Pensées 09 juin 2018
Par Gilles - le samedi 9 juin 2018, 07:18 - Pensées et réflexions - Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous
« Sobriété » est un nom féminin, défini dans le dictionnaire comme : Tempérance dans le boire et le manger — et au sens figuré : Modération, retenue, simplicité — Absence d'ornements superflus. Pour nous et pour tous ceux et celles qui sont atteints d’une dépendance quelconque, l'abstinence totale est souhaitable en ce qui concerne les substances toxiques et addictives, les éléments déclencheurs de frénésie alimentaire, amoureuse, sexuelle, ludique ou autre. Dans tous les autres domaines de notre vie, il nous faut user de toutes choses avec sobriété. « La parfaite raison fuit toute extrémité, Et veut que l'on soit sage avec sobriété. » ( Molière, Le misanthrope ) La sobriété pour un dépendant se manifeste souvent par la recherche d’un contrôle perdu depuis longtemps, par des épisodes de « white knuckling » ( de jointures blanches ) venues à force d’essayer d’avoir prise sur quelque chose sur laquelle nous n’avons aucune prise. Nous ne pouvons malheureusement être sages avec sobriété, garder une certaine modération, même dans les meilleures choses, de peur de les outrer, d'en abuser que si c'est la volonté de notre gPs, Dieu tel que nous Le concevons. Alors Il peut faire que nous en sommes capables.
Pour nous, les concepts d’abstinence et de sobriété possèdent en commun l’arrêt de la consommation de toute substance, et d’autre part le passage de l’abstinence à la sobriété, eu égard à tous les autres domaines de nos vies, est lié au développement de la capacité d'un lien vivant avec une forme de spiritualité et d’une saine vie affective. L’abstinence est comme la condition première de l’accession à nos émotions (ressentiments), et la sobriété est un processus de développement de relations saines, de vie émotionnelle, affective et spirituelle, équilibrées. Il y a un lien parfait, une correspondance entre la sobriété et la qualité du processus de dégonflement de notre personnalité (Bill W. disait de l'ego) et de relèvement de notre identité. Charles L. Whitfield ( Alcoholism, other drug problems, & spirituality: A transpersonal approach. Baltimore, MD: The Resource Group, 1985 ) faisait remarquer que le rétablissement physique, mental et spirituel est proportionnel à la qualité de notre spiritualité et de notre cheminement. C’est là que réside le rétablissement de notre enfant intérieur, de cet enfant blessé, surdoué, survivant et combien divin. « Nous pouvons supprimer les blocages qui nous empêchent d’entrer en contact conscient avec notre puissance supérieure en expérimentant le moment présent (y compris vivre ici et maintenant), nous souvenir, pardonner et abandonner (ces cinq cadeaux de la vie peuvent être considérés comme étant finalement les mêmes). Des pratiques spirituelles régulières nous aident à réaliser ce présent. » ( Charles L. Whitfield )
« Le seul remède que nous pouvons conseiller est l'abstinence totale. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. chap. L'opinion d'un médecin, page xxxiii ) La sobriété et l'abstinence nous invitent aujourd'hui à aller de l'avant et à profiter des nombreuses occasions que la vie nous offre. Tous les jours, nous sommes étonnés de ce que nous sommes capables de faire. Qu'il s'agisse d'abstinence ou de sobriété, si nous voulons nous améliorer, nous devons suivre les conseils que nous donnent tous les anciens dans le mouvement : y aller d'instinct en arrêtant de calculer chacun de nos gestes. En restant simples, en nous lançant dans la plupart de nos activités quotidiennes sans nous préoccuper des résultats, nous n'avons même pas à laisser faire et laisser Dieu faire puisque dès le départ c'est Lui qui fait tout. Il nous donne — et Il est pour nous — l'énergie, le désir, l'humilité et la gratitude, en fait, tout. Il est aussi abstinence et sobriété.
Merci la Vie !!!
Gilles
-------------------------------------------------
Quand, dans mon étude des Étapes, j'en suis arrivé à la Septième (« Nous Lui avons humblement demandé de faire disparaître nos déficiences »), j'ai buté sur un des premiers mots. « Humblement ! ai-je pensé. La dernière chose dont j'ai besoin, c'est bien d'avoir plus d'humilité. » N'avais-je pas été humble toute ma vie, plaçant les besoins de tout le monde avant les miens ? Qu'est-ce que cela m'avait apporté, sinon des abus ?
Mais Al-Anon m'a suggéré que j'avais peut-être confondu humilité avec humiliation. Être humble ne veut pas dire supplier pour demander grâce. La vraie humilité, ai-je découvert, c'est la capacité de voir ma véritable relation avec Dieu et avec mes semblables.
Le mot « demandé » n'a pas été beaucoup plus facile. J'avais appris à ne rien demander à qui que ce soit. Al-Anon m'a appris que ma connaissance et mon expérience sont limitées. Je ne connais pas toutes les réponses — et je n'ai pas à les connaître toutes ! Je peux demander de l'aide.
Ma perception du dernier mot de cette Étape a changé également. Autrefois je confondais déficiences avec crimes, défauts, péchés ou erreurs. Maintenant je perçois mes déficiences comme des blocages intérieurs qui m'empêchent d'atteindre mon plein potentiel et me gardent à distance de ma Puissance Supérieure.
Pensée du jour
Je peux faire une foule de choses pour améliorer ma vie et poursuivre mon rétablissement, mais je suis incapable de me guérir. Aujourd'hui, je peux demander de l'aide pour me libérer de tous ces blocages qui m'empêchent d'être véritablement moi-même.
« Si mes problèmes m'ont amené à la prière, alors ils ont eu un but. » Tel que nous Le concevions...
Al-Anon, Le Courage de Changer, 9 juin, page 161
-------------------------------------------------
Quand je suis arrivée à Al-Anon, j'étais une personne brisée, effrayée, et souffrante. J'avais peur de dire ce que j'avais en tête ou sur le cœur, de peur qu'on me ridiculise, qu'on m'évite ou qu'on me critique. Quand j'ai réalisé que j'avais la liberté et la possibilité de dire exactement ce que je pensais et ce que je ressentais, j'ai commencé à sentir la force de ma Puissance Supérieure monter en moi.
Maintenant, j'ai la réputation d'être une personne directe, honnête et ouverte — des qualités que je n'aurais jamais pu découvrir sans la « permission » et l'expérience que j'ai obtenues dans le programme Al-Anon. Donner mon témoignage dans les salles de réunion a été ma première occasion de sentir qu'on m'écoutait vraiment et que j'avais quelque chose d'utile à offrir. Aujourd'hui, quand je partage mon expérience, ma force et mon espoir avec les autres membres Al-Anon, ils m'observent avec incrédulité tandis que j'explique que j'étais auparavant incapable de m'exprimer verbalement.
Je peux maintenant indiquer aux autres ce que je pense et ce que je ressens, et je peux le faire avec dignité, de manière courtoise et polie. Je peux dire tout ce que je veux, pourvu que je le fasse de manière respectueuse et bienveillante.
Pourtant, même avec ce savoir-faire, il m'arrive encore d'avoir peur de m'exprimer. Lorsque cela se produit, je me rappelle que si des sujets inconfortables sont abordés dans ma vie familiale, sociale ou dans Al-Anon, j'ai le droit de dire ce que j'ai en tête ou sur le cœur. je prie ensuite pour obtenir l'aide de Dieu tel que je Le conçois : « Est-ce que je devrais parler ? Que devrais-je dire ? S'il te plaît, aide-moi. » Je ne suis jamais longtemps sans réponse.
Pensée du jour
Quand vient le temps de m'exprimer, ça doit commencer par moi. Les réunions Al-Anon m'offrent un milieu sain où je peux prendre ce risque.
« Parfois je suis obligé de lutter contre mon ancienne impulsion de me taire à tout prix, mais j'ai découvert que partager mon vécu est la clé de mon rétablissement. » Le Courage de changer, page 111
Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 9 juin, page 161
-------------------------------------------------
Vivre ici, maintenant
Au tout début, nous nous efforçons de vivre le moment présent pour demeurer abstinents, et nous y arrivons. Mais une fois cette mentalité acquise, nous découvrons que cette façon de vivre en tranches de 24 heures est efficace et satisfaisante dans la solution de plusieurs autres problèmes. Vivre sans alcool ! pages 10 et 11
« Un jour à la fois !» Pour le nouveau et la nouvelle, ce slogan AA, comme bien d'autres, peut sembler ridicule. Pourtant ces mots de passe du mouvement peuvent devenir des bouées de sauvetage dans les moments de stress. Chaque journée peut être comme une rose qui s'ouvre selon le plan d'une Puissance supérieure. Mon programme doit prendre racine au bon endroit ; il a besoin d'être soigné, nourri et protégé contre les maladies.
Sa culture exige de la patience et je dois accepter que certaines fleurs soient plus belles que d'autres. Chaque stade de l'éclosion peut être source d'émerveillement et de plaisir, si je n'essaie pas d'intervenir, si je ne laisse pas mes attentes l'emporter sur mon acceptation.
Voilà la sérénité.
Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 169
-------------------------------------------------
Les rationalistes et les gens modestes
Nous, les alcooliques, sommes les plus grands rationalistes du monde. Forts du prétexte que nous accomplissons de grandes choses pour les AA, nous pouvons, en piétinant l'anonymat, reprendre notre ancienne et désastreuse poursuite du pouvoir et du prestige personnels, des honneurs publics et de l'argent — ces mêmes impulsions implacables qui nous poussaient à boire lorsque nous étions frustrés.
Le Dr Bob était fondamentalement beaucoup plus humble que moi, et le respect de l'anonymat lui était facile. Lorsqu'il fut évident qu'il était mortellement atteint par la maladie, quelques-uns de ses amis firent la suggestion d'ériger un monument à sa mémoire et à celle de son épouse, Anne ; un monument digne d'un fondateur et de sa femme. Le Dr Bob me parla de ce projet, en riant, et me dit : « Dieu les bénisse ! Ils pensent bien faire. Mais pourquoi ne serions-nous pas, toi et moi, inhumés comme tout le monde ? » Au cimetière d'Akron, où reposent le Dr Bob et Anne, la modeste pierre tombale ne fait aucune allusion aux AA. Cet ultime exemple de modestie représente, de façon permanente pour les AA, une plus grande valeur que toute reconnaissance publique ou tout grand monument.
1. Le mouvement des AA devient adulte, page 351
2. Le mouvement des AA devient adulte, page 169
Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 160
-------------------------------------------------
9 juin - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Nous avons finalement atteint le fond. Nous n'avions pas besoin d'être financièrement ruinés, même si plusieurs l'étaient. Mais nous étions spirituellement ruinés. Nous avions l'âme malade, nous étions dégoûtés de nous-mêmes et de notre mode de vie. La vie nous était devenue intolérable. Nous devions en finir ou faire quelque chose pour nous libérer de la boisson. Suis-je content d'avoir fait quelque chose pour me libérer ?
Méditation du jour
La foi ce n'est pas voir, mais croire. Je vis dans une boîte d'espace et de temps et je ne puis voir ce qui est sans espace ou éternel. Mais Dieu n'est pas enfermé dans l'espace et le temps. Il est éternel et partout. Nos esprits imparfaits sont incapables de Le comprendre parfaitement. Mais nous devons essayer d'unir nos desseins aux desseins de Dieu. En essayant d'unir nos esprits à l'esprit de Dieu, cette unité de dessein se produit. Cette unité de but nous met en harmonie avec Dieu et avec notre prochain. Le mal vient de ce que nous ne sommes pas en harmonie avec Dieu, et le bien, de ce que nous sommes en harmonie avec Lui.
Prière du jour
Je demande d'être en harmonie avec Dieu. Je demande de participer à l'abondance de bonté qui existe dans l'univers.
Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 163
-------------------------------------------------
PENSÉE DU JOUR
Sans la douleur qui vient nous avertir d'un mal physique, nous pourrions mourir très rapidement. Si nous refusons de voir les signaux d'alarme de notre douleur émotive, nous ne mourrons pas nécessairement, mais nous serons moins ouverts à une vie abondante. Chaque fois que je veux me hasarder à partager ma souffrance, j'obtiens de l'aide et de l'acceptation. Cette aide et cette acceptation m'encouragent à risquer encore. Et de risquer encore m'apporte les bienfaits de la guérison et de l'intégrité.
MÉDITATION DU JOUR
Quand je souffre, je demande à Dieu de m'aider à développer la capacité de voir dans l'avenir une vie mieux remplie.
AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Ma douleur me dit que quelque chose est à changer.
Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 9 juin
-------------------------------------------------
Les vieux rêves n’ont pas besoin de mourir
« Des rêves abandonnés renaissent et de nouvelles possibilités surgissent. » Texte de base, page 112
Nous avions des rêves, du moins pour la plupart, quand nous étions jeunes. Que nous ayons rêvé d'une brillante carrière, d'une grande famille aimante, ou de voyages à l'étranger, nos rêves se sont évanouis lorsque la dépendance s'est emparée de nous. Tout ce que nous avions toujours désiré pour nous-mêmes a été remisé au profit de notre quête de drogue. Nos rêves n'allaient pas plus loin que la prochaine drogue et l'euphorie que nous espérions en tirer.
Maintenant, en rétablissement, nous avons des raisons d'espérer que nos rêves perdus puissent encore se réaliser. Quel que soit notre âge, peu importe ce que la dépendance nous a fait perdre et même si cela paraît improbable, depuis que nous avons été libérés de la dépendance active, nous avons la liberté de poursuivre nos ambitions. Nous pouvons nous découvrir un talent particulier, ou trouver un passe-temps que nous adorons, ou apprendre que poursuivre nos études peut nous apporter beaucoup de gratification.
Nous avions l'habitude de mettre presque toute notre énergie à inventer des excuses et des raisons pour expliquer nos échecs. Aujourd'hui, nous allons de l'avant et nous profitons des nombreuses occasions que la vie nous offre. Nous serons peut-être étonnés de ce que nous sommes capables de faire. En nous appuyant sur notre rétablissement, la réussite, la réalisation de nos rêves et la satisfaction sont enfin à notre portée.
Juste pour aujourd'hui, dès maintenant, je ferai tout ce que je peux pour réaliser mes rêves.
Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 9 juin, page 169
-------------------------------------------------
Nous commençons à bien faire une chose lorsque nous cessons de penser à la façon de la faire. William Hazlitt
Qu'il s'agisse du tennis, du jogging ou de l'art de vivre, si je veux m'améliorer, je dois suivre le conseil que me donnent tous les experts : y aller d'instinct en arrêtant de calculer chacun de mes gestes. Rappelons-nous l'histoire du mille-pattes : lorsqu'on demanda à la bête comment elle s'y prenait pour savoir laquelle de ses innombrables pattes utiliser à quel moment, la pauvre créature s'en trouva paralysée.
Peu importe ce que j'ai à faire, c'est un handicap que de l'accomplir en étant trop centré sur moi. Par contre, quand je me lance dans une activité avec naturel et sans me préoccuper des résultats, je n'ai plus à subir la pression qui m'éloigne de mon but et me paralyse. N'est-ce pas cela lâcher prise et s'en remettre à Dieu ?
Pensée du jour : Pour réaliser mes possibilités, je me libère en laissant ma Puissance supérieure me retirer les rênes.
Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 161
-------------------------------------------------
« Aujourd'hui seulement, je n'ai pas eu besoin de briser mon abstinence. Les OA m'ont enlevé toutes les excuses pour le faire, et ne serait-ce que pour cela, je suis reconnaissant. » Overeaters Anonymous, Première édition, page 35 (épuisée)
Souvent, dans les contextes où l'on sert de la nourriture, j'entends des excuses qui débutent en ces termes : « Je ne devrais pas, mais... ». Aujourd'hui, je n'ai plus à me laisser prendre au jeu de ceux qui se trouvent des excuses pour manger. Il suffit de planifier correctement mes repas et de rester en contact avec ma marraine pour ne pas avoir à éviter de telles situations. Souvent, j'apporte avec moi la nourriture que j'avais prévu manger et je consomme mon repas tandis que les autres consomment le leur. Si ce n'est pas l'heure de manger pour moi, je n'en suis pas contrariée ; je sais que ma conduite me garde en équilibre et cela m'est précieux.
Auparavant, je me trouvais moi aussi des excuses pour pouvoir manger, mais par la suite, mes efforts pour me racheter me rendaient presque folle. Or, en mettant sur papier ma gratitude dans le cadre de mon écriture quotidienne, je constate que j'ai beaucoup de bonnes façons de terminer la phrase : « Je suis contente de manger comme je le fais maintenant, car... ».
Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 9 juin, page 161
-------------------------------------------------
Pensée du jour
Nous avons finalement tous atteint le bas-fond. Nous n'avions pas besoin d'être financièrement ruinés, même si plusieurs l'étaient. Mais nous étions spirituellement ruinés. Nous avions l'âme malade, nous étions dégoûtés de nous et de notre façon de vivre. La vie était devenue intolérable. Nous devions en finir ou faire quelque chose pour nous libérer du jeu. Suis-je content d'avoir fait quelque chose pour me libérer ?
Méditation du jour
La foi, ce n'est pas voir, mais croire. Je vis dans l'espace et le temps et je ne puis voir avec mes yeux ce qui y est. Je ne peux qu'y croire. Dieu, Lui, ne fait pas partie des choses matérielles de ce monde. Il est Éternel et Omniprésent. Nos esprits imparfaits sont incapables de Le comprendre, mais nous devons, à tout prix, unir nos desseins Aux Siens. En unissant nos esprits Au Sien, l'impossible se produira. Cette unité de but nous met en harmonie avec Lui et avec notre prochain. Le mal vient de ce que nous ne sommes quelquefois pas assez près de notre Puissance Supérieure.
Prière du jour
Je demande d'être en harmonie avec Dieu. Je demande de participer à l'abondance de bonté qui existe dans l'univers.
Joueurs Anonymes, 09 juin
-------------------------------------------------
9 juin
Tu fais partie de mon plan infini ! Tu as un rôle à jouer dans le tableau global. Cela peut être seulement un très petit rôle, néanmoins il est essentiel pour compléter le tout. Ne ressens jamais, à aucun moment, que ton rôle est si petit qu'il n'est pas nécessaire. Qui es-tu pour juger ? J'ai besoin de toi à la place où tu dois être, jouant ton rôle spécifique. Si tu n'as pas encore trouvé quel est ce rôle, cela ne tient qu'à toi de chercher et de continuer à chercher et de continuer à chercher jusqu'à ce que tu aies trouvé. Visualise-toi en train de t'intégrer parfaitement à la place où tu dois être, de donner ce que tu as à donner au tout et de faire partie de cette merveilleuse globalité, n'étant plus séparé ni divisé. Personne ne peut le faire pour toi. Tu dois faire tes propres recherches et tes propres découvertes par toi-même. Personne d'autre ne peut vivre ta vie à ta place. Toi seul peux la vivre.
La Petite Voix, Eileen Caddy
-------------------------------------------------
Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.
-------------------------------------------------