Pensées 09 Février 2024

Bonjour à toutes et à tous

« Je ne cherche pas à connaître les réponses. Je cherche à comprendre les questions. ( Confucius ) » Dressons ensemble notre profil avec ces questions sans regarder les exemples si ça nous est possible :

Si nous sommes une boisson, que sommes-nous ?
- ex. : De l’eau, car elle est pure et vitale et peut être pétillante. Si nous sommes un moment de la journée, ... lequel ?
- ex. : Le matin, tout chante le matin. — ou bien le crépuscule, sous les feux du soleil couchant Si nous sommes un chanteur, ... lequel ?
- ex. : Un ténor ou un 'chrooner' comme Normand L'amour. Si nous sommes un roman, ... lequel ?
- ex. : Un roman, une biographie — Celle de notre héros — La nôtre car c’est la réalité que nous sommes en train de vivre. Si nous sommes un lieu, ... où ?
- ex. : Un carrefour giratoire, puisque ça nous mène où nous devons aller, même si nous avons un moment l'impression de tourner en rond. Si nous sommes un bruit, ... lequel ?
- ex. : La note « do », c'est là que tout commence et tout finit. Si nous sommes un élément, ... lequel ?
- ex. : La terre, car c’est là que réside notre ancrage à la réalité. C'est souvent un bon milieu pour la croissance quand on a les deux pieds dessus. Si nous sommes une heure du jour, ... laquelle ?
- ex. : Le moment présent, le seul vrai.

Qui a fait l’exercice sans tenir compte des exemples ?

‘La vie est toute simple bien que nous nous évertuions à la rendre compliquée.’ ( Confucius ) Et depuis moins longtemps et plus près de nous, cette citation sur la simplicité : « L’art de vivre pleinement ne consiste pas tant à compliquer les choses simples qu’à simplifier celles qui ne le sont pas. » ( François Hertel, un ex-jésuite anticonformiste. Il a notamment initié Pierre E. Trudeau à la société secrète des Frères Chasseurs et a été son mentor au cours de son adolescence. ) Plusieurs amis qui ne viennent pas tous du Lac répètent souvent à mon contact : ' Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?' Cette phrase a été citée par Jacques Rouxel, le créateur des Shadoks, ces dessins qui sont loin d’être simples.

Dans les groupes d’entraide nous apprenons à ne pas compliquer les choses. Les promesses dans le Gros Livre sont multiples et ne se limitent pas à douze. Nous croyions qu’il y en a quasiment à chaque page du Gros Livre : « Nous connaitrons une nouvelle liberté et un nouveau bonheur . » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. chap.6 À l’Oeuvre, page 94 ) Nous pouvons tous être libres, heureux, en santé, aimables et prospères en confiant notre vie et notre volonté à une Puissance supérieure dès maintenant. Notre premier éveil spirituel est alors souvent la réalisation que la vie, qui avait paru creuse et vide de sens auparavant, est tout à coup pleine de joies et de doux instants présents, les uns après les autres. « Le bonheur est la chose la plus simple, mais beaucoup s'échinent à la transformer en travaux forcés ! » ( François Truffaut ) L’amour est aussi de même, dans le faire plutôt que dans l’être : vivre le moment présent, ressentir de l’intérieur et se plonger dans la détente.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Avant mon arrivée à Al-Anon, il n'y avait rien de simple concernant ma vie. Mon travail était extrêmement stressant, je manquais toujours de temps et mon attention était intensément centrée sur la personne alcoolique, mais je ne me rendais pas compte que j'étais sous tension. À mes débuts dans Al-Anon, j'ai reporté toute mon attention sur le programme. Quand ma négation s'est effritée, j'ai pris conscience que j'étais constamment épuisée. Le thème d'une réunion Al-Anon : Ne pas compliquer les choses, était exactement ce que j'avais besoin d'entendre !
J'ai décidé que ce qui était prioritaire dans ma vie incontrôlable, c'était de me rétablir des conséquences de l'alcoolisme. J'avais des responsabilités et je ne pouvais pas éliminer toute la tension de ma vie, mais j'ai essayé de simplifier ma vie quand c'était possible. Pour moi, cela signifiait de laisser tomber certaines activités sociales, de me tourner temporairement vers un travail moins bien rémunéré mais moins stressant, et de laisser en plan certaines corvées domestiques. Ce n'était pas un changement permanent, c'était seulement un moyen de m'accorder le temps dont j'avais besoin pour améliorer ma santé émotionnelle et spirituelle. Quel soulagement ! Quand j'ai repris mon emploi de temps ordinaire, je comprenais mieux comment « ne pas compliquer les choses » ; par conséquent, j'ai été capable de gérer mon temps plus sereinement.

Pensée du jour
Si je suis débordé, c'est peut-être que j'essaie d'en faire trop. Aujourd'hui, j'essaierai de « ne pas compliquer les choses ».

« La capacité de simplifier signifie d'éliminer l'inutile afin que le nécessaire puisse se révéler. » Hans Hofmann

Al-Anon, Le Courage de Changer, 9 février, page 40

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Jusqu'à tout récemment, je n'avais jamais accordé beaucoup d'attention aux Douze Concepts de service. Il me semblait qu'ils n'avaient rien à voir avec mon rétablissement personnel à moins d'aller travailler au Bureau des Services mondiaux, un scénario que, pour aujourd'hui seulement, je n'envisage pas vraiment. Toutefois, j'ai été tellement impressionnée en lisant certaines pièces de la documentation approuvée par la Conférence au sujet du Neuvième Concept, qui parle d'un bon leadership personnel à tous les niveaux de service, que j'ai décidé d'accorder plus d'attention à ce Concept particulier.
Dans un monde de dirigeants et de suiveurs, je suis définitivement un suiveur, et cela me convient très bien. Le Neuvième Concept me dit que je peux faire preuve de leadership en suivant les suggestions du programme, ce qui peut inspirer les autres à suivre mon exemple. Je me suis posé quelques questions afin de déterminer si je suis un bon exemple de leadership positif : me suis-je engagée à toujours assister à certaines réunions à moins d'être malade ou d'être à l'extérieur de la ville ? Est-ce que j'écoute attentivement quand les autres racontent leur histoire ? Est-ce que je discute des problèmes plus complexes avec ma marraine plutôt que d'en parler à une réunion ? Est-ce que je me porte volontaire pour le travail de service ? Suis-je bien informée, et est-ce que je participe aux réunions de la conscience de groupe ?
J'ai réalisé que je me débrouille assez bien à certains égards. Mais qu'il y a par ailleurs place à amélioration. je suis reconnaissante qu'Al-Anon m'ait rendu plus sensible aux questions concernant le leadership. Le Neuvième Concept m'a montré que je peux être un dirigeant dans le programme même si je ne suis pas à l'aise pour me présenter à une élection pour une fonction. Être fidèle à mon cœur et à ma conscience, faire du travail de service et coopérer avec les autres, ce sont toutes des formes d'un bon leadership.

Pensée du jour
La force de l'exemple passe par moi, même si je préfère suivre plutôt que diriger.

« Chaque membre Al-Anon a le potentiel de devenir un dirigeant. » Les voies du rétablissement, page 301

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 9 février, page 40

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« Le côté spirituel »

« Combien de fois, dans des réunions, n'entendons-nous pas le conférencier déclarer : « Mais il me manque encore l'aspect spirituel. » Pourtant, avant de faire cette affirmation, il a décrit une transformation intérieure miraculeuse, non seulement sa libération de l'alcool mais un changement d'attitude total devant la vie. Pour tous ceux qui l'écoutent, il semble évident qu'il a reçu un grand cadeau, « mais il ne semble pas le savoir. » Nous savons très bien qu'il cherche et que, dans six mois ou un an, il nous dira qu'il a trouvé la foi en Dieu. » Le langage du coeur, pages 289-290

Une expérience spirituelle, ce peut être la réalisation que la vie, qui avait paru creuse et vide de sens, est maintenant pleine de joie et de plénitude. Dans ma vie, la prière et la méditation quotidiennes jointes à la pratique des Douze Étapes, me procurent aujourd'hui la paix intérieure et le sentiment d'appartenance qui me manquaient quand je buvais.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 9 février, page 48

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La réussite matérielle

Aucun membre des AA ne souhaite déprécier le progrès matériel. Il n'est pas non plus dans notre intention d'ouvrir un débat avec tous ceux qui croient encore dur comme fer que le but premier dans la vie consiste à satisfaire ses instincts naturels primaires. Nous sommes certains cependant que, parmi tous ceux qui ont voulu être heureux de cette manière-là, les alcooliques sont ceux qui ont le plus lamentablement échoué. Depuis des milliers d'années nous n'avons cessé de réclamer plus que notre part de sécurité, de prestige et d'affection. Quand il semblait que nous arrivions à nos fins, nous retournions vers l'alcool pour y rêver d'autres rêves encore plus grands. Lorsque nous étions frustrés, ne fut-ce que légèrement, nous buvions encore afin d'oublier.
Dans toutes nos recherches du bonheur, la plupart du temps bien intentionnées, le handicap qui nous paralysait le plus était notre manque d'humilité. Il nous manquait le recul nécessaire pour accorder la priorité à la formation de notre caractère et aux valeurs spirituelles, et pour reconnaître que les satisfactions matérielles ne sont pas le but de la vie.
Les Douze Étapes et les Douze Traditions, pages 79-80

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 40

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9 Février, La citation du jour, AA Grapevine

Vers la réalité New York, New York, Avril 1980
« Le début de la maturité a été de trouver la volonté de tenter de faire face aux réalités de ma propre vie, une journée à la fois, et d’abandonner le rêve puéril de vivre heureux pour le reste de mes jours dans un monde parfait peuplé de gens parfaits. »
Extrait du livre Spiritual Awakenings

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9 février - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Dans le passé, nous avons continué à boire mal­ gré toutes les difficultés que cela nous causait. Nous étions assez fous pour croire, en dépit de tout ce qui nous arrivait, que la boisson pouvait encore nous procurer du plaisir. En entrant dans le mouvement A.A., nous avons découvert qu'il existait un bon nombre de personnes, qui, comme nous, avaient éprouvé du plaisir à boire, mais qui admettaient maintenant que l'alcool ne leur apportait plus que des problèmes. Et lorsque nous avons découvert le même état de choses chez plusieurs autres personnes, nous nous sommes dit que, après tout, nous n'étions peut-être pas des oiseaux d'une espèce tellement rare. Ai-je appris et admis que, pour moi, l'alcool a cessé d'être agréable et ne m'apporte plus que des soucis ?

Méditation du jour
La bouée de sauvetage est celle qui relie l'âme à Dieu. À un bout de cette ligne se trouve notre foi et, à l'autre, la puissance de Dieu. Cette corde peut être forte et aucune âme qui est ainsi rattachée à Dieu ne peut être submergée. Je mettrai ma confiance dans cette ligne de sauvetage et je ne craindrai plus rien. Dieu me préservera de toute mauvaise action ainsi que des soucis et des difficultés de la vie. Je prierai Dieu de me donner Son aide et j'aurai confiance en Son secours quand je serai bouleversé.

Prière du jour
Je demande qu'aucun manque de confiance ou aucune crainte ne me rende déloyal envers Dieu. Je demande de me maintenir fermement rattaché à la ligne de sauvetage de la foi.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 43

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PENSÉE DU JOUR
J'ai des projets secrets, des choses que j'ai envie de faire mais il est certain que la peur m'empêche de les réaliser. Ce peut être la peur de l'échec ou la peur du succès. Je me répète à moi-même : « Je ne suis pas capable ». Dire ou penser : « Je ne suis pas capable », me limite. C'est le temps de commencer à dire : « Je le veux, et avec l'aide de ma Puissance supérieure, je le peux. » Rien n'est impossible avec l'aide de ma Puissance supérieure. Je peux bénéficier avec son aide de toute la force, de toute l'habileté et de toute la confiance dont j'ai besoin. Je peux devenir libre, heureux, en santé, aimable et prospère. Je peux être tout ce pourquoi j'ai été créé.

MÉDITATION DU JOUR
Merci pour toute l'aide que Tu me donnes quand je fais appel à Toi et même quand je ne le fais pas. Rappelle-moi de ne jamais tenir cette aide pour acquise.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Je le veux et je le peux avec ton aide.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 9 février

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L’acceptation de soi-même

« En s'acceptant, (...) nous arrivons, peut-être pour la première fois, à accepter les autres dans notre vie sans conditions. » I.P. No 19-FR, « L’acceptation de soi-même »

Plusieurs d'entre nous n'ont jamais eu de sentiment d'appartenance, du plus loin qu'ils se souviennent. Quelle qu'ait été la taille du rassemblement où nous nous trouvions, nous nous sentions toujours à part des autres. Il était difficile pour nous de nous sentir « à notre place ». Au plus profond de nous, nous étions convaincus que les autres nous rejetteraient si nous les laissions nous connaître. Il est possible que notre dépendance ait commencé à germer dans un tel climat d'égocentrisme.
Plusieurs d'entre nous dissimulaient la blessure de leur aliénation sous une attitude de défiance. En fait, nous disions au monde : « Vous n'avez pas besoin de moi ? Eh bien, je n'ai pas besoin de vous, moi non plus. J'ai ma drogue et je peux me satisfaire moi-même ! » Plus notre dépendance progressait, plus le mur s'élevait autour de nous. Ce mur commence à s'effondrer lorsque nous découvrons que nous sommes acceptés par les autres dépendants en rétablissement. Avec cette acceptation par les autres, nous commençons à apprendre l'important principe de l'acceptation de soi. Et, à mesure que nous apprenons à nous accepter nous-mêmes, nous permettons aux autres de prendre part à notre vie, sans crainte de rejet.

Juste pour aujourd'hui, je suis accepté dans N.A. ; je suis à ma place. Aujourd'hui, il n'y a pas de danger à laisser les autres entrer dans ma vie.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 9 février, page 43

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Nous nous préparons toujours à vivre, mais nous ne vivons jamais. Ralph Waldo Emerson

Faire une liste. Dresser un plan. Comme c'est simple : bientôt, le plan remplace le projet, l'idée remplace l'acte et la vie se transforme en liste. Dans tout cela, où est le plaisir, l'inconnu, le risque, le rire ? Où est l'occasion de côtoyer les autres, de se frayer un chemin à travers la foule, de gambader, de folâtrer, de courir librement ? Ma vie n'est-elle pas trop sûre, trop prévisible ? Pourquoi ne pas confier — sans réserve — ma vie et ma volonté à une Puissance supérieure et voir ce qui arrivera ? Jusqu'à maintenant, Dieu ne m'a-t-il pas toujours donné beaucoup plus que ce que je pouvais espérer ? Aujourd'hui seulement, je vais vivre un petit peu.

Pensée du jour : Je ne me dis plus : « demain », « plus tard » ou « une autre fois ». Je me dis « Allons-y maintenant ». J’agis maintenant, je m’exprime maintenant, je m’engage maintenant. Ce que je peux faire « un de ces jours », je peux le faire aujourd'hui, pour le simple plaisir d'essayer.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 40

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« ( … ) même si nous avons pu nous abstenir de manger compulsivement pendant un bon moment ou que nous sommes arrivés à faire face à nos problèmes, notre compulsion est toujours là. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 3

Même lorsque je suis abstinente, en rétablissement et que je mets les Étapes en pratique, la maladie ne me quitte jamais ; elle ne fait qu'attendre une nouvelle occasion de m'inciter à m'autodétruire. Lorsque je souffre ou que je suis exténuée, je peux toujours avoir recours aux bonnes habitudes issues de l'abstinence et du rétablissement à long terme, mais ce n'est pas assez.
J'ai vu trop de membres OA quitter le Mouvement après des années d'abstinence et faire des rechutes graves accompagnées d'un important gain de poids. Ces membres étaient des outremangeurs compulsifs qui s'étaient pourtant consacrés sérieusement à la pratique du programme et qui avaient pleinement connu la liberté, la joie et la sérénité du rétablissement.
Pourquoi sont-ils tombés en disgrâce ? Parce qu'ils ont une maladie chronique et incurable qui exige une pratique quotidienne du programme et un abandon conscient de soi aux soins de Dieu. Les circonstances de leur vie leur ont fait oublier que l'abstinence devait être leur principale préoccupation.
Ma volonté inébranlable, mon ego et mon déni me ramèneront toujours à des comportements alimentaires autodestructeurs.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 9 février, page 40

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Pensée du jour
Dans le passé, nous avons continué à jouer malgré toutes les difficultés que cela nous apportait. Nous étions assez fous pour croire, en dépit de tout ce qui nous arrivait, que le jeu pouvait encore nous procurer du plaisir. En entrant dans le mouvement J.A., nous avons découvert qu'il existait un bon nombre de personnes qui, comme nous, avaient éprouvé du plaisir à jouer, mais qui admettaient maintenant que le jeu ne leur apportait que des problèmes. Lorsque nous avons découvert le même état d'esprit chez plusieurs autres personnes, nous nous sommes dit qu'après tout, nous n'étions pas seuls dans notre démarche. Ai-je appris et admis que, pour moi, le jeu a cessé d'être agréable et ne m'apporte plus que des soucis ?

Méditation du jour
Il y a une chose qui relie notre âme à Dieu. À un bout se trouve notre foi et à l'autre la Puissance Divine. Ce lien est très solide et les âmes qui y sont rattachées seront sauvées. Je mets ma confiance dans ce lien et ne crains plus. Je suis préservé de tout ce qui est mauvais ainsi que des soucis et des difficultés de la vie. Je prie pour obtenir Son aide et deviens plus confiant lorsque je suis bouleversé par les embûches de la vie.

Prière du jour
Je demande qu'aucun manque de confiance ou aucune crainte ne me rendent déloyal envers Dieu. Je demande de me maintenir fermement rattaché au lien de la foi qui existe entre Lui et moi.

Joueurs Anonymes, 09 février

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9 février

Le nouveau ciel et la nouvelle terre sont ici et maintenant. 
Il s'agit de reconnaître et d'accepter ce qui arrive, et d'élever ta conscience de façon à être pleinement conscient de tout ce qui se passe au-dedans et autour de toi. Si tu ne perçois pas tout, cela ne veut pas dire que cela ne se fait pas. Cela signifie simplement que tu l'as relégué à l'extérieur par ta propre fierté et ton arrogance qui t'ont rendu aveugle aux merveilles tout autour de toi. Donc continue à élever ta conscience. Plus haut tu l'élèves, plus clairement tu peux voir la vérité, et rien ne se met en travers pour en gâcher la pleine vision. Une fois que tu as contemplé la merveille de cette vision, fais-la descendre et vis-la ; qu'elle devienne partie de ta vie de tous les jours. Si une vision n'est pas manifestée dans la forme, elle ne devient pas réalité. Je te dis de contempler Mon nouveau ciel et Ma nouvelle terre manifestés dans la forme maintenant.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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