Pensées 11 septembre 2018

Bonjour à toutes et à tous

« Le changement n’est jamais douloureux : seule la résistance au changement est douloureuse. » ( Bouddha ) Notre Puissance supérieure nous aide à ployer au gré du vent de la vie, à prendre le risque d'être vulnérables. Notre gPs nous aide aussi à nous libérer de notre rigidité. La rigidité émane souvent de la résistance et la souffrance apparaît alors. Ou était-ce vice versa… la poule ou l'œuf ...? « Chez les Alcooliques Anonymes, par conséquent, on obéit vraiment aux principes spirituels, d'abord parce qu'il le faut bien, mais en fin de compte parce que nous aimons le genre de vie que cette obéissance nous procure. Une souffrance profonde et un très grand amour : voilà les deux seuls agents disciplinaires chez les AA. Il ne nous en faut pas d'autres. » ( 12x12, 9e Tradition, page 191 )

« Le changement n’est pas seulement nécessaire, il est la vie. Et par conséquent, vivre c’est s’adapter. » ( Alvin Toffler ) Avant de découvrir le mode de vie des Douze Étapes, certains d'entre nous supportent la souffrance sans avoir aucune idée du caractère précieux et même sacré de cette souffrance. Ils traversent l’épreuve de la souffrance sans aucune gratitude. Ils peuvent même murmurer, rouspéter, se plaindre continuellement en espérance du jour de la délivrance ou de l'abstinence. Ils n’acceptent pas la discipline, les leçons venant des épreuves, de la solitude, de la souffrance sur tous les plans. Au lieu de cela, ces derniers prient demandant que cette souffrance disparaisse au plus vite, avant même d’en profiter spirituellement. Dans quelle mesure étions-nous prêts à souffrir ? Plusieurs se demandent : Combien de cette souffrance est-elle choisie, acceptée librement ? Ou nous sombrons dans des rationalisations, de l’apitoiement ou de la justification : « C't'a cause de...». Il est toujours possible de souffrir énormément sans pour cela accepter volontairement cette souffrance. La plupart du temps nous pouvons le dire, c'est « chiant » de souffrir. Une acceptation de la souffrance est quelque chose de beaucoup plus profond que la souffrance elle-même et quelquefois ne vient même pas dans le rétablissement, parfois tard et aussi pas t'encore...

Certains ne vivent presque pas d’adversités dans leur vie et d'autres sont plongés dans de grandes détresses et angoisses. Dieu exige de certains d'entre nous certaines choses et que pour rencontrer ces exigences nous devons être prêts à ne pas résister à la souffrance. Aussitôt que nous rencontrons des difficultés, un prix difficile à payer, comme plusieurs nous nous retirons et nous abandonnons. Lorsque notre Dieu tel que nous Le concevons permet à une affliction de venir à nous, nous n'avons pas à fuir, à nous en sauver. Est-ce possible ? Nous croyons que la personne souffrant beaucoup dans une grande mesure reçoit aussi toute la grâce de Dieu et celle-ci passe par l’aide d’un frère ou d'une sœur du mouvement qui souffre encore. S'il ou elle souffre réellement mais n’a pas cédé à la souffrance et traverse l’expérience dans la résistance, c'est qu'il ou elle n’a pas tiré les leçons divines de la souffrance. Les leçons de la souffrance ne peuvent être identifiées qu'à travers la souffrance elle-même.

Dieu est présent dans toutes les circonstances, même dans les creux et les bas-fonds et Il nous place dans des contextes qui font ressortir le meilleur de chacun de nous. Même si certains moments de croissance peuvent nous apparaître pénibles, et que nous nous sentons parfois comme une cheville carrée dans un trou rond, la vie nous rappelle que nous avons quelquefois ce rôle à jouer dans le grand plan de Dieu et que les résistances et souffrances en font aussi vraiment partie. Dieu tel que nous Le concevons nous place dans l'entourage de personnes tout aussi toxiques que certaines substances ou comportements qui font ressortir le meilleur de chacun d'entre nous. Dieu nous place aussi dans l'entourage d'anges, des personnes aimantes et généreuses capables de nous écouter et nous partager leur propre vécu et amour.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Durant tout le temps où j'ai fait ma Quatrième Étape (l'inventaire moral, sérieux et courageux de moi-même), j'ai éprouvé une exaspérante impression de ne pas bien la faire. Avec l'aide de ma Puissance Supérieure, j'ai finalement constaté que le problème, ce n'était pas que j'avais mal fait ma Quatrième Étape, c'était que je ressentais le même sentiment d'incompétence concernant toute ma vie. Quoi que je fasse, j'ai tendance à croire que je le fais mal, que même si je fais de mon mieux, ce n'est jamais assez bien. Et ce n'est tout simplement pas vrai. J'agis comme il faut.
La prise de conscience que j'ai faite dans ma Quatrième Étape place le doute sur moi-même dans sa véritable perspective. Ce doute n'est qu'une conséquence des années passées auprès de buveurs problèmes. Alors, quand ce sentiment se manifeste, je le reconnais, j'en parle, j'accepte de l'éprouver et ensuite, je cesse de m'en faire à ce sujet. Je ne présume plus qu'il a quelque importance.

Pensée du jour
La Quatrième Étape m'offre une occasion de trouver un certain équilibre. Elle m'aide à identifier les choses que je me suis racontées à mon sujet et à savoir si oui ou non ces choses sont vraies. Aujourd'hui, je prendrai une des suppositions que j'entretiens envers moi-même et je la mettrai en pleine lumière. Je trouverai peut-être qu'elle provient de l'habitude plutôt que de la réalité.

« Que je sois conscient... que le doute et la haine de soi sont des défauts de caractère qui entravent ma croissance. » Un dilemme : le mariage avec un alcoolique

Al-Anon, Le Courage de Changer, 11 septembre, page 255

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J'en suis venue à voir mon rétablissement sous la forme d'un triangle dont le sommet est occupé par ma Puissance Supérieure. Sous ma Puissance Supérieure se trouvent les outils fondamentaux et essentiels du programme Al-Anon — les Étapes, les Traditions, les Concepts de service, les slogans, les réunions, le service, le parrainage, et la documentation approuvée par la Conférence. Ensuite il y a moi, avec mon bien-être au plan physique, émotif et spirituel. Mon emploi, ma famille, mes amis et mes passe-temps sont à la base du triangle.
Tant que je garde les choses dans cet ordre, en me concentrant sur le sommet occupé par ma Puissance Supérieure, tout marche sereinement, et même joyeusement. Dieu me donne de la force, de la sagesse, et des conseils, qui me parviennent par l'entremise du programme Al-Anon. Avec l'aide d'Al-Anon et de ma Puissance Supérieure, j'obtiens ce qui est nécessaire pour maintenir une vie saine et équilibrée, et je m'occupe honorablement de mes divers besoins. Quand j'ai pris soin de ces choses, j'utilise le temps et l'énergie qui me restent pour m'occuper de mon travail, de ma famille, de mes amis, et de mes passe-temps. C'est ainsi que je place « les principes au-dessus des personnalités » et que je pratique « L’essentiel d'abord ».
Si je place quelqu'un ou quelque chose d'autre au sommet du triangle de mon rétablissement — comme mon inquiétude pour une personne alcoolique qui m'est chère — ma vie devient incontrôlable. Je ne peux pas faire d'une chose, d'une situation ou d'une autre personne ma Puissance Supérieure sans en ressentir les effets dans tous les domaines de ma vie. Un tel substitut ne peut tout simplement pas me soutenir. Souvent, quand ma vie devient incontrôlable, je n'ai qu'à me demander : « Qui ou qu'est-ce qui est au sommet de mon triangle ? »

Pensée du jour
Ma vie est-elle bien équilibrée aujourd'hui ?

« Le programme m'a aidé à bien définir mes priorités. » Alateen - un jour à la fois, page 222

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 11 septembre, page 255

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Réparer ses torts

Par-dessus tout, nous devrions faire l'effort de nous assurer, au-delà de tout doute, que nous n'obéissons pas à la peur en retardant notre démarche. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 99

Le courage, la victoire sur la peur sont des cadeaux de mon rétablissement. Ils me rendent capable de demander de l'aide et d'aller de l'avant dans la réparation de mes torts, avec dignité et humilité. Réparer mes torts demande peut-être un certain degré d'honnêteté mais si j'en manque, je peux compter sur l'aide de Dieu et la sagesse des autres pour rentrer en moi-même et trouver la force d'agir. On peut accepter ou ne pas accepter mes excuses, mais après les avoir faites, je peux marcher en toute liberté sachant qu'aujourd'hui, je suis responsable.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 11 septembre, page 263

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La satisfaction d'une vie droite

Combien il est merveilleux de sentir que pour être utiles et profondément heureux, nous n'avons pas tellement besoin de nous distinguer des autres. Il y en a peu parmi nous qui peuvent être des leaders très en vue, et ce n'est d'ailleurs pas ce que nous voulons devenir.

Rendre service aux autres avec joie, remplir fidèlement nos obligations, bien accepter nos problèmes ou les résoudre avec l’aide de Dieu, savoir qu'avec les autres, à la maison ou à l'extérieur, nous sommes associés dans un commun effort, bien comprendre qu'aux yeux de Dieu, chaque être humain a son importance, détenir la preuve qu'on est toujours pleinement payé de retour pour un amour librement consenti, garder la certitude que nous ne sommes plus seuls ni enfermés dans une prison que nous aurions nous-mêmes érigée, conserver l'assurance de n'être plus une cheville carrée dans un trou rond, mais de jouer un rôle dans le grand plan de Dieu et d'en faire vraiment partie — telles sont les satisfactions permanentes et légitimes d'une voie droite, satisfactions que ne sauraient compenser ni les plus grands apparats ni les plus grandes accumulations de biens matériels. Les 12 Étapes et les 12 Traditions, pages 142-143

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 254

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11 septembre - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Continuons à répondre à la question : « Comment peut-on vivre sans alcool et être heureux ? » — « Nous disons au nouveau venu qu’il sera uni aux autres A.A. par des liens nouveaux et merveilleux, car ensemble ils échapperont au désastre et commenceront côte à côte leur voyage vers une vie meilleure et plus satisfaisante. Il va apprendre ce que veut dire donner quelque chose de soi-même et pour que les autres puissent survivre et redécouvrir la vie. Il redeviendra heureux, respecté et utile. Puisqu'il en a été ainsi pour nous, il peut en être de même pour lui ». En a-t-il été ainsi pour moi ?

Méditation du jour
Dieu se manifeste Lui-même dans les vies humaines comme force pour surmonter le mal et comme puissance pour résister à la tentation. La grâce de Dieu est cette puissance qui rend un être humain, qui se sentait inutile et désespéré, capable de devenir une personne normale et utile. Dieu se manifeste aussi comme amour — amour de notre prochain, compassion pour ses problèmes et bonne volonté authentique de les aider. La grâce de Dieu se manifeste également en tant que paix d'esprit et sérénité de caractère. Nous pouvons obtenir en abondance dans nos vies la puissance, l'amour et la sérénité, si nous voulons bien les demander à Dieu chaque jour.

Prière du jour
Je demande de découvrir la grâce de Dieu dans la force que je reçois, l'amour que je connais et la paix que j'ai en moi. Je demande d'être reconnaissant pour tout ce que j'ai reçu par la grâce de Dieu.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 257

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PENSÉE DU JOUR
Apprendre à s'aimer soi-même est probablement notre plus grande tâche. Pour plusieurs d'entre nous, prendre réellement soin de soi et accepter d'être vulnérable demandent beaucoup de temps. Nous combattons si souvent la limite de nos déficiences, de nos peurs, de notre culpabilité et de notre honte. Nous nous disons : « Je ne serai jamais accepté si je lui dis ceci... Je m'accepterai quand... » Nous ne pouvons pas remettre notre acceptation de nous-mêmes tant que nous n'aurons pas satisfait nos propres critères. Ce moment-là ne se produira probablement jamais. Nous devons nous accepter nous-mêmes dès maintenant avec nos faiblesses. Nos faiblesses, quand nous y faisons face, nous mènent vers une force inexploitée. De plus, nous ne pourrons jamais obtenir l'acceptation de quelqu'un d'autre tant que nous ne risquerons pas d'être vulnérables.

MÉDITATION DU JOUR
Aujourd'hui avec ton aide, je m'accepte tel que je suis.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
L'acceptation et l'amour vont de pair. Parce que je suis aimable, je peux aimer quelqu'un et je peux accepter l'amour.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 11 septembre

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Plier avec le vent

« Nous apprenons à perdre notre rigidité d'esprit. Au fur et à mesure que de nouvelles choses nous sont révélées, nous nous sentons renouvelés. » Texte de base, page 126

Le mot « souplesse » ne faisait pas partie de notre vocabulaire du temps de notre consommation. Nous étions devenus obsédés par le plaisir cru de notre drogue et nous étions endurcis à tous les plaisirs plus doux, plus subtils et infiniment plus variés du monde qui nous entoure. Notre maladie avait transformé la vie elle-même en une menace constante d'emprisonnement, d'internement et de mort, menace face à laquelle nous nous endurcissions de plus en plus. Au bout du compte, nous sommes devenus fragiles. Il aura fallu le moindre souffle du vent de la vie pour que nous nous effondrions enfin, brisés, vaincus, sans autre choix que celui de capituler.
Mais, la suprême ironie du rétablissement est que, en capitulant, nous avons trouvé la souplesse perdue au cours de notre dépendance active, souplesse dont l'absence nous avait justement menés à la défaite. Nous avons retrouvé la capacité de ployer sous la brise de la vie, sans être rompus. Lorsque le vent soufflait sur nous, nous sentions sa douce caresse sur notre peau, alors qu'autrefois nous nous serions raidis comme sous la première bourrasque d'une tempête.
Les vents de la vie soufflent sur nous un air nouveau à chaque instant, accompagné de parfums et de plaisirs, inédits et variés, aux différences subtiles. En ployant avec le vent de la vie, nous ressentons, nous entendons, nous touchons et nous goûtons tout ce qu'elle a à nous offrir. Et tandis que ce vent souffle, nous sommes régénérés.

Juste pour aujourd'hui, Puissance supérieure, aide-moi à ployer au gré du vent de la vie et à glorifier son passage. Libère-moi de ma rigidité.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 11 septembre, page 267

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Demain il sera trop tard. Vis aujourd'hui. Martial

Même une « tête bien faite » ne peut rien contre les dérèglements de la compulsion alimentaire. Si les OA n'étaient pas venus me chercher, j'en serais encore à dire « demain » même si j'ai eu mille fois la preuve que demain n'est qu'une chimère et que je n'ai qu'aujourd'hui pour sauver ma vie.
Je m'abstiens de manger compulsivement aujourd'hui, parce que c'est ma vie d'aujourd'hui que je vis. Je ne sais pas si je peux briser l'abstinence que j'ai présentement et dire « Je serai sobre demain », mais je sais que je n'ai absolument aucune envie d'essayer.

Pensée du jour : Ce que j'ai envie de faire, je vais le commencer aujourd'hui. Demain, ça sera trop tard.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 255

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« Tout ce que nous cherchons par la Onzième Étape, c'est intensifier notre contact conscient avec Dieu. Alors, pour nous, prier, c'est simplement parler à notre Puissance supérieure ; méditer n’est rien d'autre que de faire taire nos pensées pour devenir réceptifs à la volonté de Dieu pour nous. « Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 109

Avant de connaître les OA, je ne croyais pas à la prière. Pour moi, prier était quelque chose que faisaient les héros afin de devenir des saints. Je croyais que la prière appartenait aux âmes vertueuses de ce monde et que la méditation était réservée aux moines tibétains. Ni l'une ni l'autre ne semblait donc appropriée aux gens ordinaires comme moi.
Puis, un jour, j'ai reçu un cadeau de l'univers qui m'est arrivé de façon aussi inattendue qu'une averse de printemps. J'ai établi un véritable lien entre la demande que j'ai faite par la prière et la grâce que j'ai reçue en retour. J'ai fini par accepter l'idée que « rien, absolument rien » n'est vide de sens ou sans raison d'être.
C’était là un cadeau tout simple ; j'ai demandé quelque chose et je l’ai reçu. Soudain, la porte de la foi s'est ouverte assez grand pour que je concède que Dieu existe et qu'Il me place dans les contextes qui font ressortir le meilleur de moi-même. Dieu merci pour les OA.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 11 septembre, page 255

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Pensée du jour
Continuons à répondre à la question : « Comment peut-on vivre sans le jeu et être heureux ? » - « Nous disons au nouveau venu qu'il sera uni aux autres J.A. par des liens nouveaux et merveilleux, car ensemble ils échapperont au désastre et commenceront côte à côte leur voyage vers une vie meilleure et plus satisfaisante. Il apprendra ce que veut dire donner quelque chose de soi-même pour que les autres puissent survivre et redécouvrir la vie. Il redeviendra heureux, respecté et utile. Puisqu'il en a été ainsi pour nous, il peut en être de même pour lui.» En a-t-il été ainsi pour moi ?

Méditation du jour
Dieu se manifeste Lui-même dans la vie humaine comme force pour surmonter le mal et comme puissance pour résister à la tentation. La Grâce de Dieu est cette puissance qui rend un être humain, qui se sentait inutile et désespéré, capable de devenir une personne normale et utile. Elle se manifeste aussi comme amour — amour pour notre prochain, compassion pour ses problèmes et volonté de l'aider. La Grâce de Dieu se manifeste également en tant que paix d'esprit et sérénité de caractère. Nous pouvons obtenir en abondance dans notre vie la puissance, l'amour et la sérénité si nous voulons bien les demander à notre Puissance Supérieure à chaque jour.

Prière du jour
Je demande de découvrir la Grâce de Dieu dans la force que je reçois, l'amour que je connais et la paix que j'ai en moi. Je demande d'être reconnaissant pour tout ce que j'ai reçu par Sa Grâce.

Joueurs Anonymes, 11 septembre

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11 septembre

Tant que tu ne commences pas à mettre en pratique ce que tu apprends, tu ne sais pas si cela marche ou non pour toi. Cela peut marcher pour d'autres, mais qu'en est-il pour toi ? Souviens toi, tu ne peux pas plonger dans les expériences spirituelles intérieures profondes de quelqu'un d'autre. Cela aide de lire, d'apprendre des choses à leur sujet, et même d'en entendre parler et d'en parler. Mais il dépend de toi de les vivre et de les mettre en pratique dans ta propre vie si tu désires vivre par l'Esprit, vivre par la foi. Personne ne peut te faire vivre cette vie. Chaque âme est absolument libre de faire son propre choix. Qu'as-tu choisi de faire ? Simplement t'installer confortablement et passer le reste de ta vie à écouter les expériences des autres ? Ou bien, vas-tu commencer dès maintenant à vivre une vie totalement consacrée à Moi, mettant en pratique toute ces merveilleuses leçons que tu as apprises, et pour voir comment elles marchent effectivement ?

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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