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Je viens de terminer une conversation téléphonique avec mon frère aîné. Comme vous le savez, Richard est âgé de 55 ans. Récemment, je vous ai parlé de son désir de confier ses péchés à un prêtre. Et avec l’aide de ma mère spirituelle et des circonstances de la vie, j’ai été dans la possibilité de convaincre un bon curé de faire cette démarche. Et ce prêtre au grand coeur s’est rendu chez lui, dans la chambre où il vit depuis deux ans pour écouter la noirceur de ses péchés. Et depuis, mon frère prie pour ses proches et ses ami(e)s. Il passe ses journées à se promener avec son chapelet en mains espérant changer la suite des choses pour tous ceux et celles qui croisent son chemin. Certes qu’il n’est pas parfait. Il a de grands défauts, tout comme vous et moi. Et à chaque samedi de chaque semaine, je lui téléphone. Et j’échange avec lui en m’assurant de lui donner tendresse et écoute. Il sait que nous sommes là pour lui. Je termine toujours ma conversation en lui postant des gros bisous. Il aime ça! La semaine dernière, nous avons été le chercher en nous rendant chez notre soeur. Il était dehors, au froid et il nous attendait patiemment. Nous sommes les seuls qui prenons le temps d’aller le visiter pour le sortir de sa routine d’isolement affectif. Je n’ai pas à vous dire qu’il apprécie voir autre chose que les murs de cette grande maison habitée par des êtres qui tout comme lui, souffrent d’être blessés, brisés et malades. Pour la plupart, ce sont des personnes qui ont surconsommées et qui vivent difficilement les conséquences de leur maladie. Comme vous le savez, j’ai repris contact avec lui suite au décès de ma sœur aînée Diane. Elle est décédée le 9 novembre dernier. Et le 15 novembre, nous avons été le chercher pour qu’il nous accompagne au salon funéraire. J’avoue que je n’étais pas prête aux changements corporels et faciaux de mon frère. Plus de huit années s'étaient écoulées depuis notre dernière rencontre. Il m’a fallu prendre une grande respiration avant d’ouvrir officiellement la porte de sa demeure. De l’autre côté, je le voyais s’approcher tranquillement, comme s’il avait 65 ans. Et pourtant, nous n’avons que 4 ans et 9 mois de différence. Ceux et celles qui croient que la surconsommation ne cause pas de dommages et bien, laissez-moi vous chanter ma chanson! Richard vient de m’apprendre qu’il a commencé à consommer récemment. Il s’est acheté une grosse bière. Il avait tellement peur de se faire surprendre, qu’il s’est empressé de la vider entièrement. Puis, le lendemain, il a refait le même geste. Il vit dans un petit village et les gens qui travaillent dans les deux dépanneurs le connaissent. Il ne peut pas acheter ce qu’il veut sans trop souvent, se faire scruter, au préalable. Mais malgré ses précautions, il s’est fait prendre puisqu’il marchait en plein milieu de la rue sans craindre pour sa vie. Donc, la propriétaire de la résidence où il habite a eu une discussion sérieuse avec lui. Et elle a choisi ce moment pour lui dire qu’il était malade. Elle lui a dit qu’il est atteint de la cirrhose du foie. «C’est pour ça que tu es ici, parce que tu es malade». «Tu ne peux plus boire car si tu continues, tu vas mourir». J’ai fait mes recherches pour mieux comprendre l’ampleur de ce verdict. Et je lis «Au stade constitué, l’ascite – présente d’eau dans l’abdomen – est presque toujours constatée. Le volume de liquide peut atteindre plusieurs litres et est responsable du gros ventre caractéristique.» Ouf! Richard a un énorme ventre! J’ai eu une discussion avec la propriétaire de la résidence où il vit pour m’informer sérieusement sur sa santé. Elle me dit qu’il n’est pas malade et qu’il va bien. J’espère sincèrement qu’elle me dit la vérité. J’ai des doutes! Elle voulait lui faire peur pour qu’il reprenne le contrôle du volant de sa vie. Puis hier, je lui ai téléphoné à nouveau. J’hésitais car je sais qu’il a rechuté encore cette semaine. J’ai rencontré la dame qui s’occupe très bien de lui. Elle me dit qu’il a pris toute une brosse. Il a été malade en face du dépanneur du village. Et elle a reçu un appel de détresse lui demandant qu’elle vienne immédiatement le chercher. Encore elle lui a donné une chance de demeurer dans cette résidence malgré sa rechute évidente. Mais il n’apprécie pas cette chance présentement. Que se passe-t-il avec mon
frère?
à suivre... Lee, auteure
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Les trucs écologiques Ajoutez les feuilles mortes déchiquetées par la tondeuse comme paillis sur la pelouse à l'automne. Les feuilles mortes sont une excellence source d'éléments nutritifs pour le sol.
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La semaine dernière, je vous avais laissé avec cette question «Que se passe-t-il
avec mon frère?
Est-ce parce que nous lui avons remis le 25 décembre dernier, une photo qui s’était retrouvée dans mes mains, en 1991. Photo prise lors d’un repas de Noël à l’Accueil Bonneau de Montréal. Un organisme de bienfaisance qui aide chaleureusement les mal-aimés de notre société. Sous sa photo, il était écrit »En cette journée spéciale, dit-il, Richard …, au centre, s’est fait photographier entre Nicole F…, à gauche, de l’Accueil Bonneau et … de la London Life.> Et un peu plus loin dans l’article de journal Richard a mentionné «Normalement, je ne vous aurais pas laissé prendre ma photo mais aujourd’hui, c’est correct.» Ce bout de papier commence avec ce titre qui vient chercher les plus chanceux de ce monde Un accueil à bras ouverts! Puis, le contenu nous prend par le cœur par La période des Fêtes est pour certains l’occasion d’ouvrir les bras à ceux et celles qui, emprisonnés dans leur solitude ont grand besoin qu’une porte leur soit ouverte. Quand Richard a vu ce papier en piètre condition, il était tellement heureux. Il nous a dit que l’Accueil Bonneau, c’est sa famille. Que depuis l’âge de 14 ans, ils ont été là pour lui. Et que sans eux, il serait certainement mort. Et quand je retourne quelques pages en arrière dans notre passé de merde, je sais que notre père est décédé en 1965. Richard avait 14 ans. Je sais aussi que notre mère s’amusait à le jeter dehors. Chaleur ou froideur, rien ne l’arrêtait. Trop souvent, je l’ai vu dormir au froid dans la chède. Cet endroit était annexé au petit logement où nous avions aménagé après le décès de notre père. Notre mère et son nouveau conjoint avait loué ce logement de 3-1/2. C’est ridicule quand 7 personnes vivaient sous ce toit d’enfer. Il y avait une chambre, un salon qui nous servait de chambre (pour 5 enfants), une cuisine minuscule et une salle de bain. J’ai tant à apprendre sur le contenu du livre d’histoires de mon frère. Il connaît beaucoup plus la noirceur qui se cache sous les pas de notre famille. Personnellement, j’ai manqué plusieurs années puisque je vivais à l’extérieur du Québec. Aujourd’hui, je me rends compte que mes 14 ans d’éloignement m’ont sauvé à certains niveaux. Je crois que l’on reproduit ce que l'on a vécu dans notre passé. Est-ce possible? Donc, mes frères et sœurs sont devenus un peu le reflet de notre mère. Ils étaient méchants entre eux. Ils se volaient, se chamaillaient, se disputaient, se nuisaient et tant plus. Leur comportement maladif reflétait en partie, le miroir de notre passé. Ce qu’ils avaient reproché à notre mère, ils pouvaient maintenant, se le reprocher à eux-mêmes. Est-ce possible de reproduire le même casse-tête de merde? Est-ce possible de se détruire ainsi tout au long de sa vie? J'ai bien peur que «oui» Nous sommes malades et quelque peu dysfonctionnels! Je l'avoue... à suivre... Lee, auteure
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Lors de l'achat d'un produit domestique dangereux, n'achetez que la quantité correspondant à vos besoins. Essayez d'utiliser la totalité du produit. Sinon, donnez vos surplus à un proche qui en a besoin. L'usage d'insecticide n'est souvent pas nécessaire pour l'entretien de vos plantes. Munissez-vous de gants et procédez à l'élimination manuelle des indésirables. Vous préserverez ainsi votre santé et la vie des petits insectes utiles. Ne jetez pas vos restants de peinture aux ordures ménagères. Informez-vous des politiques
de remboursement des surplus de matériaux en magasin et assurez-vous
que les fournisseurs récupèrent leurs emballages lors des
livraisons à votre domicile. Enfin, évitez le gaspillage
en évaluant précisément vos besoins en matériaux
avant d'entreprendre des travaux; il existe même des logiciels pour
vous aider à les planifier.
Saviez-vous que l'enfouissement
de nos déchets génère beaucoup de pollution?
Il est possible de joindre
l'équipe d'intervention d'Urgence-Environnement en appelant au 1-866-694-5454.
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La semaine dernière, je vous avais laissé avec cette question «Que se passe-t-il avec mon frère? Pourquoi a-t-il recommencé à enterrer ses émotions dans la boisson?» J'avoue que éviter que je me noie dans ma marre d'impuissance, je préfère lui laisser sa liberté d'être. Je ne peux pas continuer ma croissance personnelle et me noyer dans ma condépendance dans mon rôle de soeur. Alors, je vais laisser à mon frère sa liberté de choisir ce qu'il veut vivre. Et je vais essayer de l'apprécier malgré ses faiblesses car c'est le seul frère qu'il me reste. Et à le dire, j'ai une boule de merdre qui m'envahie car je réalise que mon frère cadet n'est plus. Malgré ma peine, il ne me reste qu'une soeur et un frère. Je me dois de les laisser apprendre leurs leçons de vie tout comme j'apprends des miennes. Ils ont cette liberté d'être. Concernant notre mère et son conjoint Et mon frère Richard a une telle haine envers notre mère et son conjoint. Je ne peux pas dire qu’ils lui ont enlevé le beau qu’il possédait mais croyez-moi, ils n’ont rien fait pour ensoleiller les pages de sa vie. Rien! À travers notre discussion d’hier, je sais qu’il ne veut pas réellement cesser de boire. Il cherche amèrement une porte pour continuer à consommer. Il est même prêt à se rendre chez notre mère pour boire ses fonds de bouteille. Il m’a dit qu’il déteste aller chez elle car elle crie tout le temps. «Pourquoi crie-t-elle?» je lui ai demandé. «Parce qu’aussitôt que sa bouteille est à moitié vide, elle se met à crier comme une folle» m’a-t-il répondu. Je crois que l’image qu’il décrit présentement ne reflète plus la réalité puisqu’elle est très malade. Elle a eu un ACV l’an passé. Elle a peine à marcher. Je doute qu’elle puisse noyer ses trop comme elle le faisait si bien. Par contre, récemment ma sœur m’a dit que notre mère buvait le fond d’une vieille bouteille de vin qu’elle lui avait donnée. Bouteille laissée par les invités qui étaient au party des Fêtes Ma soeur était attristée de la voir ainsi puisque le vin avait tourné au vinaigre. Avec compassion, je lui ai expliqué que même si elle lui achetait une bouteille neuve, qu’elle finirait quand même l’autre. Notre mère est malade et nous ne pouvons rien. Nous sommes impuissantes. Et ma sœur qui est fragile, a peine à l’aimer avec un détachement d’amour. J’aime à croire que c’est la seule façon d’aimer un proche qui consomme et qui pleure son passé. Saviez-vous qu’aussi loin que je me souvienne ma mère a dit une seule phrase qui avait vraiment du sens. Et elle l’a dit à mon conjoint lorsqu’il lui a annoncé nos fiançailles cette phrase «Je n’ai pas aimé la femme que j’ai été». Je conserverai au fond de ma mémoire de femme ces quelques mots puisque ma mère marmonne des mots, qui sont trop souvent «sans sens et sans victoire»! Lee, auteure
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À part le miracle de la présence de mon conjoint, l’absence de mes filles malades et bien mon frère, ma sœur sont ma richesse. Par contre, tous les deux sont brisés. Ils ont le regard vide des mal-aimés. Est-ce que la vie pourra leur donner l’amour pour panser leurs blessures? J’en doute! Lucie m’a dit qu’elle n’aime pas notre mère ni son conjoint (qui l’a abusée une grande partie de son enfance). Mais je suis convaincue que le jour où notre mère quittera ce monde, elle comprendra qu’elle lui avait fait une trop grande place dans son cœur. Si je suis en vie lors de ce décès, j’aurai à ramasser les pièces du casse-tête puisque Lucie n’a jamais entrepris une démarche de pardon. J’ai peur qu’à ce moment-là, elle tombe du haut de sa carapace. Scorpionne, elle se cache sous cette masse pour ne pas souffrir, pour ne pas déterrer ses secrets noirs qui polluent son passé et son enfance. Hier, j’ai fait une courte prière pour que mon frère Richard trouve en lui la force de marier son abstinence. Est-ce ma photo qui le déchire ainsi? Celle de l’Accueil Bonneau de Montréal. Nous lui avons expliqué que probablement à l’accueil Bonneau la plupart de ses ami(e)s sont décédés ou qu’ils sont partis. Mon frère s’accroche à ce passé qui n’est plus, à son passé de merde! Ou est-ce le deuil qu’il commence à ressentir suite au décès de sa sœur qui fut par le passé «sa préférée»? Il faut le dire que Richard n’a jamais versé de larmes lors des funérailles ou de la messe. Il lui en voulait parce qu’elle lui avait volé l’argent qu’il avait quêté à l’extérieur d’une caisse. J’ai beau lui dire qu’elle était tout comme lui, dépendante et très malade mais, il reste froid et insensible! Je sais par les commentaires recueillis que ma sœur a eu un passé lourd et habillé de gestes méchants. Pour consommer, elle a fait ce qu’elle devait faire et ce, sans penser aux conséquences sur la vie de son entourage. C’est triste! Mais qu’est-ce qui se cache sous cette rechute? Il faut dire que ma sœur a été battue quelques heures avant de décéder d’une attaque cardiaque. Qui l’a ainsi battue si violemment? Elle ne pesait que 75 livres. C’est certainement un deuil difficile à vivre. Je le sais car je le vis… péniblement. J’aimerais que mon frère comprenne que sa famille c’est nous. Sa famille c’est ma sœur, son conjoint et leur deux enfants, moi et mon conjoint. Nous sommes la famille que le Tout-Puissant lui à donnée. Pourquoi regarder ailleurs quand ses cartes sont jetées devant lui, et qu’elles n’attendent que d’être jouées par lui. Essayons de créer quelque chose de notre relation. Pourquoi toujours regarder ailleurs. Apprenons à apprécier la richesse de notre situation familiale sans chercher à se nourrir de nos vides, de nos manques et de nos blessures. Sommes-nous assez forts pour
ça?
Lee, auteure
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Comment se développe
le cancer?
Agence Science-Presse Parfois, les cellules du corps humain se multiplient trop vite et de façon désordonnée: ce sont des cellules cancéreuses. Cette anomalie cause l'apparition de masses (bosses) appelées tumeurs. |
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Mes biens les plus précieux Nous avons tous des petits
trésors qui ne valent rien mais qui sont haut sur notre échelle
sentimentale.
Il y a plusieurs années,
une de mes tantes m’a remise une petite statuette de la Vierge Marie.
Le 5 octobre 1990, ma mère
m’a remis une petite boîte (3 po x 3 po)
Et une autre fois, elle m’a
donné un objet tricoté en rond avec des couleurs criantes
que je n’ai pas conservé.
Puis, on peut lire «Pour
L…. F…. après ma mort»
L’autre objet provient de
ma chère tante.
Puis, il y a eu l’héritage
que j’ai reçu lors du décès de cette même grand-mère.
Et pour terminer, j’ai plusieurs
objets qui proviennent de ma Mère spirituelle.
Et à travers tous mes petits trésors, je me rends compte que je suis riche en souvenirs du cœur. Merci de me lire, Lee, auteure
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Pourquoi dormons-nous?
Agence Science-Presse Difficile à croire, mais les scientifiques n'ont pas de réponse claire sur cette activité qui occupe le tiers de notre temps. On a tort de croire que le sommeil ne sert qu'à regagner des forces: si ce n'était que cela, une bonne séance de relaxation ferait tout aussi bien l'affaire. |
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La semaine passée, je vous ai dessiné par ma plume le gros de mes richesses de cœur. Et grâce à cet arrêt, je me suis rendue compte que j’étais comblée. Belle démarche de vie! En parlant de démarche,
récemment j’ai confronté le conjoint de ma mère.
Comme je vous l’avais mentionné,
ma sœur Diane, avant de mourir avait pris le temps de faire son lavage.
Dans ma transparence habituelle
Ma sœur connaît très
bien notre mère et elle m’a confirmé qu’elle était
contente.
Merci mon Dieu de m’avoir
permis de lui pardonner.
Sérénité à vous dans votre cheminement! Lee, auteure
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La consommation de yogourt
pourrait jouer un rôle dans la prévention de l'ostéoporose.
L'ostéoporose L'ostéoporose est une maladie qui affaiblit et fragilise les os, entraînant ainsi une augmentation des risques de fracture (hanche, poignet, vertèbres). L'ostéoporose est une maladie qui se développe de manière lente et insidieuse : souvent, la personne atteinte ne manifeste aucun symptôme. Plus vous êtes âgé, plus vos risques d'ostéoporose augmentent. Quoique cette maladie touche particulièrement les femmes de race blanche, les hommes peuvent aussi en être atteints. La consommation régulière d'aliments riches en calcium et en vitamines comme le yogourt, combinée à la pratique d'activités physiques, peut aider à prévenir l'ostéoporose. Source: www.danone.ca/fr/sante/capsules.aspx
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Cette belle journée
de Pâques tire à sa fin.
Côté température, j’ai vu mieux. Par contre, avec mon bagage qui vient avec mes 50 ans, j’ai appris à accepter les choses que je ne puis changer. Donc, j’ai réussi à trouver le soleil dans mon for intérieur. Puis, nous avons été
visiter notre mère spirituelle.
Nous avons échangé
nos vœux en pensant à la résurrection de notre Sauveur.
Nous sommes revenus à
la maison, le cœur habillé d’un bien-être chaleureux.
Et de l’autre côté
de ma médaille, dans mes chaussures de mère, je n’ai toujours
pas de contacts avec mes filles.
Quant à moi, quant
à nous, l’optimisme est présent.
Sérénité à vous tous! En espérant que votre journée de Pâques a été comblée… Lee, auteure
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Plusieurs gouvernements
européens ont pris des mesures concrètes pour encourager
la transition de l'agriculture vers le biologique.
En Suède, 10 % des
terres agricoles sont biologiques.
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Pour ceux qui me lisent vous
savez que depuis le 15 décembre dernier, les cendres de ma sœur
aînée sont dans notre maison.
Quand je pense que les restes
de son corps gisent depuis novembre dernier dans une petite boîte
couverte d’un matériel bleuté.
À suivre…
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La mode en 1900 1900 Les femmes de 1900 portaient des corsets métalliques, et certaines d'entre elles sont mortes à cause d'organes perforés par des côtes écrasées.
La mode des rondeurs. Les mannequins les plus maigres pesaient aux alentours de 58 kg.
Les femmes portaient des gaines et rembourraient leur soutien-gorge pour avoir l'air plus séduisantes. |
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Dans ma dernière
chronique je vous disais que ma soeur aînée est morte le 9
novembre 2006 avec un seul poumon...
Environ 2 ans auparavant, sous l’effet de sa consommation, son fils unique l’a battue. Ma soeur s'était séparée
d'avec son conjoint.
Puis un jour, cette recette explosive a été la source d’une chicane qui a éclatée entre ma sœur et son fils. Certes qu'elle était
une personne très agressive, surtout quand elle consommait.
Elle n’était pas le
genre à se plaindre, et elle pleurait rarement.
Pendant son séjour
à l'hôpital, elle avait cessé de fumer.
Malgré ses manques
dans ses chaussures de mère, elle a tout fait pour que son fils
ne paie pas pour cet assaut à son égard.
Récemment, j’ai appris
que son fils était en attente de son jugement concernant cet événement
malheureux.
À suivre…
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À quelle vitesse poussent les ongles? Agence Science-Presse
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Je terminais mon dernier paragraphe avait: Récemment, j’ai appris que son fils était en attente de son jugement concernant cet événement malheureux. Puisqu’il est responsable de cette agression physique contre sa mère. Va-t-il s’en sortir? Peut-être… Mais personnellement, je
sais que ce jeune homme est brisé intérieurement.
Qui a battu Diane quelques
heures avant son décès?
Sérénité dans vos pertes! Demain, nous allons enterrer ses cendres… À suivre…
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Bienfaits et méfaits du soleil : le saviez-vous ?
Etes-vous bien sûr de connaître tous les effets du soleil ? De merveilleux bienfaits
Notre sensation de bien-être est également améliorée. Certes, une peau bronzée y contribue, mais cette sensation est équivalente à ce que l'on peut ressentir après un bon repas ou lorsqu'on est en vacances plutôt qu'au travail. Les UV sont parfois utilisés
comme traitement dans certaines pathologies cutanées, comme le psoriasis
et le vitiligo. Mais le degré d'exposition est rigoureusement contrôlé
et les patients étroitement surveillés.
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Samedi le 12 mai dernier, nous avons déposé les cendres de ma sœur Diane à l’endroit où sa fille Michelle a été enterrée en 1990. L’enfant avait alors 6 ans. Elle est décédée suite à une opération à cœur ouvert à Montréal. Suite à l’enterrement, souvent, les gens voyaient Diane pleurer sur la tombe de son bébé. Certains même disaient qu’elle se couchait près d’elle. Pour cette raison, je voulais que mère et fille soient réunies juste avant que sonne la fête des mères. Quant à moi, quelques
jours auparavant j’ai fait un rêve qui m’a déchiré.
Quand nous sommes arrivés
la personne responsable du terrain avait creusé un petit trou carré.
Récemment, je me suis réveillée en rêvant à Diane. Dans mon rêve, elle monte l’escalier vitement. Quand elle atteint le haut de l’escalier, ses yeux sont couverts de larmes. Elle pleure car elle croît que je ne serai plus là. Je la prends dans mes bras et je lui murmure tout bas que je serai toujours là, que nous vivrons ensemble, des moments chauds, une relation formidable. Elle est fragile. Elle est craintive mais elle me sait là tout près d’elle. Elle me regarde tendrement. Et comme font les enfants, je lui fais faire une pirouette.
Merci! À suivre…
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Bienfaits et méfaits du soleil Des méfaits très dangereux Le coup de chaleur est particulièrement dangereux chez les nourrissons et les personnes âgées. A trop forte dose, l'exposition aux UV provoque des brûlures, c'est le coup de soleil. La peau est rouge et douloureuse. Par la suite, elle pèle, signant la mort de millions de cellules. Plus les couches profondes de la peau sont touchées, plus le coup de soleil est grave. Parallèlement, la répétition des coups de soleil augmente fortement le risque de cancer cutané, d'autant plus s'ils se sont produits durant l'enfance. Le bronzage peut constituer une protection vis-à-vis du soleil, mais il ne faut pas oublier qu'il est la réponse de la peau à une agression. Les UVA accélèrent le vieillissement de la peau qu'ils soient émis par le soleil ou par des lampes à bronzer. Comme pour le coup de soleil, plus la peau est claire, plus elle est sensible à ce phénomène. La peau perd de sa souplesse, s'assèche, les rides apparaissent et se creusent. Le cancer de la peau lié
aux surexpositions solaires est devenu un véritable problème
de santé publique avec plus de 2 millions de nouveaux cas par an
dans le monde, dont 200 000 mélanomes malins. Tout grain de beauté
qui se transforme doit vous amener à consulter un dermatologue.
Les UV semblent impliqués
dans l'immuno-dépression, c'est-à-dire qu'ils diminuent les
capacités de l'organisme à lutter contre les risques d'infection.
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Récemment, j’ai fait parvenir une lettre à l’ex-conjoint de ma sœur Diane qui est décédée suite à un arrêt cardiaque le 9 novembre dernier. Comme vous le savez, deux semaines plus tard, les résultats de l’autopsie nous indiquaient qu’elle avait été battue quelques heures avant son décès. Une enquête est en cours pour trouver la personne responsable de son décès. L’ex-ami de ma sœur a récemment contacté ma sœur cadette. Puis, elle m’a rejoint car elle était désemparée et elle m’a demandé de l’aider. Et voici la lettre que j’ai fait parvenir à cet homme. Bonjour,
À suivre…
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Bienfaits et méfaits du soleil : Le soleil n'épargne pas les yeux. Les UV sont responsables de cataractes, première cause de cécité dans le monde. Selon l'OMS, 20% des cataractes sont liées aux expositions solaires. Jeunes et moins jeunes, portez systématiquement des lunettes de soleil enveloppantes ayant des verres filtrant d'indice élevé. Les ophtalmies, heureusement rares, sont des brûlures oculaires provoquées par de fortes doses d'UV. En conclusion : Ne vous exposez jamais au soleil de façon prolongée.
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Le 13 mai dernier était la Fête des mères. Dans mon agenda, cette journée n’a pas été empreinte de la visite de mes filles puisque je n’ai plus de contacts avec elles. Et à cet égard, sur la porte de mon réfrigérateur se trouve une pièce aimantée sur laquelle je peux lire Et une belle rose penchée, toute rouge, habille cette plaque que ma fille aînée Emmanuelle m’avait donnée il y a quelques années quand elle avait tourné une de ses pages de sérénité. Et j’avoue que de temps en temps, je me nourris en relisant ces quelques lignes d’affection. Et qu’à d’autres moments, je m’apitoie sur ma solitude, sur ma fragilité, sur ma dynamique déchirante dans mes chaussures de mère. Des journées comme celle là sont des périodes difficiles pour les mères qui vivent des situations d’enfer similaires aux miennes. Vis-à-vis notre impuissance, nous avons le choix de danser à leurs côtés et de risquer de nous noyer ou de les aimer avec un certain détachement d’amour. Noir d’aimer quand nos filles se tuent dans leur consommation. Marres de sang, appels d’urgence aux policiers, et... Donc, cette journée a passée malgré leur absence. Je n’ai pas reçu de poèmes, de cadeaux, de «Je t’aime» ou même, de mauvaises nouvelles. Certes, que je suis inquiète mais c’est le prix à payer quand on est confrontée à l’impuissance et que les ennemies à abattre se nomment «alcoolisme et toxicomanie». Devant elles, je suis faible et à risque de me noyer intérieurement. À suivre…
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Des médicaments pour rester en santé
La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. |
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Depuis le décès de ma sœur aînée, j’ai promené mes pensées à travers mes chroniques sans chercher la stabilité dans mes écrits. Je me suis servie de votre écoute, de votre présence pour trouver refuge dans les phases de ma détresse, de mon impuissance. J’ai vagué d’un sujet à l’autre, pour panser mes blessures. Et j’ai réussi par cette fluctuation à guérir certaines de mes plaies de sœur. Mais parmi mes réussites, j’ai retrouvé ma famille ou plutôt, j’ai accepté mes proches. Mon succès se lit à travers mon combat personnel pour changer les choses que je puis changer. Certes qu’à travers mon voyage je réalise que je ne peux pas changer mon frère brisé par sa consommation, ma sœur qui respire à travers la fragilité de ses peurs de l’inconnu et ma mère qui passe des heures sans bouger sur le coin de son divan. J’ai grandi par leur contact et je me surprends à revivre intérieurement. Difficile d’aimer et d’être aimé quand on a été détruit dans une famille qui est toujours vivante et dysfonctionnelle. Quant à mon frère qui a occupé tant de mes pensées, il a déménagé de l’endroit où il vivait depuis plus de deux ans. Son travailleur social a dû prendre action vitement car son agressivité prenait trop de place au sein des autres résidants. En claquant la porte, mon frère a quitté croyant que tous ses problèmes seraient enterrés à tout jamais. Malheureusement, son agressivité est toujours aussi vivante et les résidants où il vit, commencent à crier «panique»! J’ai eu une discussion avec la jeune femme qui s’occupait de lui auparavant. Et là, elle m’a enfin avoué qu’il est malade. Il a officiellement une cirrhose du foie. Il y a quelques semaines, son travailleur social m’a contacté à la maison et à travers son discours, il m’a informé que mon frère est sous la tutelle car il s’était retrouvé à l’hôpital suite à un acv. Donc, en faisant le décompte, je réalise que ma mère et mon frère ont tous les deux fait un acv. Et que ma sœur est décédé d’un arrêt cardiaque. Est-ce possible que les membres de notre famille possèdent cette faiblesse physique? Quant à mon frère, à quelques reprises, il a été surpris en état de boisson. Il est malade, très malade. Il n’a plus le goût de vivre ou de lutter. Un mal de vivre l’habille et ce, du matin au soir. Regarde-t-il dans le rétroviseur de sa vie pour ne voir que des échecs? Est-il dans une phase de remises en question? Âgé de 55 ans, il marche sa vie, dans la paresse et le laisser-aller complet. Tout ce qu’il veut c’est boire des cafés, fumer sans arrêt, manger à l’excès, sacrer sans réfléchir et trouver des faiblesses dans sa situation actuelle. Au fil de son quotidien, mon frère vit en mode récompense. Il se récompense à travers la consommation de cigarettes, cafés, sommeil et nourriture. Son travailleur social est supposé l’amener dans un endroit où il pourra travailler quelques heures par semaine pour se bâtir des objectifs de vie. Mais encore là, il faudrait qu’il veule bien se donner et qu’à travers ce don, trouver sa joie à travers la valorisation du soi. Est-ce possible que mon frère cesse de paresser et de se plaindre, est-ce possible qu’il trouve sa place à travers le don de soi? J’en doute! Mon frère, malheureusement, est le résultat d’une personne qui a passé sa vie à vivre sur les bras de la société, qui a toujours blâmé ses échecs sur les cruautés de notre mère et qui va mourir en pensant qu’il n’en a pas eu pour son argent À travers grandes réflexions, je dirais que c’est triste mais à travers notre système social, on alimente des gens qui grandissent pour embrasser le plancher de leurs petits riens. Et qui quitteront cette terre, les mains vides de ne pas avoir donné. À suivre…
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L'abus de drogues Description L'abus de drogues est défini comme un usage excessif ou suffisamment important des drogues, pour affecter la santé d'une personne, ses relations avec sa famille et ses amis, son travail et ses finances. Il implique aussi l'utilisation ou la prise de drogues de manière dangereuse, faisant intervenir l'utilisation de médicaments délivrés sur ordonnance pour traiter des problèmes ou des symptômes qui n'ont pas été diagnostiqués par un médecin. |
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Aujourd’hui, je vais vous faire vivre une conclusion riche en leçons de vie. Comme vous le savez, par mes écritures antérieures, suite au décès de notre père, nous avons grandi dans une famille dysfonctionnelle. Pourquoi?
Et à cet égard, je dirais fortement «Merci mon Dieu!» Malgré tout, nous sommes comme tous les enfants, devenus des adultes. Pour la plupart d’entre nous, nous étions cinq à nager dans la même marre d’incertitude. Et dans nos chaussures d’adulte, nous avons blâmé nos manques, nos faiblesses sur notre passé de merde. Et même, certains ont utilisé notre noirceur pour ne pas avoir à prendre leur place dans la vie et pour ne pas avoir à travailler. J’ai souvent essayé de comparer ma mère aux autres. Si souvent, j’ai dû me taire car je n’ai jamais réussi à lui trouver de qualités que je pouvais admirer ou même, respecter. Peu importe la situation ou la conversation, je devais garder sous silence les blessures qui meublaient notre enfance. Sachant quelques miettes de ma dynamique vous comprendrez qu’à l’aube de mes 51 ans je cherche à marier la sérénité. Est-ce possible de trouver cette amie toute spéciale que l’on surnomme la sérénité? OUI, OUI, OUI! La
semaine passée, nous avons été visiter ma mère
et son conjoint. Nous étions divisé en deux groupes, son
conjoint et mon mari dans le garage et elle et moi, dans la cuisine. Elle
parlait avec sensibilité et honnêteté. Elle m’a demandé
qui était mon conjoint? J’étais fière de lui répondre
qu’il était son gendre puisque nous sommes mariés. Elle voulait
savoir depuis combien de temps. Et j’étais heureuse de lui dire
«bientôt 12 ans». Elle s’est écrié «Enchanté
de faire votre connaissance!».
À suivre…
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L'abus de drogues Diagnostic Les tests d'urine et de sang servent à détecter l'abus de drogues, mais ne peuvent faire la distinction entre la simple utilisation et l'abus de ces dernières. Cependant, il existe des différences entre l'usage et l'abus de drogues. Les comportements suivants sont significatifs d'un abus de drogues :À suivre… |
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Un
petit clin d’oeil
Du garage, mon conjoint n’a pas entendu ses mots de bienvenue. Quelques minutes plus tard, il a franchi la porte et je lui ai dit «Ma mère a quelque chose à te dire». Et elle a répété «Je suis enchantée de faire votre connaissance». J’avais peine à cacher mes émotions. Il faut comprendre que nous avions cessé notre relation (ma mère et moi) en août 1995, quelques jours avant notre mariage. Et que presque 12 ans se sont écoulés depuis cette dernière pause. Et suite au décès de ma sœur, en novembre dernier, j’ai donné une autre chance à notre relation.Puis, nous avons discuté de tout et de rien. Elle m’a mentionné la cruauté que le fils de Diane (ma sœur décédée) a eu à son égard, avant son décès. Et je lui ai demandé de ne rien dire car je suis trop sensible. C’est simplement trop lourd d’entendre entre autres, qu’il la tirait par les cheveux d’un bout à l’autre de la rue. Un frisson est venu me glacer intérieurement. Encore, une fois, j’additionnais une autre image noire à mon livre d’histoires. Et en réfléchissant, je me suis souvenue que notre mère s’amusait à nous tirer par les cheveux d’un bout à l’autre de la pièce. Elle se plaisait à nous enlaidir (ma sœur décédée et moi). Elle était maladivement jalouse de nous deux. Et maintenant, j’apprenais que le fils de ma sœur reproduisait les mêmes comportements qui nous ont détruits par le passé. J’aurais dû confronter ma mère à ce moment là. Mais je n’ai point besoin. Voyez-vous en 2001, j’ai fait une démarche de pardon et ce, à travers mes chroniques intitulées «Le masque de l’innocence» puis renommées «Les survivants du passé». Et en couchant ma plume pendant deux ans, j’ai réussi à pardonner à ma mère. Certes, que je ne lui ai pas dit encore mais, le temps est probablement venu. Je suis trop sensible pour la blesser ou pour lui faire du mal. Je n’ai pas besoin de la détruire comme elle nous a détruit. Je suis en paix avec ses actions et ses manques. Depuis, j’ai pansé mes blessures avec l’amour de ma mère spirituelle. Elle a réussi à me combler. Merci mon Dieu! Puis, nous avons pris quelques photos pour encadrer cette visite dans notre album. Étant une donneuse, je l’ai entouré de petits riens qui l’ont rendus très heureuse. Mais quel plaisir je ressens en donnant. Puis, avant de quitter, je l’ai embrassée. Incroyable mais vrai. J’ai embrassé ma mère, celle qui nous a donné la vie et qui l’a pollué de tant de noirceurs. Suite à cette visite, j’ai été voir ma sœur cadette et mon beau-frère. Je me suis surprise à lui dire «Au lieu de trouver des… À suivre…
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L'abus de drogues Symptômes et Complications
dépendance psychologique et, en général, implique la dépendance physique également. Certaines personnes peuvent être physiquement dépendantes d'une drogue sans que le facteur psychologique (la toxicomanie) intervienne, en particulier lorsque la drogue est utilisée dans le cadre d'une affection médicale valable. En cas d'utilisation d'une
drogue qui engendre une dépendance physique, l'organisme s'adapte
graduellement à la drogue en question. L'organisme nécessite,
en conséquence, des quantités de plus en plus importantes
(par exemple, des doses plus fortes) de la drogue pour obtenir le même
effet
La véritable toxicomanie implique la dépendance psychologique. Ces personnes éprouvent souvent un besoin maladif de la drogue toxicomanogène, au point de se donner le plus grand mal pour se la procurer et soulager leur manque. Les drogues susceptibles de créer une dépendance psychologique agissent sur le cerveau et produisent un ou plusieurs des effets suivants : changement de l'humeur de la personne (par exemple, euphorie) diminution de l'anxiété sentiment d'être doté d'habilités supérieures affection des sens comme la vision, l'audition, etc. À suivre… |
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Dans ma dernière chronique, je vous dessinais une dynamique que j’ai vécu avec ma mère et qui m’a positivement surprise. Je vous disais que lors d’une rencontre, elle m’avait confié que le fils de ma sœur Diane maintenant décédée l’avait traité très mal avant son décès . Et devant cette affirmation, je lui ai demandé de ne pas m’en dire plus. Je crois qu’il est important d’exprimer ses limites dans la vie. Personnellement, je sais qu’il est trop tard pour changer les choses vis-à-vis la conduite de son fils. Quant à lui, il devra passer le reste de sa vie avec les noirceurs laissées par son chemin de vie et j’ai bien peur, que sa conscience saura le déchirer. Et cela m’attriste mais, je suis demeure impuissante devant la loi du retour! Poursuivons sur le fait que je vous avais mentionné que ma mère aussi, s’amusait à nous enlaidir et à nous abuser physiquement. Entre autres, elle nous tirait par les cheveux d’un bout à l’autre de la pièce. Ses victimes préférées étaient ma sœur aînée (décédée) et moi. «*Mon autre sœur, de 7 ans ma cadette était trop jeune à ce moment-là pour intéresser notre mère. Donc, elle n’a pas ce genre de blessures mais, elle possède ses propres pages d’horreur!» Et après chacune de ses épisodes de cruauté, nous passions quelques minutes dans la salle de bain à pleurer la perte de nos cheveux. Nous passions la brosse dans notre chevelure pour la voir s’engraisser par nos pertes excessives. Et trop souvent, elle nourrissait sa jalousie par des gestes gratuits et moralement, impardonnables. Pourquoi tant de méchanceté envers ses propres filles? Je ne sais pas mais la jalousie est un très vilain défaut! Aujourd’hui, devant mon clavier, je ne ressens plus d’agressivité envers elle. Mes doigts partagent avec vous une de nos pages qui meuble notre livre d’histoires et je ne suis plus brisée par mes souvenirs d’enfance. Les manques de ma mère ne me réveillent plus la nuit, ne m’empêchent plus d’évoluer ou ne m’attristent plus. Je suis en Sérénité avec mon livre, avec mon passé. Il m’appartient et j’ai nettoyé les bavures qui le polluaient par une démarche de pardon entreprise de 2001 à 2003, à travers notre site web. Et récemment, je me suis surprise à dire à ma sœur de 7 ans ma cadette que j’étais rendue au point de ma vie à me poser la question «Ai-je été une bonne fille pour ma mère?» et oui, au lieu, de blâmer tous mes manques et mes faiblesses sur ses agissements passés, j’arrête le temps pour tourner le miroir vers mon moi malade. Après avoir été plus de 11 onze sans parler à ma mère, après avoir appris qu’elle a passé 3 semaines à l’hôpital suite à un infractus, après avoir été informée qu’elle avait eu un ACV non diagnostiqué… maintenant je sais que le temps est écourté. Je dois regarder en avant et non, en arrière. En résumé, ma mère m’a donné ce qu’elle pouvait, ni plus, ni moins. A-t-elle bien joué son rôle de mère? Certainement que non. Mais qui suis-je pour la juger ou pour faire une brassée de mon linge sale? Ai-je été une si bonne mère? Certainement que non. Puis-je justifier mes manques sur les blessures de mon passé? Oh, que non… Récemment, pour la première fois, nous avons eu une rencontre avec tous les proches immédiats de notre famille dysfonctionnelle. Et les résultats ont été… À suivre…
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L'abus de drogues
Traitement et Prévention Des programmes de désintoxication et de retrait sont proposés dans les centres de traitement des toxicomanies. En général, le toxicomane est graduellement sevré de la drogue par la prise de doses de plus en plus petites. On peut également lui substituer des drogues moins nuisibles que celles dont il est dépendant. Par exemple, on prescrit souvent de la méthadone aux personnes dépendantes de l'héroïne. La méthadone n'est pas aussi nuisible pour le cerveau que l'héroïne ou les autres narcotiques. |
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Pour faire suite à ma dernière chronique dans la quelle je mentionnais que nous avions eu une rencontre avec les membres de notre famille dysfonctionnelle et les résultats ont été très chaleureux. Présents, nous avions ma mère, son conjoint, mon frère aîné, ma sœur cadette avec son conjoint, sa fille et son nouveau conjoint. Ce fut une si belle réussite que j’en garderai un souvenir fort. Tout était superbe; la nourriture, les discussions, l’atmosphère qui existait et qui a fait que tout le monde marchait au même rythme. Comme je suis heureuse, c’est comme si enfin la vie, ma vie nous souriait. Est-ce possible qu’une famille comme la nôtre puisse trouver bonheur a être ensemble. Oh que oui! Suite au départ des invités, mon frère aîné, me disait qu’il avait apprécié cette rencontre. C’était la première fois qu’il vivait une si belle expérience. Personnellement, je ne me souviens pas d’avoir vécu une si belle rencontre. Tout était de la partie, bonne nourriture, jeux variés pour garder les esprits en éveil, pas de boisson et des dialogues qui font grandir et qui ressortent le meilleur de chacun. Des recettes qui goûtent bons! Certes, que vers 15h30, ma mère est tombée en débarquant de notre balançoire où 3 autres personnes étaient assises. Cet incident a mis fin au festivité. Quant à mon frère, il m’a dit qu’à chaque rencontre, notre mère se blesse. Et quand nous étions jeunes, elle était maître dans l’art de se blesser. Intéressant de constater que cela ne me touche plus. Je ne vois que le bon côté. Mais aujourd’hui, je regarde cet incident en restant objective et surtout, positive. Ma mère est malade. Ma mère est alcoolique et accro aux pilules. Ma mère est venue chez nous, à notre party, et j’en garde un souvenir dès plus chaleureux. Je l’ai gâtée. Je lui ai donné le meilleur de moi-même. J’ai eu grand plaisir à la recevoir. Et je constate que ma démarche de pardon entreprise de 2001 à 2003 à portée fruit. Merci, mon Dieu! Lee, auteure
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Lundi 27 Juin 2005 Montréal Saviez-vous que ? Boire 2 verres de Gatorade
peut soulager un mal de tête presque sur le champ -- sans les effets
secondaires des médicaments traditionnels contre la
Saviez-vous que le dentifrice Colgate peut faire un excellent onguent contre les brûlures? Avant de foncer tout droit à la pharmacie pour acheter un médicament dispendieux, rempli de produits chimiques mystérieux pour décongestionner votre nez, essayez donc de sucer quelques Bonbons à la Menthe. Ils vous aideront à libérer votre nez encombré. Mal à la gorge?
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les bleus...
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rapidement la douleur....
Si vous envoyez ceci à
15 personnes et que seulement une d'entre elles ne savait pas ceci, alors,
ça aura valu la peine de l'envoyer.
Johanne Mayrand
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Remplir ses poches! Je tenais à coucher ma plume très tôt ce matin car j’avais ce désir profond d’exprimer le feu de mes émotions. Et la raison qui entoure ce besoin de vous baigner dans cet état qui m’habite est simple, ma sœur et moi (avec nos conjoints) avons eu la chance de participer à une fête de notre famille. Voyez-vous, dans notre livre d'histoire, nous retrouvons ce détail «suite au décès de notre paternel, nous avons grandi en marchant dans un autre sentier que celui qu'il avait tracé pour nous». Il faut dire que nos oncles et tantes, auraient aimé nous aider et nous sortir de l’emprise de notre mère alcoolique et accro aux pilules mais comment auraient-ils pu le faire? Ils avaient leurs enfants et leurs responsabilités bien à eux. Personnellement, j’ai eu cette chance de vivre quelques temps chez ma tante. Et je n’ai pas saisi cette opportunité. Par contre, avais-je le contrôle à ce moment-là sur cette décision de retourner chez ma mère? Oh que non! Mère est revenue me chercher. Et mère a continué à me maltraiter. Et mère s’est amusée à semer son champs de blessures, d’abus de toutes sortes et de déboires sur la qualité de ma vie, de nos vies. Hier, assise sur le banc à l’église où le prêtre soulignait un événement important dans la vie de mes proches, je plongeais mes pensées dans ce lourd passé qui est mien. Ma sœur, de sept ans ma cadette, fragilement remplissait son sac de souvenirs, son album de photos. Elle nourrissait son cœur de la présence des membres de notre famille. Âgée de 43 ans, elle essayait de garder la tête haute pour que de là-haut, notre père puisse être fier d’elle. Ma sœur et moi, avions une mission, celle de porter fièrement le drapeau de notre père décédé en 1965. Nous avions la chance de montrer à nos proches que nous étions devenues des femmes de qualité. Nous avions en nous, le devoir et le vouloir de marcher la tête haute, car malgré notre fardeau de vides, nous avons réussi à semer des réussites intéressantes. Certes, que je ne brille pas dans mon rôle de mère car mes filles sont malades. Il est pénible de vanter ses mérites de mère quand nos enfants sont dépendantes et perdues dans leur consommation d’alcool et de drogues. Quant à ma sœur qui brillait par sa présence, jusqu'à présent, Dieu a été bon pour elle. Sa fille et son fils avancent leur vie dans la bonne direction. Heureusement, car sa fragilité aurait pu l’enterrer. Et j'espère sincèrement que le Tout-Puissant continuera à protéger sa progéniture des mauvais loups qui détruisent le futur de nos jeunes. À plusieurs reprises, mes cousins et ma cousine m’ont interrogé sur la qualité de ma relation que j'avais avec mes filles. Et je n’ai pas cherché à me cacher sous mon parapluie de honte, de culpabilité et d’impuissance. Par contre, j’aurais aimé le faire, juste pour reprendre contrôle de ma dynamique, de mon impuissance de merde. Mais à quelque part, Dieu continue de me donner la force d’avancer sans chercher à m’apitoyer sur leur absence et sur leur choix de vie. Étant donné que j’aime notre relève, je regardais avec respect les enfants de mes proches. Et je savourais leur réussite, leur fierté. J’étais assez grande pour comprendre que depuis 1998, je porte le drapeau de ma co-dépendance dans mes chaussures de mère. Mais qui peut comprendre ce que je vis, ce que je ressens intérieurement? Comment mes cousins, ma cousine, peuvent-ils accepter que mes réussites se résument à des papiers scolaires nommés «diplômes», au fait que récemment ont m’a décerné le «Prix du Lieutenant-gouverneur», et que mes enseignants m’ont choisi pour être l’«élève méritante de mon groupe» en me décernant un Méritas. Toutes mes réussites englobent des reconnaissances «scolaire, personnel, social et communautaire». Mais agenouillée devant Dieu, je reconnais que dans mes chaussures de mère, jusqu’à maintenant j’ai obtenu un échec à 100% puisque mes deux filles âgées de 28 et de 31 ans sont noyées dans leurs dépendances. Ai-je toujours l’espoir qu’elles changeront leur fusil de bord? Honnêtement, je sais maintenant que même si elles marient leur abstinence, toute leur vie, elles seront à risque de rechuter. Et que leur champs de ruines risquent de les détruire intérieurement. L’alcoolisme, la toxicomanie et toutes les autres dépendances laisseront des traces sur leur vie qui seront dures, très dures à effacer. Et que Dieu les protège dans leurs démarches qui mèneront, je l’espère, vers l’abstinence! Lee, auteure
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Histoire de la medecine Antiquité |
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Dans ma dernière chronique, je vous ai mentionné que ma sœur et moi (avec nos conjoints) avons eu la chance de participer à une fête de famille. C’était la première fois que ma sœur avait l’opportunité de danser avec nos proches. Et elle a ressenti une panoplie d’émotions durant cette journée. Lors de notre retour, ma sœur s’est mise à pleurer comme une enfant à qui on venait d’enlever son meilleur jouet. Elle me racontait tristement qu’elle avait dansé avec son oncle, le frère de notre père décédé. Et que pour la première fois de sa vie, elle avait ressenti ce que c’est que d’être aimé par un vrai père. Il est certain que notre oncle, lui a transmis ce trésor qui se cache sous le signe de l’affection paternel. Elle tremblait, j’étais désemparée de la voir si touchée par le fait qu’elle aie dansé avec son oncle. Juste quelques danses durant lesquelles elle était entourée par un père aimant ont réveillé en elle, cette explosion de tristesse. Et c’est là, que je lui ai dit que c’est dans des moments comme ceux-là, qu’on en profite pour remplir notre sac d’amour. Puis, qu’à travers les épreuves de la vie, notre sac se vide. Et pour ces raisons, nous devons saisir ces occasions pour le remplir à nouveau. Notre sac nous aide à faire face aux épreuves de la vie, aux soubresauts qui pollueront les pages de notre existence. C’est du moins ma recette de vie. Elle m’expliquait tout en frémissant, qu’elle ne voulait pas le laisser partir. Elle savourait sa douce présence. Elle avait retrouvé ce père qui l’avait quitté quand elle était âgée de 22 mois. Je lui ai dit que notre père , par le biais de son frère, envoyé sa tendresse. J’aime à croire que nos morts sont toujours là pour nous protéger, pour nous aimer et pour combler nos vides intérieurs. Certes, qu’ils ne sont plus là de corps mais parfois, ils nous donnent des signes de vie. Est-ce que mes cousins et ma cousine apprécient d’avoir été si riches en amour? Est-ce qu’ils savent la chance qu’ils ont eu d’avoir été si bien entourés durant toutes les étapes de leur vie? J’en doute! Et plus tard, ma sœur a cessé de pleurer. Elle est revenue chez elle, bouleversée par l’expérience. Elle en garde un souvenir fort et positif; une autre page de son livre d’histoires qui sera ensoleillée. Récemment, elle m’a demandé pourquoi nos oncles et nos tantes ne nous ont pas visité après le décès de notre père? Je lui ai répondu «Et toi, avais-tu une bonne relation avec notre mère, notre sœur (maintenant décédée) et avec notre frère qui comme vous le savez souffrent de multiples dépendances?» Elle m’a dit sans hésiter «Mais j’avais peur d’eux!» et j’ai habillé le tout avec «Eux aussi avaient peur. Ils n’avaient pas peur de toi, ni de moi, mais d’eux!» Et c’est ainsi qu’elle compris pourquoi nous avons grandi sans le contact de nos proches… La toxicomanie et l’alcoolisme brisent bien des vies. Ces maladies nous ont enlevé l’essentiel qui réside dans l’amour de nos proches. Et quand j’y pense, nous sommes pauvres «de père et de mère» mais Dieu nous a fait riche en appréciation car nous le remercions pour toutes les parcelles d’attention, en provenance de ceux et celles qui croiseront notre route. Sérénité à vous tous dans vos relations familiales, Lee, auteure
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Histoire de la medecine Moyen Âge |
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