Pensées 11 juin 2018

Bonjour à toutes et à tous

La vie nous amène à vivre des événements importants, à faire des rencontres déterminantes et à découvrir comment soigner et quelquefois guérir les souffrances de notre passé. Nous revivons les mêmes difficultés, les mêmes drames, les mêmes épreuves qui ressemblent énormément à celles que nous avons vécues lorsque nous étions petits. Même si les contenus de l’histoire sont différents, il s’agit souvent de la même chose. Est-ce que cette répétition a un sens… et est-ce que ça peut ou va durer toute la vie comme si nous n’entendions pas le message ? Parfois, nous pouvons choisir de voir négativement ce processus et de nous en plaindre. Nous pouvons choisir aussi de mettre au jour, de décoder le processus qui revient – toujours. Comment nous y prenons-nous pour revivre encore et encore des dépendances, des relations dysfonctionnelles ( soumission, domination voir la page 176 dans les Réflexions de Bill : « Le principal facteur que nous ne savons pas reconnaître est que nous sommes totalement incapables d’entrer en véritable association avec un autre être humain. » ) ? Plutôt que de nous morfondre, de nous vivre comme une victime, de nous culpabiliser, regardons ce que notre Ps cherche à nous donner de tellement positif, de tellement important pour nous, peut-être même d’essentiel ou de vital quand, encore une fois, nous refaisons les mêmes erreurs en créant de la dépendance et en en souffrant. Quand nous redescendons aux enfers, quand nous rejouons avec les douleurs du passé, quand nous revivons les mêmes sensations, les mêmes sentiments que lorsque nous étions enfant vis-à-vis de notre père ou de notre mère, qu’est-ce que notre Ps nous donne, nous signifie de tellement important ? « Tu atteins le bas-fond quand tu cesses de creuser. » ( Les Alcooliques Anonymes, L’étudiante de la vie (6), page 360 ) Et nous cessons de creuser que si telle est Sa volonté.

Si au lieu de nous lamenter, de nous apitoyer ou de nous flageller, nous allons pouvoir accueillir et écouter cette part divine en nous qui recrée sans cesse certaines situations douloureuses (sans doute pour attirer notre attention). Que cherche-t-Elle à nous dire ? Que cherche-t-Elle si ce n’est le changement en nous ? Comment allons-nous pouvoir Lui donner satisfaction, répondre à Ses besoins, Lui permettre d’exister, d’avoir de la place dans nos coeurs ? Le mode de vie des groupes d'entraide attire notre attention vers ce mélange d'intuition et d'émotions que nous appelions autrefois « nos tripes ». Il n'y a guère de place pour les « pourquoi », pour la logique ou la raison — le faux moi, la personnalité — qui ont tant modelé la façade que nous présentions avant de commencer à nous rétablir par la grâce de notre Dieu d'amour. Le mode de vie propose ce dégonflement de la personnalité afin de permettre l'émergence et la renaissance de notre enfant intérieur. C'est à notre vrai moi, ou moi blessé, doué et divin — notre enfant intérieur — que le mode de vie s'adresse présentement. Nous nous en remettons à Dieu au sujet de notre dépendance (et/ou codépendance) et des difficultés pour lesquelles nous pouvons et aussi pour celles que ne pouvons imaginer de solution. « Ces obstacles, pourtant n’en sont pas moins réels. Le premier et le plus difficile a trait au pardon des offenses. Dès qu’on se penche sur une relation embrouillée ou rompue, les émotions passent à la défensive. » ( 12x12, 8e Étape, page 88 )

« Nous ne savons jamais de quel côté viendra la brusque descente du hasard. Les catastrophes et les félicités entrent, puis sortent, comme des personnages inattendus. » ( Victor Hugo, Les travailleurs de la mer ) C'est généralement après notre descente aux enfers de la dépendance et/ou de la codépendance, dans cette phase active de notre maladie, par le rétablissement à l'aide des Douze Étapes que survient la mort de l'homme ancien pour renaître comme homme nouveau. Cette métamorphose intérieure paradoxale comme la mue du papillon ou de la libellule nous confronte avec ces ombres de notre personnalité. Ce relèvement que notre Ps opère dans notre moi le plus profond permet l'évolution de ces ombres ou côtés sombres dès que nous sommes prêts à ce Dieu tel que nous Le concevons élimine ces défauts de notre personnalité. Et parfois même quand nous ne sommes pas prêts, Dieu élimine certains de nos défauts parce que ça lui chante. Et tranquillement pour tout le reste, le ménage se fait par Sa grâce.

Merci la Vie !!!
Gilles

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La Neuvième Étape dit que je ne suis pas tenu de réparer directement mes torts envers les personnes que j'ai lésées si, en agissant ainsi, je risque de nuire à nouveau. Comment puis-je savoir si je dois ou non passer à l'action ?
S'il n'est pas opportun de faire directement amende honorable, je peux être assuré que ma Puissance Supérieure me l'indiquera. Autrement, si j'ai fait ma Huitième Étape et si j'ai consenti vraiment à réparer mes torts, je crois que l'occasion se présentera quand je serai prêt.
Par exemple, j'étais incapable de discuter de ma vie personnelle avec ma mère. Craignant son rejet, c'était plutôt moi qui la rejetais. L'occasion de lui faire amende honorable s'est présentée lors de sa visite suivante, mais je n'étais pas certain d'être prêt. Est-ce que faire amende honorable me nuirait à ce moment-ci ?
Après l'arrivée de ma mère, j'ai eu l'intuition que c'était « le bon moment ». J'ai prié pour avoir du courage et j'ai demandé à ma Puissance Supérieure de m'aider à trouver les mots. Ma mère s'est assise avec moi et dans un moment de tranquillité, à mon grand étonnement, elle a abordé tous les sujets dont je voulais discuter. Je me suis rendu compte que l'occasion de me rapprocher d'elle avait toujours existé, mais que jusque-là, je n'avais pas été disposé à la saisir.

Pensée du jour
Ma Puissance Supérieure ne me place devant aucun défi auquel je suis incapable de faire face. Le réconfort que je ressens en sachant cela peut vaincre mes peurs.

« Ce qui est lointain et difficile est un leurre décevant. L'excellente occasion se trouve là où vous êtes. » John Burroughs

Al-Anon, Le Courage de Changer, 11 juin, page 163

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Ayant mis le programme Al-Anon en pratique pendant plusieurs années, j'ai appris que vivre les Étapes exige deux actes fondamentaux. Premièrement, je ne dois pas oublier la suggestion qui m'invite à abandonner devant ce que j'essaie de contrôler chez moi ou chez les autres. En d'autres mots, je dois lâcher prise devant mon ego. Lâcher prise, confier, ne pas compliquer les choses, tout cela me rappelle que Dieu s'occupe de moi, et des défis qui surviennent dans ma vie. Parfois, quand je suis particulièrement tendue, l'abandon ne vient pas facilement. En fin de compte, je dois lâcher prise devant le processus de l'abandon lui-même. Je n'ai aucun contrôle sur le moment choisi par ma Puissance Supérieure pour me faire la grâce de ressentir et d'agir avec sérénité.
Le deuxième acte dans la pratique des Étapes, c'est la foi. Il s'agit tout simplement de croire que ma Puissance Supérieure sera là pour moi, parfois malgré moi et en dépit de mes efforts. Je dois choisir une ligne de conduite appropriée en m'appuyant sur cette confiance. J'ai réalisé que je peux abandonner sans cesse mon contrôle et ma volonté, mais que l'abandon n'a aucun sens si je ne passe pas à l'action en m'appuyant sur ma foi. Quand j'oublie la foi, je reprends mes inquiétudes, encore et encore. Quand je doute que Dieu est à l'écoute, je n'ai qu'à me rappeler toutes les occasions où j'ai été envahie par la paix. À partir de là, la foi se charge du reste.

Pensée du jour
Al-Anon fonctionne. Tout ce que je dois faire, c'est abandonner mon ego, agir avec foi, et me fier à la sagesse des Étapes. Ma Puissance Supérieure fait le reste.

« Toutes les fois où j'ai fait confiance à Dieu et que je me suis abandonné à Lui, Il m'a vraiment aidé. » Having Had a Spiritual Awakening, page 94

Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 11 juin, page 163

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Obligations familiales

... une vie spirituelle n'incluant pas les obligations familiales n'est peut-être pas si parfaite après tout. Les Alcooliques Anonymes, page 146

Il se peut que je progresse très bien dans le programme des AA, l'appliquant dans les réunions, au travail et dans les services, mais qu'en même temps ma vie familiale s'effondre. Je m'attends à de la compréhension de la part de mes proches, mais cela leur est impossible. Je m'attends à ce qu'ils constatent et apprécient mes progrès, mais ils ne le font pas — à moins que j'insiste. Est-ce que je les néglige quand ils ont besoin de mon attention et demandent que je m'occupe d'eux ? Avec eux, suis-je irritable ou ennuyeux ? Quand je fais amende honorable, est-ce que je me contente de murmurer de vagues excuses ou est-ce que je fais preuve de patience et de tolérance ? Est-ce que je leur fais des sermons en essayant de les changer ou de les « corriger » ? Est-ce que j'ai jamais vraiment fait le ménage par rapport à eux ? « La vie spirituelle n'est pas une théorie. Nous devons la vivre. » (Gros livre, Les Alcooliques Anonymes, page 94).

Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, page 171

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« Gardons ça simple »

« Nous devons nettement distinguer la simplicité spirituelle de la simplicité organisationnelle.
« Lorsque nous disons que l'association des AA ne soutient aucune thèse théologique, si ce n'est l'idée d'un « Dieu tel que nous le concevons », nous simplifions grandement le mode de vie des AA en évitant ainsi les conflits et l'exclusivité.
« Par contre, lorsque nous traitons de l'activité des groupes, des régions et de l'association tout entière, nous constatons que nous devons organiser dans une certaine mesure la transmission du message, sinon c'est le chaos. Et le chaos n'est pas la simplicité. »

J'ai appris qu'un bien apparent ou temporaire peut souvent être l'ennemi mortel du mieux permanent. Lorsqu'il s'agit de la survie des AA, il ne faut donner rien de moins que le meilleur de nous-mêmes.

1. Lettre, 1966
2. Le mouvement des AA devient adulte, page 352

Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 162

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11 juin - Pensée A.A. pour aujourd'hui
Nous avons besoin, nous les alcooliques, de croire en une Puissance supérieure à nous-mêmes. Oui, nous avons besoin de croire en Dieu. Ne pas croire en une Puissance supérieure nous conduit à l'athéisme. L'athéisme, on l'a déjà dit, c'est une foi aveugle dans une étrange proposition qui affirme que l'univers a eu une origine mystérieuse et qu'il ne va nulle part. C'est pratiquement impossible à croire. Aussi nous nous tournons vers ce Principe divin de l'univers que nous appelons Dieu. Ai-je cessé d'essayer de diriger ma propre vie ?

Méditation du jour
« Seigneur, nous vous remercions pour ce grand don de la paix, cette paix qui surpasse tout sentiment, cette paix que le monde ne peut ni donner ni enlever. » C'est la paix que seul Dieu peut donner dans un monde désaxé, rempli de problèmes et de difficultés. Posséder cette paix c'est avoir reçu l'empreinte du royaume de Dieu. Lorsque vous avez obtenu cette paix, vous êtes apte à juger entre les fausses et les vraies valeurs, entre les valeurs du royaume de Dieu et les valeurs que vous offre le monde.

Prière du jour
Je demande d'avoir aujourd'hui la paix intérieure. Je de­mande, pour aujourd'hui, d'être en paix avec moi-même.

Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 165

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PENSÉE DU JOUR
La plupart d'entre nous sont familiers avec le sentiment d'avoir été utilisés. Avons-nous déjà regardé au-delà de nos sensations d'avoir été manipulés ? Pourquoi avons-nous continué à nous mettre dans des situations dans lesquelles nous nous sentions médiocres, agressifs, coupables et remplis de honte ? Ne cherchions-nous pas plutôt à plaire ? C'est une chose qu'étant enfant, nous ayons posé des gestes qui suscitaient l'approbation, mais devenus adultes, nous avons la liberté de choix. Notre valeur personnelle ne dépend pas des autres. Si nous voulons constamment plaire aux autres, c'est notre propre choix.

MÉDITATION DU JOUR
Si je me sens manipulé, je demande à Dieu de me rappeler que je suis responsable de ce qui m'arrive.

AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI Personne ne peut se servir de moi sauf si j'y consens.

Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 11 juin

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Vivre abstinent

« Au fur et à mesure que nous nous rétablissons, notre conception de l'abstinence s'élargit… La vie peut devenir une nouvelle aventure pour nous. » Texte de base, page 112

La vie de consommation n'a rien d'une vie saine, nul ne le sait mieux que nous. Certains d'entre nous vivaient dans des conditions sordides, sans s'occuper ni de leur entourage ni d'eux-mêmes. Pire encore que toute cette saleté extérieure, était ce que la plupart de nous ressentaient à l'intérieur. Les choses que nous faisions pour obtenir notre drogue et la façon dont nous traitions les autres et nous-mêmes, tout cela faisait que nous nous sentions « sales ». Plusieurs d'entre nous se rappellent de trop de matins où nous nous sommes réveillés en espérant seulement que, pour une fois, nous pourrions nous sentir « propres » dans notre vie et en nous-mêmes.
Aujourd'hui, en vivant abstinents, nous avons la chance de nous sentir propres. Pour nous dépendants, vivre « proprement », ça commence par ne pas consommer — après tout, c'est là le premier sens qu'on donne au mot « abstinent » dans Narcotiques Anonymes. En demeurant abstinents et en travaillant les Douze Étapes, nous découvrons cependant une autre sorte de propreté. Celle résultant de l'admission de notre dépendance plutôt que le camouflage ou le déni de notre maladie ; c'est la « fraîcheur » résultant de l'admission de nos torts et de leur réparation ; c'est la vitalité obtenue des nouvelles valeurs que nous développons en cherchant à connaître la volonté de notre Puissance supérieure à notre égard. Quand nous pratiquons les principes de notre programme dans tous les domaines, nous n'avons aucune raison de nous sentir « sales » par rapport à notre vie et notre mode de vie : nous vivons abstinents et nous sommes reconnaissants qu'il en soit enfin ainsi.
Autrefois, « la vie d'abstinence » était réservée aux gens « conventionnels ». Aujourd'hui, vivre abstinent est pour nous la seule façon de vivre.

Juste pour aujourd'hui, je me sens « propre » parce que je suis abstinent... et c'est comme ça que je veux vivre ma vie.

Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 11 juin, page 171

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Fie-toi sans relâche à l'intuition, même si la raison ne la justifie pas. Ralph Waldo Emerson

La spiritualité ne peut s'expliquer ni par la logique ni par la science. Souvent, je sais quelque chose sans savoir que je le sais. Lorsque je mets la logique de côté, mon intuition me montre la réalité. L'intuition se moque des arguments, elle dissipe l'indécision et la confusion.
Par exemple, est-ce que le mode de vie OA essaie de me raisonner jusqu'à ce que j'abandonne mes comportements compulsifs ? Non. Au contraire, il dirige mon attention vers ce mélange d'intuition et d'émotions que j'appelle « mes tripes ». Ici, il n'y a guère de place pour la logique ou la raison, et c'est pourtant à cette partie de moi que le programme s'adresse.

Pensée du jour : Je prie pour savoir reconnaître les limites de la logique et de la raison, et pour confier à Dieu au sujet les difficultés pour lesquelles je n'arrive pas à solutionner.

Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 163

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« Je dois prendre garde à mon attitude face à la colère. » Aujourd'hui, page 90

La colère à laquelle je renonce le plus difficilement est celle qui me semble légitime, parce que j'en retire un sentiment si agréable d'affirmation de moi. Mais la colère, tout comme la peur, consomme tellement de « mémoire vive » que cela m'empêche de connaître de nouvelles informations et de nouveaux sentiments, de nouvelles perspectives et de nouvelles façons d'entrer en contact avec ma Puissance supérieure. Si je permets à mon disque dur (mon cœur) de se remplir à pleine capacité de colère ou de peur, alors il n'y a plus de place pour les belles choses ni pour ce que ma Puissance supérieure me réserve.
Lorsque la colère ou la peur me quittent, que reste-t-il ? Il fut un temps où je croyais qu'il n'y aurait plus rien à l'intérieur de moi si je me libérais de ces sentiments en les criant ou en les pleurant. Aujourd'hui, toutefois, je me rends compte que ce qui s'est réellement produit, c'est que j'ai complètement effacé mon tableau noir intérieur. Cela m'a laissé une toile de fond, ma vie, que je peux remplir exactement comme je le souhaite.

Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 11 juin, page 163

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Pensée du jour
Nous avons besoin, nous les joueurs, de croire en une Puissance Supérieure. Oui, nous avons besoin de croire en Dieu. Ne pas croire en une Puissance Supérieure nous conduit à l'athéisme, c'est-à-dire à une foi aveugle dans une étrange école de pensée qui affirme que l'univers a une origine mystérieuse et qu'il ne va nulle part. C'est pratiquement impossible à croire pour quelqu'un qui croit. Aussi, nous nous tour­nons vers ce Principe Divin de l'univers que nous appelons Dieu. Ai-je cessé d'essayer de diriger ma propre vie et est-ce que je crois qu'il existe un Être plus fort que tout ce qui peut exister ?

Méditation du jour
« Seigneur, nous vous remercions pour ce grand don de la paix, cette paix qui surpasse tout sentiment, cette paix que le monde ne peut ni donner ni enlever. » C'est la paix que seul Dieu peut donner à ce monde instable, rempli de problèmes et de difficultés. Posséder cette paix, c'est avoir reçu l'empreinte du Royaume de Dieu. Lorsque vous avez obtenu cette paix, vous êtes apte à juger entre les fausses et les vraies valeurs, entre les valeurs du Royaume de Dieu et les valeurs que vous offre le monde.

Prière du jour
Je demande d'avoir aujourd'hui la paix intérieure. Je demande, pour aujourd'hui, d'être en paix avec moi.

Joueurs Anonymes, 11 juin

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11 juin

C'est dans le calme que tout se clarifiera. C'est dans la calme que tu peux t'apaiser et Me trouver. JE SUIS toujours là, mais tu es aveugle à cette merveille, jusqu'à ce que tu deviennes tranquille et Me cherches dans le silence, et cela, tu peux le faire à tout moment. Plus tu le mets en pratique, plus cela devient naturel jusqu'à ce que tu puisses le faire aussi naturellement que respirer. Tu n'es pas obligé de te précipiter au dehors pour être seul et Me trouver. Tu pourras Me trouver à tout moment et dans tout ce que tu fais. Peu importe le chaos ou la confusion qui t'environnent, ou quel bruit extérieur il peut y avoir, tu peux te mettre dans cette paix et ce silence intérieurs et Me trouver. Quand tu M'auras trouvé, la lumière de la vérité illuminera chaque situation, car là où JE SUIS, il n'y a pas d'obscurité ; il n'y a pas de problème. Il n'y a que la paix.

La Petite Voix, Eileen Caddy

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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.

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