Pensées 10 octobre 2019

Bonjour à toutes et à tous

'Le plaisir se ramasse. La joie se cueille et le bonheur se cultive.' (Bouddha) Les scientifiques soulignent que les aliments sont des activateurs très puissants des centres du plaisir. Selon certaines études, lors d’un bon repas la stimulation du système hormonal responsable de la production de dopamine est proche de celle d’un orgasme ! Et c’est ce même système qui est activé lors de la consommation de drogues. Cette similitude fait pencher la balance du coté de l’addiction envers les mets riches à la fois en sucre et en graisses, et donc des fast-foods. À ce titre, le chocolat avait d’ailleurs lui aussi été soupçonné de provoquer des dépendances. Il n’existe effectivement aucune preuve réelle de cette action si ce n’est dans les partages de « chipooliques », de« chocooliques » ou d’outremangeurs compulsifs, dont plusieurs sont accros au salé, au sucre et au chocolat.

Selon l’Institut canadien du sucre, la consommation moyenne en sucre représente de 10 à 12% de l’apport en calories. Parce que les gens sont habitués à manger des collations sucrées, les compagnies alimentaires rendent leurs produits encore plus sucrés pour répondre à la demande élevée d’un public affamé de sucre. Et, pour certains, cela devient un cercle vicieux. Une drogue ! 40% des femmes et 15% des hommes souffriraient par conséquent de « chocoolisme », des termes forgés sur « alcoolique » et « alcoolisme » pour décrire la dépendance au chocolat. Pour trois de ces personnes sur quatre, aucun autre produit ou aliment ne peut assouvir ce désir impérieux ou ce « craving ». De plus, nombre de chocooliques consomment du chocolat en cachette ou ont développé une forme de boulimie ou de compulsion alimentaire.

Sauf pour les chocooliques, le chocolat semble avoir des effets positifs contre les états dépressifs. Selon Michel Montignac, décédé depuis déjà plusieurs années, la consommation de chocolat noir (c’est lui qui a inventé la règle du 70 % sans aucune recherche clinique) limite aussi les risques de crise cardiaque (sauf pour certains outremangeurs compulsifs pour qui c’est un aliment qui déclenche des frénésies et des brosses alimentaires). Ce qu’il faut savoir, c’est que pour un outremangeur ou pour un alcoolique de tels problèmes comme la rigidification de ses artères et le risque d’infarctus sont déjà bien présents dans sa vie qui est déjà remplie de toutes sortes de tracas, d'ennuis et de désœuvrements. Attention ! Il est impossible pour un outremangeur ou pour un alcoolique de se livrer à « son péché mignon » car la consommation excessive de ces substances toxiques pour lui entraîne des conséquences néfastes et nuisibles pour son cœur, son foie et tous les organes de son corps, et aussi pour sa famille et son entourage. Comme le soulignent des médecins émérites et des universitaires aux curriculum imposants : « Manger un petit morceau de chocolat ou boire un petit verre de vin rouge dans le cadre d’un régime alimentaire quotidien est probablement bon pour la santé… » à quoi il faudrait ajouter « sauf si la dépendance est déjà installée alors l’abstinence a bien meilleur goût ».

Dans Vivre… sans alcool pages 25-26, il est recommandé qu’ ’à la prochaine tentation de boire, il serait prudent de manger un peu ou de prendre un breuvage sucré.’ Dans le Gros Livre au chapitre 9 La famille et le rétablissement page 151, il est dit que pour l’alcoolique manger des friandises pouvait l’aider pour calmer les occasionnelles fringales à condition bien sûr que le médecin de ce dernier soit d’accord. Parce que nous sommes incapables de nous discipliner et de nous contrôler en ce qui a trait à la nourriture et/ou à l'alcool ( le jeu, la dépense, le sexe, etc.) et à tous les comportements compulsifs qui entourent ces dépendances, nous nous devons de dépendre d'une force, d'une Puissance plus grande que la nôtre. C'est notre guide dans notre cheminement. Nous cherchons à garder un contact conscient avec ce Dieu tel que nous le concevons qui assume notre gouverne. Il nous invite à partager notre expérience, notre force et notre espoir avec ceux et celles qui souffrent de la même maladie que nous. Merci chère Puissance supérieure de nous aider à connaître ce qu'il y a de bien et de bon pour nous et à distinguer ce qui est suffisant de ce qui est superflu, qu'il s'agisse de nourriture ou d'autre chose. Merci pour tous ces cadeaux que Vous nous offrez.

Merci la Vie !!!
Gilles

------------------------------------------------

Le chemin menant à ma ville natale serpentait une colline abrupte. Quand j'étais enfant, j'avais souvent peur que notre voiture ne prenne mal un virage et ne passe par-dessus le parapet. J'avais l'habitude de m'agripper à la poignée de la portière arrière pour essayer de prévenir cet accident. J'étais trop jeune pour comprendre que mon geste ne pouvait influencer la trajectoire de la voiture. Il m'arrive encore souvent d'avoir une approche semblable devant mes peurs d'adulte et de continuer à poser des gestes futiles.
Al-Anon m'aide à accepter ce que je ne peux changer et à changer ce que je peux. Même si je ne peux pas contrôler la façon dont l'alcoolisme a affecté ma vie, que je ne peux pas contrôler une autre personne et faire en sorte que ma vie se déroule selon mes plans, je peux admettre mon impuissance et me tourner vers ma Puissance Supérieure pour obtenir de l'aide.
Quand je suis au volant, j'ai la responsabilité de me tenir à distance raisonnable du bord de la route. Il n'en tient qu'à moi de prendre mon rétablissement au sérieux, de rectifier mon attitude, de prendre soin de mon esprit, de mon corps et de mon âme, de faire amende honorable quand j'ai causé du tort — bref, de changer les choses que je peux.

Pensée du jour
Parfois la seule façon pour moi de déterminer ce que je dois accepter et ce que je dois changer, c'est de faire des essais. Les erreurs peuvent être des occasions d'acquérir la sagesse d'en connaître la différence.

« Et si une situation de crise surgit, ou qu'un problème me déroute, je l'examine à la lumière de la Prière de Sérénité et j'en extrais l'aiguillon avant qu'il ne me blesse. » Al-Anon un jour à la fois

Al-Anon, Le Courage de Changer, 10 octobre, page 284

------------------------------------------------

Je dois parfois mettre en pratique la Première Étape à l'envers. Je ne reconnais par toujours mon impuissance, mais je peux certainement remarquer que ma vie devient incontrôlable. Je me souviens alors que lorsque je perds la raison, j'oublie habituellement que je suis impuissant et j'essaie de contrôler les gens ou les résultats.
Ma vie se détériore rapidement quand je cède aux désirs de mon ego et que je tente aveuglément de changer une personne ou une chose sur lesquelles je n'exerce aucun contrôle — autrement dit, quand j'essaie d'imposer ma volonté. Il m'arrive aussi de m'entêter et de dépenser énormément de temps et d'énergie pour y parvenir. Le résultat inévitable, c'est la douleur, la frustration, et l'échec complet. Même si je reconnais mon impuissance, je continue de souffrir tant que je ne l'ai pas acceptée.
Par contre, lorsque j'accepte mon impuissance et que je me soumets à la volonté de ma Puissance Supérieure, j'obtiens une certaine mesure de sérénité et d'humilité. Je deviens spirituellement enseignable. J'aimerais pouvoir dire que je reconnais et que j'accepte toujours mon impuissance. Si seulement je demandais conseil à ma Puissance Supérieure, Lui laissant jouer Son rôle tandis que je joue le mien, pour continuer à partir de là. Souvent, cela se produit effectivement, mais je suis humain. Je dois parfois me débattre devant quelqu'un ou quelque chose avant d'être de nouveau prêt à abandonner et à accepter la réalité. Mon rétablissement concerne le progrès, non la perfection. Chaque fois que je m'exerce à accepter mon impuissance, cela se rapproche un peu plus d'un réflexe spontané. La bonne nouvelle, c'est que l'abandon et l'acceptation me permettent de me libérer de ma souffrance.

Pensée du jour Ce ne sont pas l'abandon et l'acceptation qui font mal. C'est la résistance.

« Je peux m'agripper à ma volonté jusqu'à ce que la situation devienne si pénible que je sois forcé de me soumettre ou je peux mettre mon énergie là où elle peut me faire un peu de bien immédiatement et m'abandonner aux soins de ma Puissance Supérieure. » Le Courage de changer, page 269

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 10 octobre, page 284

------------------------------------------------

Guéris-toi, toi-même

Si quelqu'un nous offense et que nous en sommes aigris, là aussi, nous sommes en faute. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 102

Quelle liberté j'ai ressentie quand on m'a fait lire ce passage ! J'ai vu tout à coup qu'il m'était possible d'agir sur ma colère ; plutôt que d'essayer de corriger l'autre, je pouvais me corriger, moi. Je crois que ce principe ne souffre aucune exception. Quand je suis furieux, ma colère est toujours égocentrique. Je dois me rappeler que je ne suis qu'un être humain et que je fais de mon mieux, même si c'est parfois très peu. Je prie Dieu pour qu'il me délivre de ma colère et fasse de moi un être libre.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 10 octobre, page 292

------------------------------------------------

« Impuissant devant l'alcool »

J'avais régulièrement descendu la pente et, en ce jour de 1934, je me trouvais à l'étage de l'hôpital, réalisant pour la première fois que mon état ne laissait aucun espoir.
Lois, mon épouse, se trouvait en bas où le Dr Silkworth s'efforçait, avec sa gentillesse coutumière, de lui expliquer la nature de ma maladie et son peu d'espoir de me guérir. « Mais Bill a une très forte volonté », dit-elle. « Il a désespérément essayé de se rétablir. Nous avons tout essayé. Docteur, pourquoi ne peut-il pas arrêter ? » Il lui a expliqué que ma façon de boire, d'abord une habitude, était devenue une obsession, une vraie démence qui me condamnait à boire contre ma volonté.

« Aux derniers stades de notre alcoolisme, la volonté de résister a fui. Néanmoins, lorsque nous admettons notre défaite totale et lorsque nous devenons entièrement disposés à faire l'essai des principes des AA, notre obsession nous quitte et nous découvrons une nouvelle dimension : la liberté entre les mains de Dieu tel que nous le concevons. »

1. Le mouvement des AA devient adulte, page 64
2. Lettre, 1966

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 283

------------------------------------------------

10 octobre - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Lorsqu'un nouveau membre arrive dans un groupe A.A., est-ce que je fais un effort spécial pour qu'il se sente chez lui ? Est-ce que je m'oublie moi-même pour l'écouter, même si ses idées concernant les A.A. sont très vagues ? Est-ce que je me fais un devoir de parler moi-même à chaque nouveau membre, ou est-ce que je laisse à d'autres le soin de le faire ? Je ne peux peut-être pas l'aider, mais il se peut aussi que, dans ce que je lui dirai, il se trouve un mot qui le mette sur la bonne voie. Lorsque je vois un membre assis à l'écart, est-ce que je fais un effort pour être aimable envers lui ; ou bien est-ce que je reste parmi mon groupe d'amis sans me soucier de lui ? Est-ce que j'accepte ma responsabilité au sujet de tous les nouveaux membres A.A. ?

Méditation du jour
Vous êtes le serviteur de Dieu. Servez-Le avec joie et empressement. Personne n'aime un serviteur qui évite le travail supplémentaire, qui se plaint lorsqu'il est appelé à laisser là un travail déjà commencé pour en faire un autre moins agréable. Un maître se croirait mal servi par un tel serviteur. Mais n'est-ce pas de cette manière que vous servez souvent Dieu ? Examinez votre journée sous cet aspect. Essayez d'accomplir le travail de votre journée comme vous croyez que Dieu veut que vous le fassiez, sans jamais vous soustraire à aucune responsabilité et souvent en oubliant votre confort personnel pour rendre service.

Prière du jour
Je demande d'être un bon serviteur. Je demande de vouloir m'oublier moi-même pour rendre service.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 286

------------------------------------------------

PENSÉE DU JOUR
Je demande souvent à ma Puissance supérieure de m'aider à connaître ce qu'il y a de mieux pour moi. Souvent, j'entends ma Puissance supérieure me répondre, et je sais, dans mon cœur, que c'est ce qu'il y a de mieux, pourtant je ne fais rien. Je me punis alors moi-même parce que j'ai demandé et j'ai reçu sans passer aux actes. En fait, la connaissance de ce qui est le mieux pour moi me cause souvent une grande anxiété et ma peur cache ce que je sais. La connaissance m'a été donnée, mais j'ai oublié de demander aussi le courage. La connaissance est un cadeau merveilleux mais j'accomplis peu si je n'ai pas le courage d'agir.

MÉDITATION DU JOUR
Je demande à ma Puissance supérieure de m'accorder non seulement la connaissance mais aussi le courage.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je demande de recevoir tous les cadeaux que m'offre ma Puissance supérieure.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 10 octobre

------------------------------------------------

Les conséquences

« Avant que nous soyons abstinents, la plupart de nos décisions étaient prises impulsivement. Aujourd'hui, nous ne sommes plus prisonniers de ce type de comportement. » Texte de base, page 110

Avez-vous déjà été tentés de faire quelque chose même quand vous saviez que le résultat serait désastreux ? Avez-vous déjà pensé à la souffrance causée par ce que vous étiez tentés de faire, pour ensuite le faire quand même ?
On dit que chaque acte a ses conséquences. Avant de devenir abstinents, plusieurs d'entre nous ne le croyaient tout simplement pas. Mais, à présent, nous savons exactement ce que cela veut dire. Quand nous agissons, nous savons qu'il y aura un prix à payer. Nous ne pouvons plus décider de faire quelque chose et plaider l'ignorance, alors que nous savons très bien que nous n'en apprécierons pas les conséquences.
Il y a un prix qui se gagne et un prix qui se paie. Nous avons le droit d'agir en dépit des conséquences, si nous sommes prêts à en payer le prix, mais il y a toujours un prix à payer.

Juste pour aujourd'hui, je penserai aux conséquences de mes actes avant d'agir.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 10 octobre, page 298

------------------------------------------------

On ne sait jamais ce qui est assez avant d'avoir connu ce qui est trop. William Blake

J'ai eu mes leçons en matière d'excès. Manger plus que nécessaire pour satisfaire des besoins émotifs est devenu une compulsion — une maladie puissante, déroutante, sournoise et incurable.
Désormais, je trouve un grand réconfort à reconnaître et à accepter mes limites comme lorsque je dis : « Oui, j'ai assez mangé aujourd'hui. » Parce que je suis incapable de me discipliner en ce qui a trait à la nourriture, je m'en remets à une Puissance plus grande que la mienne ; c'est elle qui me guide. Pour bénéficier de ce secours divin, je garde un contact conscient avec Dieu tel que je le conçois et je partage mon expérience avec ceux qui souffrent du même mal que moi.

Pensée du jour : Grâce à la prière, à la méditation et à l'échange avec d'autres outremangeurs compulsifs, je suis capable de distinguer ce qui est suffisant de ce qui est superflu, qu'il s'agisse de nourriture ou d'autre chose.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 284

------------------------------------------------

« Chez nous, les membres donnent beaucoup de leur temps pour leurs camarades (...) » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 199

Dans mes groupes d'attache, j'ai remarqué que les membres qui restent en rétablissement sont ceux qui continuent de servir. Grâce au service, je peux me pratiquer à me libérer des chaînes de l'égoïsme et j'obtiens cette libération en me concentrant sur des choses extérieures à moi. Chaque fois que j'écoute attentivement le partage d'un autre membre, je brise l'une des chaînes qui me rattachent à moi-même. Chaque fois que j'assiste à une réunion d'affaires et que je tente de trouver des idées qui favorisent OA dans son ensemble au lieu de servir mes propres intérêts, je brise un autre de ces liens. Chaque fois que j'écoute un membre OA et que je l'encourage dans son rétablissement, je me libère de moi-même.
Chaque fois que je sers sans compter mes heures ni souhaiter une récompense, je fais l'expérience de la liberté, de l'amitié, de la joie et du rétablissement dans l'abstinence.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 10 octobre, page 284

------------------------------------------------

Pensée du jour
Lorsqu'un nouveau membre arrive, est-ce que je fais un effort spécial pour qu'il se sente à l'aise ? Est-ce que je m'oublie pour l'écouter, même si ses idées concernant J.A. sont très vagues ou ne concordent pas avec les miennes ? Est-ce que je me fais un devoir de parler à chaque nouveau membre ou est-ce que je laisse à d'autres le soin de le faire ? Je ne peux peut-être pas l'aider, mais il se peut aussi que, dans ce que je lui dirai, il se trouve un mot qui le mette sur la bonne voie. Lorsque je vois un membre assis à l'écart, est-ce que je fais un effort pour lui parler, ou bien, est-ce que je reste parmi mon groupe d'amis sans me sou­cier de lui ? Est-ce que j'accepte ma responsabilité au sujet de tous les nouveaux membres J.A. ?

Méditation du jour
Vous êtes le serviteur de Dieu. Servez-Le avec joie et empressement. Personne n'aime un serviteur qui évite le travail supplémentaire, qui se plaint lorsqu'il est appelé à laisser là un travail déjà commencé pour en faire un autre plus urgent. Un maître se croirait mal servi par un tel serviteur, mais n'est-ce pas de cette manière que vous servez souvent Dieu ? Examinez votre journée sous cet aspect. Essayez d'accomplir votre tra­vail comme vous croyez que Dieu veut que vous le fassiez, sans vous soustraire à vos responsabilités et en oubliant votre confort personnel. Rendez service avec amour.

Prière du jour
Je demande d'être un bon serviteur et de m'oublier moi-même pour rendre service.

Joueurs Anonymes, 10 octobre

------------------------------------------------

10 octobre

Ce qui est au fond de toi se reflète à l'extérieur. Quand il y aura ordre, harmonie, beauté et paix en toi, cela se reflètera dans tout ce que tu fais, dis et penses. Tandis que s'il y a confusion, désordre et disharmonie en toi, cela ne peut être caché et cela se reflètera dans toute ta vie et ta façon de vivre. Lorsque le changement se produit, il doit venir de l'intérieur et aller vers l'extérieur. De cette manière, il sera durable, et rien ne pourra le déséquilibrer.
Ne t'installe pas confortablement en comptant que ta vie change, mais mets-toi au travail et fais quelque chose en ce sens. Tu peux commencer dès maintenant en travaillant sur ton propre état intérieur. Tu n'as pas à attendre que quelqu'un d'autre change ; tu peux effectuer ton propre changement sans plus attendre. Rends grâce constamment de ce qu'il te soit possible de faire quelque chose pour cela sans que rien ne t'arrête. Si quelque chose t'arrête, c'est en toi ; tu es donc la personne qui peut y remédier.

La Petite Voix, Eileen Caddy

------------------------------------------------

Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

------------------------------------------------

10 octobre palisir joie bonheur Bouddha.jpg