Pensées 12 février 2019

Bonjour à toutes et à tous

Il y a trois choses qui sont nécessaires pour être abstinent et le rester d’après Debbie D. : une date de sobriété ( sinon nous sommes encore actifs, enfoncés dans notre dépendance ), un groupe d’appartenance ( pour nous apercevoir que nous sommes comme les autres, que nous sommes aimables et pour y entendre ce que notre Ps veut bien nous transmettre ) et un parrain ou une marraine ( pour être écouté et pour nous révéler ). La pratique du parrainage est une approche souvent informelle et nous sommes habitués aujourd’hui de suggérer au nouveau qui se joint à notre groupe de se trouver rapidement un parrain — pour ne plus être ou nous sentir seul avec cette maladie. En novembre 1934, Ebby T., un vieil ami et un compagnon de beuverie de Bill W., est allé lui rendre visite à l'hôpital — abstinent pour la première fois au souvenir de Bill, Ebby voulait ardemment parler de son nouveau mode de vie. Comme la plupart le savent, il a parlé à Bill de la libération du désespoir qui l’avait envahi ( libération obtenue dans les Groupes Oxford ) après avoir fait confiance en Dieu (Trust God), un examen de conscience, réparé ses fautes (Clean house), tendu la main à d’autres désespérés (Help others) et prié (Gratitude). En somme, il proposait les attitudes et quelques-uns des principes que Bill W. a plus tard utilisés pour développer les Douze Étapes des AA. Il a fallu longtemps à Bill avant de devenir abstinent, et Ebby avait de la difficulté à être abstinent sur une longue période, mais c'était là, la première fois que Bill faisait l'expérience de la force d'un alcoolique qui parle à un autre, et tout au long de sa vie, il a continué de dire, en parlant de Ebby, qu'il était son ami et son parrain.

Le parrainage n'est pas obligatoire. Par contre, c'est une aide précieuse pour la pratique du programme de rétablissement des Douze Étapes. Il n'est pas nécessaire que notre groupe d'appartenance connaisse tous les détails de notre vie personnelle et professionnelle. Un parrain ou une marraine peut nous écouter d'une façon soutenue et garder une confidence. Un parrain ou une marraine c'est quelqu'un qui a appris à nous connaître en nous écoutant et qui nous accepte tels que nous sommes. Un parrain ou une marraine c’est une oreille bienveillante qui ne porte pas de jugement (‘deux bonnes oreilles et un coeur ouvert’). Un parrain ou une marraine peut détecter les signes d'apitoiement, de peur, de colère et de ressentiment, peut aussi déceler les sous-entendus, les choses qui sont plus difficiles à révéler et dont nous ne parlons pas facilement.

« Je vais lui faire une offre qu'il ne pourra pas refuser. » (Le Parrain, Mario Puzo, Francis Ford Coppola, 1972 — Marlon Brando dans le personnage de Don Vito Corleone — https://www.youtube.com/watch?v=zlOPyshRauI ) Nos parrains (et marraines) nous font une offre que nous ne pouvons refuser : celle de nous accompagner dans notre rétablissement et dans les services. Le parrainage nous apprend à donner de nous-mêmes ce qui signifie donner du temps, du temps de qualité, à écouter ce que les autres ont à nous dire sans déjà penser à ce que nous allons leur répondre ensuite, à écouter sans donner de conseil, à écouter de tout notre cœur attentivement et à écouter quelquefois jusqu'à oublier nos propres problèmes, quelquefois en y trouvant des solutions aux nôtres. Nous nous tournons les uns vers les autres avec l’espoir commun et la conviction grandissante que nous pouvons nous aider mutuellement à nous rétablir.

« Nos parrains nous ont expliqué que nous étions victimes d’une obsession si puissante et si subtile qu’aucune volonté ne pourrait la vaincre. Il est tout simplement impossible, disaient-ils, de maîtriser tout seul une telle hantise par la seule force de notre volonté. Et pour ajouter à notre confusion, nos parrains insistaient sur notre vulnérabilité devant l’alcool : une véritable allergie, disaient-ils. » ( 12x12, 1ère Étape, page 24 ) Que nous soyons, affligés par une dépendance ou une autre nous n’arrivons rarement, presque jamais à nous rétablir par nous-mêmes.

Merci la Vie !!!
Gilles

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Pour moi, le détachement est relativement facile avec des amis occasionnels, avec qui je ne suis pas très impliqué sur le plan émotif. J'ai remarqué que lorsque je suis détaché, je peux écouter d'autres gens critiquer ou être de mauvaise humeur sans en être affecté. Mais si les membres de ma famille agissent de la même façon, souvent je calque leur disposition d'esprit négative. Mon propre comportement me démontre que j'ai un choix à faire concernant ma réaction face à l'humeur et l'attitude des autres.
Ce que i'ai appris en comparant ces deux situations, c'est que le détachement implique que je prête attention à ma propre humeur pour ne pas risquer d'adopter celle de quelqu'un d'autre. Alors, je peux simplement voir et entendre la négativité ou la colère, sans devenir moi-même négatif ou en colère. Je ne suis pas obligé de passer une mauvaise journée uniquement parce qu'une personne que j'aime a de la difficulté à vivre. Cette connaissance me permet de laisser tous les gens, y compris moi-même, éprouver quoi que ce soit qu'ils éprouvent. sans interférence.

Pensée du jour
Si je m'arrête un moment avant de me concentrer sur l'humeur d'une autre personne, je découvrirai peut-être que j'ai moi-même des sentiments qui méritent mon attention. Je serai à l'affût de ces moments pour voir où j'en suis aujourd'hui.

« Nous cessons d'être obsédés par le comportement d'une autre personne et commençons à mener une vie plus heureuse et plus contrôlable, une vie remplie de dignité et comportant des droits, une vie guidée par une Puissance supérieure à nous-mêmes. » Le détachement

Al-Anon, Le Courage de Changer, 12 février, page 43

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Si j'avais à peindre un blason représentant les expériences que j'ai vécues en grandissant dans un foyer marqué par l'alcoolisme, je pourrais y dessiner un dragon crachant le feu, flottant d'un air menaçant au-dessus d'un écusson portant la devise « Diviser pour conquérir ». La division se manifestait de bien des manières. J'ai vu mes parents divisés lorsqu'ils se disputaient, ivres, au sujet de questions parentales importantes. Leurs paroles nous divisaient, mes frères et sœurs et moi, en nous opposant les uns aux autres par des comparaisons injustes : « Pourquoi n'es-tu pas comme ton frère (ou ta sœur) ? » Je sentais même des divisions en moi lorsque j'essayais d'exprimer ma peur tenace devant la progression constante de la consommation d'alcool de mon père, me faisant dire qu'il n'y avait pas de problème. À quoi devais-je me fier : à mes instincts et à mon expérience, ou aux paroles des autres ? En fin de compte, j'ai appris que je ne pouvais me fier ni à l'un ni à l'autre.
Afin de remédier à cette conséquence particulière de l'alcoolisme, la Première Tradition stipule que « Notre bien commun devrait venir en premier lieu ; le progrès personnel de la majorité repose sur l'unité ». Le mot « commun » m'indique que je me lie à des membres qui comprennent, qui ont vécu leur propre version de mon expérience personnelle. Le mot « bien » m'indique que ce lien repose sur le bien-être et la sécurité. Et le mot « unité » m'indique que pour nous rétablir, nous devons nous efforcer ensemble d'agir dans l'intérêt de tous.
L’unité me met mal à l'aise tout simplement parce que c'est une chose qui ne m'est pas familière, mais je sais qu'il n'y a rien à craindre. Nous nous unissons non pas pour diviser et conquérir, mais pour affronter notre adversaire commun : les conséquences de la maladie de l'alcoolisme. Nous nous tournons les uns vers les autres avec l'espoir commun et la conviction grandissante que nous pouvons nous aider mutuellement à nous rétablir.

Pensée du jour
Le mal familial de l'alcoolisme est notre problème commun, et Al-Anon est notre solution commune.

« ... l'unité de notre groupe... nous fournissent un élément de stabilité sur lequel nous pouvons nous appuyer. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions d'Alateen, page 34

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 12 février, page 43

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« La source de nos problèmes »

« Égoïsme et égocentrisme, c'est là, croyons-nous, la source de nos problèmes. » Les Alcooliques Anonymes, page 69 Comme il est étonnant de constater que le monde et tous ceux qui l'habitent peuvent très bien fonctionner avec ou sans moi. Quel soulagement de savoir que les gens, les lieux et les événements ne nécessitent aucunement ma gestion ou mes conseils. Et quel indicible bonheur d'en venir à croire qu'il existe une Puissance supérieure, complètement séparée de moi. Je crois que ce sentiment de séparation entre Dieu et moi s'évanouira un jour. En attendant, la foi doit être pour moi la voie qui me conduit au centre de ma vie.

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 12 février, page 51

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Anonyme, mais jusqu'à quel point ?

Règle générale, le nouveau souhaitait aussitôt informer sa famille de ce qu'il tentait de faire. Il voulait aussi en parler à ceux qui avaient essayé de l'aider : son médecin, son pasteur ou ses amis intimes. À mesure qu'il se sentait plus sûr de lui, il trouvait normal d'expliquer son nouveau mode de vie à son employeur ou à ses associés. Lorsque l'occasion se présentait de porter secours, il découvrait qu'il lui était assez facile de parler des AA à toutes sortes de gens.
Ces aveux discrets l'aidaient à se défaire de sa crainte du stigmate alcoolique et à répandre dans son milieu la nouvelle de l'existence des AA. Plusieurs nouveaux membres, hommes ou femmes, nous sont venus par suite de telles conversations. Même si elles ne suivaient pas à la lettre la consigne de l'anonymat, ces communications en respectaient dûment l’esprit. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 209

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 43

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12 février - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Quand nous pensons à tous les tracas que la boisson nous apportait, aux hôpitaux et aux prisons, nous nous demandons comment nous avons pu désirer ce genre de vie. Quand nous songeons maintenant à notre passé nous voyons notre vie de buveurs telle qu'elle était et nous sommes contents d'en être sortis. Ainsi après quelques mois dans le mouvement A.A., nous constatons que nous pouvons sincèrement dire qu'il existe quelque chose que nous désirons plus que l'alcool. Notre expérience nous a appris qu'une vie de sobriété est quelque chose de réellement agréable et pour rien au monde nous ne voudrions retourner à notre ancienne façon de vivre. Est-ce que mon désir de rester sobre est beaucoup plus grand que celui de me soûler ?

Méditation du jour
Ma vie spirituelle repose sur ma connaissance de Dieu. Je dois être toujours conscient de la présence de Dieu dans tout ce que je fais ct je dois mettre ma confiance en Lui. Le fait de penser à la présence de Dieu me procurera toujours la paix. Je n'aurai plus de crainte parce que l'avenir sera bon si je reste conscient de la présence de Dieu. Si, dans chaque événement, chaque plan je pense à Dieu, alors quoi qu'il arrive je serai en sécurité entre les mains de Dieu.

Prière du jour
Je demande de toujours être conscient de la présence de Dieu. Je demande d'obtenir par cette conscience de Dieu, une vie nouvelle et meilleure.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 46

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PENSÉE DU JOUR
Contre quoi vais-je lutter aujourd'hui ? Est-ce qu'il y a certains traits de caractère que je désire voir disparaître ? Je dois être patient. Dieu va me donner toute la force dont j'ai besoin pour faire face à mes problèmes un jour à la fois. Les solutions peuvent ne pas venir immédiatement. Si je deviens trop pressé et que j'essaie de reprendre le contrôle, je n'obtiendrai que frustration et haine de moi-même n'y voyant qu'un échec personnel. Un petit pas en avant, bien pesé, sera meilleur que deux grands pas de géant, qui me feront tomber et me retrouver trois pas en arrière.

MÉDITATION DU JOUR
Je Te demande de me montrer quel chemin je dois prendre en premier. Guide chacun de mes pas pour qu'ils soient bien pesés et faits en toute confiance.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Quand j'aurai tout essayé sans succès, j'essaierai la patience.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 12 février

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Vivre l’instant présent

« Nous regrettions le passé, redoutions l'avenir et n'étions guère satisfaits du présent. » Texte de base, page 8

Tant que nous n'aurons pas connu le soulagement que procure la pratique des Douze Etapes, il serait étonnant que nous puissions trouver un énoncé plus vrai que la citation ci-dessus. La majorité d'entre nous sont arrivés à N.A. dans la honte, la tête basse, souhaitant pouvoir revivre le passé et le changer. Il se peut que notre imagination et nos attentes soient si extrêmes que, dès un premier rendez-vous amoureux, nous nous surprenions déjà en train de choisir un avocat pour le divorce. Presque toutes nos expériences nous rappellent quelque chose du passé ou nous projettent dans l'avenir.
Au début, il nous est difficile de demeurer dans l'instant présent. Il semble que notre esprit ne puisse s'arrêter. Il est difficile pour nous de simplement nous délasser. Chaque fois que nous nous apercevons que notre pensée n'est pas centrée sur ce qui est en train de se passer, nous pouvons prier et demander à notre Dieu d'amour de nous aider à sortir de nous-mêmes. Si nous regrettons le passé, nous réparerons nos torts en vivant différemment aujourd'hui ; si nous craignons l'avenir, nous nous efforcerons de vivre de façon responsable aujourd'hui.
En pratiquant les étapes et en priant chaque fois que nous nous apercevons que nous ne vivons pas l'instant présent, nous remarquerons que ces occasions ne se produisent plus aussi souvent qu'avant. Notre foi nous aidera à vivre juste pour aujourd'hui. Il y aura des heures et même des jours entiers où notre attention sera entièrement centrée sur l'instant présent et non sur un passé regrettable ou un avenir redoutable.

Juste pour aujourd'hui, lorsque je vis pleinement chaque instant, je m'ouvre aux joies qui risqueraient autrement de m'échapper. Si cela m'est difficile, je vais demander à mon Dieu d'amour de m'aider.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 12 février, page 46

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L'amour est avant tout le don de soi-même. Jean Anouilh

Pour pratiquer le don de soi, je dois voir comment j'ai toujours évité de le faire. Il y a deux façons d'arriver à cette fuite. La première est d'avoir l'impression que je ne vaux rien, que personne ne veut de moi. La seconde est de bien faire sentir aux autres combien ils doivent reconnaître mon bon jugement et suivre mes conseils. Ce sont là deux mécanismes de protection qui m'empêchent de donner le meilleur de moi-même. Faire don de soi signifie donner du temps de qualité. Pour ce faire, j'écoute ce que l'autre a à me dire sans penser à ce que je répondrai et sans donner de conseil, j'écoute attentivement et de tout mon coeur, j'écoute jusqu'à m'oublier moi-même. C'est alors que je me donne à l'autre.

Pensée du jour : Y a-t-il quelqu'un à qui je pourrais donner de moi-même ? Je peux le faire, peu importe comment je me sens.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 43

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« La plupart d'entre nous ont d'ailleurs commencé à se remettre de leur maladie en sortant de leur isolement, en allant dans un groupe OA, où nous nous sommes rendu compte que nous n’étions pas faits pour être seuls. » Les Douze Étapes et les Douze Traditions des Outremangeurs Anonymes, page 129

Cette Fraternité a un je ne sais quoi qui a complètement changé ma vie.
Je pense que le terme « nous », si réconfortant, est à la source de la spiritualité que l'on retrouve chez les OA. Auparavant, je me consolais en mangeant, mais cette consolation avait quelque chose de triste et de solitaire. Aujourd'hui, c'est la Fraternité qui me réconforte.
Il y a beaucoup d'amour dans ce mode de vie. Même lorsque je suis fatigué et grincheux en arrivant à une réunion, les membres m'accueillent en me souriant et en me prenant dans leurs bras. Partager honnêtement, se tenir la main et prier sont des gestes qui me transforment et me donnent de l'énergie. Lorsque je ne peux assister à une réunion, je peux faire un appel téléphonique. Lorsque je ne peux téléphoner, je peux envoyer un courriel ou une lettre à un autre membre OA. Je fais partie d'un « nous ». Dans ce merveilleux mode de vie, j’ai trouvé plus d'amour et d'espoir que tout ce que j'aurais pu imaginer. Merci mon Dieu pour les OA.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 12 février, page 43

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Pensée du jour
Quand nous pensons à tous les tracas que le jeu nous a apportés, et ils sont nombreux, nous nous demandons comment nous avons pu faire pour en arriver à mener ce genre de vie. Quand nous songeons maintenant à notre passé, nous voyons notre vie de joueurs telle qu'elle était et nous sommes contents d'en être sortis. Ainsi, après quelques mois dans le mouvement J.A., nous constatons que nous pouvons sincèrement dire qu'il existe quelque chose que nous désirons plus que le jeu. Notre expérience nous a appris qu'une vie de sobriété est quelque chose de réellement agréable et, pour rien au monde, nous ne voudrions retourner à notre ancienne façon de vivre. Est-ce que mon désir de rester sobre est beaucoup plus grand que celui de jouer ?

Méditation du jour
Ma vie spirituelle repose sur ma nouvelle connaissance de Dieu. Je dois toujours être conscient de la Présence Divine dans les actions que je pose et je dois Lui faire entière confiance. Le fait de penser qu'Elle est maintenant en moi me procure la paix. Je n'ai plus de crainte parce que l'avenir sera bon si je reste conscient de Sa présence. Si je pense à Lui de façon constante, Elle me protégera dans tous les domaines de ma vie.

Prière du jour
Je demande de toujours être conscient de la Présence Divine. Je demande d'obtenir, par cette conscience, une vie nouvelle et meilleure.

Joueurs Anonymes, 12 février

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12 février

Vois un schéma et un plan parfaits en filigrane de ta vie. Rien n'est au hasard. Même si cela peut paraître très étrange, tout est dans Mon plan divin. Tu ne serais pas où tu es, à faire ce que tu fais en cet instant, si je n'avais pas étendu Ma main sur toi. Mes voies ne sont pas tes voies. Cherche toujours à faire Ma volonté. Je connais le mieux pour toi, alors pourquoi lutter contre et penser que c'est toi qui as raison ? Aie foi et confiance absolues en Moi. Sache que JE SUIS toujours là et que Je ne te laisserai jamais tomber, ni ne t'abandonnerai. Tourne-toi sans cesse vers Moi. Écoute ce que J'ai à te dire dans le silence et obéis à Mon plus léger murmure. L'obéissance ouvre toute une vie nouvelle pour toi et libère des énergies nouvelles qui ont été cachées tout au fond de toi dans l'attente d'être libérées quand tu seras prêt et voudras bien les suivre sans hésitation.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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