendant. On avait mené quelques recherches dans ce domaine et mis en évidence l’apparition d’un état physique, mental, affectif et spirituel comparable à l’alcoolisme chez beaucoup de gens ne dépendant ni de l’alcool ni d’une quelconque drogue, mais qui se trouvaient en contact étroit avec un alcoolique. On assista alors à une floraison de termes (qualificatifs jaronnesques qui deviendraient ultérieurement synonyme coalcoolique, non-alcoolique, para-alcoolique. Naturellement, les codépendants ressentaient les effets de leur codépendance bien avant l’invention du terme.» Je vais poursuivre ma réflexion personnelle sur le contenu présenté ci-haut. Ouf! Comme j’aimerais vaincre ma dépendance, cette codépendance qui dévore l’essentiel de l’être. Lee,
auteure
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Jus de pêche précisément avec un peu de lait ou de crème fraîche ou de l'huile d'amande douce. Laissez agir 1/2 heure. Jus de fraise à laisser toute la nuit : rincez le matin avec de l'eau puis, jus de cerfeuil en lotion. Le jus de raisin adoucit et satine la peau. Une vieille recette: faites un masque avec du jus de fraise, un blanc d'oeuf battu et de l'eau de rose. Laissez agir la nuit. Buvez du jus de carotte le matin à jeun, ou d'orange, d'abricot, de tomate. Le mieux est de faire des cures alternées une semaine de chaque jus, en en prenant un grand verre. Peaux très grasses Jus de chou avec un peu d'huile d'olive. Dartres
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Une autre semaine qui continue à me grandir. Quelle belle façon de laisser danser ma plume.; en nourrissant le positif à l’intérieur de Soi. Et Dieu seul sait que ce n’est pas chose facile. Par contre, il faut travailler à vaincre cette codépendance de merde. Il faut essayer de retrouver notre liberté de vivre sans souffrir! Aujourd’hui, nous avons rencontré une dame désespérée. Son fils consomme depuis trop longtemps. Il vit toujours sous le toit familial. Il utilise le véhicule de son père tout en étant sous l’emprise de chimique et d’alcool. Son père continue de faciliter sa consommation en répondant à tous ses besoins financiers. Et la mère reste impuissante devant les manipulations répétitives de sa progéniture en détresse... Cette dame portait dans son regard une amertume mêlée à l’incapacité de changer les choses. Elle voudrait que son mari se réveille et qu’il cesse de tout donner à leur fils adulte dépendant. Elle aimerait vendre sa maison, vendre ce véhicule qui est source d'inquiétudes et de culpabiltité. Et son objectif le plus proche de se retirer dans un petit appartement, trop petit pour héberger son fils. Et elle prie pour que son enfer cesse. Que dire devant une telle situation! Elle mouchait son trop. Elle voulait des réponses faciles. Elle cherchait à travers nos paroles, l’espoir d’un lendemain meilleur. Cette mère lutte contre la volonté de son conjoint qui joue le rôle du facilitateur et contre l’emprise que possède son fils sur son père. Je lui ai suggéré d’essayer de se concentrer sur elle-même et d’entreprendre une démarche de rétablissement. Qu’à partir d’aujourd’hui, qu’il serait bénéfique qu’elle travaille à éloigner toutes les pensées négatives qui meublent sa vie. Comment peut-elle espérer de reprendre le goût à la vie si elle ne croît plus à la magie qui naît de cette liberté d’être? Nombre de mères, nombre de pères, détruisent leur vie par l’ivresse de leur proche! Elle continuait à nous livrer son message. Il est évident que toute cette noirceur pollue son existence et ce, depuis trop d’années. Elle est codépendante. Elle est tellement absorbée par les problèmes de son fils qu’elle n’a plus l’énergie nécessaire pour guérir ses propres blessures. Elle est un cas réel qui dessine très bien cette destruction de l’être, du proche qui voudrait simplement réussir à respirer sans pleurer. Nous sommes trop souvent des victimes de l’alcoolisme et de la toxicomanie. Cette pauvre femme se bat pour essayer de retrouver une partie de son pouvoir contre ses bourreaux; son mari et son fils. Et elle porte et portera encore le fardeau de sa codépendance… Lee,
auteure
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Préparez votre bronzage, faites une cure de jus de carotte ou d'abricot. Pendant au moins quinze jours avant le départ, prenez un à trois grands verres par jour. Après l'exposition au soleil: huile d'olive avec quelques gouttes de citron ou d'huile d'amande douce. Coups de soleil: s'ils sont superficiels, ils seront calmés par du jus de concombre, suivi par Inapplication d'un peu d'huile d'amande douce. Ou bien, préparez le suivant:: jus de gros concombre;DES ÉRUPTIONS INTEMPESTIVES Acné Faîtes une cure végétale!
Évitez quelques temps féculents, sucres, et graisses animales.
Prenez en quantité: radis, persil, carotte, abricot,
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Mardi matin, nous avons été réveillé par le téléphone. Il était environ 5h20. Vitement, mon conjoint s’est levé pour répondre à l’appel. Il avait le combiné en main et n’entendait aucun son de l’appelant. Il est retourné au lit pour réentendre le téléphone. À nouveau, il s’est précipité pour répondre mais, toujours la personne était silencieuse. Je lui ai dit que c’était possiblement ma fille aînée Emmanuelle. Puis, pour une troisième fois, le téléphone a sonné. Et je savais intérieurement que c’était Emmanuelle. Possiblement qu’elle essayait de nous brasser dans nos émotions et de chavirer notre désir de vivre cet éloignement. Je sais qu’elle possède ce pouvoir de nous bousculer par des gestes aussi simples, que de nous réveiller tôt pour nous démontrer qu’elle souffre. Une façon bien humaine de crier sa détresse intérieure. Et officiellement, lors de cette troisième tentative, il a compris et est resté couché à mes côtés. Et comme résultat, le téléphone s’est endormi. Et nous nous sommes levés quelques minutes plus tard. Étant donné que nous avons un sélecteur pour bloquer les appels indésirables, nous avons programmé ce numéro pour lui empêcher de nous réveiller à nouveau pendant la nuit. Mais nous savons qu’elle peut s’amuser à utiliser d’autres numéros de téléphone pour polluer notre existence. À travers ce geste, je ressens une certaine tristesse. J’ai bien peur que ma fille continue de vivre des moments difficiles, des noirceurs lourdes de conséquences. Et malgré tout, malgré cet éloignement, je reste impuissante. Étant émotive et hypersensible, je me dois de couper leurs appels téléphoniques car elles sont trop souvent polluées par leur trop. J’ai peine à les savoir enterrées dans cet univers qui trop souvent, ne pardonne pas. Nous sommes tout de même très fiers d’elles. Mes filles ont respectées cette règle de ne pas nous rejoindre pendant un certain temps. Et grâce à ce respect, j’ai réussi à panser certaines de mes blessures. Je suis plus forte mais toujours j’avance devant ce vide maternel. Et au fond de mon être j’ai peur pour elles. J’ai peur qu’un jour elles se retrouvent piégées dans une situation qui brise, qui blesse ou qui tue. Pourrons-t-elles un jour reprendre le contrôle du volant de leur vie? Une prière pour ceux et celles qui n’ont plus la force pour s’envoler haut dans le ciel, loin dans leur devenir … Lee,
auteure
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Eczéma Le jus de concombre, de chou et de pomme de terre crue, en applications locales peut vous soulager. Cependant il faut absolument traiter la cause. Il s'agit d'une maladie le plus souvent allergique et le responsable doit être identifié.
Pour les faire mûrir, appliquez du jus de chou. Prenez bien soin de laver les feuilles avant de les passer à la centrifugeuse.Brûlures Les tâches ménagères occasionnent souvent de petites brûlures, sans gravité, mais très douloureuses. Vous pouvez les cicatriser et calmer les irritations qu'elles entraînent avec du jus de pomme de terre, de chou, de melon - d'oignon ou de feuilles de pourpier (selon ce que vous avez sous la main, car il faut traiter rapidement).Gerçures Prévenir en entretenant bien les mains et en les massant régulièrement avec un produit gras. Ne plongez pas vos mains successivement dans de l'eau chaude et froide.Taches de rousseur Pour les atténuer: applications de jus de citron, de concombre avec du lait, ou d'oignon. Attention, le résultat n'est pas miraculeux.Masque de grossesse C'est le résultat d'une exposition intensive au soleil, pendant la grossesse, chez certaines femmes. Il se produit un bronzage irrégulier, avec des taches plus foncées, le plus souvent sur les pommettes. Ces taches persistent longtemps après. Vous pouvez les atténuer par des masques au jus de fraise, avec un peu de lait ou de crème fraîche à garder une à deux heure.Verrues Elles sont parfois difficiles à faire disparaître et peuvent récidiver malgré les meilleurs traitements dermatologiques. Souvent efficace : le jus d'ail, ou d'oignon, à appliquer avec des compresses généreusement imbibées; à laisser en place toute la nuit. Il est préférable de le faire régulièrement pendant au moins quinze jours. |
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Je dédie ces quelques mots versés à travers ma plume à une grande dame qui depuis quelques années fait partie de ma vie. Ce grand personnage m’aide à grandir et à m’épanouir. Elle m’accepte dans mes différences. Et même, elle me trouve admirable et elle ne cherche pas à me démolir dans mes moments d’insécurité et de questionnement. Qui ne voudrait pas d’une telle présence dans sa vie? Verbalement, elle m’a adoptée. Très souvent, elle me chante doucement à l’oreille qu’elle m’aime et que je suis une belle personne. Et mon être malade prend plaisir à se nourrir de sa présence et de ses petits gestes d’amour. Il m’a fallu 49 ans pour enfin trouver preneur et pour me sentir comblée dans ma solitude de fille mal-aimée. Je suis la preuve vivante que l’espoir existe et qu’il faut continuer à croire. Il faut nourrir en Soi, cette Foi qu’un jour nos vides seront comblés. Certes, je marche toujours ma vie dans mes chaussures de mère codépendante mais maintenant, mes chaussures sont moins lourdes à porter. Elle me dit qu’elle m’aime comme une vraie mère. J’ai peine à croire qu’un tel miracle puisse se produire! Vous ayant confié ce petit secret alors, vous comprendrez que l’avenir est devant moi. Et qu’avec cet ajout d’amour dans ma vie mêlé à la complicité magique de mon conjoint, je peux ouvrir bien des portes barrées. Le temps guérit bien des blessures et calme bien des manques. Je me sens comblée. Je me sens prête à foncer dans l’avenir. Et j’ai l’impression que tout est possible. Quelle belle façon de trouver un sens à sa vie… Je vous souhaite de vous libérer de vos peurs, de vos blocages intérieurs et de détruire votre mur de culpabilités. Nous les parents, nous qui subissons sans cesse les conséquences de leur maladie, nous devons amorcer une démarche qui mènera directement vers un rétablissement efficace. Un rétablissement d’amour du Soi. En revoyant le film de ma
vie, un sourire m’embrasse devant cette transformation de ma personne.
Lee,
auteure
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Avoir de jolis ongles est important pour une femme. Or, un traitement très simple permet de remédier aux ongles cassants et fendillés. Pendant une à deux semaines il faut éviter tout vernis à ongles. Une à deux fois par jour massez bien les ongles avec du jus de citron pur. En une à deux semaines les ongles durcissent et repoussent parfois au-delà de toute espérance. Les verrues sont parfois difficiles à faire disparaître Pour avoir des mains toujours douces massez-les régulièrement avec du jus de pomme de terre crue, puis appliquez un peu d'huile d'amande douce. Ou bien, utilisez une crème pour les mains: jus de citron dans de la glycérine avec un peu d'eau de Cologne; cette préparation peut se conserver quelques jours. Pour blanchir les doigts,
en cas de taches d'encre ou de tabac, le jus de citron ou le jus de poireau
est efficace; à utiliser abondamment en massant bien et en frottant
avec un gant de toilette.
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Comme la vie avance vite. D’où l’importance de bien chausser ses chaussures et surtout, de se réaliser graduellement. Par contre, c’est pas facile de se réaliser quand l’un de nos proches embrasse le plancher de sa noirceur. C’est tout un choc de les voir se détruire continuellement. Alors comment trouver le courage de continuer sans risquer de nous noyer dans notre approche. Et nous les parents, les proches, nous n’avons pas de formation pour nous aider à faire les bons choix pour prendre la bonne route. Comment coper dans cette dynamique sans perdre l’équilibre du Soi? Tant de fois nous avons sacrifié notre paix intérieure. Au nom de quoi! La culpabilité nous pollue et nous empêche de réagir positivement devant les comportements de nos proches. Cette maudite culpabilité qui fait que nous remettons notre passé en question, que nous nous battons avec notre conscience de merde. Mais au fond, aurions-nous été capable de changer les choses, les vraies choses? Sommes-nous Dieu pour posséder ce pouvoir de changer la tournure des événements, le fil de leur vie? Cessons de prendre les choses au sérieux et de mettre le blâme sur nos manques et nos peurs. Tant de fois, j’ai réagi trop vite devant une urgence. Aujourd’hui, je comprends l’importance d’attendre que le calme m’habite avant de prendre une décision, avant de prendre action. Tant de fois j’ai mis en cause l’estime que je me porte. J’ai mis mes propres valeurs en doute. J’ai dansé amèrement avec le feu de mes émotions. Souvent je me demande si mes filles et moi, pourrons un jour, panser nos différences. Pourrons-nous réussir à aborder des sujets reliés à leur dépendance? Pour l’instant, j’en doute. Je suis trop près de cette brisure qui nous sépare. J’ai encore mal à mes filles. J’ai peine à croire qu’elles sont toutes les deux au prise à danser avec les séquelles de l’alcoolisme et de la toxicomanie. Mais pourquoi deux sur deux? Les mois passent et je n’ai pas trouvé mes réponses à ce questionnement qui m’habite. Je sais qu’elles vivent leur situation à elles. Je sais aussi, que je suis pas bien dans leur pauvreté d’être. La vie vaut mieux que cette merde. D’entendre parler de marres de sang, de visites des policiers à leur domicile, de bagarres nocturnes qui réveillent tout leur voisinage et malgré tout, de se couvrir de prétextes faux. J’ai mal d’être Mère! Lee,
auteure
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Jus de pêche précisément avec un peu de lait ou de crème fraîche ou de l'huile d'amande douce. Laissez agir 1/2 heure. Jus de fraise à laisser toute la nuit : rincez le matin avec de l'eau puis, jus de cerfeuil en lotion. Le jus de raisin adoucit et satine la peau. Une vieille recette: faites un masque avec du jus de fraise, un blanc d'oeuf battu et de l'eau de rose. Laissez agir la nuit. Buvez du jus de carotte le matin à jeun, ou d'orange, d'abricot, de tomate. Le mieux est de faire des cures alternées une semaine de chaque jus, en en prenant un grand verre. Peaux très grasses Jus de chou avec un peu d'huile d'olive. Dartres Faites des cataplasmes avec
du jus d'épinard ou de carotte; ou bien jus de chou ou de concombre
avec un peu d'huile d'olive.
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Je viens de parcourir quelques pages du livre intitulé «Vaincre la codépendance». Je me retrouve dans certains passages et non, dans d’autres. Par contre, j’aime à croire que mon expérience à travers mon implication dans ce site d’entraide à transformer mon cheminement de mère. À la page 108, il est écrit «Beaucoup de codépendants combinent différentes tactiques, emploient diverses méthodes. N’importe quoi pourvu que ça marche! (Il serait plus juste de dire que rien de tout cela ne marche, mais qu’on continue d’espérer.)
Évidemment, j’ai fait fausse route. Aujourd’hui, j’accepte que
:
Par contre, j’aime à
croire que :
Et j’apprends à ne
plus me faire d’illusions face aux choix de vie de mes filles piégées.
Lee,
auteure
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Le cresson a toujours eu la réputation de guérir les calvities. En fait son action est surtout préventive et peut permettre de freiner la chute des cheveux et d'en favoriser la repousse, à condition de ne pas attendre qu'il soit trop tard. Le jus de cresson s'applique comme une lotion, sur tout le cuir chevelu. Il faut surtout en mettre sur les régions dégarnies. On peut soit s'en servir quotidiennement en petites quantités, soit s'en badigeonner abondam-ment une fois par semaine et le laisser agir toute la nuit. Le lendemain rincer, puis faire un shampooing doux, par exemple avec une décoction de bois de Panama. Contre les pellicules, pour renforcer les cheveux et obtenir une belle chevelure soyeuse : préparez dans un bol de l'huile d'olive avec du jus de citron (1/4 de jus de citron). Appliquez au pinceau ou avec un peigne pour bien répartir sur toute la chevelure. Gardez toute la nuit sous un bandeau. Le lendemain, bien rincer et faire un shampooing doux. Pour avoir des cheveux plus doux et brillants après un shampooing, mettre dans la dernière eau de rinçage le jus d'un citron pour un litre d'eau. Pour accentuer les reflets des cheveux bruns : rincez avec du jus de poireau (200 grammes pour un litre d'eau). Le cresson a la réputation
de guérir les calvities
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Lettre d’Emmanuelle, ma fille aînée J’ai reçu cette correspondance
récemment. Et j’ai laissé fondre le message qu’elle m’a laissé
dans mon for intérieur. Et elle débute sa lettre par...
«Je suis désolée de te déranger, si ça serait possible maman; j’aurais un urgent besoin d’avoir une copie s.v.p. (c’est très important) de mon curriculum vitæ.
Je réalise à travers sa demande qu’elle n’a plus d’emploi. Et je sais que ce n’est pas facile de joindre les deux bouts. Aussi, avec ses dépendances, elle n’a pas d’argent en réserve. Au contraire, elle est endettée au plus haut point. Emmanuelle n’a pas réussi à reprendre le contrôle du volant de sa vie. Je n’ai pas à partager les derniers paragraphes de son livre d’histoire pour savoir qu’elle est toujours en difficulté et au prise, avec sa consommation de drogue et d’alcool. Quelques heures plus tard, je lui postais plusieurs copies de son document. Et j'ai inclu une note sans un contenu réel. Je ne suis pas prête à ma rapprocher. Je suis toujours fragile. Et je me dois de respecter mes limites parentales. Dans la prochaine chronique,
je coucherai ma plume sur un autre côté de mon mal-être;
causé par leurs photos.
Lee,
auteure
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Pour avoir des dents plus blanches, brossez-les une à deux fois par semaine avec du jus de citron. Le jus d'ail appliqué avec la brosse à dent, ou à l'aide d'un peu de coton (à laisser en place), peut soulager une douleur dentaire. L’inconvénient, c’est que l’ail parfume l’haleine ce qui peut gêner l’entourage. Brossez vos dents une à deux fois par semaine avec du jus de citron CONCLUSION En attendant le dentiste Les jus de fruits et de légumes sont une façon agréable de redécouvrir les produits frais. En effet, les crudités, les légumes frais étaient depuis longtemps négligés dans l'alimentation des Français et en particulier des citadins. Éplucher des crudités, cuire des légumes suppose un certain temps passé à cuisiner. Or de plus en plus les femmes qui travaillent utilisent des plats tout préparés, des conserves ou des légumes congelés, afin d'aller plus vite. Or, nous l'avons vu, la préparation des jus et des cocktails est très rapide: peu d'épluchage et la centrifugeuse extrait la quintessence des végétaux avec une rapidité déconcertante. Certains restaurants commencent à en proposer. Progressivement, les consommateurs prennent conscience que les crudités ont leur importance en diététique. En effet, les vitamines et
sels minéraux qu'ils apportent sont difficiles à trouver
dans d'autres aliments. Les cures de jus de fruits ou de légumes
ont toujours un effet tonifiant et défatigant. D'un apport peu calorique
ils conviennent à presque tous les
Leur saveur et leur gaîté facilitent les régimes amaigrissants dont ils sont un des rares plaisirs autorisés. Pour les amateurs de boissons alcoolisées, les buveurs d'habitude, ils offrent toute une gamme de boissons attrayantes et sans risque. Au début de mes expériences de mélanges, mes invités cherchaient toujours avec quel alcool mon cocktail s'associerait le mieux. Progressivement, et au fur et à mesure que j'améliorais mes recettes, ils ont appris à savourer et à redécouvrir le goût des fruits et légumes frais. Les jus peuvent s'inclure
dans de nombreuses recettes, de l'apéritif au dessert et apporter
une note originale aux dîners les plus « sélects ».
Mais surtout, ils sont une source de bien-être et chaque légume,
chaque fruit peut avoir son rôle à jouer dans le maintien
d'une parfaite santé: ce sont de véritables cocktails de
forme que vous pourrez réaliser à votre tour.
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Pour faire suite à la présentation de la lettre que j'ai reçue de ma fille aînée Emmanuelle, j’ai pris le temps d’analyser les photos qu’elle m’a fait parvenir. J'avoue que cette analyse m’a dévorée intérieurement! Il y a deux photos prises en octobre 2004 et deux autres, prises le 27 décembre dernier. J’ai peine à décrire les différences qui existent entre les photos mentionnées. Je peux facilement voir la déformation physique laissée par la prise d’alcool et de produits chimiques sur le visage et sur le physique de mes filles. Il est évident que la transformation néfaste est plus évidente sur l’apparence de Marie-Paule, ma fille aînée. En 2004, elle était si belle. Maintenant, amaigrie, ses traits sont tirés, ses yeux vitrés et cernés. Son dos est courbé. J’ai mal à croire qu’elle n’a que 27 ans. Mes deux filles démontrent des signes de fatigue, d’amaigrissement et d’épuisement. Emmanuelle, maintenant âgée de 30-1/2 ans, vieillit difficilement. Je me demande comment elle marchera vers son avenir? Étant donné qu’elle souffre d’être piégée dans sa consommation depuis 1997, sa personne transpire une culpabilité profonde. Elle sait très bien que les années passent et qu’elle n’a pas réussi à s’enraciner. Elle continue à vivre d’anxiété dans des conditions qui continue de l’handicaper, de la tête aux pieds. Elle courre d'une noirceur à l'autre sans chercher à corriger son tir. Avant je ne trouvais pas qu’elles se ressemblaient mais maintenant qu’elles partagent des problèmes similaires de consommation, je crois que leurs traits se transforment négativement. Et elles savent qu’elles ne sont pas à l’abri des manifestations de leur trop. Leurs blessures de consommation laissent des trous béants dans leur estime du Soi. Tant d’épreuves, qu’elles partagent secrètement. Des moments identifiés de propos lourds que je qualifierais de mentalement difficile à digérer et à entendre. J’ai peine à croire qu’elles continuent d’avancer dans ce labyrinthe rempli d’épreuves. Peu à peu, leur consommation risque de faire entrave à leur santé autant mentale que physique. Il existe des ressources mais faut-il qu’elles veulent s’en servir pour se sortir de cet enfer qui commence à peser lourd! Lee,
auteure
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Dans les prochaines semaines, vous pourrez vous outiller pour améliorer votre qualité de vie et pour apprivoiser des secrets simples et naturels. Des recettes pour vivre mieux, pour vous sentir bien dans votre peau et en santé. Bonne lecture! Texte emprunté du livre intitulé «Le p'tit guide des médicaments»
Que s'est-il donc passé? On vieillit cela semble évident, tout le monde vieillit! Vieillir, ce n'est pas devenir malade, impuissant, acariâtre ou séden-taire. Vieillir, c'est changer, c'est encore se développer, c'est quelquefois atteindre le maximum de ses capacités. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la majorité des per-sonnes de plus de 50 ans restent en bonne santé, parfois même jusqu'à un âge avancé. Au Québec, 77 % des person-nes de 65 ans et plus trouvent qu'elles sont en bonne ou en excellente santé. «MAIS POURQUOI A-T-IL L'AIR SI JEUNE?» Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il n'y a rien de plus différent d'une personne âgée qu'une autre personne âgée... Et ces distinctions s'accentuent
en vieillissant. Si on compare trois personnes de 72 ans, on constatera
qu'elles n'ont pas toutes l'air d'avoir le même âge. Qui n'a
jamais entendu dire de quelqu'un: « Regarde, elle ne fait pas son
âge! » Ou bien, « Il fait plus vieux que son âge!
» On constate donc que l'apparence n'est pas un indice d'âge
valable. Et l'âge chrono-logique n'a rien à voir avec l'âge
biologique. L'exemple du cœur est étonnant à ce sujet. Le
cœur d'une personne de 70 ans qui n'a pas de maladie car-diaque pompe autant
de sang à la minute (environ 5 litres) que lorsqu'elle avait 25
ans...
Les définitions physio-logiques du vieillisse-ment sont toutes déprimantes, mais il faut les accepter. On présente souvent le vieillisse-ment comme la somme de tous les changements que subit un organisme vivant avec le passage du temps. C'est aussi un processus de détério-ration caractérisé par une vul-nérabilité accrue aux maladies et une augmentation de la probabilité de mourir. Mais, tout le monde n'a pas les cheveux blancs ou la peau ridée à 50 ans. Certains individus ont encore la chevelure presque noire, d'autres sont poivre et sel. Or si nous vieillissons tous, certains le font plus lentement et plus gracieusement que d'autres. à
suivre...
Texte emprunté du livre
intitulé «Le p'tit guide des médicaments»
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J’ai mis de côté les photos de mes filles. Tel que mentionné la semaine dernière, les différences négatives me confirment que leurs maladies continuent de ronger leur santé, leur beauté et leur personnalité. Apprendre à accepterTant d’apprentissages qui demandent un constant redressement de notre mental et de nos émotions. Si pénible d’avancer sans bâtir, sans développer l’espoir d’une douce relation mère-filles. Maudite drogue!Pourquoi faut-il que nos gouvernements laissent ce fléau prendre tant d’ampleur? Combien de nos êtres chers doivent se détruire pour que les Grands entendent nos cris d’impuissance? Une société malade qui crie à l’aide! Mais personne ne semble entendre. Qui peut les aider à reprendre contrôle du volant de leur vie? Je prie le Tout-Puissant pour qu’il les aide à reprendre le contrôle et qu’il me donne le courage de les laisser toucher le fond de leur abîme. Quant aux photos reçues de mes filles, quel choc! Ça fait mal de les voir descendre si vitement. Elles consomment et elles ne voient pas les effets dévastateurs de leur consommation active. Si seulement elles avaient la capacité de voir réellement les changements qui s’opèrent sur leur Moi malade. Mon Dieu aidez-moi à
conserver le peu d’équilibre qu’il me reste car l’avenir dans mon
rôle de mère, me semble si incertain…
À suivre…
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Dans les prochaines semaines, vous pourrez vous outiller pour améliorer votre qualité de vie et pour apprivoiser des secrets simples et naturels. Des recettes pour vivre mieux, pour vous sentir bien dans votre peau et en santé. Bonne lecture! Texte emprunté du livre intitulé «Le p'tit guide des médicaments»
Mais quel âge avez-vous au juste? Âge chronologique L'age Chronologique c'est notre age selon notre date de naissance.
C'est l'âge de nos différents organes artères, vaisseaux, cœur. C'est en fait une mesure de leur niveau d'usure.La question est de savoir pourquoi on ne vieillit pas tous de la même façon? Pourquoi certaines personnes ont un pied dans la tombe à 70 ans, alors que d'autres sont actives, dirigent une entreprise ou encore font du jogging tous les matins? Les réponses à ces questions tiennent à la fois de l'hérédité et du style de vie de chacun. En réalité, trois facteurs interviennent dans la façon dont nous vieillissons: le sexe, le poids corporel et le système de défense. À 75 ans, est-on vraiment aimé pour notre sex-appeal? Messieurs, dites-vous bien qu'à 75 ans, vous aurez autour de vous deux fois plus de femmes qu'à 20 ans. Il n'est pas surprenant d'apprendre qu'il y a davantage de veuves que de veufs... Il n'est pas non plus nécessaire
de se teindre les cheveux ou de se faire des muscles...il suffit d'attendre
un peu.
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La chronique de cette semaine est en mémoire d’une démarche de pardon terminée officiellement le 13 avril 2001. Donc, il y a exactement 5 ans, j’ai pardonné à ma mère pour l’enfance difficile vécue suite au décès de notre paternel le 21 septembre 1965. À titre de reconnaissance, il me fait plaisir de vous présenter le contenu de ce pardon. Les chroniques avaient été présentées sous le titre «Les survivants du passé». Je vous avoue que maintenant, je parle très peu de mon passé. Et quand je retourne en arrière, je ne ressens plus cette douleur noire qui m’envahissait continuellement. Le pardon, c’est une solution qui calme bien des tempêtes intérieures. Bonne lecture!
À suivre…
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Le sexe Les hommes vieillissent plus rapidement et meurent plus jeunes que les femmes qui, elles, résistent mieux. Ils sont deux fois plus nombreux à mourir de maladies cardiaques et ont aussi plus de cancers. Les femmes résisteraient davantage à certaines maladies comme les rhumatismes et certaines formes de cancer, en plus d'avoir une meilleure circulation sanguine cérébrale. Le poids
Le système de défense
Des centenaires plus jeunes?
Saviez vous que l'état
physique et psychique des centenaires est souvent meilleur que celui de
personnes plus jeunes?
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Quand je regarde en arrière par la fenêtre de ma démarche de pardon que je vous ai présentée la semaine dernière, je réalise que j’ai été très chanceuse dans mon cheminement personnel. Aujourd’hui, cinq ans plus tard, je réalise que je suis en paix avec ce passé qui m’a tant fait souffrir. Je n’ai plus besoin d’en parler et même, d’investir dans mes pensées négatives. On dit que le pardon est sain et qu’il règle bien des choses. Et je suis preuve de ce résultat. Ce soir, je ressens une paix intérieure mêlée à une satisfaction de l’être devant tout ce travail accompli. On dit que dans la vie, on récolte ce que l’on sème. Et bien, croyez-moi que c’est vrai. Je n’ai pas de haine envers ma mère et envers son conjoint. Par contre, j’ai un peu de tristesse car il est certain, que j’aurais aimé faire partie d’une famille fonctionnelle. Suite au décès de notre paternel, nous avons grandi dans un monde où tout était noir et habillé de moments difficiles à supporter. J’avoue que je n’aurais jamais pensé qu’un jour, je serais enfin libérée des injustices vécues et de mes trop qui meublaient mon enfance. La guérison des souvenirs existe. Par contre, il faut y croire.
Merci à l’auteur Monsieur Jean Monbourquette pour son livre intitulé «Comment pardonner» Je suis la preuve que sa
démarche peut guérir bien des morsures et des injustices.
Et que les recettes proposées dans son livre peuvent guérir
des blessures d’enfance.
À suivre…
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COMMENT EXPLIQUER LE VIEIlLISSEMENT Il existe plus d'une dizaine de théories sur le vieillissement regroupées en deux grands thèmes: hérédité et dommages. Selon les théories de l'hérédité, notre durée de vie est inscrite dans notre bagage génétique et elle a un caractère héréditaire; par ailleurs, les théories des dommages prétendent que le vieillissement résulte de la somme des agressions que subit notre corps au fil du temps. Un petit ris de veau avec ça? Le thymus, que l'on appelle
aussi ris en cuisine, est une glande située à ta base du
cou, dans le haut de la poitrine. Comme cette glande rapetisse au fur et
à mesure que l'on vieillit, on pense qu'elle serait! en partie responsable
de notre longévité puisque notre résistance à
plusieurs maladies diminue aussi à mesure que nous vieillissons.
Mourir lorsque notre heure est venue (hérédité) Notre durée de vie ou longévité serait inscrite en nous, dans nos gènes, dès la naissance et serait donc transmissible à nos descendants. Selon cette théorie, chaque individu d'une même espèce possède une durée de vie semblable et chaque espèce a sa propre longévité. Par exemple, les mouches domestiques sont programmées pour vivre en moyenne 30 jours, les rats, trois ans, les chiens une quinzaine d'années et les êtres humains, à l'heure actuelle, une centaine d'années. Ainsi la longévité de chaque espèce serait prédéterminée. De plus, à l'intérieur d'une même espèce, les individus
de sexe féminin vivent en moyenne plus longtemps que les individus
de sexe masculin. C'est entre autres le cas chez les humains puisque les
femmes vivent plus longtemps que les hommes.
Un plus pour le sexe faible La mante religieuse, un insecte,
dévore le mâle après l'accouplement, ce qui raccourcit
pas mal la longévité des mâles. Le saumon du Pacifique
meurt quelque temps après s'être accouplé
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Cette semaine, je voudrais souligner une situation que j’ai vécue quand j’ai assisté à une formation et qui mérite d’être mentionnée. J’ai travaillé dans un groupe pour répondre aux exigences présentées par l’enseignante. Nous n’avions pas choisi les membres du groupe. Et il évident, qu’on préfère s’associer aux gens qui nous ressemblent dans nos valeurs. Donc, suite aux choix de l’enseignante, je me suis retrouvée dans un groupe où j’étais la seule fille. L’un des garçons semblait de très mauvaise humeur. Et je pouvais facilement ressentir son agressivité qui débordait. Les yeux vitrés, les poings serrés, il voulait tout diriger et n’entendait pas l’opinion des autres qui meublaient l’équipe. Nous devions préparer le projet mais toujours, il nous manipulait verbalement. Peu à peu, je me sentais malmenée dans la dynamique où j’étais totalement impuissante. Je mangeais son insatisfaction à la pelletée. Tranquillement, je vivais une situation qui me ramenait dans le difficile de ma jeunesse. Peu à peu, dans mon for intérieur, j’enterrais ma sérénité pour m’habiller d’un mal connu, d’un mal de vivre qui étouffe, qui renferme et qui dérange étrangement. Et là, j’ai compris pourquoi ce jeune homme venait de me faire reculer dans les pages de mon passé de merde! Je restais là, bouche-bée, les mains froides, ne sachant comment reprendre le contrôle de mon moi malade. Reconnaissant mes faiblesses vis-à-vis une telle situation, j’essayais de conserver une distance émotive pour ne pas me perdre dans ma dynamique. C’est cruel de réaliser que le travail accompli sur son passé, sur ses morsures, sur ses injustices, n’est jamais terminé. Le contact avec un être blessé, en perte de contrôle, peut facilement nous faire trébucher émotivement. Étant consciente de ce fait, depuis j’essaie de ne pas m’approcher de cet être qui est intérieurement malade. Je ne peux pas me mettre dans une situation où je risquerais de perdre ce positif qui m’habite. Souvent il continue à crier sa fatigue. Il pollue l’atmosphère de notre groupe. Il reste insensible aux autres. Et il est malheureux dans son être, sans sa vie. Nous, les mal-aimés, les incompris, nous devons être prudents pour ne pas nous faire détruire intérieurement par des gens qui n’ont pas fait le deuil des morsures de leur passé. Trop souvent, ces êtres traînent leur trop. Et tue le positif de notre quotidien. Attention! Sur cette note, je vous souhaite «Sérénité dans vos contacts» À suivre…
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La théorie du vieux réfrigérateur (dommages) Cette théorie prétend que, chez les êtres vivants, la durée. de vie et le vieillissement sont accidentels et sont dus aux «agressions» internes (comme un infarctus) et externes (la pollution), agressions qui finissent par nous tuer. C'est la théorie du vieux réfrigérateur. Il s'use, se brise, on le répare et un jour, on finit par s'en débarrasser. Cette théorie propose une hypothèse très à la mode aujourd'hui: les radicaux libres. Que sont les radicaux libres? Ce sont des substances produites à la suite d'une exposition aux polluants atmosphériques, aux radiations solaires, aux pesticides, etc. Ces radicaux libres sont en fait des poisons qui endommagent ou détruisent la cellule. En définitive, les cellules subiront tellement de dommages que certaines maladies comme l'athérosclérose (rétrécissement des artères dû à des plaques de gras), le cancer et la maladie d'Alzheimer vont commencer à se manifester. Heureusement, le corps peut
se défendre. Il possède une armée d'antioxydants qui
peuvent détruire les radicaux libres ou les rendre inoffensifs.
Ces antioxydants (comme la vitamine E) se retrouvent dans notre organisme
ou encore dans la nature, principalement dans les fruits et légumes.
Lorsqu'on est jeune adulte, l'organisme produit suffisamment d'antioxydants
pour répondre à tous nos besoins mais, avec l'âge,
il semble que l'on soit, là aussi, moins productifs.
Ya t-il autre chose?
Certaines études tendent
à démontrer que vivre à la campagne serait un facteur
important de longévité.
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Assise confortablement, j’ai eu soudainement l’impression qu’il manquait quelque chose dans mon calendrier d’avenir. Inconsciemment, je crois, j’essaie d’oublier que la fête des Mères arrive à grands pas. Peut-être que j’essaie de croire que je ne mérite pas de me nourrir des doux moments qui normalement meublent cette journée. Comme vous pouvez le constater, c’est difficile d’être une mère codépendante. Et d’avoir mes deux filles piégées dans cet enfer rend ma vie vide de moments heureux. Ça fait mal de se sentir à part des autres mères qui m’entourent. J’ai souvent une boule dans ma fierté quand je pense aux situations qu’elles vivent. Ce pénible alourdi mes pensées et me rend vulnérable et en quête continuelle de parcelles de positif. Fête des Mères, journée de noirceur pour celles qui ressentent cette culpabilité intérieure. Aurions-nous été dans la capacité de les protéger d’elles-mêmes? Aurions-nous été assez prévenante, assez puissante pour les empêcher de tomber dans l’abîme qui enterre et qui désole? Tant de questions me hantent et me hanteront. Juste un clin d’œil pour vous partager ma dynamique. En composant ce texte, j’entendais des bris de nouvelles en provenance de mon poste de télévision localisé au premier plancher. Dans le reportage, il mentionnait avoir retrouvé deux corps; un homme et une femme, «tous les deux jeunes». Je me suis rendue au bas de l’escalier pour écouter les détails relatifs à l’annonce. Les autorités responsables de ce dossier ne sont pas certaines mais il semble que mes inquiétudes ne sont pas fondées. Mais voyez-vous quand on a des jeunes qui consomment comme les miennes, on vit toujours dans le doute de les perdre. Elles continuent de s’entourer de relations agressives et fortement à risque. Et je reste bouche-bée devant ce phénomène qui les affecte toutes les deux. C’est déchirant de marcher sa vie dans des chaussures qui sont si lourdes à porter… Malgré tout, je remercie le Tout-Puissant pour cette force qui m’habite! À suivre…
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VIEUX OU MALADE? Si le vieillissement se traduit souvent par une augmenta-tion de la fréquence des mala-dies et de leur gravité, on ne devient pas nécessairement malade en prenant de l'âge. Il est cependant difficile de faire la distinction entre maladie et vieillissement. Par exemple, l'athérosclérose
et la démence sont-elles des maladies ou des changements qui apparaissent
avec le temps? À ces questions, j pas de réponses, mais si
la démence était liée au vieillissement, tout le monde
serait dément à plus ou moins long terme.
Ainsi, un infarc-tus du myocarde compromet-tra le bon fonctionnement du cœur; des infections pul-monaires à répétition entraîneront une perte d'efficacité des poumons. La maladie affecte la gestion de nos ressources personnelles de santé, accélérant le processus de vieillissement et limitant ainsi notre durée de vie. Il faut bien reconnaître que les maladies de la vieillesse ne sont plus les mêmes qu'autre-fois. Aujourd'hui, on fait face davantage à des problèmes de malnutrition, de chutes et d'in-validité occasionnés parfois par des traitements médica-menteux injustifiés. À noter Le mode de vie constitue
un élément essentiel de la prévention des maladies
associées au vieillissement. Par exemple, un fumeur risque de développer
davantage de problèmes de santé qu'un non-fumeur, alors qu'une
per-sonne qui fait régulièrement de l'exercice et ce, jusqu'à
un âge avancé, diminuera le risque de développer des
maladies cardio-vasculaires.
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Demain, ce sera la fête de notre webmestre et fondateur de cette porte d’entraide virtuelle «Quand la drogue n’est plus un jeu». Quelle belle occasion pour souligner sa présence, sa participation active et sa dévotion. Un homme de cœur qui par son travail, par ses recherches, par le don de Soi a réussi à aider un grand nombre de gens à mieux vivre les séquelles qui se cachent sous la toxicomanie et l’alcoolisme. Je me souviens qu’en décembre 1998, je lui avais demandé de créer un site web pour m’aider à mieux vivre mon impuissance vis-à-vis la consommation de ma fille aînée Emmanuelle. J’avais appris en janvier 1998, qu’elle était devenue une cocaïnomane. Par le temps que la poussière de cette réalité retombe, j’étais habillée d’un mal de vivre profond et difficile à accepter. Et à ce moment-là, je ne savais pas que mon malaise avait un nom «codépendance». Certes, qu’il a accepté de faire ce projet. Et peu à peu, il a fait des recherches pour mieux s’outiller et pour comprendre l’essentiel de ce fléau. Et pas à pas, les pages se sont habillées d’un contenu qui parfois était pénible à lire. Au quotidien, il versait le feu de ses énergies et de son enthousiasme. Humblement, ma part était de l’appuyer, de l’encourager et de corriger les textes au mieux de mes connaissances de la langue française. Mon apport était basé sur un désir de m’aider et d’aider ceux et celles qui vivaient des difficultés similaires aux miennes. Nombre de fois, il a travaillé à refaire la mise en page des sections du site. Achat de livres, de magazines et tant plus pour s’alimenter et pour se tenir à jour, des changements qui affectaient ceux et celles qui surconsommaient. Et sous ces nuages, il s’alimentait pour ajouter des informations pertinentes et essentielles. Peu à peu, l’achalandage démontrait une augmentation intéressante du nombre de nos visiteurs. «Quelle belle récompense!» pensait-il. Les années se sont succédées, les difficultés furent nombreuses, les efforts constants et toujours, il luttait pour la survie de ce monstre informationnel. Depuis quelques années, nous avons notre nom de domaine «Quandladrogue.com» et nous payons de nos poches pour l’hébergement pour ne pas être pollué par des publicités de toutes sortes. Et comme les semences sont mises en terre avec amour et passion, la récolte se compte par les statistiques qui démontrent une hausse de l’achalandage. Nos collaborateurs et collaboratrices travaillent férocement en se donnant bénévolement dans le but de changer les choses, par le partage de leurs connaissances. Merci à vous tous! Quant à toi, cher conjoint, aucun mot n’est assez puissant pour te remercier pour ta présence dans ma vie. Par ta dévotion, par le don de ton être, tu as aidé nombre de personnes à mieux vivre certaines étapes déchirantes de leur livre de vie. Quant à nous, notre dynamique est devenue plus grande car deux de nos filles sont maintenant piégées dans cet enfer. Heureusement, que nous avons ce site pour déposer notre trop et pour lutter contre notre impuissance. Que Dieu te bénisse et qu’il te conserve près de Moi. Vieillir ensemble, grandir à tes côtés, quel bel objectif d’avenir! Un but à combler, dans tes bras, au fil des jours… Avec toute ma tendresse,
À suivre…
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MOURIR JEUNE, LE PLUS TARD POSSIBLE Pourrait-on arrêter
de vieillir ou tout au moins, vieillir plus lentement? Peut-on empêcher
certains effets du vieillissement? Les médicaments permettent-ils
d'améliorer notre longévité?
l'élixir de longue vie L'elixir est un mot d'origine arabe qui servait à désigner l'essence la plus pure d'une substance. Pharmaceutiquement parlant, l'élixir est fait d'un mélange de sirops et d'alcoolats (alcool distillé sur une substance médicamenteuse). L'élixir a servi plusieurs fois de véhicule pour des recettes dites de longévité. Mais, y a-t-il vraiment une recette pour rester jeune? Oui, non seulement il y en a une, mais il en existe plusieurs: elles s'appuient toutes sur un mode de vie sain et une bonne alimentation. Faire de l'exercice Les personnes âgées
peuvent: faire plusieurs types d'exercice. La marche favorise l'utilisation
des muscles et ralentit le processus d'ostéoporose. La natation
présente les mêmes avantages, tout en procurant une détente
particulière due à l'oxygénation du cerveau. Un programme
régulier d'exerces physiques appropriés devrait être
en mesure de contrôler l'accumulation des
Messieurs, un bon mouvement On dit que les hommes, en
particulier, devraient augmenter leur niveau d'activité physique
lorsqu'ils arrivent 65 ans. En effet, ils ont tendance à réduire
leur dépense en énergie de 20 % lorsqu'ils arrivent à
cet âge, ce que ne font pas les femmes.
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Récemment j’ai reçu un texte intitulé «Discours donné par Bill Gates». Que de contenu! C’est un texte qui frappe en plein dans le mille, comme dirait celui qui nous l’a fait parvenir. Ce discours a été prononcé dans un école secondaire. Il aborde 11 leçons que les élèves n’ont pas apprises et qu’ils n’apprendront pas à l’école. Et je poursuis avec l’une des parties qui m’allume «Il explique comment des méthodes d’enseignement politiquement correctes qui valorisent le bien-être individuel ont donné naissance à une génération d’enfant qui n’ont aucun sens des réalités et décrit de quelle façon ce concept les mène à l’échec dans le vrai monde». J’ai emprunté ce texte de notre collaborateur, Monsieur Gilles Vinet. J’espère qu’il me permettra de l’utiliser puisqu’il me touche entièrement et que si je pouvais changer les choses, si j’avais la capacité d’élever mes filles à nouveau, je changerais mon fusil de bord et je ne les protégerais plus autant des réalités de la vraie vie. D’élever nos enfants dans la ouate, ne les prépare pas à la noirceur et aux enjeux de notre société. Étant donné que je n’ai pas cette chance d’avoir une deuxième chance. J’essaie d’accepter les choses que je ne peux changer. Par contre, vous qui lisez mes textes, peut-être avez-vous toujours cette chance de modifier votre vision vis-à-vis l’éducation de vos enfants. Alors, si c’est le cas, je vous souhaite «Bonne lecture!» Règle 1 :
Règle 2:
Règle 3: Vous ne toucherez pas 40 000 dollars par année immédiatement en sortant de l'école secondaire. Vous ne serez pas vice-président d'entreprise avec un téléphone dans votre voiture avant d'avoir gagné et mérité les deux. Règle 4:
Règle 5:
Règle 6:
Règle 7:
Règle 8:
Règle 9:
Règle 10:
Règle 11:
Lee,
auteure
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Bien s'alimenter Une alimentation basée sur des menus équilibrés peut prévenir les effets du vieillissement. Il semble qu'un régime alimentaire déficient soit responsable: de plus de 60 % de la mortalité. La présentation agréable
des mets, en favorisant l'appétit, : diminue les risques de déficience
alimentaire. Il est recommandé de prendre trois repas par jour,
même très légers et de prendre plaisir à manger.
Le Dr. James Scala affirme qu'une alimentation avec des aliments bien choisis peut augmenter notre longévité (par la prévention des maladies) et notre qualité de vie. Le régime qu'il propose est basé sur l'utilisation d'antioxydants (vitamines E et C, etc.), d'agents régulateurs (fibres, huiles essentielles, acide folique, niacine, calcium) et enfin d'agents protecteurs (ail, oignons, échalotes, ciboulette et légumes de la famille des crucifères, soit essentiellement le chou, le brocoli et le radis). La méthode de Luigi Carnero Luigi Carnero, un noble de
la Renaissance italienne était, à 45 ans, condamné
par ses médecins. Victime d'excès de toutes sortes, il souffrait
de la goutte, d'ulcères, de fièvres, etc. Il eut tellement
peur de mourir qu'il s'inventa une recette pour vivre plus vieux. À
partir de ce moment-là, son alimentation se composa uniquement de
viande, de bouillons, d'œufs, de petites portions de pain et de vin. Il
vécut jusqu'à 103 ans...
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