Pensées 29 août 2019
Par Gilles - le jeudi 29 août 2019, 06:31 - Pensées et réflexions - Lien permanent
Bonjour à toutes et à tous
Natalie Wood a dit : « Le seul moment où une femme réussit à changer un homme… c'est quand il est bébé. » Alors il est souvent un peu tard pour essayer de changer qui que ce soit avec nos conseils dès que cet jeune homme ou cette jeune femme ne porte plus de couches. Comme le dirait mon fils Gildas pour se moquer de l’inexorable et implacable vieillissement, ça se peut que nous en portions tous un jour pour pallier à l’incontinence.
« Il est toujours stupide de donner des conseils, mais en donner de bons est absolument fatal. » (Oscar Wilde) Quand une personne que nous aimons nous partage ses soucis, nous voulons lui donner notre avis. « Tu peux faire ceci ou faire cela…» Cela part d'un bon mouvement : apporter de l'aide à quelqu'un qui en a besoin. Nous sommes souvent très déçus. Les conseils sont mal reçus, mal perçus, pas écoutés, pas adoptés ! Alors comment faire pour bien donner de bons conseils ? Ne pas en donner pan toute ! « Si quelqu’un vous donne ce qu'on appelle un bon conseil, faites le contraire. Neuf fois sur dix, vous aurez fait le bon choix. » ( Anselm Feuerbach )
« Tout ce qu’on peut faire d’un bon conseil, c’est de le transmettre. À celui qui le reçoit il ne sert jamais à rien. » (Oscar Wilde) Premièrement, un conseil ne doit jamais être donné pour être suivi ! Cela peut paraître paradoxal. Celui qui reçoit doit être libre d’écouter, de penser et de décider de lui-même ou d’elle-même. Sinon le conseil ne sera pas perçu comme tel, mais bien comme un ordre ou une manipulation. Et un ordre ou encore plus une manipulation pour des rebelles comme nous, ça donne plutôt envie de se rebiffer, de faire le contraire. Il est quasiment impossible de donner un conseil comme un avis personnel : « À mon avis, voici la solution que je te propose. » Ou « Si j'étais à ta place, je réagirais ainsi. » Ça ne relativise le conseil que pour celui ou celle qui veut bien nous en passer une petite vite. C'est le point de vue de cette personne, un autre éclairage, et pas forcément l'unique voie à suivre. Dans ce cas, quand ça nous arrive, la plupart d'entre nous croyons faire cadeau de notre point de vue, en permettant à l'autre de regarder différemment la situation, de prendre de la distance, celle qui nous sépare en fait.
« On a le sentiment que quelque chose au-delà de la force humaine est nécessaire pour produire le changement psychique essentiel. » ( Les Alcooliques Anonymes, 4e Éd. chap. L'opinion d'un médecin, page xxxi ) Chez les groupes d'entraide, nous nous aidons en nous écoutant les uns les autres et en partageant nos expériences, notre force et notre espoir plutôt qu'en nous donnant des conseils. Et s'il nous arrive d'en donner, nous savons que c'est à nous qu'ils s'adressent en premier et à qui ils conviennent parfaitement, non à celui ou à celle à qui nous destinons nos précieux conseils. Il ne nous reste plus qu'à mettre ces conseils que nous avons prodigués si cordialement, en pratique aujourd'hui. En fait, notre Ps, Dieu tel que nous Le concevons, se sert des autres pour nous aider à progresser, pour nous montrer le chemin de notre croissance et rétablissement à travers l’oeil de notre frère. « Les commentaires et les opinions des autres sont sans doute loin d’être infaillibles, mais ils seront probablement plus pertinents que l’inspiration directe que nous pourrions recevoir , à une étape où nous manquons réellement d’expérience dans nos relations avec une Puissance supérieure à nous-mêmes. » ( Les Douze Étapes et les Douze Traditions, 5e Étape, pages 67-68 )
Une parabole ou une allégorie qui porte un message semblable a souvent fait partie de notre éducation : « Qu’as-tu à regarder la paille qui est dans l’œil de ton frère ? Et la poutre qui est dans ton œil à toi, ne la vois-tu pas ! Comment peux-tu dire à ton frère : Mon frère, attends, que j'enlève la paille qui est dans ton œil, moi qui ne vois pas la poutre qui est dans le mien ? Hypocrite, enlève d'abord la poutre de ton œil ; et alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l'œil de ton frère. » ( Luc 6: 41 : Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’oeil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton oeil ? ) Ce n’est pas inutile de donner des conseils, tout un chacun nous savons très bien nous tromper tout seul, quelquefois, nous pouvons avoir de l'aide avec tous ces miroirs qui nous côtoient.
Merci la Vie !!!
Gilles
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Depuis mon enfance, j'étais obsédé par ces fois où j'ai dit ou fait certaines choses qui avaient causé de la peine à quelqu'un. Ce sont de mauvais souvenirs que je ne croyais jamais voir disparaître un jour. Cependant, avec la Huitième Étape, je découvre un moyen de me libérer de mon implacable culpabilité.
Cette Étape me demande de dresser une liste de toutes les personnes que j'ai lésées et de consentir à leur faire amende honorable. Finalement, je peux mettre un mot sur tous mes souvenirs et toute ma souffrance. Quand je les vois en toutes lettres devant mes yeux, ils semblent presque contrôlables et j'ai bon espoir de me libérer de leur poids à mesure que je consens à faire amende honorable. Je n'ai pas besoin d'aller plus loin présentement. Tout ce qui m'intéresse pour le moment, c'est le tort que j'ai causé aux autres, la culpabilité que je me suis imposée et le désir de faire ce que je peux pour m'en libérer complètement.
Pensée du jour
La culpabilité est un fardeau qui m'empêche de me consacrer pleinement et librement au moment présent. Je peux commencer à libérer mon esprit de la culpabilité en admettant calmement où et quand j'ai fait tort à quelqu'un, y compris à moi-même.
« Al-Anon m'a montré une autre façon de vivre que j'aime. La vie peut être soit un fardeau et une corvée, soit un défi et une joie. Un jour à la fois, je peux affronter les défis de la vie la tête haute au lieu de courber l'échine. » Tel que nous Le concevions...
Al-Anon, Le Courage de Changer, 29 août, page 242
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Le comportement de ma mère est la raison qui m'a amenée à Al-Anon. Elle était la première et la plus importante personne alcoolique dans ma vie. C'était une femme créative et talentueuse, mais elle était aussi affectée par les conséquences de sa propre enfance dans une famille marquée par l'alcoolisme, et par la mort de mon frère. Tandis que je vieillissais, sa consommation est devenue plus évidente, tout comme le mur qu'elle érigeait entre elle et le reste de la famille.
Quand je suis arrivée à Al-Anon, ma mère vivait seule et isolée, mais apparemment elle ne buvait pas. Par contre, les conséquences du mal familial de l'alcoolisme continuaient d'affecter notre relation, jusqu'à ce que je commence à me détacher d'elle avec amour. J'ai cessé d'essayer de l'aider à prendre soin d'elle-même, ce qui a aussi mis fin à nos disputes. Je me suis concentrée sur moi, réalisant qu'à cause de ma maladie je ne voyais pas clairement les limites entre ma mère et moi. Découvrir qui j'étais, indépendamment de ma mère fut mon premier défi dans Al-Anon.
Dans les premiers temps, me détacher de ma mère avec amour voulait dire limiter nos rencontres face à face. Pendant plus d'un an, nous n'avons communiqué que par des notes envoyées par la poste et des cadeaux déposés sans que l'on se voie. À l'époque, c'était ce dont j'avais besoin pour mon rétablissement.
Aujourd'hui, ma mère et moi avons une relation honnête et bienveillante fondée sur le respect mutuel de nos limites. Quand nous nous parlons, je me concentre sur moi et je partage mon expérience, ma force et mon espoir au lieu de lui dire quoi faire. Mon rétablissement est devenu plus sain et plus solide, tout comme ma relation avec mère. C'est cela le miracle d'Al-Anon dans ma vie.
Pensée du jour
Le détachement m'aide à établir des limites et à m'affranchir des personnes qui font partie de ma vie.
« Notre responsabilité première consiste à déterminer nos limites et à créer notre propre bien-être ... » De la survie au rétablissement, page 204
Al-Anon, De l’espoir pour aujourd’hui, 29 août, page 242
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Je choisis l’anonymat
Nous sommes assurés que l'humilité, telle qu'elle s'exprime dans l'anonymat, est la protection la plus efficace que peuvent se donner les Alcooliques anonymes. Les Douze Étapes et les Douze Traditions, page 215
Comme il n'y a pas de règlement chez les AA, je détermine la place que je veux occuper et c'est celle de l'anonymat. Humblement, je désire que mon Dieu se serve de moi comme d'un de ses outils dans le mouvement. Le sacrifice est l'art de me donner sans compter, de laisser l'humilité remplacer mon ego. Avec la sobriété vient la capacité de réprimer le besoin de dire au monde entier que je suis membre des AA, et cela me procure joie et paix.
Je laisse aux gens le soin de constater les transformations qui se produisent en moi et de me demander ce qui s'est passé. Je mets les principes spirituels au-dessus des jugements, du dénigrement et de la critique. Je désire l'amour et l'affection de mon groupe pour pouvoir continuer à grandir.
Alcooliques Anonymes, Réflexions quotidiennes, 29 août, page 250
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Le juste milieu
« Dans certains groupements des AA, l'anonymat est poussé à l'absurde. La communication entre les membres est tellement faible qu'ils ne savent même pas le nom de famille de chacun d'eux ni leur adresse. On dirait une cellule d'un mouvement clandestin.
« Ailleurs, c'est exactement le contraire. Il est difficile empêcher des membres des AA de trop paraître en public en donnant de spectaculaires 'tournées de conférences' pour jouer les vedettes.
« Cependant, je sais que nous nous éloignons lentement de ces extrêmes pour en arriver à un juste milieu. La plupart des 'conférenciers' ne durent pas longtemps parmi vous et les ultra anonymes finissent par sortir de leur cachette au bénéfice de leurs amis des AA, de leurs associés d'affaires et à d'autres personnes. Je crois que la tendance à long terme est celle du juste milieu, comme il se doit. » Lettre, 1959
Alcooliques Anonymes, Réflexions de Bill, page 241
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29 août - Pensée A.A. pour aujourd'hui
« Nous ne pouvons nous passer de la prière et de la méditation. Au réveil, pensons aux 24 heures qui commencent. Considérons le plan de notre journée. Avant de commencer, nous demandons à Dieu d'orienter nos pensées. Nos pensées se maintiendront à un niveau beaucoup plus élevé si nous commençons la journée par la prière et la méditation. Nous terminons cette période de méditation en demandant d'être guidés durant toute la journée au sujet de ce que nous devons faire d'un moment à l'autre. L'essentiel de toutes nos prières est ceci : « Que Votre volonté soit faite en moi et par moi aujourd'hui. » Suis-je sincère dans mon désir d'accomplir la volonté de Dieu aujourd'hui ?
Méditation du jour
Accueillez en vous-même l'inspiration de la bonté et de la vérité. Il s'agit de l'esprit d'honnêteté, de pureté, de générosité et d'amour. Cette inspiration est à votre disposition si vous consentez à l'accepter de tout cœur. Dieu nous a donné deux choses, Son esprit et la faculté de choisir — pour l'accepter ou non, comme nous le voulons. Nous avons reçu le don de la liberté. Lorsque nous choisissons le sentier de l'égoïsme, de l'avarice et de l'orgueil, nous refusons d'accepter l'esprit de Dieu. Lorsque nous choisissons le sentier de l'amour et du service, nous acceptons l'esprit de Dieu et cet esprit descend en nous et renouvelle tout notre être.
Prière du jour
Je demande de choisir la bonne voie. Je demande de la suivre jusqu'à la fin de mes jours.
Vingt-quatre heures par jour, Hazelden, page 244
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PENSÉE DU JOUR
L'honnêteté émotive est une des choses les plus difficiles à acquérir. Cela demande du travail et un effort conscient pour me demander au milieu d'une colère pourquoi je suis agressif. Il est plus facile de blâmer les autres pour mes émotions. La guérison vient en reconnaissant que les émotions sont miennes et que j'ai un choix. C'est ça l'honnêteté émotive. Je ne pourrai jamais avoir la sérénité si je laisse les autres me bouleverser. Je peux combattre mes émotions ou dire qu'elles sont la faute des autres. Cependant, si je reconnais l'émotion naissante, je peux continuer en me rappelant que : « Le temps arrange bien des choses », même si je n'ai pas de solution au problème. Je peux choisir un moyen d'action pour corriger la situation.
MÉDITATION DU JOUR
Je prie pour avoir la sagesse d'en connaître la différence.
AUJOURD'HUI, JE ME SOUVIENDRAI
Être honnête avec moi-même m'apporte la paix.
Émotifs Anonymes, Aujourd’hui Seulement, 29 août
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Ne regarde pas en arrière
(Grâce à ces étapes) « notre vie auparavant dominée par la culpabilité et le remords est grandement changée. Notre avenir est transformé parce que nous n'avons plus besoin d'éviter ceux que nous avons lésés. Subséquemment... nous obtenons une nouvelle liberté qui peut mettre un terme à l'isolement. » Texte de base, pages 49-50
Lorsqu'ils arrivent à Narcotiques Anonymes, plusieurs d'entre nous sont bourrés de regrets concernant leur passé. Nos étapes nous aident à commencer à nous défaire de ces regrets. Nous examinons notre vie, nous admettons nos torts, faisons amende honorable et faisons des efforts sincères pour changer nos comportements. Cela fait, nous éprouvons une agréable sensation de liberté.
Nous n'avons plus besoin de nier ni de regretter le passé. Une fois nos amendes honorables complétées, ce qui a été fait est bel et bien terminé. Dès lors, notre passé perd de son importance pour nous. Ce qui importe, c'est où nous allons.
Dans N.A., nous commençons à regarder en avant. En vérité, nous vivons et restons abstinents juste pour aujourd'hui. Mais, nous nous apercevons que nous pouvons commencer à nous fixer des objectifs, à rêver et à envisager pour l'avenir les joies qu'une vie en rétablissement peut offrir. En regardant devant nous, nous demeurons centrés sur notre destination, et non sur les remords et les regrets de notre passé. Après tout, il est difficile d'aller de l'avant si l'on regarde derrière.
Juste pour aujourd'hui, les étapes m'ont libéré de mes regrets du passé. Aujourd'hui, j'envisage avec joie ma nouvelle vie en rétablissement.
Narcotiques Anonymes, JUSTE POUR AUJOURD'HUI, 29 août, page 253
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Les émotions peuvent être inépuisables. Plus nous en exprimons, plus nous en avons peut-être à exprimer. E.M. Forster
Ce que je gagne à exprimer mes émotions tient à ce que j'apprends en étant à l'écoute de moi. Une pensée en amène une autre et, si j'ai l'esprit bien ouvert, je peux me surprendre à répondre des choses que je ne croyais pas savoir moi-même.
Lorsque je parle de mes émotions à mon parrain, à ma marraine ou à mon groupe, je reçois en cadeau une écoute attentive. Quand ils expriment leurs propres sentiments, je leur rends la courtoisie. Chez les OA, nous nous aidons en nous écoutant les uns les autres et en partageant notre expérience personnelle plutôt qu'en nous donnant des conseils.
Pensée du jour : Compte tenu de toutes les ressources que m'offrent les OA, je n'ai pas à réprimer mes sentiments. Je peux les exprimer aussi librement que le permet la prudence, que ce soit à mon parraine, à ma marraine ou à mon groupe.
Outremangeurs Anonymes, Aujourd'hui, 3e Éd., page 242
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« Nous allons t'aimer jusqu'à ce que tu puisses t'aimer toi-même. » Slogan du programme
Lorsque je suis arrivée chez les OA, je ne pouvais concevoir que quelqu'un puisse m'aimer véritablement. Je me sentais indigne d'amour. Vue de l'extérieur, je me comportais comme si je croyais que les autres m'aimaient, mais intérieurement, j'étais convaincue que s'ils me connaissaient en profondeur, ils me trouveraient méprisable. Chaque fois que j'appelais ma marraine et qu'elle semblait sincèrement contente d'avoir de mes nouvelles, je me mettais à pleurer. Je me demandais comment elle pouvait aimer quelqu'un comme moi. Je croyais qu'il devait y avoir quelque chose chez elle qui ne tournait pas rond. Lors des réunions, les membres applaudissaient lorsque je partageais. Ils interrompaient leurs activités pour me parler lorsque je leur téléphonais.
En écoutant les autres partager leurs difficultés, je me suis rendu compte que je n'étais pas aussi méprisable ou différente que je l'avais cru. Après tout, je les aimais. Serait-ce possible que moi aussi je sois aimable ? Au fil du temps, grâce à ma famille OA et à ma relation avec ma Puissance supérieure, j'ai commencé petit à petit, à me sentir aimable. Peu après, je me suis mise à me traiter comme les autres me traitaient. Grâce à l'amour que j'ai reçu, je suis maintenant capable de m'aimer moi-même.
Outremangeurs Anonymes, Les voix du rétablissement, 29 août, page 242
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Pensée du jour
« Nous ne pouvons nous passer de la prière et de la méditation. Au réveil, pensons aux 24 heures qui commencent et élaborons notre plan pour la présente journée. Avant de commencer, nous demandons à Dieu d'orienter nos pensées afin qu'elles se maintiennent à un niveau supérieur. Lorsque nous commençons la journée dans la prière et la méditation, tout va bien. Nous terminons cette période de méditation en demandant d'être guidés pour toutes les actions que nous faisons pendant la journée. Dans notre prière de la journée, n'oublions surtout pas de dire : « Que Votre Volonté soit faite en moi et par moi aujourd'hui. » Suis-je sincère dans mon désir d'accomplir la Volonté de Dieu aujourd'hui ?
Méditation du jour
Accueillez en vous-même l'inspiration de la bonté et de la vérité. Il s'agit de l'esprit d'honnêteté, de pureté, de générosité et d'amour. Cette inspiration est vôtre si vous consentez à l'accueillir dans votre cœur. Dieu vous a donné deux choses : Son Esprit et Sa Liberté. Lorsque vous choisissez le sentier de l'avarice et de l'orgueil, vous refusez d'accepter la Volonté de Dieu et faites fausse route. Lorsque vous choisissez le sentier de l'amour et du dévouement, vous acceptez la Volonté Divine et vous êtes sur le chemin du renouvellement de tout votre être.
Prière du jour
Je demande de choisir la bonne voie. Je demande de la suivre jusqu'à la fin de ma vie.
Joueurs Anonymes, 29 août
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29 août
Tu dois faire ton propre travail dans cette vie spirituelle. JE SUIS toujours là pour aider les âmes qui s'aident elles-mêmes, mais tu dois faire le premier pas. Tu n'apprendras jamais de leçons si on fait tout pour toi. Tu ne peux pas élever un enfant en faisant tout pour lui. Tu dois le laisser faire les choses par lui-même. Peu importe que ses actions soient lentes ou hésitantes au début, tu dois être très patient et rester en arrière. Avec une infinie patience et beaucoup d'amour, Je dois rester en arrière et te voir effectuer ton propre travail et faire des erreurs. Mais souviens-toi toujours : tu bénéficieras de tes erreurs; rien ne se fait en vain. Tu apprends tout le temps de nouvelles leçons et tu avances le long de ce chemin spirituel. Chaque pas, aussi petit soit-il, te mène plus prêt du but : la réalisation de ton Unité avec Moi. Jusqu'à ce que, finalement, tu te rendes compte qu'il n'y a pas de séparation, que tout est un et que tu fais partie de cette vie unique et radieuse.
La Petite Voix, Eileen Caddy
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Pour ceux et celles qui désirent lire les chroniques de Gilles sur le site Quand la drogue n'est plus un jeu : http://www.quandladrogue.com
Bon rétablissement pour toutes et tous !
Bonne journée !
L'expérience nous a démontré qu'adhérer à un groupe qui utilise les Douze Étapes pour se rétablir et mettre en pratique ce merveilleux mode de vie un jour à la fois peuvent nous aider à vivre de beaux moments de bonheur et de sérénité.
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